Echos du Racing

Strasbourg n’aime pas les matchs d’ouverture
Douché d’entrée, retard à l’allumage… les titres dans les journaux et sur les réseaux sociaux pleuvent depuis la défaite de vendredi à Dunkerque et pourtant, Strasbourg qui ne s’impose pas pour la première journée, ce n’est pas une nouveauté. Il faut remonter à l’ouverture de la saison 1988 et le Racing de Léonard Specht et Philippe Flucklinger pour voir les alsaciens s’incliner par trois buts d’écart. Sur les trente dernières saisons, le Racing compte sept défaites en ouverture de son championnat et seize matchs nuls pour seulement huit victoires (Source chiffres : RacingStub). Des résultats négatifs qui n’ont pas toujours été signe de mauvais championnat ensuite. Rappelons aussi que le Red Star version 2014/2015 s’est également incliné pour la première journée mais a fêté la montée en fin de saison.


2015/2016 : Dunkerque – Strasbourg 4-1
2014/2015 : Colomiers – Strasbourg 1-3
2013/2014 : Red Star – Strasbourg 0-0
2012/2013 : Strasbourg – Raon l’Etape 2-0
2011/2012 : Forbach – Strasbourg 0-4
2010/2011 : Strasbourg – Cannes 3-3
2009/2010 : Strasbourg – Châteauroux 1-2
2008/2009 : Strasbourg – Montpellier 1-0
2007/2008 : Strasbourg – Marseille 0-0
2006/2007 : Strasbourg – Dijon 0-0
2005/2006 : Strasbourg – Auxerre 0-0
2004/2005 : Bastia – Strasbourg 2-1
2003/2004 : Toulouse – Strasbourg 1-1
2002/2003 : Strasbourg – Ajaccio AC 1-1
2001/2002 : Le Havre – Strasbourg 1-1
2000/2001 : Paris SG – Strasbourg 3-1
1999/2000 : Strasbourg – Lens 1-0
1998/1999 : Strasbourg – Lyon 0-0
1997/1998 : Strasbourg – Paris 0-1
1996/1997 : Montpellier – Strasbourg 2-2
1995/1996 : Strasbourg – Auxerre 1-1
1994/1995 : Strasbourg – Auxerre 1-1
1993/1994 : Strasbourg – Lille 2-0
1992/1993 : Épinal – Strasbourg 1-3
1991/1992 : Strasbourg – Louhans-Cuiseaux 0-0
1990/1991 : Strasbourg – Gueugnon 2-2
1989/1990 : Bastia – Strasbourg 1-1
1988/1989 : Strasbourg – Sochaux 0-3
1987/1988 : Strasbourg – Valenciennes 3-0
1986/1987 : Strasbourg – Reims 0-1
1985/1986 : Strasbourg – Rennes 1-1

Alsa'sports

Pouye absent 8 semaines !
La défaite concédée à Dunkerque (4-1), vendredi, a laissé des traces dans l’effectif strasbourgeois. Aguemon et Pouye seront absents ces prochaines semaines.

C’est la très mauvaise nouvelle de cette première journée, côté Racing. Touché au pied à Dunkerque, Oumar Pouye a été victime d’une fracture du 5e métatarse du pied droit. Opéré dès ce lundi matin, il sera absent pour 8 semaines. Un coup dur, assurément, pour le joueur (auteur de 4 buts durant les matches amicaux) et pour Jacky Duguépéroux qui perd l’une des recrues estivales pour un long moment.
Expulsé à la fin de la première période, Yannick Aguemon, lui, sera automatiquement suspendu pour la réception d’Orléans, ce vendredi soir (20h) à la Meinau. L’ailier droit connaîtra la durée exacte de sa peine en fin de semaine.
Le jeune gardien Corentin Schmittheissler, lui, a eu le feu vert du corps médical pour reprendre les entraînements normalement. Touché au poignet en fin de saison dernière, il ne s’entraînait que partiellement depuis la reprise.
SO

RCSA | Un autre attaquant souhaité
Orphelin d’Oumar Pouye pour huit semaines (ndlr), les dirigeants du Racing vont être conduit à réagir plus vite que prévu. Toujours à la recherche d’un joueur de couloir droit, le staff va également recruter un nouveau joueur offensif pour palier l’indisponibilité de l’ancien joueur d’Amiens mais rien ne sera fait avant la deuxième journée de championnat et la réception d’Orléans au stade de la Meinau.

Alsa'sports

Le nouvel hymne du Racing
Nous vous disions sur Alsa’sports il y a quelques jours qu’un nouvel hymne pour le Racing Club de Strasbourg était en préparation. Aujourd’hui, le club en a devoilé les paroles, il sera présenté vendredi soir devant le public de la Meinau.
« Nous ne sommes pas 11 mais des milliers », tel est le titre du nouveau chant des bleus. Écrit par le club et les associations de supporters, il sera interprété par Pascal Vecca, un chanteur Alsacien qui a également participé à l’écriture. Demain face à Orléans, Pascal Vecca l’interprétera cinq minutes avant le coup d’envoi.


Alsa'sports

De nouvelles buvettes à la Meinau.




En ce début de saison, le Racing innove à plusieurs niveaux. Après le lancement de la nouvelle plateforme de billetterie, le nouvel hymne du club, voici les nouvelles buvettes du Stade de la Meinau. Désormais, il y a aura 10 buvettes fixes les soirs de match !
C’est désormais la société AB Restauration qui aura la gestion des buvettes du Stade de la Meinau. Ce prestataire a l’habitude des enceintes sportives puisqu’il travaille avec les clubs de Metz, Nancy, Reims ou encore Sedan.



 

Premier changement majeur par rapport aux saisons précédentes, le nombre de points de restauration et leur répartition dans le stade. Il y aura, tous les soirs de match, 10 stands ouverts ! Leur répartition :

   1 stand sur le parvis, sous le « Village »
   3 stands par tribune (Nord, Sud, Ouest)

Dans la plupart des points de restauration, les supporters pourront trouver leurs boissons et leurs sandwichs chauds (saucisses notamment). Les frites, des hamburgers, des hotdogs, des paninis, etc… compléteront l’offre de ces dix buvettes. Par ailleurs, le camion tartes flambées restera à la même place que les années passées, sur le parvis central.

   « Nous avons souhaité augmenter le nombre de buvettes de manière conséquente afin d’apporter un meilleur service et plus de proximité à nos supporters, explique Romain Giraud, Secrétaire Général du RCSA. Le service en place permettra d’avoir une plus grande rapidité de service. Avec AB Restauration, nous avons travaillé tout l’été pour optimiser ces nouvelles buvettes. Cependant, il faudra faire preuve d’un peu d’indulgence sur les premiers matches car la mise en place reste à perfectionner. »

Autre nouveauté, un gobelet Racing sera fourni pour l’achat d’une boisson aux supporters. Ce gobelet aux couleurs du club est consigné et pourra être redonner aux buvettes à tout moment de la soirée ou de la saison contre 1€. Il a été conçu dans un souci de limiter les déchets et donc de protection de l’environnement.



Près de 60 personnes, issues de la région, travailleront les soirs de match afin de satisfaire les demandes et, surtout, de servir rapidement tous les spectateurs de la Meinau. Car, désormais, les supporters ne devront faire la queue qu’une seule fois pour payer et récupérer leur sandwich et/ou boisson.

AB Restauration se fournit auprès des producteurs locaux. Ainsi, les pains proviendront d’un boulanger strasbourgeois, la charcuterie et les viandes seront originaires d’Alsace, l’eau sera de la Carola.

SO

Jonas Pessalli plus proche du Racing
Suite à la blessure d’Oumar Pouye, le Racing Club de Strasbourg multiplie les pistes pour obtenir un renfort de poids afin de remplir ses objectifs.
On avait déjà entendu ce nom de Jonas Pessalli circuler du côté de la Meinau il y a environ un mois mais sans vraiment d’insistance. Cette fois ci, la piste du brésilien du SCO d’Angers est de plus en plus sérieuse car suite au refus du sochalien Guerbert de rallier l’Alsace, le Racing aurait fait de ce milieu offensif d’un mètre quatre-vingt-dix sa priorité. Tout d’abord, le SCO d’Angers cherche à dégraisser sérieusement son effectif et a fait savoir que le club ne s’opposera pas à un départ de ce joueur aux 29 matchs et 3 buts en Ligue 2. Jonas Pessalli est réputé pour sa technique, son importance sur les coups de pied arrêtés et possède une bonne frappe mais n’est pas forcément très rapide. Il avait effectué un essai non concluant au mois de juillet au stade brestois mais fera peut-être prochainement les beaux jours du Racing.
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Sortis de nuls un brin frustrants ce week-end
R EMISE EN QUESTION. – Jacky Duguépéroux n’a pas recouru à de quelconques excuses pour analyser le deuxième nul en deux rencontres à la Meinau. La défense est dans le viseur. « On sait où sont nos problèmes, a indiqué l’entraîneur du Racing. On prend trop de buts. Et ce n’est pas nécessairement les nouveaux qui sont responsables. Il n’y a pas mort d’homme mais il faut absolument que l’on se remette en question. »
Tuiloma en renfort

NOUVEAU. – S’il n’y a pas de cause à effet par rapport au résultat de vendredi, le Racing s’est agité ce week-end sur le front des transferts. Ainsi, Bill Tuiloma a été prêté par l’OM hier. Ce milieu relayeur néo-zélandais vient de signer un contrat pro avec le club phocéen qui a choisi de le prêter. L’avantage, pour Marseille, est de libérer une place à un extra-communautaire dans son effectif. Le Racing pourra compter sur un jeune élément (20 ans), susceptible de rendre service dans l’entrejeu. Il faudra patienter un peu avant de découvrir le visage du petit nouveau. Tuiloma a été appelé en équipe néo-zélandaise pour un match amical en Birmanie, programmé le 7 septembre. Il ne devrait pas débarquer en Alsace avant une dizaine de jours.
ESSAI. – Par ailleurs, Jacky Duguépéroux intégrera à ses séances d’entraînement le joueur de couloir sous contrat avec Monaco, Christopher Lina. Ce dernier est arrivé ce week-end en Alsace où il restera jusqu’à mardi. « S’il nous rejoint, ce ne sera pas sous forme de prêt, précise le président Marc Keller. En effet, Monaco est à la limite en matière (dans l’Hexagone, les clubs pros ne peuvent prêter que sept joueurs alors que l’ASM en est déjà à six). Lina est un joueur qui peut nous aider à étoffer l’effectif. »

En revanche, désireux de dégoter de vraies alternatives pour muscler son flanc droit en difficulté, les dirigeants strasbourgeois ont admis que les pistes intéressantes se font rares.

ABONNEMENTS. – C’est l’une des satisfactions de l’été pour le club strasbourgeois. L’engouement populaire autour du Racing ne s’essouffle pas. La barre des 4500 abonnés a été dépassée il y a quelques jours.

CHAMPIONS. – La Meinau a accueilli une équipe strasbourgeoise sacrément championne, vendredi. En effet, le Rugby Club de Strasbourg est venu présenter au public les deux boucliers décrochés au terme de la dernière saison, en Fédérale 2 et en Fédérale 2B.

Dna

Les échos du Racing
les Strasbourgeois se sont relancés dans les Vosges.
Mais au regard de l’irrationnel attendu vendredi, faut-il vraiment se fier à ces tendances ?
PREMIÈRES. – Si le Racing a bel et bien décroché son deuxième succès de la saison à Épinal, il n’a pas manqué de présenter quelques visages inédits. Ainsi, Massiré Kante, débarqué du Red Star à l’intersaison, a connu sa première titularisation, dans l’entrejeu, au côté de Jérémy Grimm. Après avoir signé un peu plus d’une semaine plus tôt, Ladislas Douniama a également vécu une première en bleu, dans le onze de départ sur le côté droit. Notons également que Bill Tuiloma est entré en jeu, en fin de rencontre, pour préserver le résultat. Avec l’entrée du joueur prêté par Marseille, c’était une première pour un joueur néo-zélandais sous la tunique strasbourgeoise.

SUSPENDU. – S’il a à peine disputé 2h15 de compétition en National depuis le début de saison, Massiré Kante a été beaucoup sanctionné. Il sera suspendu après le jaune récolté dans les Vosges. En effet, le géant, dont le gabarit (plus d’1m95 sous la toise) peut susciter la sévérité arbitrale, a écopé de l’avertissement de trop à la Colombière et sera privé du déplacement à Chambly. La sortie du milieu de terrain a d’ailleurs été écourtée pour ces mêmes raisons. « Le coach m’a indiqué à la pause qu’il me remplacerait peu après, car il craignait que l’arbitre ne m’expulse », a lâché le joueur dans son éternel sourire, après la rencontre. Le costaud de l’entrejeu est au diapason d’un Racing qui effectue des récoltes dont il se passerait bien. Avec 15 jaunes en 7 matches, les Strasbourgeois dépassent la moyenne de deux cartons par match.

LIENARD. – Il ne pouvait s’exprimer sur le terrain, lui-même suspendu pour le rendez-vous de vendredi. Mais Dimitri Lienard était bien en tribune et en famille, pour soutenir ses coéquipiers. Le milieu a failli être privé de vestiaire, les responsables de la sécurité vosgiennes rechignant à laisser l’ancien Mulhousien gagner les couloirs du stade. Il a fini par se montrer suffisamment persuasif pour pouvoir aller féliciter ses coéquipiers.

MEINAU. – Vendredi, le stade strasbourgeois devrait être aussi plein qu’il y a sept mois, quand plus de 25 000 spectateurs avaient pris place dans les tribunes, lors du précédent rendez-vous entre les deux équipes. On avait atteint la barre des 20 000 billets vendus, à l’orée du week-end. Il ne devrait y plus en avoir à acheter le soir du match. Il s’agit pour les candidats du match RCS – SRC de prendre leurs dispositions en faisant l’acquisition de leur place via le site internet du club strasbourgeois ou grâce à la permanence assurée à la Meinau.

DNA

Une banderole qui pourrait coûter chère au Racing !

Alors que la fête du football alsacien semblait parfaite, l’affaire de la triste banderole « anti-migrants » vient assombrir le tableau et pourrait avoir des conséquences pour le Racing Club de Strasbourg.
Durant le derby RCSA – SRC remporté par les Strasbourgeois (1-0), une banderole avec l’inscription « Migrants Raus » fait son apparition en bas de la tribune Ouest durant une bonne trentaine de secondes. L’acte serait à l’initiative de deux spectateurs se revendiquant du mouvement « Elsass Frei ». Selon les Dernières Nouvelles d’Alsace, les deux individus suspectés ont été sortis du stade sans être interpellés par les forces de l’ordre qui ont tout de même pris leurs identités.
Sur le plan administratif, l’incident a été relayé au délégué de la rencontre mais aucune information sur une éventuelle mention de celui-ci sur le rapport du match. En revanche, l’utilisation et les jets de fumigènes en fin de la rencontre,fugueraient bien sur ce dernier.
Quelles conséquences ?

En temps « normal », ce genre d’incidents « mineurs » n’auraient pas eu de grandes conséquences si ce n’est peut-être un blâme, voire un éventuel huis-clos partiel avec sursis. Surtout qu’aucun fait de violence ou de simples tensions n’a été indiqué et que l’ambiance de la Meinau était festive, bien loin de ce qu’à pu être des précédents derbys. Mais dans une période où de nombreux incidents font polémiques (notamment lors du dernier OM-OL en Ligue1) et à quelques mois de l’Euro 2016 organisé en France, la FFF veut nettoyer les stades et appliquer des sanctions exemplaires.

Reste à savoir quels éléments figurent réellement dans le rapport du match rendu par le délégué de la rencontre et l’attitude de la 3F face à la polémique de cette banderole à caractère politique, largement amplifiée par les réseaux sociaux et de nombreux médias.

La direction du Racing a souhaité apaiser la polémique à travers un communiqué. Le RCSA a déjà fait savoir que si le club venait à être sanctionné pour cette affaire, il pourrait porter plainte contre les deux individus actuellement soupçonnés.

http://www.rcstrasbourgalsace.fr/actualites/communique-du-rcsa-4

Alsa'sports

Banderole anti-migrants lors du derby alsacien: les auteurs activement recherchés
La photo a commencé à circuler hier soir sur les réseaux sociaux, à l'issue du derby qui opposait au stade de la Meinau le Racing-club de Strasbourg et les SR Colmar, devant 26000 supporters. Elle représente une banderole de taille modeste portant les insciptions "Migrants raus. Elsass frei", brandie au bas des tribunes pendant le match. Cette banderole a été brandie pas plus d'une quarantaine de secondes, expliquent des spectateurs qui ont assisté à ce moment. Deux hommes la tenaient, semble-t-il. Ils ont été repérés et sortis du stade.
Le cliché de la banderole est apparu sur la page Facebook ElsassLand, aux alentours de minuit. Les responsables de la page expliquaient notamment que cette banderole était une "manipulation" pour discréditer leur mouvement (autonomisme alsacien). Pour autant, certains commentateurs de la page se félicitaient du message véhiculé par ladite banderole, lui attribuant des qualificatifs élogieux. Mais beaucoup manifestaient leur désaccord profond avec le slogan. Ainsi, en premier lieu, la présidente du parti autonomiste Unser Land, Andrée Munchenbach, écrivait: « Inadmissible et honteux ! Cette banderole déshonore ceux qui sont derrière. Où est l’humanisme alsacien ? Je suis écoeurée », avant d'appeler à la suppression  de « cette image qui nous salit tous ». D'autres internautes appelaient à ce que les responsables du déploiement de la banderole soient identifiés et que le club de foot prenne des dispositions. La photo a resurgi ce matin sur le groupe Facebook ElsassLand.
Les différents groupes autonomistes présents sur les réseaux sociaux se désolidarisent tous du message de la banderole. Ainsi, les "Alsaciens réunis" indiquent qu'ils ne sauraient accepter "que des individus prennent en otage leur cause en assimilant la défense de l’Alsace au rejet d’autrui". De son côté, la Fédération démocratique alsacienne a annoncé qu'elle porterait plainte contre X "pour usage non-autorisé du slogan "Elsass Frei". Le groupe des "Alsaciennes unies" présente quant à lui des photos de jeunes femmes portant des coiffes alsaciennes aux couleurs du Racing. « Cette image est beaucoup plus belle et représentative pour l'Alsace que cette banderole de merde », commente un sympathisant.

Un message "à l'opposé des valeurs" du Racing, selon le club de football
Au nom du Racing Club de Strasbourg Alsace, le président Marc Keller a condamné dans un communiqué, "avec la plus grande fermeté, la banderole apparue dans une tribune du stade vendredi soir lors du derby contre Colmar". "Le message qu’elle contenait est à l’opposé des valeurs de tolérance, de solidarité et de générosité portées et défendues par le Club", écrit Marc Keller. Le président du Racing souligne également que l'action "immédiate" du service de sécurité du club a permis de retirer la banderole "moins d’une minute après son apparition". Selon Marc Keller, les services de police, aidés par la vidéosurveillance du stade, ont pu identifier et interpeller les deux auteurs de cette banderole. "Il y avait hier au stade de la Meinau 26 020 vrais supporters qui venaient participer à une fête du football et deux individus isolés, qui devront répondre de leurs actes", conclut le communiqué du club.
Une enquête a été immédiatement ouverte, dès l'apparition de cette banderole, fait savoir ce soir la préfecture du Bas-Rhin. Les bandes vidéo sont actuellement en cours d'identification, mais la police n'a pour l'instant procédé à aucune interpellation. Stéphane Fratacci, le préfet de la région Alsace, a condamné "fermement" le geste. "Ses auteurs sont activement recherchés par les services de police. Une fois qu'ils seront interpellés, des mesures administratives seront mises en oeuvre à leur encontre", a ajouté le préfet. Les images de vidéosurveillance ont en tout cas permis de prendre en photo les visages des deux personnes tenant la banderole. Sur la base de ce signalement, des contrôles d'identité ont été menés à la mi-temps par la police nationale mais il n'y a pas eu d'interpellation.

Une condamnation de la ville de Strasbourg
Dans une déclaration sur son profil Facebook, le premier adjoint au maire de Strasbourg, Alain Fontanel (PS), a évoqué quelques individus qui "ont pris le risque de gâcher une belle fête populaire avec une banderole, totalement inacceptable, aux relents nauséabonds". Il a indiqué que cet incident avait été abordé" lors d'une discussion ce matin entre le maire de Strasbourg et le président du Racing, Marc Keller. Marc Keller a expliqué que l'action du club avait été "particulièrement rapide et exemplaire ". Le service de sécurité du club de football a fait retirer la banderole immédiatement et les individus responsables du message ont été identifiés grâce au service de sécurité du stade et aux images enregistrées par le club, lesquelles ont été immédiatement transmises à la police.
Tout sera fait pour que ce type d'incident ne se reproduise plus. "Les valeurs d'ouverture et d'humanisme que la ville de Strasbourg porte impliquent, ici plus que nul par ailleurs, une tolérance zéro avec de tels comportements", appuie Alain Fontanel. Le député (PS) Philippe Bies, dont la circonscription accueille le stade de la Meinau, s'est félicité de la "réactivité" du Racing et de son président face à cette "odieuse banderole": "Il en va du respect des valeurs de notre République sans que l'humanisme rhénan (brandi par les uns et les autres comme un étendard ) n'entre en ligne de compte. Comme à Lyon il y a quelques jours l'identification et le jugement de ces extrémistes doit montrer notre fermeté face à ces dérives qui bafouent nos valeurs communes", écrit-il.
La chef de file de l'opposition strasbourgeoise, Fabienne Keller (Les Républicains) a elle aussi réagi: "La vraie Alsace rime avec humanisme,ouverture à l'autre et droits de l'Homme ! Ne laissons pas les extrêmistes l'abîmer!" Les responsables du parti les Républicains, pour le Bas -Rhin, par la voix d'André Reichardt, sénateur, et de Georges Schuler, maire de Reichstett, ont également condamné un geste commis par "une poignée d’imbéciles": "En affichant une banderole hostile aux migrants et en tentant d’utiliser un moment festif et sportif à des fins politiques sordides [...] ces abrutis sont venus tâcher l’image du sport le plus populaire en Alsace".
dna

Mayoro N’Doye suspendu en coupe
Averti lors des rencontres face à Dunkerque (J1/73ème), Sedan (J5/90ème) et face à Colmar (J8/89ème), le milieu de terrain du Racing Mayoro N’Doye, sera automatiquement suspendu lors du 5ème tour de coupe de France. Un coup dur pour Jacky Duguépéroux qui fera sans le joueur qui n’a pas manqué une seconde depuis le début de la saison mais ce troisième carton jaunes n’est peut être pas arrivé par hasard…
Alsa'sports

A force de considérer comme légitimes les propos d'un certain parti il ne faut pas s'étonner de voir ce
genre d'agissement lamentable. J'espère que ces tristes individus seront retrouvés et sanctionnés comme
il le faut.

Je ne vais pas m'étendre sur ce sujet , mais je ne suis pas tellement favorable à cette masse de migrant qui afflue en France, par contre ça n'a rien à faire sur un terrain de foot .

Les échos du Racing et des SR Colmar Un sommet bleu
Et à la fin, c’est le Racing qui gagne. Sans l’avoir complètement mérité, les Strasbourgeois ont su forcer la décision pour décrocher leur première victoire de la saison à domicile. Les Colmariens peuvent avoir des regrets, mais auront aussi plein de belles images en tête pour relancer leur saison.

CONCILIABULE. – Une bonne heure avant le coup d’envoi, Albert Gemmrich et Raymond Domenech, deux des champions de France 1979, étaient en plein échange sur la pelouse de la Meinau. Christophe Gryczka, le président colmarien, participait également à la discussion. A-t-il demandé à l’ancien sélectionneur s’il avait révisé sa géographie du football ? En effet, Domenech n’avait pas été tendre avec les SRC il y a de cela quelques années. Il avait qualifié Colmar de « point entre Strasbourg et Mulhouse ».

❏ DÉLÉGATION. – Les SR Colmar étaient bien représentés aux abords du terrain. En plus du président et de son bras droit Jean-Louis Jaegli, le staff médical, plusieurs éducateurs comme l’entraîneur de la réserve, Sébastien Cuvier, ont pris la température à une poignée de minutes du septième derby alsacien.
« Pas une soufflante, un tsunami »

PAUSE. – Les murs du vestiaire strasbourgeois ont vibré à la mi-temps. Jacky Duguépéroux, le coach strasbourgeois, n’avait pas, mais alors pas du tout, apprécié la première période de sa troupe. Il l’a dit à ses joueurs sans recourir à un violon ou une mandoline. Éric Marester, qui n’est pas né de la dernière pluie, a donné une version imagée du phénomène. « Ce n’était pas une soufflante, c’était un tsunami, a expliqué le latéral droit strasbourgeois. Dans l’envie, tu n’as pas le droit d’être en faute dans une ambiance comme ça. » Le discours musclé a eu son effet.

PRÉSIDENTS. – Il y avait de nombreux présidents à la Meinau, vendredi soir, en plus, bien entendu, de Marc Keller et Christophe Gryczka, les boss strasbourgeois et colmarien. Sur la pelouse, les présidents des conseils généraux, le Bas-Rhinois Frédéric Bierry et le Haut-Rhinois Éric Straumann, écharpe sur les épaules, ont vécu de près la rentrée des 22 acteurs sur la pelouse. Avant de donner le coup d’envoi fictif de la rencontre. Le président de la Région, Philippe Richert, les a rejoints dans la corbeille présidentielle, forcément, après dix minutes de jeu.

TIFOS. – Une « bataille » de tifos a eu lieu lorsque le Racing et les SRC ont pénétré sur le terrain. Les UB 90 ont déployé des calicots sur l’ensemble du quart de virage tout en chantant à gorges déployées, tandis que les Green Boys colmariens ont recouvert un tiers du parcage visiteur. C’est l’intention qui compte, non ?
Des Colmariens aux attaches strasbourgeoises

❏ TRANQUILLE. – Les Colmariens ont pris le temps avant de rentrer dans le Haut-Rhin. Les joueurs ont retrouvé amis et famille au pied du bus qui n’a levé l’ancre qu’après 23h. Avec à son bord moins de la moitié du groupe qui était convié au fameux classique. En effet, ils sont nombreux, aux SRC, à avoir des attaches dans la région strasbourgeoise. Frédéric Marques, qui a porté les maillots des deux clubs, était notamment dans les parages, ainsi que l’ancien meneur du Racing, Stéphane Noro.

BUREL. – Pour avoir écopé à la Meinau d’un troisième carton jaune depuis le début de la saison, Nicolas Burel manquera l’entrée en lice des SRC en Coupe de France le dimanche 11 octobre. Pas sûr que son absence chagrine beaucoup la sentinelle colmarienne.

❏ BELVITO. – L’attaquant colmarien a seulement disputé son deuxième match en intégralité face au Racing. La faute, notamment, à une blessure (aponévrosite) qui a gâché son début de saison.

« Je manque encore de rythme et de confiance, souligne Nicolas Belvito. Je pense faire les gestes justes, mais la réussite comme l’efficacité me fuient. L’équipe va bientôt se remettre sur le droit chemin. » Dès vendredi face au leader belfortain ?

IMPRESSIONNÉS. – La foule des grands jours n’a pas manqué d’impressionner nombre des protagonistes du match. En dépit de la défaite, Didier Olle-Nicolle a apprécié. « Même en Ligue 1, à Nice, je n’ai jamais joué devant tant de monde, a indiqué le coach des Colmariens. La Meinau, c’est l’une des grandes ambiances du foot français. »

« Pour un buteur, faire basculer un match dans un stade aussi plein, ça procure beaucoup d’émotions », a expliqué Jérémy Blayac. « J’étais étonné, a conclu l’un des nouveaux venus chez les Bleus, Éric Marester. Je n’ai jamais connu une ambiance aussi chaude. »

GOBELETS. – Le derby s’affichait partout dans les travées de la Meinau. Sur les maillots, bien entendu, les écharpes, les joues pour les supporters grimés. Mais aussi sur les gobelets distribués dans les buvettes. Pour une pression, on avait le droit de repartir avec un goodies siglé RCSA. Pour une pinte, ce sont les deux clubs régionaux qui se faisaient face sur le cylindre.

dna

Echos du 28 septembre
Hormis quelques coups sans réelle gravité, l’effectif du Racing est ressorti indemne du choc face aux SR Colmar (1-0), vendredi. Jacky Duguépéroux dispose donc d’un groupe au complet pour préparer le déplacement à Chambly.

   Touché à la cuisse gauche en début de rencontre, Jérémy Blayac a serré les dents pour continuer et tenir jusqu’au coup de sifflet final. Ce fut une bonne idée… Sa béquille l’a empêché de participer au premier entraînement de la semaine. Il réintégrera le groupe mercredi au plus tard.

   Victime d’une béquille lui aussi, Ladislas Douniama est resté aux soins ce lundi matin. Il sera de retour mercredi au plus tard.
   Averti lors de cet #Alsaclassico, Mayoro Ndoye devra purger un match de suspension lors du 5e tour de Coupe de France, le week-end du 10-11 octobre.

SO

Echos du 5 octobre

Après le succès à Chambly (2-0), vendredi, le Racing prépare désormais son entrée en Coupe de France, avec un déplacement dans le Haut-Rhin, à Holtzwihr-Wickerschwihr ce samedi (16h).

Massiré Kanté a purgé sa suspension, lors de la 9e journée de National. Le milieu défensif est donc de nouveau à la disposition de Jacky Duguépéroux.


Cela tombe bien, car Mayoro Ndoye manquera, lui, ce match de Coupe de France pour cause d’accumulation de cartons jaune.


Averti à Chambly, Jérémy Grimm loupera la 10e journée de National et la réception de Boulogne-sur-Mer à la Meinau, vendredi 16 octobre (20h).


Trois joueurs (Yannick Aguemon, Olivier Blondel et Jean-Philippe Sabo) ont disputé la rencontre de la réserve du Racing, samedi, face à Raon l’Etape. Ces renforts n’ont pas empêché la réserve de concéder la défaite (0-1), sur sa pelouse.

SO

Blayac, joueur du mois de septembre


Jérémy Blayac a été élu joueur du mois de septembre, par les internautes du Site Officiel du RCSA. L’attaquant du Racing, auteur de 4 buts depuis le début de la saison, a recueilli 40% des suffrages, devançant Abdallah N’Dour (19%) et Alexandre Oukidja (13%). Buteur décisif contre Colmar (1-0), lors de l’Alsaclassico, il est le premier joueur du mois de cette saison 2015/2016

RESULTATS COMPLETS

   Jérémy BLAYAC ⇒ 272 votes (40%)
   Abdallah N’DOUR ⇒126 votes (19%)
   Alexandre OUKIDJA ⇒ 110 votes (16%)
   Abdelhak BELAHMEUR ⇒ 89 votes (13%)
   Dimitri LIENARD ⇒ 36 votes (5%)
   Mayoro NDOYE ⇒ 23 votes (3%)
   Ladislas DOUNIAMA ⇒ 19 votes (3%)

SO

Echos du 12 octobre

Après la qualification en Coupe de France, samedi, Jacky Duguépéroux a retrouvé ses troupes ce lundi sur les terrains d’entraînement. Le coach du Racing sait d’ores et déjà qu’il sera privé de deux joueurs vendredi pour la réception de Boulogne-sur-Mer.

Forfait pour le match de Coupe de France en raison d’une tendinite, Jean-Philippe Sabo reprendra la course en milieu de semaine. Une décision quant à sa participation à la rencontre de ce week-end sera prise jeudi.

A l’arrêt depuis quelques jours, et victime d’une lésion à l’aponévrose de l’ischio-jambier droit, Yannick Aguemon est forfait pour le match contre l’USBCO.

Averti à trois reprises lors des derniers matches, Jérémy Grimm devra purger un match de suspension à l’occasion de cette 10e journée de National

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Sabo et Aguémon de retour
Les deux joueurs strasbourgeois étaient écartés des terrains pendant plusieurs jours suite à quelques pépins physiques. Jean-Philippe Sabo et Yannick Aguémon retrouvent enfin le chemin de l’entrainement dès cette semaine.

Bonne nouvelle pour l’entraineur du Racing qui pourra à nouveau compter sur ses deux milieux de terrain. Pas certain qu’ils soient titularisés face à Kronenbourg ce dimanche lors du sixième tour de la Coupe de France.

Alsa'sport

http://www.dna.fr/actualite/2015/10/19/video-les-25-ans-des-ub-90

Le RC Strasbourg trop souvent sanctionné Quand le Racing cartonne
C’est l’un des curieux travers du RCS depuis le début de saison : sa récolte d’avertissements conduit Jacky Duguépéroux à un coaching particulier et son onze à être modifié par la force des choses.
Cela sera encore le cas ce week-end, dans le derby face à Kronenbourg en Coupe de France. Jérémy Blayac et Abdallah Ndour ne seront pas de la partie pour une suspension liée à une accumulation de cartons jaunes, comme Grimm, Ndoye, Kante ou encore Lienard depuis le début de saison des Strasbourgeois. En l’occurrence, faire l’impasse sur le rendez-vous qui opposera les Bleus à un club d’Excellence n’apparaît pas comme le regret du siècle.

L’attaquant et le latéral gauche ont d’ailleurs peut-être cherché la biscotte, lors du tour précédent, à Holtzwihr-Wickerschwihr, pour pouvoir aborder la suite de leur championnat avec un casier disciplinaire vierge d’avertissements. Rappelons que dans les compétitions gérées par la FFF, une accumulation de trois cartons jaunes dans une période de trois mois conduit à une suspension d’une rencontre.

Mais au-delà de la gestion subtile liée à un système un peu pervers pour les cas Ndour et Blayac, le Racing, depuis le début de saison, fait un carton en matière de… cartons.
Il n’a pas achevé le moindre match sans que l’arbitre ne mette au moins une fois la main à la poche contre l’un de ses joueurs et domine le National de la tête et des épaules en la matière, avec 26 jaunes en championnat, quand ses trois dauphins, Luçon, Avranches et Marseille Consolat, sont à une distance respectables avec 22 jaunes. On remarquera aussi que la bande à “Dugué” a accumulé le double d’avertissements de Boulogne.

« Il faut que l’on soit un peu plus malin »
Il y aurait donc un particularisme strasbourgeois en la matière. Mayoro Ndoye, le garçon qui a vu jaune à cinq reprises, a du mal à trouver une explication. « Je n’ai pas l’impression que les arbitres sont sévères, les jaunes que j’ai eus, c’était normal et c’était un peu par hasard, indique le milieu sénégalais. Ce n’est pas non plus lié aux consignes, même si on sait qu’il faut gagner les duels. »

Souvent désigné coupable, le comparse de Jérémy Grimm, dans un rôle exposé, ne conteste donc pas le jugement arbitral. Même s’il a parfois sollicité la discussion avec l’homme en noir, notamment à domicile, l’entraîneur, Jacky Duguépéroux, ne tombe pas dans la paranoïa.
« Je n’ai pas l’impression que cela a changé par rapport à la saison dernière, souligne-t-il, quand Jean-Philippe Sabo a reçu des cartons rouges qu’il ne méritait pas (à Chambly ou à Colmar, ndlr). Non, il faut surtout faire attention aux jaunes évitables, comme ceux que l’on récolte en raison de fautes à soixante ou soixante-dix mètres de notre but. »

En la matière, les joueurs qui se sacrifient pour éviter que l’adversaire ne déclenche l’action sont priés d’être moins virulents. « Je songe notamment à Jérémy Grimm, qui manque parfois de maîtrise dans ses tacles, poursuit coach “Dugué”. J’apprécie que l’on ne soit pas sanctionné pour des discussions, mais il faut que l’on soit un peu plus malin. » Pour l’heure, les absences pour suspension n’ont pas prêté à conséquence, le Racing réussissant « à gérer avec la Coupe. »
Mais la collection de sanctions administratives n’est pas anodine.
« Sur le cycle retour de la saison passée, on n’avait pas ce type de problème, rappelle Jacky Duguépéroux, qui a dû prendre en considération le regard de l’arbitre sur un joueur dans son coaching, à Épinal et à Chambly en particulier où Massiré Kante et Jérémy Blayac ont été remplacés pour éviter le rouge. Après, les arbitres sont parfois dans une dérive : ils sortent un carton et après ils n’arrêtent pas. »

À Dunkerque, face à Colmar ou à Chambly, plus du tiers de l’équipe a fini la rencontre avec une auréole jaune au-dessus de la tête.

« Un certain nombre de cartons sont évitables », conclut l’entraîneur du RCS, qui a au moins la satisfaction de voir ses joueurs ne franchir que rarement la ligne rouge, à deux reprises (Aguemon à Dunkerque, Seka face à Orléans), quand des concurrents du National ont une tendance manifeste à finir en infériorité numérique – Dunkerque, Chambly, Épinal et le CA Bastia en sont à cinq expulsions dans leur championnat.

Et il apparaît comme une évidence que terminer au complet est déjà un bon début pour espérer gagner.
DNA

les échos du Racing
Le Racing, hyper réaliste, n’est plus qu’à une longueur de la tête du championnat.

SANS BAHOKEN. – Stéphane Bahoken devait faire partie du groupe en déplacement à Châteauroux. Mais l’attaquant n’avait pas ses papiers au moment de s’envoler pour Paris et il a finalement été remplacé au pied levé par Yannick Aguemon.

SUPPORTEURS. – En mai 2010, les supporteurs strasbourgeois avaient tout cassé dans le parcage visiteurs de Gaston-Petit, après la relégation de leur équipe de L2 en National. Vendredi soir, les 200 Alsaciens présents ont préféré fêter : les 25 ans des UB (encore et toujours) d’abord, et la victoire du Racing ensuite.

LA GUEULANTE DE “DUGUÉ”. – Juste avant le dernier quart d’heure, Dugué a poussé une gueulante qui a retenti dans tous les gradins de Gaston-Petit. La raison ? Felipe Saad venait de prendre un jaune pour avoir tardé à faire une touche. « Je voulais que ça soit Ndoye qui perde du temps et prenne jaune, pour pouvoir purger sa suspension en Coupe de France », a expliqué l’entraîneur après coup. Raté…

SYSTÈME. – En manque de points et de confiance, la Berrichonne cherche toujours la bonne formule. Après avoir joué depuis le début de saison en 3-5-2, Cédric Daury était repassé en 4-4-2 pour le match face au Racing. Un changement qui n’a… rien changé, Châteauroux étant toujours à la recherche d’un premier succès à domicile.

DEDANS OU PAS ? – La tête de Jérémy Blayac, à la 48e , a-t-elle franchi la ligne, avant d’être repoussée par Roche ? La question reste ouverte. « Il faudrait la goal-line technology », en a rigolé Eric Marester le lendemain. Jérémy Blayac, lui, s’interrogeait toujours. « Je ne sais vraiment pas comment il a pu la sortir. »
DNA

Salut l'ami,

Je profite de cette tribune pour donner mes impressions après la victoire contre Châteauroux.
Comme tu l'as dit seule la victoire est importante, mais il reste des zones d'ombre et des interrogations.
L'équipe est solide c'est indéniable et elle inspire le respect à l'adversaire, ce qui n'est pas négligeable.
Sur le jeu déployé je suis plus mitigé, mon avis n'a pas changé, je reste sur ma faim. Dugué a en 1ère mi-temps
opéré un changement que la plupart n'a pas remarqué, il a repositionné Dounamia, Pouye et Lienard dans le dernier
quart d'heure, shéma qu'il a renouvelé en seconde période pour le plus grand bien de la suite.
Liénart a été avec Blayac et N'Doye le meilleur alsacien, il a clairement démontré qu'il était indispensable.
Pouye, inexistant en 1ère mi-temps, s'est repris en seconde quand il a opéré en ailier, tandis que Douniama
a été transparent de bout en bout.
La défense a eu quelques faiblesses mais a en gros maîtrisé un sujet qui était loin d'être ridicule.
Grimm a alterné le bon et le moins bon, Kanté m'a plu.
Sur ce match mes déceptions étaient Pouye, Douniama et N'Dour dans une moindre mesure.
Je ne suis pas sûr ( j'espère me tromper ) que Pouye soit la bonne pioche qu'on espérait, tant au niveau du jeu que du reste. Il s'est quand-même permis ( ça s'entendait à a TV ) de rabrouer Dugué : " laissez- nous jouer ".
Ce n'est pas à Gress qu'on aurait fait ça. Tout est dit.

Salut Pekser
T'on analyse et correct, pour la remarque avec Gress il regarderait le prochain match de la tribune, pour ce qui est de l'équipe si le racing monte en L2 il faudra revoir pas mal de chose en ce qui concerne l'équipe, pour moi il faudra la changer à 60 %

Je le pense aussi.