28ème journée: Caen-Strasbourg
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28ème journée: Caen-Strasbourg
Stade Malherbe Caen-Racing le dimanche 4 mars à 15 heures
La rencontre entre le Stade Malherbe Caen et le Racing se déroulera au stade Michel-d’Ornano le dimanche 4 mars à 15 heures et sera diffusée sur BeIN SPORTS.
SO
La rencontre entre le Stade Malherbe Caen et le Racing se déroulera au stade Michel-d’Ornano le dimanche 4 mars à 15 heures et sera diffusée sur BeIN SPORTS.
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Da Costa de nouveau absent à Caen
Déjà forfait mercredi à Beauvais lors de l’élimination du Racing en quart de finale de la Coupe de France contre Chambly (1-0), l’attaquant strasbourgeois Nuno Da Costa, qui souffre d’une inflammation à l’adducteur, ne sera pas non plus du déplacement à Caen ce dimanche (15h) pour la 28e journée de Ligue 1. Son entraîneur Thierry Laurey n’entend pas prendre de risque avec lui.
En revanche, le milieu gauche Dimitri Lienard, ménagé dans l’Oise pour quelques douleurs musculaires, s’est entraîné normalement ce matin avec le groupe alsacien sur le terrain synthétique de la Musau et est opérationnel.
dna
Déjà forfait mercredi à Beauvais lors de l’élimination du Racing en quart de finale de la Coupe de France contre Chambly (1-0), l’attaquant strasbourgeois Nuno Da Costa, qui souffre d’une inflammation à l’adducteur, ne sera pas non plus du déplacement à Caen ce dimanche (15h) pour la 28e journée de Ligue 1. Son entraîneur Thierry Laurey n’entend pas prendre de risque avec lui.
En revanche, le milieu gauche Dimitri Lienard, ménagé dans l’Oise pour quelques douleurs musculaires, s’est entraîné normalement ce matin avec le groupe alsacien sur le terrain synthétique de la Musau et est opérationnel.
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
« Une année riche »
Même s’il n’a pas très bien vécu, à l’époque, son prêt au Racing en 2004-2005, Rémy Vercoutre, le portier du Stade Malherbe de Caen qui reçoit les Bleus dimanche (15h) en Ligue 1, assure ne garder que de bons souvenirs de son année strasbourgeoise, ponctuée par le sacre en Coupe de la Ligue.
Il n’a pas participé avant-hier à la qualification de Caen contre Lyon pour les demi-finales de la Coupe de France (1-0). “Victime” du turnover pratiqué en Coupe, Rémy Vercoutre a fait banquette. « J’ai joué le 32e de finale juste après la trêve des confiseurs (2-0 à Hazebrouck) et juste avant la reprise en Ligue 1. Ensuite, Brice Samba a été titularisé et a été pour beaucoup dans nos qualifications (il a arrêté deux tirs au but au Canet-en-Roussillon en 16es de finale, puis quatre à Metz en 8es ). Il méritait de jouer et a encore été décisif contre Lyon. À Strasbourg, j’ai bénéficié de ce roulement à l’époque, puisque j’ai remporté la Coupe de la Ligue 2005 (2-1 face à… Caen le 30 avril au Stade de France). Mais évidemment que j’aurais aimé jouer contre mon ancien club. »
À 37 ans, celui qui fut un éphémère gardien du Racing croque à pleines dents dans les dernières années d’une carrière atypique.
« J’ai toujours tendance à voir le verre à moitié plein »
Jusqu’à son unique saison complète avec l’OL (2012-2013), alors qu’il avait déjà fêté ses 32 printemps, il n’affichait que 60 matches de Ligue 1 au compteur. Depuis 2012, il en a ajouté près du triple (172). Le Nordiste vit sa quatrième saison pleine en Normandie. Mais l’ex-doublure lyonnaise n’a aucun regret d’être resté si longtemps dans l’ombre.
« J’en aurais si je n’avais pas connu cette période caennaise qui me permet de jouer et prendre un énorme plaisir. J’ai toujours tendance à voir le verre à moitié plein. Dans ma carrière, j’aurai eu la chance d’être doublure dans un grand club, puis titulaire dans un club plus modeste. Ce qui m’arrive aujourd’hui me permet de pallier la frustration que j’aurais ressentie si je m’étais contenté jusqu’à la retraite de quelques matches par saison. Quand je suis arrivé à Caen en 2014 pour m’impliquer dans un autre projet et apporter mon expérience, il y avait une certaine pression, car le Stade Malherbe avait envie de s’inscrire dans la durée en L1 et d’en finir avec sa réputation de club condamné à faire l’ascenseur. Ça fait plus de 20 ans qu’il n’a pas réussi à se maintenir quatre années de suite. Aujourd’hui, nous en sommes à notre quatrième saison d’affilée. On est vraiment en train de faire quelque chose de bien. Caen grandit. Je participe à quelque chose de concret. C’est génial. »
Même s’il a gardé son caractère bien trempé, témoin son expulsion contre Lille le 13 janvier (0-1) pour une réaction épidermique envers le buteur lillois Nicolas Pépé – « Honnêtement, je ne pense pas que ça méritait rouge, mais ça prouve qu’à 37 ans, on peut toujours avoir le sang un peu chaud », se marre-t-il –, Rémy Vercoutre assure avoir arrondi les angles.
Ainsi, avec le recul, juge-t-il avec bienveillance son prêt à Strasbourg, en 2004-2005, où il avoue volontiers que « tout n’a pas été rose. Après deux ans comme n°2 à Lyon, je suis venu au Racing à la demande d’Antoine Kombouaré, dans l’optique de jouer. On m’a alors dit : “On n’a jamais vraiment remplacé Alexander Vencel.” Je dispute les quatre premiers matches, puis je me fracture le cinquième métatarse. Stéphane Cassard me remplace. Quand je suis rétabli, Antoine a été viré. Jacky Duguépéroux, qui lui a succédé, est très clair avec moi : “Stéphane a été performant. Tant qu’il le restera, il jouera.” Et Stéphane a réalisé une très belle saison. »
« Ça m’a mis du plomb dans la tête »
De titulaire adoubé, le voilà remplaçant. Ses relations avec Stéphane Cassard se tendent. « L’imbroglio vient du fait que j’avais été recruté par Antoine pour jouer et qu’après son départ et à cause d’une blessure, j’ai perdu ma place , n’élude-t-il pas. Je l’ai mal vécu. Mais j’étais jeune et je m’étais mis beaucoup trop de pression. »
Devenu deuxième choix en L1, il est en revanche n°1 en Coupe. Son prêt s’achève ainsi en apothéose. « Cette expérience à Strasbourg m’a enrichi et mis du plomb dans la tête. J’ai vécu une année très riche, avec le sacre en Coupe de la Ligue au bout. Je n’en garde que de bons souvenirs et des liens d’amitié en Alsace. J’ai été très content de revenir à la Meinau à l’aller (0-0 le 28 novembre) et de retrouver beaucoup de gens que je connaissais. »
dna
Même s’il n’a pas très bien vécu, à l’époque, son prêt au Racing en 2004-2005, Rémy Vercoutre, le portier du Stade Malherbe de Caen qui reçoit les Bleus dimanche (15h) en Ligue 1, assure ne garder que de bons souvenirs de son année strasbourgeoise, ponctuée par le sacre en Coupe de la Ligue.
Il n’a pas participé avant-hier à la qualification de Caen contre Lyon pour les demi-finales de la Coupe de France (1-0). “Victime” du turnover pratiqué en Coupe, Rémy Vercoutre a fait banquette. « J’ai joué le 32e de finale juste après la trêve des confiseurs (2-0 à Hazebrouck) et juste avant la reprise en Ligue 1. Ensuite, Brice Samba a été titularisé et a été pour beaucoup dans nos qualifications (il a arrêté deux tirs au but au Canet-en-Roussillon en 16es de finale, puis quatre à Metz en 8es ). Il méritait de jouer et a encore été décisif contre Lyon. À Strasbourg, j’ai bénéficié de ce roulement à l’époque, puisque j’ai remporté la Coupe de la Ligue 2005 (2-1 face à… Caen le 30 avril au Stade de France). Mais évidemment que j’aurais aimé jouer contre mon ancien club. »
À 37 ans, celui qui fut un éphémère gardien du Racing croque à pleines dents dans les dernières années d’une carrière atypique.
« J’ai toujours tendance à voir le verre à moitié plein »
Jusqu’à son unique saison complète avec l’OL (2012-2013), alors qu’il avait déjà fêté ses 32 printemps, il n’affichait que 60 matches de Ligue 1 au compteur. Depuis 2012, il en a ajouté près du triple (172). Le Nordiste vit sa quatrième saison pleine en Normandie. Mais l’ex-doublure lyonnaise n’a aucun regret d’être resté si longtemps dans l’ombre.
« J’en aurais si je n’avais pas connu cette période caennaise qui me permet de jouer et prendre un énorme plaisir. J’ai toujours tendance à voir le verre à moitié plein. Dans ma carrière, j’aurai eu la chance d’être doublure dans un grand club, puis titulaire dans un club plus modeste. Ce qui m’arrive aujourd’hui me permet de pallier la frustration que j’aurais ressentie si je m’étais contenté jusqu’à la retraite de quelques matches par saison. Quand je suis arrivé à Caen en 2014 pour m’impliquer dans un autre projet et apporter mon expérience, il y avait une certaine pression, car le Stade Malherbe avait envie de s’inscrire dans la durée en L1 et d’en finir avec sa réputation de club condamné à faire l’ascenseur. Ça fait plus de 20 ans qu’il n’a pas réussi à se maintenir quatre années de suite. Aujourd’hui, nous en sommes à notre quatrième saison d’affilée. On est vraiment en train de faire quelque chose de bien. Caen grandit. Je participe à quelque chose de concret. C’est génial. »
Même s’il a gardé son caractère bien trempé, témoin son expulsion contre Lille le 13 janvier (0-1) pour une réaction épidermique envers le buteur lillois Nicolas Pépé – « Honnêtement, je ne pense pas que ça méritait rouge, mais ça prouve qu’à 37 ans, on peut toujours avoir le sang un peu chaud », se marre-t-il –, Rémy Vercoutre assure avoir arrondi les angles.
Ainsi, avec le recul, juge-t-il avec bienveillance son prêt à Strasbourg, en 2004-2005, où il avoue volontiers que « tout n’a pas été rose. Après deux ans comme n°2 à Lyon, je suis venu au Racing à la demande d’Antoine Kombouaré, dans l’optique de jouer. On m’a alors dit : “On n’a jamais vraiment remplacé Alexander Vencel.” Je dispute les quatre premiers matches, puis je me fracture le cinquième métatarse. Stéphane Cassard me remplace. Quand je suis rétabli, Antoine a été viré. Jacky Duguépéroux, qui lui a succédé, est très clair avec moi : “Stéphane a été performant. Tant qu’il le restera, il jouera.” Et Stéphane a réalisé une très belle saison. »
« Ça m’a mis du plomb dans la tête »
De titulaire adoubé, le voilà remplaçant. Ses relations avec Stéphane Cassard se tendent. « L’imbroglio vient du fait que j’avais été recruté par Antoine pour jouer et qu’après son départ et à cause d’une blessure, j’ai perdu ma place , n’élude-t-il pas. Je l’ai mal vécu. Mais j’étais jeune et je m’étais mis beaucoup trop de pression. »
Devenu deuxième choix en L1, il est en revanche n°1 en Coupe. Son prêt s’achève ainsi en apothéose. « Cette expérience à Strasbourg m’a enrichi et mis du plomb dans la tête. J’ai vécu une année très riche, avec le sacre en Coupe de la Ligue au bout. Je n’en garde que de bons souvenirs et des liens d’amitié en Alsace. J’ai été très content de revenir à la Meinau à l’aller (0-0 le 28 novembre) et de retrouver beaucoup de gens que je connaissais. »
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Grimm n’est pas du voyage à Caen
A l’issue de la séance de veille de match qui vient de s’achever, l’entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey a annoncé que Jérémy Grimm, capitaine mercredi à Beauvais contre Chambly en Coupe de France (élimination 0-1), ne figurait pas dans le groupe qui se déplace à Caen demain (15h) pour la 28e journée de Ligue 1.
C’est un petit événement : même s’il joue peu cette saison, Jérémy Grimm, qui avait toujours figuré dans le groupe strasbourgeois, tant en Ligue 1 que dans les deux Coupes (de France et de la Ligue), ne partira pas dans quelques minutes avec les Bleus pour Caen où les attend demain (15h) leur match de la 28e journée de championnat.
Après une séance très courte sur une partie réduite du terrain annexe déblayée à la hâte d’un manteau neigeux de 2 à 3 centimètres, Thierry Laurey a extrait trois joueurs du groupe de 21 qui y avait participé : Jérémy Grimm donc, qui portait le brassard mercredi à Beauvais contre Chambly en quart de finale de Coupe de France (élimination 0-1), le jeune défenseur Ismaël Aaneba et le 3e gardien Landry Bonnefoi. Ménagé durant deux jours à cause d’un genou gonflé, le milieu droit Anthony Gonçalves est, lui, bien du voyage en Normandie.
Abdallah Ndour, Kevin Zohi, Moataz Zemzemi, Duplexe Tchamba et Anthony Caci ont de leur côté été envoyés en réserve qui joue en ce moment même en National 3 à Prix-les-Mézières. Kader Mangane (quadriceps) et Nuno Da Costa (adducteur) sont forfait.
Seul changement en fait dans le groupe battu à Beauvais : la sortie de Grimm et le retour de Dimitri Lienard, ménagé dans l’Oise pour des petites douleurs musculaires.
Si les Strasbourgeois se sont contentés d’un petit ‘’toro’’ sous les flocons cet après-midi, leur entraîneur avait, hier sur le gazon synthétique de la Musau, travaillé un schéma à trois défenseurs centraux, inédit cette saison : Salmier, Koné, Martinez. Sans doute pour tenter de museler les grands gabarits de l’attaque caennaise, Enzo Crivelli (prêté par Angers durant le mercato d’hiver), Ivan Santini (8 buts, 1 passe) et Ronny Rodelin (5 buts, 4 passes).
L’équipe possible : Oukidja – Foulquier, Salmier, Koné, Martinez, Lala – Martin, Aholou, Lienard – Bahoken, Terrier. Remplaçants : Seka, Gonçalves, Nogueira, Corgnet, Saadi, Blayac, Kamara (g).
dna
A l’issue de la séance de veille de match qui vient de s’achever, l’entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey a annoncé que Jérémy Grimm, capitaine mercredi à Beauvais contre Chambly en Coupe de France (élimination 0-1), ne figurait pas dans le groupe qui se déplace à Caen demain (15h) pour la 28e journée de Ligue 1.
C’est un petit événement : même s’il joue peu cette saison, Jérémy Grimm, qui avait toujours figuré dans le groupe strasbourgeois, tant en Ligue 1 que dans les deux Coupes (de France et de la Ligue), ne partira pas dans quelques minutes avec les Bleus pour Caen où les attend demain (15h) leur match de la 28e journée de championnat.
Après une séance très courte sur une partie réduite du terrain annexe déblayée à la hâte d’un manteau neigeux de 2 à 3 centimètres, Thierry Laurey a extrait trois joueurs du groupe de 21 qui y avait participé : Jérémy Grimm donc, qui portait le brassard mercredi à Beauvais contre Chambly en quart de finale de Coupe de France (élimination 0-1), le jeune défenseur Ismaël Aaneba et le 3e gardien Landry Bonnefoi. Ménagé durant deux jours à cause d’un genou gonflé, le milieu droit Anthony Gonçalves est, lui, bien du voyage en Normandie.
Abdallah Ndour, Kevin Zohi, Moataz Zemzemi, Duplexe Tchamba et Anthony Caci ont de leur côté été envoyés en réserve qui joue en ce moment même en National 3 à Prix-les-Mézières. Kader Mangane (quadriceps) et Nuno Da Costa (adducteur) sont forfait.
Seul changement en fait dans le groupe battu à Beauvais : la sortie de Grimm et le retour de Dimitri Lienard, ménagé dans l’Oise pour des petites douleurs musculaires.
Si les Strasbourgeois se sont contentés d’un petit ‘’toro’’ sous les flocons cet après-midi, leur entraîneur avait, hier sur le gazon synthétique de la Musau, travaillé un schéma à trois défenseurs centraux, inédit cette saison : Salmier, Koné, Martinez. Sans doute pour tenter de museler les grands gabarits de l’attaque caennaise, Enzo Crivelli (prêté par Angers durant le mercato d’hiver), Ivan Santini (8 buts, 1 passe) et Ronny Rodelin (5 buts, 4 passes).
L’équipe possible : Oukidja – Foulquier, Salmier, Koné, Martinez, Lala – Martin, Aholou, Lienard – Bahoken, Terrier. Remplaçants : Seka, Gonçalves, Nogueira, Corgnet, Saadi, Blayac, Kamara (g).
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Un air de printemps ?
Le Racing se déplace cet après-midi à Michel-d’Ornano, pour y affronter le Stade Malherbe de Caen. Avec un objectif : prendre au moins un point sur le terrain de l’équipe normande.
Depuis le début de l’année, le Racing alterne le bon, le moyen et le moins bon.
Le bon, ce sont ces deux victoires décrochées à la Meinau, face à Dijon (3-2) et Troyes (2-1), adversaires directs dans la course au maintien en Ligue 1.
Le moyen, c’est ce point du nul, arraché face à Montpellier sur une pelouse quasiment impraticable (0-0), lors de la dernière sortie des Bleus à la Meinau.
Et le moins bon, ce sont ces défaites concédées à domicile – face à Bordeaux et Guingamp – ou à l’extérieur – on pense à Lille, Paris et Marseille étant au-dessus du lot – qui ont quelque peu terni le bilan alsacien de ces deux derniers mois.
Cet après-midi, en Normandie, le Racing a toutefois l’occasion de mettre fin à ce dur hiver et de donner à son bilan un petit air de renouveau printanier. Car un petit point seulement sépare ce matin le Stade Malherbe de Caen (13e , 32 points) du Racing Strasbourg (14e , 31 points).
« Une équipe pleine d’expérience, dure à manœuvrer »
L’occasion est donc belle, côté alsacien, de se rapprocher de son adversaire du jour. Voire même de le dépasser au classement, en cas de succès, et de s’offrir ainsi un petit bol d’air par rapport à la zone rouge.
« On vise le maintien et on va essayer de faire tout notre possible pour ramener des points, expose Thierry Laurey, le coach du Racing, à la veille de cette 28e journée. Il y a beaucoup d’équipes très proches au classement. À nous de profiter de chaque occasion pour prendre des points. »
Ceci une fois posé, reste aux Alsaciens à trouver les clés pour se défaire d’une équipe caennaise plus que solide.
Les hommes de Patrice Garande, pire attaque de Ligue 1, pointent actuellement à la 6e place des défenses du championnat (lire page suivante). Soit, peu ou prou, le reflet inverse d’une équipe strasbourgeoise plus prolifique devant, mais bien moins à l’aise quand il s’agit de défendre.
« On connaît les caractéristiques de cette équipe caennaise. Ce sont des grands gabarits, avec une belle présence dans la surface et une défense assez solide, souligne encore l’entraîneur alsacien. C’est une équipe pleine d’expérience, difficile à manœuvrer et il faudra vraiment faire attention, surtout qu’elle est sur une bonne lancée après sa victoire face à Lyon (1-0, en quart de finale de la Coupe de France). »
Et pour éviter tout excès de confiance, les Strasbourgeois peuvent aussi se remémorer le match aller. Fin novembre à la Meinau, la solidité caennaise avait pris le dessus sur la fougue de Terrier et consorts, lors d’un match où des Normands en manque d’efficacité avaient pu nourrir quelques regrets (0-0). « Au vu des occasions qu’ils ont eues, ils auraient dû l’emporter », reconnaît d’ailleurs volontiers Thierry Laurey.
Le Racing devra forcer sa nature, défensivement parlant
Mais à cette époque, le Stade Malherbe pointait à une épatante 6e place. Depuis début 2018, comme les Alsaciens, ils ont plus de peine à enchaîner les bons résultats. « Actuellement, ils ont plus de mal en championnat, mais ils ont fait un bon match contre Nantes par exemple (victoire 3-2, le 4 février, ndlr). Et c’est une équipe qui est capable de verrouiller une fois qu’elle a marqué. À nous de ne pas les laisser faire la course en tête. »
Et pour y arriver, le Racing devra forcer sa nature, défensivement parlant. « On a souvent fait preuve de trop de largesses défensives, énumère Thierry Laurey. On a parfois gâché des rencontres à cause d’erreurs techniques et d’un manque de concentration. Mais au niveau de l’état d’esprit, je n’ai rien à redire. Les joueurs ont toujours donné le meilleur d’eux-mêmes. »
Cet après-midi, en Normandie, il faudra donc garder un mental d’acier, tout en « resserrant les boulons » (dixit Laurey) pour ne pas se faire piéger par une expérimentée équipe caennaise.
dna
Le Racing se déplace cet après-midi à Michel-d’Ornano, pour y affronter le Stade Malherbe de Caen. Avec un objectif : prendre au moins un point sur le terrain de l’équipe normande.
Depuis le début de l’année, le Racing alterne le bon, le moyen et le moins bon.
Le bon, ce sont ces deux victoires décrochées à la Meinau, face à Dijon (3-2) et Troyes (2-1), adversaires directs dans la course au maintien en Ligue 1.
Le moyen, c’est ce point du nul, arraché face à Montpellier sur une pelouse quasiment impraticable (0-0), lors de la dernière sortie des Bleus à la Meinau.
Et le moins bon, ce sont ces défaites concédées à domicile – face à Bordeaux et Guingamp – ou à l’extérieur – on pense à Lille, Paris et Marseille étant au-dessus du lot – qui ont quelque peu terni le bilan alsacien de ces deux derniers mois.
Cet après-midi, en Normandie, le Racing a toutefois l’occasion de mettre fin à ce dur hiver et de donner à son bilan un petit air de renouveau printanier. Car un petit point seulement sépare ce matin le Stade Malherbe de Caen (13e , 32 points) du Racing Strasbourg (14e , 31 points).
« Une équipe pleine d’expérience, dure à manœuvrer »
L’occasion est donc belle, côté alsacien, de se rapprocher de son adversaire du jour. Voire même de le dépasser au classement, en cas de succès, et de s’offrir ainsi un petit bol d’air par rapport à la zone rouge.
« On vise le maintien et on va essayer de faire tout notre possible pour ramener des points, expose Thierry Laurey, le coach du Racing, à la veille de cette 28e journée. Il y a beaucoup d’équipes très proches au classement. À nous de profiter de chaque occasion pour prendre des points. »
Ceci une fois posé, reste aux Alsaciens à trouver les clés pour se défaire d’une équipe caennaise plus que solide.
Les hommes de Patrice Garande, pire attaque de Ligue 1, pointent actuellement à la 6e place des défenses du championnat (lire page suivante). Soit, peu ou prou, le reflet inverse d’une équipe strasbourgeoise plus prolifique devant, mais bien moins à l’aise quand il s’agit de défendre.
« On connaît les caractéristiques de cette équipe caennaise. Ce sont des grands gabarits, avec une belle présence dans la surface et une défense assez solide, souligne encore l’entraîneur alsacien. C’est une équipe pleine d’expérience, difficile à manœuvrer et il faudra vraiment faire attention, surtout qu’elle est sur une bonne lancée après sa victoire face à Lyon (1-0, en quart de finale de la Coupe de France). »
Et pour éviter tout excès de confiance, les Strasbourgeois peuvent aussi se remémorer le match aller. Fin novembre à la Meinau, la solidité caennaise avait pris le dessus sur la fougue de Terrier et consorts, lors d’un match où des Normands en manque d’efficacité avaient pu nourrir quelques regrets (0-0). « Au vu des occasions qu’ils ont eues, ils auraient dû l’emporter », reconnaît d’ailleurs volontiers Thierry Laurey.
Le Racing devra forcer sa nature, défensivement parlant
Mais à cette époque, le Stade Malherbe pointait à une épatante 6e place. Depuis début 2018, comme les Alsaciens, ils ont plus de peine à enchaîner les bons résultats. « Actuellement, ils ont plus de mal en championnat, mais ils ont fait un bon match contre Nantes par exemple (victoire 3-2, le 4 février, ndlr). Et c’est une équipe qui est capable de verrouiller une fois qu’elle a marqué. À nous de ne pas les laisser faire la course en tête. »
Et pour y arriver, le Racing devra forcer sa nature, défensivement parlant. « On a souvent fait preuve de trop de largesses défensives, énumère Thierry Laurey. On a parfois gâché des rencontres à cause d’erreurs techniques et d’un manque de concentration. Mais au niveau de l’état d’esprit, je n’ai rien à redire. Les joueurs ont toujours donné le meilleur d’eux-mêmes. »
Cet après-midi, en Normandie, il faudra donc garder un mental d’acier, tout en « resserrant les boulons » (dixit Laurey) pour ne pas se faire piéger par une expérimentée équipe caennaise.
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Caen, pas à pas
Après s’être sauvé la saison passée à la 91e minute du dernier match à Paris (1-1), le Stade Malherbe aspire à renouveler au plus vite son bail en Ligue 1.
C’était le 28 novembre : Caen débarquait à la Meinau pour la 15e journée de Ligue 1 dans un costume de – presque – cador. Le Stade Malherbe était alors 6e , avec 22 points, 8 de plus que le promu strasbourgeois.
Ce soir-là, le gardien Rémy Vercoutre, Racingman lors de la saison 2004-2005 (le gardien était alors prêté par Lyon), et ses partenaires baladent les Bleus, sans trouver la faille.
« L’heure de vérité, c’est maintenant »
Le Racing s’en tire avec un nul sans encaisser le moindre but. Un moindre mal pour lui, mais une grosse frustration pour les joueurs de Patrice Garande.
Trois gros mois plus tard, l’heure du deuxième round a sonné. Les deux clubs ne sont plus séparés que d’une unité. La 20e attaque (20 buts inscrits) accueille la 18e défense (47 buts encaissés), avec l’envie de creuser l’écart non pas sur son visiteur du jour, mais sur la zone rouge. Car le Stade Malherbe a considérablement décéléré depuis le nul de l’aller (9 points en 12 journées).
Encore 6e après son passage à la Meinau, il a reculé au 13e rang, mais garde son sang-froid, à en croire Rémy Vercoutre.
« Nous ne sommes pas inquiets, mais conscients qu’un maintien se construit journée après journée. Nous avons réalisé un très bon début de saison, mais savions qu’à un moment, ça allait se compliquer. Ces derniers temps, nous avons rencontré des équipes de la partie haute du classement. »
« Là, nous revenons dans notre “vrai” championnat, avec pas mal de confrontations directes, rappelle le gardien de 37 ans. En 2016-2017, nous avons décroché notre maintien à la 91e minute de la 38e et dernière journée à Paris (1-1). Ça nous a durci le cuir. Pour l’instant, nous sommes dans les clous et prêts à batailler jusqu’au bout. Nous nous soucions moins de la position du Racing que de celle des équipes classées derrière lui. Mais il est évident qu’une victoire contre Strasbourg nous offrirait un ou deux jokers. Dans tous les cas, l’heure de vérité, c’est maintenant. Le dernier tiers de la saison sera décisif. C’est là qu’il faut être régulier. Nous sommes sereins et concentrés là-dessus. »
L’expérimenté dernier rempart caennais s’attend tout à l’heure « à une belle bagarre. Le match aller a été très frustrant et nous a laissé un goût d’inachevé en bouche. Mais nous avions tout de même pris un point dans une période où nous n’avons pas suffisamment capitalisé sur nos bonnes prestations ».
« Le parcours du Racing est assez similaire au nôtre »
« À cause de notre manque d’efficacité, nous avons parfois dû nous contenter de nuls ou perdu lors de rencontres que nous avons dominées, souligne le natif de Grande-Synthe, formé à Montpellier. Depuis quelques semaines, nous marquons plus, mais avons un peu perdu notre solidité. En cherchant à trop marquer, nous nous déséquilibrons parfois. Je trouve que ce constat correspond aussi au Racing. Il a surfé sur sa double montée et a d’entrée affichée sa fraîcheur. Il va de l’avant, marque, mais n’a pas encore trouvé de stabilité défensive. Son parcours est assez similaire au nôtre. La preuve, un seul point nous sépare. Notre avantage, c’est que nous avons plus l’habitude que lui de lutter pour le maintien. »
dna
Après s’être sauvé la saison passée à la 91e minute du dernier match à Paris (1-1), le Stade Malherbe aspire à renouveler au plus vite son bail en Ligue 1.
C’était le 28 novembre : Caen débarquait à la Meinau pour la 15e journée de Ligue 1 dans un costume de – presque – cador. Le Stade Malherbe était alors 6e , avec 22 points, 8 de plus que le promu strasbourgeois.
Ce soir-là, le gardien Rémy Vercoutre, Racingman lors de la saison 2004-2005 (le gardien était alors prêté par Lyon), et ses partenaires baladent les Bleus, sans trouver la faille.
« L’heure de vérité, c’est maintenant »
Le Racing s’en tire avec un nul sans encaisser le moindre but. Un moindre mal pour lui, mais une grosse frustration pour les joueurs de Patrice Garande.
Trois gros mois plus tard, l’heure du deuxième round a sonné. Les deux clubs ne sont plus séparés que d’une unité. La 20e attaque (20 buts inscrits) accueille la 18e défense (47 buts encaissés), avec l’envie de creuser l’écart non pas sur son visiteur du jour, mais sur la zone rouge. Car le Stade Malherbe a considérablement décéléré depuis le nul de l’aller (9 points en 12 journées).
Encore 6e après son passage à la Meinau, il a reculé au 13e rang, mais garde son sang-froid, à en croire Rémy Vercoutre.
« Nous ne sommes pas inquiets, mais conscients qu’un maintien se construit journée après journée. Nous avons réalisé un très bon début de saison, mais savions qu’à un moment, ça allait se compliquer. Ces derniers temps, nous avons rencontré des équipes de la partie haute du classement. »
« Là, nous revenons dans notre “vrai” championnat, avec pas mal de confrontations directes, rappelle le gardien de 37 ans. En 2016-2017, nous avons décroché notre maintien à la 91e minute de la 38e et dernière journée à Paris (1-1). Ça nous a durci le cuir. Pour l’instant, nous sommes dans les clous et prêts à batailler jusqu’au bout. Nous nous soucions moins de la position du Racing que de celle des équipes classées derrière lui. Mais il est évident qu’une victoire contre Strasbourg nous offrirait un ou deux jokers. Dans tous les cas, l’heure de vérité, c’est maintenant. Le dernier tiers de la saison sera décisif. C’est là qu’il faut être régulier. Nous sommes sereins et concentrés là-dessus. »
L’expérimenté dernier rempart caennais s’attend tout à l’heure « à une belle bagarre. Le match aller a été très frustrant et nous a laissé un goût d’inachevé en bouche. Mais nous avions tout de même pris un point dans une période où nous n’avons pas suffisamment capitalisé sur nos bonnes prestations ».
« Le parcours du Racing est assez similaire au nôtre »
« À cause de notre manque d’efficacité, nous avons parfois dû nous contenter de nuls ou perdu lors de rencontres que nous avons dominées, souligne le natif de Grande-Synthe, formé à Montpellier. Depuis quelques semaines, nous marquons plus, mais avons un peu perdu notre solidité. En cherchant à trop marquer, nous nous déséquilibrons parfois. Je trouve que ce constat correspond aussi au Racing. Il a surfé sur sa double montée et a d’entrée affichée sa fraîcheur. Il va de l’avant, marque, mais n’a pas encore trouvé de stabilité défensive. Son parcours est assez similaire au nôtre. La preuve, un seul point nous sépare. Notre avantage, c’est que nous avons plus l’habitude que lui de lutter pour le maintien. »
dna
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Une défense à trois centraux ?
Thierry Laurey le disait hier : « Sur les matches qui restent, il ne sera pas possible d’encaisser autant de buts qu’on en a encaissés jusque-là. » Pour continuer à imperméabiliser une défense trop poreuse (après le 0-0 contre Montpellier), l’entraîneur du Racing va-t-il pour la première fois de la saison opter pour un schéma à trois défenseurs axiaux ?
C’est en tout cas ce système qu’il a travaillé vendredi au stade de la Musau, avec un trio Salmier-Koné-Martinez encadré par Foulquier à droite et Lala à gauche. La longue séquence proposée aux Bleus sur ce thème défensif semble indiquer que le coach a pour priorité de neutraliser les grands gabarits caennais.
Hier, après l’entraînement de veille de match sur une petite partie du terrain annexe de la Meinau, déblayée à la hâte d’un manteau neigeux de 2 à 3 centimètres, le technicien n’a pas retenu Jérémy Grimm. Une première là aussi. L’Ostheimois, qui joue peu cette saison, avait tout de même figuré sur les 33 premières feuilles de match officielles en 2017-2018. Il est remplacé dans le groupe par Dimitri Lienard , ménagé mercredi à Beauvais contre Chambly en Coupe de France pour des petites tensions musculaires.
Du côté de Caen, l’entraîneur Patrice Garande a perdu son jeune attaquant Timo Stavitski, touché à la cuisse, mais récupère Romain Genevois (malade) et Youssef Aït-Benasser (psoas). 3-5-2 ou 4-3-3 : le technicien normand a le choix. Dans tous les cas de figure, la recrue hivernale, Enzo Crivelli, prêtée par Angers, devrait débuter en pointe.
Le Stade Malherbe est également privé de Damien Da Silva, lui aussi blessé à la cuisse. Le défenseur central est un pion essentiel de l’échiquier caennais. Ses quatre buts ont en effet rapporté des points : il a ouvert le score à Lille le 20 août (2-0), donné, grâce à un doublé, la victoire au SMC contre Nantes le 4 février (3-2) et égalisé à la 84e contre Rennes le 17 février (2-2). « Son absence est une bonne chose pour nous, parce que c’est un garçon qui non seulement est bon défensivement, mais qui marque aussi pas mal de buts sur coups de pied arrêtés, ne s’y trompe pas Thierry Laurey. Pour Caen, c’est une arme en moins. »
ABSENTS. – À Caen : Da Silva, Nkololo, Stavitski (blessés), Bessat, Mbengue (reprise), Le Joncour, M. Dabo, Leborgne, Kouakou, M. Dreyer (choix). Au Racing : Mangane (quadriceps), Da Costa (adducteur), Grimm, Aaneba, Ndour, Zohi, Zemzemi, Tchamba, Caci, Othon, Bonnefoi (choix).
dna
Thierry Laurey le disait hier : « Sur les matches qui restent, il ne sera pas possible d’encaisser autant de buts qu’on en a encaissés jusque-là. » Pour continuer à imperméabiliser une défense trop poreuse (après le 0-0 contre Montpellier), l’entraîneur du Racing va-t-il pour la première fois de la saison opter pour un schéma à trois défenseurs axiaux ?
C’est en tout cas ce système qu’il a travaillé vendredi au stade de la Musau, avec un trio Salmier-Koné-Martinez encadré par Foulquier à droite et Lala à gauche. La longue séquence proposée aux Bleus sur ce thème défensif semble indiquer que le coach a pour priorité de neutraliser les grands gabarits caennais.
Hier, après l’entraînement de veille de match sur une petite partie du terrain annexe de la Meinau, déblayée à la hâte d’un manteau neigeux de 2 à 3 centimètres, le technicien n’a pas retenu Jérémy Grimm. Une première là aussi. L’Ostheimois, qui joue peu cette saison, avait tout de même figuré sur les 33 premières feuilles de match officielles en 2017-2018. Il est remplacé dans le groupe par Dimitri Lienard , ménagé mercredi à Beauvais contre Chambly en Coupe de France pour des petites tensions musculaires.
Du côté de Caen, l’entraîneur Patrice Garande a perdu son jeune attaquant Timo Stavitski, touché à la cuisse, mais récupère Romain Genevois (malade) et Youssef Aït-Benasser (psoas). 3-5-2 ou 4-3-3 : le technicien normand a le choix. Dans tous les cas de figure, la recrue hivernale, Enzo Crivelli, prêtée par Angers, devrait débuter en pointe.
Le Stade Malherbe est également privé de Damien Da Silva, lui aussi blessé à la cuisse. Le défenseur central est un pion essentiel de l’échiquier caennais. Ses quatre buts ont en effet rapporté des points : il a ouvert le score à Lille le 20 août (2-0), donné, grâce à un doublé, la victoire au SMC contre Nantes le 4 février (3-2) et égalisé à la 84e contre Rennes le 17 février (2-2). « Son absence est une bonne chose pour nous, parce que c’est un garçon qui non seulement est bon défensivement, mais qui marque aussi pas mal de buts sur coups de pied arrêtés, ne s’y trompe pas Thierry Laurey. Pour Caen, c’est une arme en moins. »
ABSENTS. – À Caen : Da Silva, Nkololo, Stavitski (blessés), Bessat, Mbengue (reprise), Le Joncour, M. Dabo, Leborgne, Kouakou, M. Dreyer (choix). Au Racing : Mangane (quadriceps), Da Costa (adducteur), Grimm, Aaneba, Ndour, Zohi, Zemzemi, Tchamba, Caci, Othon, Bonnefoi (choix).
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue au stade Michel-d'Ornano de Caen. Il fait bien moins froid qu'à Beauvais mercredi mais la pelouse normande n'est pas en meilleure état pour autant. Les deux équipes sont actuellement à l'échauffement.
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Les deux compos sont tombées. Le Racing jouera avec une défense à cinq, une première cette saison en championnat.
CAEN : Vercoutre – Genevois, Diomandé, Djiku – Guilbert (cap), Ait-Benasser, Sankoh, Peeters, Avounou – Rodelin, Crivelli. Entraîneur : P. Garande
RACING : Oukidja – Foulquier, Koné (cap), Salmier, Martinez, Lala – Martin, Aholou, Lienard – Terrier – Bahoken. Entraîneur : T. Laurey
.
C'est un match important aujourd'hui pour les deux équipes qui ne sont distantes que d'un point en championnat. Au vu des résultats favorables d'hier soir, mis à part la victoire d'Angers sur Guingamp, un succès caennais ou strasbourgeois cet après-midi serait précieux pour le maintien.
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Une cinquantaine de supporters strasbourgeois viennent d'entrer dans le parcage visiteur. Et, surprise, certains d'entre eux sont déguisés, carnaval oblige!
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On se souvient du match aller, un 0-0 des familles, où les Caennais avaient dominé leur sujet, touchant du bois à deux reprises. Depuis, les Normands ont baissé de pied. Le retour pourrait bien être plus équilibré.
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Le stade Michel-d'Ornano est loin de faire le plein. C'était le cas jeudi lors de la victoire des Malherbistes face à l'OL en quarts de finale de la Coupe de France.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse. SI le Racing se montrait inspiré cet après-midi, il pourrait se faire du bien au classement.
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En championnat, le Racing reste sur quatre revers d'affilée depuis son succès à Bordeaux en décembre.
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Aholou reste au sol après un contact avec Avounou. Il se relève en se touchant les côtes.
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Lala est à son tour le nez dans le gazon après une faute de Guilbert. Le ton est donné!
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Bonne combinaison entre Bahoken et Terrier devant la surface caennaise. Bahoken s'infiltre et centre fort devant le but mais c'est dégagé par la défense normande.
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Caen presse haut les Racingmen qui ont du mal à sortir le ballon.
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Le match est haché et le rythme pas très élevé. Le Racing subit mais reste bien compact.
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Sur le deuxième temps d'un corner caennais, Crivelli se retrouve au sol dans la surface strasbourgeoise. M. Hamel ne bronche pas.
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Bonne récupération de Terrier au milieu de terrain. Martin amorce le contre et décale Foulquier qui remise en retrait pour... Terrier qui écrase sa reprise.
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Ait Bennasser à l'air plutôt en jambes. Le milieu de terrain sera à surveiller comme le lait sur le feu.
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Le Racing tente sa chance par l'intermédiaire d'Aholou. L'Ivoirien arme aux 20 mètres mais c'est hors cadre.
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Belle percée de Foulquier qui sert Lienard qui s'ouvre le chemin du but d'un grand pont. Le Strasbourgeois écrase malheureusement sa frappe croisée qui est dégagée par la défense normande.
.
Lala est pris sur une transversale normande. Guilbert tente le centre en demi-volée, c'est au-dessus.
.
Première grosse occasion et elle est pour le Racing. Terrier profite d'une tête de Djiku en retrait pour récupérer le ballon et servir Bahoken qui remise en une touche pour Martin. Seul dans la surface, le Strasbourgeois veut mettre u n gros coup de casque mais ce n'est pas cadré. Dommage.
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Crivelli est alerté en profondeur. Salmier contient l'attaquant caennais qui remis en retrait pour Peeters dont la frape "taupée" est captée sans difficulté par Oukidja.
.
Belle intervention de Koné, en pleine extension, devant Crivelli.
.
Ca chauffe sur le but du Racing. Sur un contre rondement mené, Rodelin profite d'une intervention manquée de Martinez sur un centre de Peeters pour armer une demi-volée. C'est trop écrasé et Koné dégage en corner.
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Aholou est touché à la cheville gauche. Gonçalves est parti s'échauffer mais l'Ivoirien revient sur le terrain.
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Deux corners à suivre pour le Stade Malherbe. Le Racing fait bonne garde.
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Nouveau corner caennais. Oukidja se saisit du cuir. Le Racing subit depuis cinq minutes.
.
Coup franc intéressant pour Caen. Martin est là pour couper de la tête la trajectoire du ballon.
.
Le pressing caennais étouffe les Strasbourgeois qui ont du mal à progresser avec le ballon dans les pieds.
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Le tacle de Martinez. Après un centre de Foulquier dans la surface normande, Rodelin part en contre. Il essaie de franchir Martinez qui parvient à récupérer le ballon sur un tacle dans la surface. C'est propre et ça fait du bien.
.
Le pétard de Lienard sur une passe en retrait d'Aholou est boxé par Vercoutre.
.
But 1-0
.
Ouverture du score de Crivelli. Peeters sert Crivelli par dessus la défense strasbourgeoise. L'attaquant normand se retrouve face à Oukidja et marque facilement du plat du pied.
.
C'est la pause à Caen. Le Racing a cédé juste avant la pause alors qu'il avait fait jeu égale jusque-là. Il va falloir réagir impérativement après la pause.
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Les deux compos sont tombées. Le Racing jouera avec une défense à cinq, une première cette saison en championnat.
CAEN : Vercoutre – Genevois, Diomandé, Djiku – Guilbert (cap), Ait-Benasser, Sankoh, Peeters, Avounou – Rodelin, Crivelli. Entraîneur : P. Garande
RACING : Oukidja – Foulquier, Koné (cap), Salmier, Martinez, Lala – Martin, Aholou, Lienard – Terrier – Bahoken. Entraîneur : T. Laurey
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C'est un match important aujourd'hui pour les deux équipes qui ne sont distantes que d'un point en championnat. Au vu des résultats favorables d'hier soir, mis à part la victoire d'Angers sur Guingamp, un succès caennais ou strasbourgeois cet après-midi serait précieux pour le maintien.
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Une cinquantaine de supporters strasbourgeois viennent d'entrer dans le parcage visiteur. Et, surprise, certains d'entre eux sont déguisés, carnaval oblige!
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On se souvient du match aller, un 0-0 des familles, où les Caennais avaient dominé leur sujet, touchant du bois à deux reprises. Depuis, les Normands ont baissé de pied. Le retour pourrait bien être plus équilibré.
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Le stade Michel-d'Ornano est loin de faire le plein. C'était le cas jeudi lors de la victoire des Malherbistes face à l'OL en quarts de finale de la Coupe de France.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse. SI le Racing se montrait inspiré cet après-midi, il pourrait se faire du bien au classement.
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En championnat, le Racing reste sur quatre revers d'affilée depuis son succès à Bordeaux en décembre.
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Aholou reste au sol après un contact avec Avounou. Il se relève en se touchant les côtes.
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Lala est à son tour le nez dans le gazon après une faute de Guilbert. Le ton est donné!
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Bonne combinaison entre Bahoken et Terrier devant la surface caennaise. Bahoken s'infiltre et centre fort devant le but mais c'est dégagé par la défense normande.
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Caen presse haut les Racingmen qui ont du mal à sortir le ballon.
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Le match est haché et le rythme pas très élevé. Le Racing subit mais reste bien compact.
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Sur le deuxième temps d'un corner caennais, Crivelli se retrouve au sol dans la surface strasbourgeoise. M. Hamel ne bronche pas.
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Bonne récupération de Terrier au milieu de terrain. Martin amorce le contre et décale Foulquier qui remise en retrait pour... Terrier qui écrase sa reprise.
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Ait Bennasser à l'air plutôt en jambes. Le milieu de terrain sera à surveiller comme le lait sur le feu.
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Le Racing tente sa chance par l'intermédiaire d'Aholou. L'Ivoirien arme aux 20 mètres mais c'est hors cadre.
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Belle percée de Foulquier qui sert Lienard qui s'ouvre le chemin du but d'un grand pont. Le Strasbourgeois écrase malheureusement sa frappe croisée qui est dégagée par la défense normande.
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Lala est pris sur une transversale normande. Guilbert tente le centre en demi-volée, c'est au-dessus.
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Première grosse occasion et elle est pour le Racing. Terrier profite d'une tête de Djiku en retrait pour récupérer le ballon et servir Bahoken qui remise en une touche pour Martin. Seul dans la surface, le Strasbourgeois veut mettre u n gros coup de casque mais ce n'est pas cadré. Dommage.
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Crivelli est alerté en profondeur. Salmier contient l'attaquant caennais qui remis en retrait pour Peeters dont la frape "taupée" est captée sans difficulté par Oukidja.
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Belle intervention de Koné, en pleine extension, devant Crivelli.
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Ca chauffe sur le but du Racing. Sur un contre rondement mené, Rodelin profite d'une intervention manquée de Martinez sur un centre de Peeters pour armer une demi-volée. C'est trop écrasé et Koné dégage en corner.
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Aholou est touché à la cheville gauche. Gonçalves est parti s'échauffer mais l'Ivoirien revient sur le terrain.
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Deux corners à suivre pour le Stade Malherbe. Le Racing fait bonne garde.
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Nouveau corner caennais. Oukidja se saisit du cuir. Le Racing subit depuis cinq minutes.
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Coup franc intéressant pour Caen. Martin est là pour couper de la tête la trajectoire du ballon.
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Le pressing caennais étouffe les Strasbourgeois qui ont du mal à progresser avec le ballon dans les pieds.
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Le tacle de Martinez. Après un centre de Foulquier dans la surface normande, Rodelin part en contre. Il essaie de franchir Martinez qui parvient à récupérer le ballon sur un tacle dans la surface. C'est propre et ça fait du bien.
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Le pétard de Lienard sur une passe en retrait d'Aholou est boxé par Vercoutre.
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But 1-0
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Ouverture du score de Crivelli. Peeters sert Crivelli par dessus la défense strasbourgeoise. L'attaquant normand se retrouve face à Oukidja et marque facilement du plat du pied.
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C'est la pause à Caen. Le Racing a cédé juste avant la pause alors qu'il avait fait jeu égale jusque-là. Il va falloir réagir impérativement après la pause.
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Le Racing essaie de repartir de l'avant et investit le camp caennais.
.
Jaune pour Rodelin pour une faute sur Salmier.
.
Kone, très agressif devant Rodelin dans la surface strasbourgeoise, fait un bon match en charnière.
.
Au tour de Lala d'être averti pour une faute sur Guilbert.
.
Caen attend tranquillement le Racing pour le crucifier en contre. Crivelli se projette sur la moindre ouverture.
.
Ait Bennasser est remplacé par Féret côté caennais. Blayac, lui, prend la place de Bahoken.
.
Sur un centre de Blayac dans la surface, Diomande glisse et Terrier est tout près d'en profiter. Finalement le ballon arrive dans les bras de Vercoutre.
.
Le Racing joue long mais ça n'a pas l'air de gêner les Malherbistes.
.
Le Racing ne se décourage pas mais ne se crée aucune situation sur le but caennais. Ce n'est pas un grand match mais il y a la place pour égaliser.
.
Blayac est plein de sève sur le front de l'attaque mais peine à être servi dans de bonnes conditions.
.
Coup franc caennais qui atterrit directement sur Martin.
.
Deminguet remplace Sankoh à Caen.
.
Salmier cède sa place à Corgnet. Le Racing repasse en 4-4-2.
.
Rodelin tente sa chance à 25m mais trouve les bras d'Oukidja.
.
L'occaz de Blayac! Sur un centre de Foulquier, Blayac est seul mais ne peut cadrer sa tête.
.
Et Aholou qui s'y met. Sur un ballon mal dégagé, l'Ivoirien frappe des 16m.C'est juste à côté. Le Racing pousse enfin.
.
Crivelli prend un jaune pour l'ensemble de son œuvre.
.
Aholou sauve les meubles sur un contre caennais à cinq contre trois.
.
Avounou prend un jaune pour avoir tiré le maillot de Blayac. Et l'attaquant strasbourgeois est lui aussi avertit pour sa réaction épidermique.
.
Et boum 2-0
.
Et Caen qui plie la rencontre par Guilbert. Sur un contre rondement mené, Diomandé trouve Guilbert dans les six mètres qui fusille Oukidja.
.
Dernier remplacement au Racing: Saadi entre, Martin sort.
.
C'est terminé à Caen. Le Racing s'incline face à une opportuniste équipe normande. C'est compliqué en ce moment pour les Strasbourgeois qui s'inclinent pour la cinquième fois d'affilée à l'extérieur.
.
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Jaune pour Rodelin pour une faute sur Salmier.
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Kone, très agressif devant Rodelin dans la surface strasbourgeoise, fait un bon match en charnière.
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Au tour de Lala d'être averti pour une faute sur Guilbert.
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Caen attend tranquillement le Racing pour le crucifier en contre. Crivelli se projette sur la moindre ouverture.
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Ait Bennasser est remplacé par Féret côté caennais. Blayac, lui, prend la place de Bahoken.
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Sur un centre de Blayac dans la surface, Diomande glisse et Terrier est tout près d'en profiter. Finalement le ballon arrive dans les bras de Vercoutre.
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Le Racing joue long mais ça n'a pas l'air de gêner les Malherbistes.
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Le Racing ne se décourage pas mais ne se crée aucune situation sur le but caennais. Ce n'est pas un grand match mais il y a la place pour égaliser.
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Blayac est plein de sève sur le front de l'attaque mais peine à être servi dans de bonnes conditions.
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Coup franc caennais qui atterrit directement sur Martin.
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Deminguet remplace Sankoh à Caen.
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Salmier cède sa place à Corgnet. Le Racing repasse en 4-4-2.
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Rodelin tente sa chance à 25m mais trouve les bras d'Oukidja.
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L'occaz de Blayac! Sur un centre de Foulquier, Blayac est seul mais ne peut cadrer sa tête.
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Et Aholou qui s'y met. Sur un ballon mal dégagé, l'Ivoirien frappe des 16m.C'est juste à côté. Le Racing pousse enfin.
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Crivelli prend un jaune pour l'ensemble de son œuvre.
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Aholou sauve les meubles sur un contre caennais à cinq contre trois.
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Avounou prend un jaune pour avoir tiré le maillot de Blayac. Et l'attaquant strasbourgeois est lui aussi avertit pour sa réaction épidermique.
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Et boum 2-0
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Et Caen qui plie la rencontre par Guilbert. Sur un contre rondement mené, Diomandé trouve Guilbert dans les six mètres qui fusille Oukidja.
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Dernier remplacement au Racing: Saadi entre, Martin sort.
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C'est terminé à Caen. Le Racing s'incline face à une opportuniste équipe normande. C'est compliqué en ce moment pour les Strasbourgeois qui s'inclinent pour la cinquième fois d'affilée à l'extérieur.
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Le trou normand
Un Racing en manque d’efficacité est tombé dans le piège caennais. Revenus bredouilles de Normandie, les Alsaciens, 15es , voient leur marge se réduire sur la zone rouge. Plutôt inquiétant…
Le Racing pouvait réaliser la bonne affaire du week-end, hier. En s’imposant, ou en prenant ne serait-ce qu’un point en Normandie, les hommes de Thierry Laurey auraient pu voir la suite de cette saison de Ligue 1 avec plus de sérénité.
Las, ils ont buté sur une équipe caennaise ultra-efficace. Dans un match fermé, les hommes de Garande ont piqué à deux reprises : juste avant la mi-temps, par Crivelli (44e ) puis en fin de match, sur un contre conclu par Guilbert (87e ).
« Une incompréhension, un but… »
« On a laissé deux occasions et l’adversaire s’est servi, regrettait Thierry Laurey à l’issue de la rencontre. C’est surtout le premier but qui m’embête, car on savait que Caen procédait en jeu long et on s’est fait surprendre. C’est dommage, car on ne faisait pas le meilleur match du monde, mais on a fait une première mi-temps plutôt correcte ».
L’entame de match est timide, d’un côté comme de l’autre. Les Strasbourgeois sont les premiers à tenter de s’extraire de ce faux rythme, mais la combinaison entre Bahoken et Terrier est contrée par la défense caennaise (5e ). Tout comme cette volée de Terrier, sur un service de Foulquier (12e ).
Entre-temps, Caen fait du… Caen. Avec un pressing haut et un milieu à cinq, les hommes de Garande gèrent sans s’exposer. Les Alsaciens ont toutes les peines du monde à bousculer l’organisation huilée, sauf par à-coups, comme lorsque Lienard voit sa frappe contrée (18e ). Ou quand Martin ne cadre pas sa tête, après un bon travail du duo Terrier – Bahoken (23e ).
Le même Terrier est aussi à l’origine de la meilleure occasion strasbourgeoise de cette première mi-temps. Il gratte un ballon devant Genevois près du poteau de corner gauche, puis redonne à Aholou. Ce dernier centre pour Lienard, dont la frappe est difficilement repoussée par Vercourtre (42e ).
Mais deux minutes plus tard, Peeters lance Crivelli d’un lob plein axe. Martinez est pris de vitesse et Oukidja ne peut que constater les dégâts (1-0, 44e ). Voilà le Racing mené, soit le pire des scénarios possibles face à la sixième meilleure défense de Ligue 1. « Une incompréhension, un but… Et j’avais pourtant dit qu’il ne fallait pas laisser les Caennais faire la course en tête », pestait Laurey.
Au retour des vestiaires, les 200 supporteurs strasbourgeois présents dans le parcage visiteurs rappellent à leurs joueurs quelques vertus basiques : ils affichent une banderole « Redevenez des guerriers, le maintien à aller chercher ».
Mais ces exhortations ne suffisent pas à relancer un onze alsacien volontaire, mais impuissant. Pris dans la toile d’araignée caennaise, les hommes de Laurey en sont quittes pour balancer de longs ballons vers l’avant. Sans succès, tant les Normands verrouillent à merveille l’accès à leur but.
L’entrée de Blayac redonne de l’allant à l’attaque strasbourgeoise
L’entrée de Blayac, à l’heure de jeu, redonne de l’allant à l’attaque strasbourgeoise. Mais Vercoutre réussit à se saisir du ballon après une partie de billard où Terrier ne peut reprendre le centre du nouvel entrant (63e ). Et le même Blayac ne parvient pas à cadrer son coup de boule, sur un centre de Foulquier (78e ).
Face à une équipe caennaise retranchée dans son camp, les Strasbourgeois poussent comme ils peuvent. Aholou voit sa volée filer à côté (81e ), Corgnet et Blayac se gênent dans les airs (83e ) et la frappe lointaine de Lienard heurte la transversale (90e )… Mais de toute façon, à l’entrée des arrêts de jeu, la messe est déjà dite. Parti en contre, Diomandé a parfaitement servi Guilbert, plein axe pour le but du break caennais (2-0, 87e ).
« C’était un match entre deux équipes qui cherchaient à ne pas trop s’exposer. Et une équipe a commis une erreur. Voilà toute l’histoire », résumait Thierry Laurey. Malheureusement pour les Strasbourgeois, cette histoire se répète un peu trop souvent ces derniers temps…
dna
Un Racing en manque d’efficacité est tombé dans le piège caennais. Revenus bredouilles de Normandie, les Alsaciens, 15es , voient leur marge se réduire sur la zone rouge. Plutôt inquiétant…
Le Racing pouvait réaliser la bonne affaire du week-end, hier. En s’imposant, ou en prenant ne serait-ce qu’un point en Normandie, les hommes de Thierry Laurey auraient pu voir la suite de cette saison de Ligue 1 avec plus de sérénité.
Las, ils ont buté sur une équipe caennaise ultra-efficace. Dans un match fermé, les hommes de Garande ont piqué à deux reprises : juste avant la mi-temps, par Crivelli (44e ) puis en fin de match, sur un contre conclu par Guilbert (87e ).
« Une incompréhension, un but… »
« On a laissé deux occasions et l’adversaire s’est servi, regrettait Thierry Laurey à l’issue de la rencontre. C’est surtout le premier but qui m’embête, car on savait que Caen procédait en jeu long et on s’est fait surprendre. C’est dommage, car on ne faisait pas le meilleur match du monde, mais on a fait une première mi-temps plutôt correcte ».
L’entame de match est timide, d’un côté comme de l’autre. Les Strasbourgeois sont les premiers à tenter de s’extraire de ce faux rythme, mais la combinaison entre Bahoken et Terrier est contrée par la défense caennaise (5e ). Tout comme cette volée de Terrier, sur un service de Foulquier (12e ).
Entre-temps, Caen fait du… Caen. Avec un pressing haut et un milieu à cinq, les hommes de Garande gèrent sans s’exposer. Les Alsaciens ont toutes les peines du monde à bousculer l’organisation huilée, sauf par à-coups, comme lorsque Lienard voit sa frappe contrée (18e ). Ou quand Martin ne cadre pas sa tête, après un bon travail du duo Terrier – Bahoken (23e ).
Le même Terrier est aussi à l’origine de la meilleure occasion strasbourgeoise de cette première mi-temps. Il gratte un ballon devant Genevois près du poteau de corner gauche, puis redonne à Aholou. Ce dernier centre pour Lienard, dont la frappe est difficilement repoussée par Vercourtre (42e ).
Mais deux minutes plus tard, Peeters lance Crivelli d’un lob plein axe. Martinez est pris de vitesse et Oukidja ne peut que constater les dégâts (1-0, 44e ). Voilà le Racing mené, soit le pire des scénarios possibles face à la sixième meilleure défense de Ligue 1. « Une incompréhension, un but… Et j’avais pourtant dit qu’il ne fallait pas laisser les Caennais faire la course en tête », pestait Laurey.
Au retour des vestiaires, les 200 supporteurs strasbourgeois présents dans le parcage visiteurs rappellent à leurs joueurs quelques vertus basiques : ils affichent une banderole « Redevenez des guerriers, le maintien à aller chercher ».
Mais ces exhortations ne suffisent pas à relancer un onze alsacien volontaire, mais impuissant. Pris dans la toile d’araignée caennaise, les hommes de Laurey en sont quittes pour balancer de longs ballons vers l’avant. Sans succès, tant les Normands verrouillent à merveille l’accès à leur but.
L’entrée de Blayac redonne de l’allant à l’attaque strasbourgeoise
L’entrée de Blayac, à l’heure de jeu, redonne de l’allant à l’attaque strasbourgeoise. Mais Vercoutre réussit à se saisir du ballon après une partie de billard où Terrier ne peut reprendre le centre du nouvel entrant (63e ). Et le même Blayac ne parvient pas à cadrer son coup de boule, sur un centre de Foulquier (78e ).
Face à une équipe caennaise retranchée dans son camp, les Strasbourgeois poussent comme ils peuvent. Aholou voit sa volée filer à côté (81e ), Corgnet et Blayac se gênent dans les airs (83e ) et la frappe lointaine de Lienard heurte la transversale (90e )… Mais de toute façon, à l’entrée des arrêts de jeu, la messe est déjà dite. Parti en contre, Diomandé a parfaitement servi Guilbert, plein axe pour le but du break caennais (2-0, 87e ).
« C’était un match entre deux équipes qui cherchaient à ne pas trop s’exposer. Et une équipe a commis une erreur. Voilà toute l’histoire », résumait Thierry Laurey. Malheureusement pour les Strasbourgeois, cette histoire se répète un peu trop souvent ces derniers temps…
dna
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Zoom sur une défense inédite
Un trident sur les dents
Le schéma tactique à trois défenseurs centraux inauguré par Thierry Laurey n’a pas donné pleine satisfaction hier à Caen où les Alsaciens, qui n’ont pas marqué pour la troisième fois d’affilée, ont concédé deux nouveaux buts.
Il avait testé un schéma à trois défenseurs axiaux le 1er septembre à Seltz en deuxième mi-temps contre Sandhausen (Allemagne) en amical (1-0). Thierry Laurey l’a sorti hier de sa boîte à idées, avec Yoann Salmier, Bakary Koné et Pablo Martinez, pour contrarier les desseins normands. « On savait comment les Caennais peuvent procéder avec un jeu long sur la tête de ( Ivan ) Santini qui, certes, n’était pas là ( ndlr : remplacé par le tout aussi puissant Enzo Crivelli ) et ( Ronny ) Rodelin. La preuve que ce système n’est pas la solution. Ce n’est pas parce qu’on met trois défenseurs dans l’axe… Une erreur reste une erreur que tu sois à trois, quatre ou cinq. Même à douze, ça ne changerait rien. Il ne faut pas faire d’erreur, c’est tout, et on en a fait une de trop. Le premier but est l’élément déclencheur du résultat. C’est embêtant parce qu’on s’y attendait. Il suffisait d’être au point de chute ou de gérer la profondeur et le but était évité. »
Pourtant, ce 5-3-2 travaillé avec minutie vendredi sur le gazon synthétique de la Musau a bien produit l’effet escompté : troubler les joueurs de Patrice Garande qui, d’une certaine manière, en sont les dépositaires. « On a été surpris de leur manière d’attaquer le match dans le même système que nous, avec cinq défenseurs, admet le gardien malherbiste Rémy Vercoutre. Mais c’est un système qu’il faut maîtriser et qui n’est pas facile à appliquer quand on ne le connaît pas. On a montré plus d’expérience que les Strasbourgeois dans notre manière de gérer cette façon de jouer. »
« Le premier but nous a obligés à nous exposer »
Juste avant la pause, Enzo Crivelli, qui a semé en route Pablo Martinez, a transpercé le rideau défensif alsacien. « Notre défense à trois a bien fonctionné jusqu’à ce premier but qui nous a obligés à nous exposer et à attaquer encore plus, regrette le capitaine strasbourgeois Bakary Koné. On avait bien travaillé ce système. C’était presque parfait. »
Presque. Toute la nuance est là. Malheureusement, elle confirme que la friabilité de l’arrière-garde alsacienne est un handicap lourd à surmonter. Alexandre Oukidja, qui, c’est vrai, « n’a pas eu un arrêt à faire », a encore « pris deux buts » ( Laurey ). « Caen n’a pas eu beaucoup d’occasions, deux, et a marqué deux fois, se désole Dimitri Foulquier. Je ne dirais pas que cette défense à trois n’a pas marché. Je dirais plutôt que le premier but nous a mis à contre-courant. C’est dommage. »
Après la sortie de Yoann Salmier à la 76e , quand l’entraîneur du Racing a injecté un joueur offensif, Benjamin Corgnet, pour tenter d’égaliser, le promu est revenu à une défense à quatre plus classique. Résultat : elle a elle aussi craqué sur un contre normand qui a définitivement scellé le sort du match.
Avec 49 buts encaissés en 28 journées (1,75 de moyenne), le RCS pointe au 18e rang des défenses de L1. Ce n’était pas forcément un gros souci lorsqu’il marquait beaucoup. Ça l’est davantage alors qu’il n’a pas inscrit le moindre but lors de ses trois dernières rencontres officielles (*).
(*) 0-0 contre Montpellier, 0-1 à Beauvais contre Chambly en Coupe de France et 0-2 à Caen
dna
Un trident sur les dents
Le schéma tactique à trois défenseurs centraux inauguré par Thierry Laurey n’a pas donné pleine satisfaction hier à Caen où les Alsaciens, qui n’ont pas marqué pour la troisième fois d’affilée, ont concédé deux nouveaux buts.
Il avait testé un schéma à trois défenseurs axiaux le 1er septembre à Seltz en deuxième mi-temps contre Sandhausen (Allemagne) en amical (1-0). Thierry Laurey l’a sorti hier de sa boîte à idées, avec Yoann Salmier, Bakary Koné et Pablo Martinez, pour contrarier les desseins normands. « On savait comment les Caennais peuvent procéder avec un jeu long sur la tête de ( Ivan ) Santini qui, certes, n’était pas là ( ndlr : remplacé par le tout aussi puissant Enzo Crivelli ) et ( Ronny ) Rodelin. La preuve que ce système n’est pas la solution. Ce n’est pas parce qu’on met trois défenseurs dans l’axe… Une erreur reste une erreur que tu sois à trois, quatre ou cinq. Même à douze, ça ne changerait rien. Il ne faut pas faire d’erreur, c’est tout, et on en a fait une de trop. Le premier but est l’élément déclencheur du résultat. C’est embêtant parce qu’on s’y attendait. Il suffisait d’être au point de chute ou de gérer la profondeur et le but était évité. »
Pourtant, ce 5-3-2 travaillé avec minutie vendredi sur le gazon synthétique de la Musau a bien produit l’effet escompté : troubler les joueurs de Patrice Garande qui, d’une certaine manière, en sont les dépositaires. « On a été surpris de leur manière d’attaquer le match dans le même système que nous, avec cinq défenseurs, admet le gardien malherbiste Rémy Vercoutre. Mais c’est un système qu’il faut maîtriser et qui n’est pas facile à appliquer quand on ne le connaît pas. On a montré plus d’expérience que les Strasbourgeois dans notre manière de gérer cette façon de jouer. »
« Le premier but nous a obligés à nous exposer »
Juste avant la pause, Enzo Crivelli, qui a semé en route Pablo Martinez, a transpercé le rideau défensif alsacien. « Notre défense à trois a bien fonctionné jusqu’à ce premier but qui nous a obligés à nous exposer et à attaquer encore plus, regrette le capitaine strasbourgeois Bakary Koné. On avait bien travaillé ce système. C’était presque parfait. »
Presque. Toute la nuance est là. Malheureusement, elle confirme que la friabilité de l’arrière-garde alsacienne est un handicap lourd à surmonter. Alexandre Oukidja, qui, c’est vrai, « n’a pas eu un arrêt à faire », a encore « pris deux buts » ( Laurey ). « Caen n’a pas eu beaucoup d’occasions, deux, et a marqué deux fois, se désole Dimitri Foulquier. Je ne dirais pas que cette défense à trois n’a pas marché. Je dirais plutôt que le premier but nous a mis à contre-courant. C’est dommage. »
Après la sortie de Yoann Salmier à la 76e , quand l’entraîneur du Racing a injecté un joueur offensif, Benjamin Corgnet, pour tenter d’égaliser, le promu est revenu à une défense à quatre plus classique. Résultat : elle a elle aussi craqué sur un contre normand qui a définitivement scellé le sort du match.
Avec 49 buts encaissés en 28 journées (1,75 de moyenne), le RCS pointe au 18e rang des défenses de L1. Ce n’était pas forcément un gros souci lorsqu’il marquait beaucoup. Ça l’est davantage alors qu’il n’a pas inscrit le moindre but lors de ses trois dernières rencontres officielles (*).
(*) 0-0 contre Montpellier, 0-1 à Beauvais contre Chambly en Coupe de France et 0-2 à Caen
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
« Pas un grand match »
PATRICE GARANDE, entraîneur de Caen : « Au vu des résultats de la veille (samedi) , il était important de gagner. On a préparé ce match avec un état d’esprit de Coupe. La vérité de ce match, c’est qu’on l’a gagné, mais on ne va retenir que ça. Ce n’était pas un grand match, mais on a montré des vertus de solidarité. Les joueurs ne lâchent rien et ont été récompensés. Ces trois points vont compter. Les deux équipes jouaient avec deux systèmes identiques et ça a donné un match fermé, bloqué, où le niveau technique n’était pas très bon. »DIMITRI FOULQUIER, latéral droit du Racing : « Le premier but encaissé avant la mi-temps a un peu compliqué les choses, parce qu’ensuite, nous avons dû nous découvrir. Ç’a rendu le match plus simple aux Caennais qui ont juste eu à rester derrière et attendre. Que voulez-vous que je vous dise, sinon qu’on a perdu et que malheureusement, on ne repart avec aucun point ? Il faut redoubler d’efforts pour prendre quelque chose à la maison contre Monaco ( vendredi ). On n’a pas saisi l’occasion de creuser l’écart avec le bas de tableau. Mais il y en aura d’autres et il faudra les saisir. »
BAKARY KONÉ, capitaine du Racing : « C’est une défaite très dure à digérer. On avait bien préparé ce match et on a fait une bonne première mi-temps, mais ce but juste avant la pause nous tue un peu. Nous avons manqué de vigilance et de concentration. Nous étions prévenus que ce genre de situation allait se produire. Il y a eu une erreur de trop. Nous avons eu plusieurs fois l’occasion de ‘’tuer’’ les Caennais. Nous ne l’avons pas fait. Eux, si. C’est ce qui est vraiment dommage. Il va falloir se remobiliser pour repartir tout de suite de l’avant. On s’approche de la fin de saison. C’est serré. À nous de ne pas baisser la tête. C’est le danger. Il faut gratter des points. »
RÉMY VERCOUTRE, gardien de Caen, ancien du Racing : « Pour se maintenir, c’est le genre de match qu’il faut gagner. On en est très heureux. On en est à notre 12e “clean sheet”. Dans une saison, ne pas prendre de but, c’est très important, surtout pour un club comme le Stade Malherbe qui veut s’inscrire dans la durée en Ligue 1 et se maintenir. Tous les voyants sont au vert. On a un peu rattrapé les deux points qui nous avaient échappé à la Meinau à l’aller (0-0), même si, avec deux points de plus, nous serions encore plus tranquilles (sourire). On avait vu les résultats des concurrents directs samedi. C’était important de capitaliser et de prendre des points. On ne va pas bouder notre plaisir. Après la qualification en Coupe de France contre Lyon (1-0) qui a été extraordinaire pour notre club, on a fait preuve d’un peu plus d’expérience et de réalisme qu’une équipe de Strasbourg qui avait bien préparé son affaire. »
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Koné en mode pompier
Le capitaine Bakary Koné a longtemps tenu la baraque strasbourgeoise, lézardée par le but de Crivelli juste avant la pause, hier au stade d’Ornano. Mais il ne pouvait pas colmater toutes les brèches, notamment en seconde période, quand les Caennais ont multiplié les contres.
OUKIDJA (5). C’est toujours malheureux, pour un gardien qui n’a pas eu grand-chose à faire, mais l’a bien fait, d’encaisser un but sur lequel il ne peut rien (44e ).“Ouki” n’a pas davantage été sollicité en seconde période, mais s’est encore fait crucifier à la 87e. Un match très frustrant pour lui !
❏ FOULQUIER (5). Auteur d’un bon centre après un décalage de Martin (12e ) et d’un autre dont Blayac, de la tête, n’a pas cadré la reprise (79e ), le latéral droit s’est montré très discret, même s’il a tenté d’apporter le surnombre en fin de match quand le Racing poussait. Après sa longue blessure au quadriceps et son retour début 2018, il semble chercher son second souffle.
❏ SALMIER (6). Pour sa première titularisation en L1 depuis le 24 novembre, le défenseur axial n’a pas toujours été inspiré dans ses relances, mais a été solide dans les duels. Sacrifié sur l’autel d’une réorganisation tactique, il a cédé sa place à Benjamin CORGNET , de retour sur un terrain pour la première fois depuis le 30 septembre à Dijon (76e ).
❏ KONÉ (7). L’international burkinabé a réalisé un match de haute volée, tenant la baraque derrière comme rarement. Il a coupé presque tous les ballons destinés à Crivelli (27e , 29e , 33e , 42e ) et n’a jamais cessé de repousser les vagues normandes. La vraie tour de contrôle de la défense inédite à trois centraux, c’était lui.
❏ MARTINEZ (4). Longtemps blessé, l’ex-Angevin avait aligné les prestations intéressantes à son retour. Mais il subit à l’évidence un contrecoup que son engagement, illustré par ce tacle parfait sur Rodelin (40e ) et ce sauvetage dans le temps additionnel (90e +3), ne suffit pas à compenser. Trop court sur le centre de Peeters pour Rodelin (29e ), pris de vitesse par le buteur Crivelli (44e ), Pablo Martinez a passé un après-midi difficile, mais eu le mérite de ne pas renoncer.
Lala suspendu à Toulouse
❏ LALA (4). Obligé de jouer en fausse patte à chaque fois qu’il évolue à gauche, Kenny Lala a parfois passé son vis-à-vis Guilbert, mais pour être systématiquement stoppé par la deuxième lame affûtée par Genevois. Il a à peu près rempli sa mission défensive. Averti pour une semelle sur… Guilbert (55e ), il sera suspendu à Toulouse le 17 mars.
❏ MARTIN (5). Repositionné dans son rôle préférentiel de milieu relayeur côté droit, l’ancien du Betis Séville s’est offert la première véritable “occase” du match (23e ), mais, malgré son application sur le centre piqué de Bahoken, a expédié sa tête juste à côté. Il s’est ensuite enlisé dans la défense renforcée de Caen, avant de sortir à la 88e , relayé par Idriss SAADI.
❏ AHOLOU (5). Avounou lui a tout de suite fait sentir que les Caennais n’étaient pas là pour plaisanter, en le tamponnant dès la 1re minute. À son crédit, une bonne frappe du droit trop croisée (17e ) et, surtout, une volée au ras du poteau gauche (81e ). Un match honnête, toutefois dépouillé des coups d’éclats dont il avait l’habitude ces derniers temps.
❏ LIENARD (5). Sur un terrain compliqué, il a cherché à jouer simple. Sur un gros travail préparatoire de Terrier relayé par Aholou, il a allumé le premier tir cadré du gauche, un missile boxé par Vercoutre (42e ). Son coup de canon de 30 m à la 90e s’est fracassé sur la barre. Entre-temps, il n’avait lui non plus guère réussi à fendiller la carapace normande.
❏ TERRIER (5). On a cru retrouver en début de partie le Terrier virevoltant d’avant la trêve hivernale. Le futur Lyonnais a amorcé quelques jolis mouvements et eu une balle de but qu’il a ratée (12e ). S’il a continué à se battre ensuite, il s’est englué dans l’arrière-garde renforcée du SMC. Combatif quand même !
❏ BAHOKEN (4). Son entente avec Terrier a été prometteuse en début de match. Mais les promesses n’ont pas été tenues sur la durée. Son centre soigné pour Martin aurait pu être décisif (23e ). Comme beaucoup de ses partenaires, il a quelque peu disparu après l’ouverture du score et a été remplacé par Jérémy BLAYAC qui, actif, a manqué deux têtes qui auraient pu permettre aux Bleus d’égaliser (79e , 82e ).
dna
Le capitaine Bakary Koné a longtemps tenu la baraque strasbourgeoise, lézardée par le but de Crivelli juste avant la pause, hier au stade d’Ornano. Mais il ne pouvait pas colmater toutes les brèches, notamment en seconde période, quand les Caennais ont multiplié les contres.
OUKIDJA (5). C’est toujours malheureux, pour un gardien qui n’a pas eu grand-chose à faire, mais l’a bien fait, d’encaisser un but sur lequel il ne peut rien (44e ).“Ouki” n’a pas davantage été sollicité en seconde période, mais s’est encore fait crucifier à la 87e. Un match très frustrant pour lui !
❏ FOULQUIER (5). Auteur d’un bon centre après un décalage de Martin (12e ) et d’un autre dont Blayac, de la tête, n’a pas cadré la reprise (79e ), le latéral droit s’est montré très discret, même s’il a tenté d’apporter le surnombre en fin de match quand le Racing poussait. Après sa longue blessure au quadriceps et son retour début 2018, il semble chercher son second souffle.
❏ SALMIER (6). Pour sa première titularisation en L1 depuis le 24 novembre, le défenseur axial n’a pas toujours été inspiré dans ses relances, mais a été solide dans les duels. Sacrifié sur l’autel d’une réorganisation tactique, il a cédé sa place à Benjamin CORGNET , de retour sur un terrain pour la première fois depuis le 30 septembre à Dijon (76e ).
❏ KONÉ (7). L’international burkinabé a réalisé un match de haute volée, tenant la baraque derrière comme rarement. Il a coupé presque tous les ballons destinés à Crivelli (27e , 29e , 33e , 42e ) et n’a jamais cessé de repousser les vagues normandes. La vraie tour de contrôle de la défense inédite à trois centraux, c’était lui.
❏ MARTINEZ (4). Longtemps blessé, l’ex-Angevin avait aligné les prestations intéressantes à son retour. Mais il subit à l’évidence un contrecoup que son engagement, illustré par ce tacle parfait sur Rodelin (40e ) et ce sauvetage dans le temps additionnel (90e +3), ne suffit pas à compenser. Trop court sur le centre de Peeters pour Rodelin (29e ), pris de vitesse par le buteur Crivelli (44e ), Pablo Martinez a passé un après-midi difficile, mais eu le mérite de ne pas renoncer.
Lala suspendu à Toulouse
❏ LALA (4). Obligé de jouer en fausse patte à chaque fois qu’il évolue à gauche, Kenny Lala a parfois passé son vis-à-vis Guilbert, mais pour être systématiquement stoppé par la deuxième lame affûtée par Genevois. Il a à peu près rempli sa mission défensive. Averti pour une semelle sur… Guilbert (55e ), il sera suspendu à Toulouse le 17 mars.
❏ MARTIN (5). Repositionné dans son rôle préférentiel de milieu relayeur côté droit, l’ancien du Betis Séville s’est offert la première véritable “occase” du match (23e ), mais, malgré son application sur le centre piqué de Bahoken, a expédié sa tête juste à côté. Il s’est ensuite enlisé dans la défense renforcée de Caen, avant de sortir à la 88e , relayé par Idriss SAADI.
❏ AHOLOU (5). Avounou lui a tout de suite fait sentir que les Caennais n’étaient pas là pour plaisanter, en le tamponnant dès la 1re minute. À son crédit, une bonne frappe du droit trop croisée (17e ) et, surtout, une volée au ras du poteau gauche (81e ). Un match honnête, toutefois dépouillé des coups d’éclats dont il avait l’habitude ces derniers temps.
❏ LIENARD (5). Sur un terrain compliqué, il a cherché à jouer simple. Sur un gros travail préparatoire de Terrier relayé par Aholou, il a allumé le premier tir cadré du gauche, un missile boxé par Vercoutre (42e ). Son coup de canon de 30 m à la 90e s’est fracassé sur la barre. Entre-temps, il n’avait lui non plus guère réussi à fendiller la carapace normande.
❏ TERRIER (5). On a cru retrouver en début de partie le Terrier virevoltant d’avant la trêve hivernale. Le futur Lyonnais a amorcé quelques jolis mouvements et eu une balle de but qu’il a ratée (12e ). S’il a continué à se battre ensuite, il s’est englué dans l’arrière-garde renforcée du SMC. Combatif quand même !
❏ BAHOKEN (4). Son entente avec Terrier a été prometteuse en début de match. Mais les promesses n’ont pas été tenues sur la durée. Son centre soigné pour Martin aurait pu être décisif (23e ). Comme beaucoup de ses partenaires, il a quelque peu disparu après l’ouverture du score et a été remplacé par Jérémy BLAYAC qui, actif, a manqué deux têtes qui auraient pu permettre aux Bleus d’égaliser (79e , 82e ).
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Occasion manquée
Le Racing voulait reprendre sa marche en avant, dimanche, sur le terrain de Caen. Mais les Strasbourgeois se sont inclinés et ils vont devoir réagir rapidement pour ne pas tout gâcher, à dix journées de la fin du championnat de Ligue 1.
« Il ne faut plus faire de calcul et prendre des points ». Tel était le mot d’ordre lancé par Bakary Koné, samedi, à la veille du déplacement des Strasbourgeois à Caen, dans le cadre de cette 28e journée de Ligue 1.
On ne pouvait guère donner tort au capitaine des Bleus. Dans un championnat toujours aussi resserré – surtout dans le bas du classement – le Racing se devait de prendre au moins au point sur le terrain d’un adversaire direct dans la course au maintien.
« On fait une erreur de trop »
Las, comme à Beauvais mercredi en Coupe de France, face à Chambly, les Alsaciens ont encore manqué une occasion de relancer la machine, en s’inclinant 2-0 en Normandie.
Et dimanche, ce sont bien les Caennais qui ont fait « Un pas de plus vers le maintien », comme le titrait le quotidien Ouest France , et non les Strasbourgeois, rentrés bredouilles de leur virée normande.
Ce matin, les hommes de Thierry Laurey, désormais 15es de Ligue 1, stagnent non loin de la zone rouge. Le Racing, avec 31 points, ne compte en effet que trois unités d’avance sur Troyes, 18e et barragiste.
Et cette défaite, la treizième de la saison, aurait même pu avoir des conséquences plus lourdes si Lille (19e ) et Troyes (18e ), n’avaient pas eu la bonne idée de s’incliner, respectivement à Nice (2-1) et face au Paris-SG (0-2).
La défaite d’Amiens (16e ) sur son terrain face à Rennes (0-2) et le partage des points entre Metz, la lanterne rouge, et Toulouse, le 17e (0-0), s’apparentent aussi à des “bons” résultats si l’on est Strasbourgeois.
Reste que pour assurer sa place dans l’élite la saison prochaine, le Racing ne pourra pas toujours compter sur des faux pas de ses adversaires du bas de tableau.
Les Alsaciens devront tout de même – et c’est une évidence – engranger des points. À dix journées de la fin du championnat, il faudra certainement en collecter une petite dizaine pour assurer une place en Ligue 1 pour la saison prochaine. Pas impossible, puisqu’il y en a trente à distribuer, mais pas évident non plus.
D’abord parce que le calendrier du Racing n’est pas forcément des plus simples.
Les Alsaciens vont en effet recevoir quelques cadors à domicile (Monaco, Lyon…) et se déplacer sur le terrain d’adversaires directs (Amiens, Toulouse…) dans des rencontres à “six points” où ils n’ont pas souvent brillé.
Ensuite (surtout ?) parce que le onze alsacien a de mal à retrouver le niveau de jeu affiché en novembre/décembre 2017, lors de sa période faste.
Dimanche, à Caen, les Strasbourgeois se sont certes montrés volontaires, face au Stade Malherbe qui n’a pas montré grand-chose, mais cela n’a pas suffi.
Incapable de marquer (lire ci-dessous) et plombé à nouveau par ses erreurs défensives, le Racing n’y arrive tout simplement plus.
« On fait une première mi-temps correcte où l’on a des possibilités et eux, aucune, analysait un Thierry Laurey forcément déçu. Mais le problème est qu’on fait une erreur de trop. »
Et c’est malheureusement un souci récurrent ces derniers temps. Que ce soit en Coupe de France, où un oubli défensif a coûté une place en demi-finale.
Ou en Ligue 1, quand Enzo Crivelli a trop facilement pris de vitesse la défense strasbourgeoise sur l’ouverture du score normande.
Et a contrario, le Racing ne parvient plus à se montrer tueur devant les buts adverses. Dans ces conditions, gagner un match devient éminemment compliqué. Au mieux, les Strasbourgeois parviennent à ne pas le perdre, comme cela a été le cas lors de la dernière sortie à domicile, face à Montpellier (0-0).
« Je suis vigilant, mais pas inquiet », avait souligné Thierry Laurey avant cette rencontre. Des propos qu’il n’a pas reniés après la défaite à Caen, se refusant à tout pessimisme.
Sûr que ce matin, le Racing a encore son destin entre ses pieds. Mais s’il continue sur son actuelle lancée, cela risque fort de ne pas durer…
dna
Le Racing voulait reprendre sa marche en avant, dimanche, sur le terrain de Caen. Mais les Strasbourgeois se sont inclinés et ils vont devoir réagir rapidement pour ne pas tout gâcher, à dix journées de la fin du championnat de Ligue 1.
« Il ne faut plus faire de calcul et prendre des points ». Tel était le mot d’ordre lancé par Bakary Koné, samedi, à la veille du déplacement des Strasbourgeois à Caen, dans le cadre de cette 28e journée de Ligue 1.
On ne pouvait guère donner tort au capitaine des Bleus. Dans un championnat toujours aussi resserré – surtout dans le bas du classement – le Racing se devait de prendre au moins au point sur le terrain d’un adversaire direct dans la course au maintien.
« On fait une erreur de trop »
Las, comme à Beauvais mercredi en Coupe de France, face à Chambly, les Alsaciens ont encore manqué une occasion de relancer la machine, en s’inclinant 2-0 en Normandie.
Et dimanche, ce sont bien les Caennais qui ont fait « Un pas de plus vers le maintien », comme le titrait le quotidien Ouest France , et non les Strasbourgeois, rentrés bredouilles de leur virée normande.
Ce matin, les hommes de Thierry Laurey, désormais 15es de Ligue 1, stagnent non loin de la zone rouge. Le Racing, avec 31 points, ne compte en effet que trois unités d’avance sur Troyes, 18e et barragiste.
Et cette défaite, la treizième de la saison, aurait même pu avoir des conséquences plus lourdes si Lille (19e ) et Troyes (18e ), n’avaient pas eu la bonne idée de s’incliner, respectivement à Nice (2-1) et face au Paris-SG (0-2).
La défaite d’Amiens (16e ) sur son terrain face à Rennes (0-2) et le partage des points entre Metz, la lanterne rouge, et Toulouse, le 17e (0-0), s’apparentent aussi à des “bons” résultats si l’on est Strasbourgeois.
Reste que pour assurer sa place dans l’élite la saison prochaine, le Racing ne pourra pas toujours compter sur des faux pas de ses adversaires du bas de tableau.
Les Alsaciens devront tout de même – et c’est une évidence – engranger des points. À dix journées de la fin du championnat, il faudra certainement en collecter une petite dizaine pour assurer une place en Ligue 1 pour la saison prochaine. Pas impossible, puisqu’il y en a trente à distribuer, mais pas évident non plus.
D’abord parce que le calendrier du Racing n’est pas forcément des plus simples.
Les Alsaciens vont en effet recevoir quelques cadors à domicile (Monaco, Lyon…) et se déplacer sur le terrain d’adversaires directs (Amiens, Toulouse…) dans des rencontres à “six points” où ils n’ont pas souvent brillé.
Ensuite (surtout ?) parce que le onze alsacien a de mal à retrouver le niveau de jeu affiché en novembre/décembre 2017, lors de sa période faste.
Dimanche, à Caen, les Strasbourgeois se sont certes montrés volontaires, face au Stade Malherbe qui n’a pas montré grand-chose, mais cela n’a pas suffi.
Incapable de marquer (lire ci-dessous) et plombé à nouveau par ses erreurs défensives, le Racing n’y arrive tout simplement plus.
« On fait une première mi-temps correcte où l’on a des possibilités et eux, aucune, analysait un Thierry Laurey forcément déçu. Mais le problème est qu’on fait une erreur de trop. »
Et c’est malheureusement un souci récurrent ces derniers temps. Que ce soit en Coupe de France, où un oubli défensif a coûté une place en demi-finale.
Ou en Ligue 1, quand Enzo Crivelli a trop facilement pris de vitesse la défense strasbourgeoise sur l’ouverture du score normande.
Et a contrario, le Racing ne parvient plus à se montrer tueur devant les buts adverses. Dans ces conditions, gagner un match devient éminemment compliqué. Au mieux, les Strasbourgeois parviennent à ne pas le perdre, comme cela a été le cas lors de la dernière sortie à domicile, face à Montpellier (0-0).
« Je suis vigilant, mais pas inquiet », avait souligné Thierry Laurey avant cette rencontre. Des propos qu’il n’a pas reniés après la défaite à Caen, se refusant à tout pessimisme.
Sûr que ce matin, le Racing a encore son destin entre ses pieds. Mais s’il continue sur son actuelle lancée, cela risque fort de ne pas durer…
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Re: 28ème journée: Caen-Strasbourg
Barcelone | 69 | 27 | 21 | 6 | 0 | 70 | 13 | 57 |
Atlético Madrid | 61 | 27 | 18 | 7 | 2 | 45 | 12 | 33 |
Real Madrid | 54 | 27 | 16 | 6 | 5 | 65 | 29 | 36 |
Valence | 53 | 27 | 16 | 5 | 6 | 52 | 30 | 22 |
Séville | 45 | 27 | 14 | 3 | 10 | 36 | 40 | -4 |
Villarreal | 41 | 27 | 12 | 5 | 10 | 36 | 32 | 4 |
Girona | 40 | 27 | 11 | 7 | 9 | 38 | 36 | 2 |
Eibar | 39 | 27 | 11 | 6 | 10 | 34 | 39 | -5 |
Celta Vigo | 38 | 27 | 11 | 5 | 11 | 45 | 39 | 6 |
Real Bétis | 37 | 27 | 11 | 4 | 12 | 43 | 52 | -9 |
Getafe | 36 | 27 | 9 | 9 | 9 | 33 | 25 | 8 |
Real Sociedad | 33 | 27 | 9 | 6 | 12 | 49 | 48 | 1 |
Leganes | 33 | 27 | 9 | 6 | 12 | 23 | 32 | -9 |
Athletic Bilbao | 32 | 27 | 7 | 11 | 9 | 27 | 31 | -4 |
Espanyol | 32 | 27 | 7 | 11 | 9 | 24 | 33 | -9 |
Deportivo Alavés | 31 | 27 | 10 | 1 | 16 | 24 | 39 | -15 |
Levante | 21 | 27 | 3 | 12 | 12 | 22 | 42 | -20 |
Las Palmas | 20 | 27 | 5 | 5 | 17 | 20 | 55 | -35 |
Deportivo La Corogne | 19 | 27 | 4 | 7 | 16 | 25 | 57 | -32 |
Malaga | 13 | 27 | 3 | 4 | 20 | 16 | 43 | -27 |
67120- d'r Kàpallmaischter
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