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Re: Les Brêves du Football
67120 Lun 6 Déc - 18:00
dna a écrit :Le triplé de Terrier : les performances du week-end des footballeurs alsaciens ou passés par l’Alsace
■ Clauss et Lens pas récompensés
L’Alsacien Jonathan Clauss et Lens ont été rejoints samedi soir dans les arrêts de jeu par le Paris SG (1-1), qui ne méritait pas de repartir avec un point, tant les Lensois ont livré une belle partition.
■ Et de six pour Hérelle et Brest
L’ancien Colmarien Christophe Hérelle et le Stade brestois ne s’arrêtent plus. Samedi après-midi, ils ont signé un sixième succès de rang en allant s’imposer au Stade Vélodrome face à l’Olympique de Marseille (2-1). Les Bretons sont le tube de l’automne en Ligue 1.
■ Triplé pour Terrier, qui sort blessé
L’ancien Strasbourgeois Martin Terrier s’est offert hier un triplé, prenant la plus grande part du festival offensif de Rennes à Saint-Etienne (5-0). Touché à une cheville, il a cédé sa place à la 62e. Son coéquipier Jonas Martin, autre ancien du Racing, était également titulaire et a été remplacé à la 75e. Chez les Verts en perdition, le Colmarien Ryad Boudebouz, discret hier, et l’ex-Schilikois Jean-Philippe Krasso étaient titulaires. Ils sont sortis aux 77e et 62e minutes. Denis Bouanga, passé par le Racing, est entré à la mi-temps.
■ Oukidja a mal débuté
L’ancien portier du Racing Alexandre Oukidja a manqué sa première relance du match hier, puni par l’ouverture du score de Monaco. Les Monégasques ont facilement disposé de Metz sur le score de 4-0. L’ex-Strasbourgeois Youssouf Fofana est entré à la pause.
■ Salmier et Troyes renversés
$L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Troyes se sont inclinés samedi soir à Lille, après avoir pourtant ouvert le score (2-1). Le défenseur a été averti peu après la demi-heure de jeu.
■ Bahoken titulaire
L’ancien du Racing Stéphane Bahoken était titulaire hier à la pointe de l’attaque d’Angers, qui s’est imposé 2-1 à Reims. Il a été remplacé à la 80e.
90 minutes pour Guillaume. L’ancien Strasbourgeois Baptiste Guillaume et Valenciennes n’ont pas trouvé l’ouverture vendredi, mais ils ont pris un point probant à Ajaccio, le deuxième de la Ligue 2. L’attaquant aura l’occasion de croiser son ancien club en 32e de finale de la Coupe de France, le 16 décembre prochain.
■ Ndour a ouvert le score
Si Sochaux a renoué avec la victoire vendredi face à Pau (2-1), il le doit en partie à Abdallah Ndour, l’ancien Strasbourgeois, qui a ouvert le score en tout début de deuxième mi-temps. Le latéral a été remplacé à la 73e, alors que l’Alsacien Gaétan Weissbeck et l’autre ancien du Racing Ismaël Aaneba ont joué toute la partie. À Pau, l’ex-Colmarien Romain Armand était également titulaire. Il a été rappelé sur le banc à la 85e.
■ Soirée tranquille pour Gurtner
Régis Gurtner, le gardien alsacien d’Amiens, a passé une soirée plutôt sereine vendredi, son équipe prenant nettement le dessus sur Dunkerque, avant-dernier de la Ligue 2 (3-0).
■ 20 minutes pour Jung
Pas de retour victorieux pour Andrew Jung à Quevilly-Rouen, qu’il a largement aidé à monter en Ligue 2 l’an passé. L’attaquant désormais à Nancy, passé par Mulhouse et Ensisheim, est entré en jeu à la 70e, et les Lorrains ont encaissé un nouveau revers qui les enfonce un peu plus à la dernière place du classement (2-1).
■ Ouammou victorieux
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou a disputé toute la rencontre remportée vendredi par Rodez face à Nîmes (1-0).
■ Siby mieux que Saadi et Bocognano
Mahamé Siby, prêté par le Racing, et le Paris FC ont pris la mesure in extremis vendredi soir sur le SC Bastia, battu sur un penalty concédé à la 89e. Chez les Corses, l’ancien Mulhousien Yoann Bocognano et l’ex-Strasbourgeois Idriss Saadi étaient titulaires, le second cédant sa place à la 82e.
■ Mendy a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois Alexandre Mendy a ouvert le score pour Caen samedi après-midi à Auxerre. Face à des Bourguignons réduits à dix, les Normands ont quand même fini par être rejoints (2-2). Mehdi Chahiri a cédé sa place à la 56e à Nuno Da Costa, un remplacement entre deux anciens du Racing.
■ Beye fait tomber le leader
Après quelques semaines difficiles, Habib Beye, l’ancien Strasbourgeois, a mené le Red Star vendredi à la victoire face au leader du National Bourg-en-Bresse (2-1). Chez les Burgiens, les anciens Colmariens Anthony Soubervie et Thibaut Jaques, tout comme l’ex-Strasbourgeois Benjamin Corgnet, étaient titulaires. Ce dernier, averti à la 57e, a cédé sa place à la 77e. Bourg a cédé son fauteuil de leader à Villefranche.
■ Pierre-Charles égalise
Jordan Pierre-Charles, passé par les SR Colmar, a permis vendredi soir à Chambly de sauver le point du nul en égalisant à la 69e face à Sedan (2-2). Le latéral et le Colmarien Issak Umbdenstock ont disputé l’intégralité de la rencontre dans les rangs camblysiens.
■ 22 minutes pour Da Silva
L’ancien Mulhousien Sébastien Da Silva est entré à la 68e vendredi, participant ainsi à la victoire de Laval sur le terrain de Boulogne-sur-Mer (2-1).
■ Glaentzlin titulaire
En vue en Coupe de France, le Guebwillerois Victor Glaentzlin était titulaire vendredi soir dans les rangs du Mans, qui s’est incliné 1-0 sur la pelouse de Bastia-Borgo. Le milieu de terrain a été remplacé à la 73e.
■ Benkaïd encore battu
Le Strasbourgeois Hicham Benkaïd et Orléans se sont inclinés vendredi soir à domicile devant Sète (1-0). L’attaquant au brassard de capitaine a été remplacé après 84 minutes de jeu.
■ Simakan remplaçant
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan et Leipzig ont subi vendredi leur troisième revers de rang en Bundesliga en s’inclinant 2-1 à Union Berlin, entraîné par Urs Fischer, l’ancien technicien du FC Bâle. Le défenseur central est entré en jeu à la 70e minute.
■ Moufi nettement battu par Porto
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense ont subi vendredi soir logiquement la loi du FC Porto, nettement vainqueur sur le score de 3-0.
■ Beau succès pour Ismaël
Le Strasbourgeois Valérien Ismaël amené West Bromwich Albion à une jolie victoire samedi sur le terrain de Coventry (2-1), ce qui leur permet de rester sur le podium du Championship.
■ Fuchs sans voix
Le Haut-Rhinois Jeando Fuchs et Dundee United ont dû reconnaître hier la supériorité des Celtic Glasgow, nettement victorieux 3-0.
■ Clauss et Lens pas récompensés
L’Alsacien Jonathan Clauss et Lens ont été rejoints samedi soir dans les arrêts de jeu par le Paris SG (1-1), qui ne méritait pas de repartir avec un point, tant les Lensois ont livré une belle partition.
■ Et de six pour Hérelle et Brest
L’ancien Colmarien Christophe Hérelle et le Stade brestois ne s’arrêtent plus. Samedi après-midi, ils ont signé un sixième succès de rang en allant s’imposer au Stade Vélodrome face à l’Olympique de Marseille (2-1). Les Bretons sont le tube de l’automne en Ligue 1.
■ Triplé pour Terrier, qui sort blessé
L’ancien Strasbourgeois Martin Terrier s’est offert hier un triplé, prenant la plus grande part du festival offensif de Rennes à Saint-Etienne (5-0). Touché à une cheville, il a cédé sa place à la 62e. Son coéquipier Jonas Martin, autre ancien du Racing, était également titulaire et a été remplacé à la 75e. Chez les Verts en perdition, le Colmarien Ryad Boudebouz, discret hier, et l’ex-Schilikois Jean-Philippe Krasso étaient titulaires. Ils sont sortis aux 77e et 62e minutes. Denis Bouanga, passé par le Racing, est entré à la mi-temps.
■ Oukidja a mal débuté
L’ancien portier du Racing Alexandre Oukidja a manqué sa première relance du match hier, puni par l’ouverture du score de Monaco. Les Monégasques ont facilement disposé de Metz sur le score de 4-0. L’ex-Strasbourgeois Youssouf Fofana est entré à la pause.
■ Salmier et Troyes renversés
$L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Troyes se sont inclinés samedi soir à Lille, après avoir pourtant ouvert le score (2-1). Le défenseur a été averti peu après la demi-heure de jeu.
■ Bahoken titulaire
L’ancien du Racing Stéphane Bahoken était titulaire hier à la pointe de l’attaque d’Angers, qui s’est imposé 2-1 à Reims. Il a été remplacé à la 80e.
90 minutes pour Guillaume. L’ancien Strasbourgeois Baptiste Guillaume et Valenciennes n’ont pas trouvé l’ouverture vendredi, mais ils ont pris un point probant à Ajaccio, le deuxième de la Ligue 2. L’attaquant aura l’occasion de croiser son ancien club en 32e de finale de la Coupe de France, le 16 décembre prochain.
■ Ndour a ouvert le score
Si Sochaux a renoué avec la victoire vendredi face à Pau (2-1), il le doit en partie à Abdallah Ndour, l’ancien Strasbourgeois, qui a ouvert le score en tout début de deuxième mi-temps. Le latéral a été remplacé à la 73e, alors que l’Alsacien Gaétan Weissbeck et l’autre ancien du Racing Ismaël Aaneba ont joué toute la partie. À Pau, l’ex-Colmarien Romain Armand était également titulaire. Il a été rappelé sur le banc à la 85e.
■ Soirée tranquille pour Gurtner
Régis Gurtner, le gardien alsacien d’Amiens, a passé une soirée plutôt sereine vendredi, son équipe prenant nettement le dessus sur Dunkerque, avant-dernier de la Ligue 2 (3-0).
■ 20 minutes pour Jung
Pas de retour victorieux pour Andrew Jung à Quevilly-Rouen, qu’il a largement aidé à monter en Ligue 2 l’an passé. L’attaquant désormais à Nancy, passé par Mulhouse et Ensisheim, est entré en jeu à la 70e, et les Lorrains ont encaissé un nouveau revers qui les enfonce un peu plus à la dernière place du classement (2-1).
■ Ouammou victorieux
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou a disputé toute la rencontre remportée vendredi par Rodez face à Nîmes (1-0).
■ Siby mieux que Saadi et Bocognano
Mahamé Siby, prêté par le Racing, et le Paris FC ont pris la mesure in extremis vendredi soir sur le SC Bastia, battu sur un penalty concédé à la 89e. Chez les Corses, l’ancien Mulhousien Yoann Bocognano et l’ex-Strasbourgeois Idriss Saadi étaient titulaires, le second cédant sa place à la 82e.
■ Mendy a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois Alexandre Mendy a ouvert le score pour Caen samedi après-midi à Auxerre. Face à des Bourguignons réduits à dix, les Normands ont quand même fini par être rejoints (2-2). Mehdi Chahiri a cédé sa place à la 56e à Nuno Da Costa, un remplacement entre deux anciens du Racing.
■ Beye fait tomber le leader
Après quelques semaines difficiles, Habib Beye, l’ancien Strasbourgeois, a mené le Red Star vendredi à la victoire face au leader du National Bourg-en-Bresse (2-1). Chez les Burgiens, les anciens Colmariens Anthony Soubervie et Thibaut Jaques, tout comme l’ex-Strasbourgeois Benjamin Corgnet, étaient titulaires. Ce dernier, averti à la 57e, a cédé sa place à la 77e. Bourg a cédé son fauteuil de leader à Villefranche.
■ Pierre-Charles égalise
Jordan Pierre-Charles, passé par les SR Colmar, a permis vendredi soir à Chambly de sauver le point du nul en égalisant à la 69e face à Sedan (2-2). Le latéral et le Colmarien Issak Umbdenstock ont disputé l’intégralité de la rencontre dans les rangs camblysiens.
■ 22 minutes pour Da Silva
L’ancien Mulhousien Sébastien Da Silva est entré à la 68e vendredi, participant ainsi à la victoire de Laval sur le terrain de Boulogne-sur-Mer (2-1).
■ Glaentzlin titulaire
En vue en Coupe de France, le Guebwillerois Victor Glaentzlin était titulaire vendredi soir dans les rangs du Mans, qui s’est incliné 1-0 sur la pelouse de Bastia-Borgo. Le milieu de terrain a été remplacé à la 73e.
■ Benkaïd encore battu
Le Strasbourgeois Hicham Benkaïd et Orléans se sont inclinés vendredi soir à domicile devant Sète (1-0). L’attaquant au brassard de capitaine a été remplacé après 84 minutes de jeu.
■ Simakan remplaçant
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan et Leipzig ont subi vendredi leur troisième revers de rang en Bundesliga en s’inclinant 2-1 à Union Berlin, entraîné par Urs Fischer, l’ancien technicien du FC Bâle. Le défenseur central est entré en jeu à la 70e minute.
■ Moufi nettement battu par Porto
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense ont subi vendredi soir logiquement la loi du FC Porto, nettement vainqueur sur le score de 3-0.
■ Beau succès pour Ismaël
Le Strasbourgeois Valérien Ismaël amené West Bromwich Albion à une jolie victoire samedi sur le terrain de Coventry (2-1), ce qui leur permet de rester sur le podium du Championship.
■ Fuchs sans voix
Le Haut-Rhinois Jeando Fuchs et Dundee United ont dû reconnaître hier la supériorité des Celtic Glasgow, nettement victorieux 3-0.
67120- d'r Kàpallmaischter
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Re: Les Brêves du Football
67120 Mer 15 Déc - 14:48
equipe a écrit :Les clubs européens menacent de ne pas libérer leurs joueurs pour la CAN
L'Association européenne des clubs (ECA) a menacé de ne pas libérer les joueurs internationaux pour la Coupe d'Afrique des nations au Cameroun (9 janvier-6 février), en raison de l'absence de protocole sanitaire rendu public par l'organisation, selon l'AFP.
L'Association européenne des clubs (ECA) a menacé de ne pas libérer les joueurs internationaux pour la Coupe d'Afrique des nations (CAN), du 9 janvier au 6 février au Cameroun, s'inquiétant pour le protocole sanitaire de l'épreuve sur fond de pandémie de Covid, selon un courrier que l'AFP s'est procuré mercredi.
« À notre connaissance, la Confédération africaine de football n'a pas encore rendu public un protocole médical et opérationnel adapté pour le tournoi de la CAN, en l'absence duquel les clubs ne seront pas en mesure de libérer leurs joueurs pour le tournoi », peut-on lire dans ce courrier électronique adressé vendredi à la FIFA.
« Nous travaillons jour et nuit afin de s'assurer que tout soit en place pour le match d'ouverture du 9 janvier 2022 »
Outre le protocole sanitaire du tournoi (9 janvier-6 février), l'ECA pointe surtout le risque d'une absence des internationaux plus longue que la période de mise à disposition prévue, en raison des « quarantaines et restrictions de déplacement » liées notamment à l'émergence du variant Omicron du coronavirus.
Selon les règles assouplies de libération des internationaux, confirmées à plusieurs reprises par la FIFA depuis août 2020, les clubs peuvent retenir leurs joueurs si « une quarantaine d'au moins cinq jours est obligatoire à compter de l'arrivée » sur le lieu « où est censé se disputer le match de l'équipe nationale » du joueur, ou sur le lieu du club de celui-ci à son retour. Le Conseil d'administration de l'ECA, début décembre, a réaffirmé que ces principes devaient être « strictement respectés », fait valoir le courrier obtenu par l'AFP et adressé à Mattias Grafström, secrétaire général adjoint de la FIFA en charge du football. « Dans le cas contraire, les joueurs ne doivent pas être libérés pour leur équipe nationale », juge l'ECA.
Des rumeurs autour d'une éventuelle annulation
Sollicitée par l'AFP, la Confédération africaine de football s'est refusée à tout commentaire et a renvoyé vers un communiqué publié mercredi matin où Véron Mosengo-Omba, secrétaire général de la CAF, exhorte le comité d'organisation camerounais à « travailler jour et nuit afin de s'assurer que tout soit en place pour le match d'ouverture du 9 janvier 2022 ».
L'envoi de ce courrier de l'ECA à la FIFA intervient alors que s'accumulent les rumeurs autour d'une éventuelle annulation de la CAN, ou bien d'un nouveau report du tournoi, initialement programmé en 2021 mais repoussé d'un an en raison de la pandémie. Interrogé par l'AFP, un haut dirigeant de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a qualifié ces spéculations de « fake news ».
L'Association européenne des clubs (ECA) a menacé de ne pas libérer les joueurs internationaux pour la Coupe d'Afrique des nations au Cameroun (9 janvier-6 février), en raison de l'absence de protocole sanitaire rendu public par l'organisation, selon l'AFP.
L'Association européenne des clubs (ECA) a menacé de ne pas libérer les joueurs internationaux pour la Coupe d'Afrique des nations (CAN), du 9 janvier au 6 février au Cameroun, s'inquiétant pour le protocole sanitaire de l'épreuve sur fond de pandémie de Covid, selon un courrier que l'AFP s'est procuré mercredi.
« À notre connaissance, la Confédération africaine de football n'a pas encore rendu public un protocole médical et opérationnel adapté pour le tournoi de la CAN, en l'absence duquel les clubs ne seront pas en mesure de libérer leurs joueurs pour le tournoi », peut-on lire dans ce courrier électronique adressé vendredi à la FIFA.
« Nous travaillons jour et nuit afin de s'assurer que tout soit en place pour le match d'ouverture du 9 janvier 2022 »
Outre le protocole sanitaire du tournoi (9 janvier-6 février), l'ECA pointe surtout le risque d'une absence des internationaux plus longue que la période de mise à disposition prévue, en raison des « quarantaines et restrictions de déplacement » liées notamment à l'émergence du variant Omicron du coronavirus.
Selon les règles assouplies de libération des internationaux, confirmées à plusieurs reprises par la FIFA depuis août 2020, les clubs peuvent retenir leurs joueurs si « une quarantaine d'au moins cinq jours est obligatoire à compter de l'arrivée » sur le lieu « où est censé se disputer le match de l'équipe nationale » du joueur, ou sur le lieu du club de celui-ci à son retour. Le Conseil d'administration de l'ECA, début décembre, a réaffirmé que ces principes devaient être « strictement respectés », fait valoir le courrier obtenu par l'AFP et adressé à Mattias Grafström, secrétaire général adjoint de la FIFA en charge du football. « Dans le cas contraire, les joueurs ne doivent pas être libérés pour leur équipe nationale », juge l'ECA.
Des rumeurs autour d'une éventuelle annulation
Sollicitée par l'AFP, la Confédération africaine de football s'est refusée à tout commentaire et a renvoyé vers un communiqué publié mercredi matin où Véron Mosengo-Omba, secrétaire général de la CAF, exhorte le comité d'organisation camerounais à « travailler jour et nuit afin de s'assurer que tout soit en place pour le match d'ouverture du 9 janvier 2022 ».
L'envoi de ce courrier de l'ECA à la FIFA intervient alors que s'accumulent les rumeurs autour d'une éventuelle annulation de la CAN, ou bien d'un nouveau report du tournoi, initialement programmé en 2021 mais repoussé d'un an en raison de la pandémie. Interrogé par l'AFP, un haut dirigeant de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a qualifié ces spéculations de « fake news ».
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Re: Les Brêves du Football
67120 Lun 14 Fév - 13:56
les performances du week-end des Alsaciens et des joueurs passés par l’Alsace
Martin et Terrier cèdent sur la fin
Les anciens Strasbourgeois Jonas Martin et Martin Terrier ont longtemps cru pouvoir résister au Paris Saint-Germain vendredi soir. Mais les Rennais ont fini par céder durant le temps additionnel sur un but de Mbappé. Remplacé à la 89e, Terrier a suivi ce but depuis le banc de touche (1-0).
Schneiderlin titulaire
L’Alsacien Morgan Schneiderlin a disputé samedi soir l’intégralité de la rencontre perdue par Nice sur le terrain de l’Olympique lyonnais (2-0).
Dreyer reste solide
Deux matches, et deux cleen-sheets pour l’Alsacien Matthieu Dreyer. Le gardien lorientais a fait ce qu’il fallait hier aprs-midi pour permettre aux Bretons de repartir de Monaco avec le point du match nul (0-0). Chez les Monégasques, l’ancien Strasbourgeois Youssouf Fofana est resté cette fois sur le banc de touche.
Salmier et Mothiba sombrent et sortent
Troyes n’a pas vu le jour hier à Brest (5-1). L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Lebo Mothiba, prêté par le Racing cette seconde partie de saison, étaient titulaires et ont tous deux été remplacés à l’heure de jeu.
Boudebouz laisse la lanterne rouge
Le Colmarien Ryad Boudebouz, averti en première période, et Saint-Etienne ont renversé hier après-midi Clermont. Leur victoire 2-1 leur permet d’abandonner la dernière place de Ligue 1. Le Haut-Rhinois a été remplacé à la 87e, alors que l’ancien Strasbourgeois Denis Bouanga est entré en jeu à la 54e minute.
Clauss impliqué sur le premier but
L’Alsacien Jonathan Clauss a été impliqué sur le premier but lensois, survenu après que son centre a créé la panique dans la défense bordelaise. Le piston droit a été remplacé à la 82e. Son équipe a résisté au retour bordelais (3-2)
Krasso remplacé
L’ancien Schilikois Jean-Philippe Krasso était titulaire au sein de l’AC Ajaccio, qui, vite réduit à dix, s’est inclinée 1-0 devant Guingamp samedi soir. L’attaquant a été remplacé à la 69e minute.
Gurtner engrange
Même s’il a encaissé un somptueux coup franc, l’Alsacien Régis Gurtner a remporté un nouveau succès avec Amiens samedi soir face à Niort (3-1). Chez les visiteurs, l’ancien Strasbourgeois Moataz Zemzemi était titulaire, cédant sa place à la 57e.
Le temps additionnel pour Jung
Andrew Jung, passé par Ensisheim et Mulhouse, a attendu le temps additionnel pour entrer en jeu samedi. Son équipe de Nancy a obtenu un bon point à Auxerre (1-1).
Trois buts pour Da Costa et Mendy
Les deux anciens Strasbourgeois Nuno Da Costa et Alexandre Mendy se sont fait plaisir samedi soir face à Nîmes (4-0). Le premier (remplacé à la 66e) a ouvert le score, le second a inscrit les deuxième et troisième buts. Ce dernier a été remplacé à la 76e par Anthony Gonçalves, lui aussi passé par le Racing.
Armand victorieux
L’ancien Colmarien Romain Armand et Pau ont réalisé samedi une excellente opération en s’imposant 1-0 sur la pelouse de Dijon.
Ouammou remplaçant
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou est entré en jeu à la 55e samedi soir. Son équipe de Rodez s’est inclinée 2-0 à Dunkerque.
Weissbeck a égalisé
L’Alsacien Gaétan Weissbeck a permis à Sochaux de revenir dans la partie samedi soir à Grenoble. Réduits à dix, les Sochaliens ont renversé la partie dans les derniers instants pour l’emporter 3-1. Les deux anciens Strasbourgeois Ismaël Aaneba et Abdallah Ndour nt encore abattu un gros travail en défense.
Boutaïb clôt le score
Passé du Havre au Paris FC en fin de mercato, l’ancien Strasbourgeois Khalid Boutaïb a inscrit le troisième but du Paris FC samedi sur penalty, portant le score à 3-0 face à Quevilly-Rouen. Il a été remplacé à la 87e, tout comme Mahame Siby, prêté par le Racing cette saison.
Bastian toujours sur le podium
Prêté par le Racing, Maxime Bastian continue de s’accrocher au podium du National. Son équipe d’Annecy a battu Chambly 3-2 vendredi soir. Chez les visiteurs, l’ancien Colmarien Jordan Pierre-Charles et le Colmarien Isaak Umbdenstock ont disputé l’intégralité de la rencontre.
Jaques et Corgnet mieux que Damour
L’ancien Strasbourgeois Loïc Damour et Le Mans, battus vendredi soir à domicile par Bourg-en-Bresse, se retrouvent désormais à sept points du podium du National. A Bourg, l’ancien Colmarien Thibaut Jaques a bien tenu la défense, tandis que l’ancien du Racing Benjamin Corgnet a été rappelé sur le banc à la 62e.
20 minutes pour Simakan
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan est entré en jeu à la 70e minute vendredi soir pour assurer le succès de Leipzig face à Cologne (3-1)
Schmid reste sur le banc
Alors que Fribourg piétine en ce début d’année et a concédé samedi le nul à domicile face à Mayence (1-1) ; le Strasbourgeois Jonathan Schmid est resté sur le banc de touche.
Pululu entre sur la fin
Le Mulhousien Afimico Pululu est entré en jeu à la 83e minute, disputant les dernières minutes d’une rencontre remportée par Fürth face au Hertha Berlin (2-1).
Une heure pour Lebeau
L’ancien Strasbourgeois Adrien Lebeau a été remplacé à la 62e minute samedi à Türkgücü Munich, où son équipe de Mannheim a obtenu le point du nul 0-0.
Fuchs titulaire
Jeando Fuchs a été une nouvelle fois titularisé au sein de sa nouvelle formation de Peterborough, avec laquelle il n’a pas encore grand succès en Championship. Elle s’est inclinée à domicile samedi face à Preston North End. Le milieu de terrain a été remplacé à la 81e.
Cuisance victorieux
Le Strasbourgeois Michaël Cuisance et Venise ont remporté samedi un match important au Torino (2-1) dans leur lutte pour le maintien. Le milieu de terrain a été rappelé sur le banc à la 72e.
Un nul pour Moufi
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense ont été accrochés samedi soir à domicile par Boavista Porti (1-1).
dna
Martin et Terrier cèdent sur la fin
Les anciens Strasbourgeois Jonas Martin et Martin Terrier ont longtemps cru pouvoir résister au Paris Saint-Germain vendredi soir. Mais les Rennais ont fini par céder durant le temps additionnel sur un but de Mbappé. Remplacé à la 89e, Terrier a suivi ce but depuis le banc de touche (1-0).
Schneiderlin titulaire
L’Alsacien Morgan Schneiderlin a disputé samedi soir l’intégralité de la rencontre perdue par Nice sur le terrain de l’Olympique lyonnais (2-0).
Dreyer reste solide
Deux matches, et deux cleen-sheets pour l’Alsacien Matthieu Dreyer. Le gardien lorientais a fait ce qu’il fallait hier aprs-midi pour permettre aux Bretons de repartir de Monaco avec le point du match nul (0-0). Chez les Monégasques, l’ancien Strasbourgeois Youssouf Fofana est resté cette fois sur le banc de touche.
Salmier et Mothiba sombrent et sortent
Troyes n’a pas vu le jour hier à Brest (5-1). L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Lebo Mothiba, prêté par le Racing cette seconde partie de saison, étaient titulaires et ont tous deux été remplacés à l’heure de jeu.
Boudebouz laisse la lanterne rouge
Le Colmarien Ryad Boudebouz, averti en première période, et Saint-Etienne ont renversé hier après-midi Clermont. Leur victoire 2-1 leur permet d’abandonner la dernière place de Ligue 1. Le Haut-Rhinois a été remplacé à la 87e, alors que l’ancien Strasbourgeois Denis Bouanga est entré en jeu à la 54e minute.
Clauss impliqué sur le premier but
L’Alsacien Jonathan Clauss a été impliqué sur le premier but lensois, survenu après que son centre a créé la panique dans la défense bordelaise. Le piston droit a été remplacé à la 82e. Son équipe a résisté au retour bordelais (3-2)
Krasso remplacé
L’ancien Schilikois Jean-Philippe Krasso était titulaire au sein de l’AC Ajaccio, qui, vite réduit à dix, s’est inclinée 1-0 devant Guingamp samedi soir. L’attaquant a été remplacé à la 69e minute.
Gurtner engrange
Même s’il a encaissé un somptueux coup franc, l’Alsacien Régis Gurtner a remporté un nouveau succès avec Amiens samedi soir face à Niort (3-1). Chez les visiteurs, l’ancien Strasbourgeois Moataz Zemzemi était titulaire, cédant sa place à la 57e.
Le temps additionnel pour Jung
Andrew Jung, passé par Ensisheim et Mulhouse, a attendu le temps additionnel pour entrer en jeu samedi. Son équipe de Nancy a obtenu un bon point à Auxerre (1-1).
Trois buts pour Da Costa et Mendy
Les deux anciens Strasbourgeois Nuno Da Costa et Alexandre Mendy se sont fait plaisir samedi soir face à Nîmes (4-0). Le premier (remplacé à la 66e) a ouvert le score, le second a inscrit les deuxième et troisième buts. Ce dernier a été remplacé à la 76e par Anthony Gonçalves, lui aussi passé par le Racing.
Armand victorieux
L’ancien Colmarien Romain Armand et Pau ont réalisé samedi une excellente opération en s’imposant 1-0 sur la pelouse de Dijon.
Ouammou remplaçant
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou est entré en jeu à la 55e samedi soir. Son équipe de Rodez s’est inclinée 2-0 à Dunkerque.
Weissbeck a égalisé
L’Alsacien Gaétan Weissbeck a permis à Sochaux de revenir dans la partie samedi soir à Grenoble. Réduits à dix, les Sochaliens ont renversé la partie dans les derniers instants pour l’emporter 3-1. Les deux anciens Strasbourgeois Ismaël Aaneba et Abdallah Ndour nt encore abattu un gros travail en défense.
Boutaïb clôt le score
Passé du Havre au Paris FC en fin de mercato, l’ancien Strasbourgeois Khalid Boutaïb a inscrit le troisième but du Paris FC samedi sur penalty, portant le score à 3-0 face à Quevilly-Rouen. Il a été remplacé à la 87e, tout comme Mahame Siby, prêté par le Racing cette saison.
Bastian toujours sur le podium
Prêté par le Racing, Maxime Bastian continue de s’accrocher au podium du National. Son équipe d’Annecy a battu Chambly 3-2 vendredi soir. Chez les visiteurs, l’ancien Colmarien Jordan Pierre-Charles et le Colmarien Isaak Umbdenstock ont disputé l’intégralité de la rencontre.
Jaques et Corgnet mieux que Damour
L’ancien Strasbourgeois Loïc Damour et Le Mans, battus vendredi soir à domicile par Bourg-en-Bresse, se retrouvent désormais à sept points du podium du National. A Bourg, l’ancien Colmarien Thibaut Jaques a bien tenu la défense, tandis que l’ancien du Racing Benjamin Corgnet a été rappelé sur le banc à la 62e.
20 minutes pour Simakan
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan est entré en jeu à la 70e minute vendredi soir pour assurer le succès de Leipzig face à Cologne (3-1)
Schmid reste sur le banc
Alors que Fribourg piétine en ce début d’année et a concédé samedi le nul à domicile face à Mayence (1-1) ; le Strasbourgeois Jonathan Schmid est resté sur le banc de touche.
Pululu entre sur la fin
Le Mulhousien Afimico Pululu est entré en jeu à la 83e minute, disputant les dernières minutes d’une rencontre remportée par Fürth face au Hertha Berlin (2-1).
Une heure pour Lebeau
L’ancien Strasbourgeois Adrien Lebeau a été remplacé à la 62e minute samedi à Türkgücü Munich, où son équipe de Mannheim a obtenu le point du nul 0-0.
Fuchs titulaire
Jeando Fuchs a été une nouvelle fois titularisé au sein de sa nouvelle formation de Peterborough, avec laquelle il n’a pas encore grand succès en Championship. Elle s’est inclinée à domicile samedi face à Preston North End. Le milieu de terrain a été remplacé à la 81e.
Cuisance victorieux
Le Strasbourgeois Michaël Cuisance et Venise ont remporté samedi un match important au Torino (2-1) dans leur lutte pour le maintien. Le milieu de terrain a été rappelé sur le banc à la 72e.
Un nul pour Moufi
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense ont été accrochés samedi soir à domicile par Boavista Porti (1-1).
dna
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Re: Les Brêves du Football
67120 Mer 23 Mar - 13:50
dna a écrit :L'Alsacien Jonathan Clauss en Bleu : « J’ai dû me pincer pour y croire »
Appelé pour la première fois en équipe de France, Jonathan Clauss a encore du mal à réaliser ce qui lui arrive. L’Alsacien au parcours atypique, encore amateur en 2017, a la tête dans les étoiles. Mais il garde les pieds bien sur terre. Son prochain défi : s’inscrire dans la durée chez les Bleus.
Est-ce que la date du 17 novembre 2015 vous dit quelque chose ?
« Non… »
C’est la dernière sélection de Morgan Schneiderlin. Depuis, il n’y a plus eu d’Alsaciens en équipe de France. Et c’est à votre tour de prendre la relève…
« C’est beau. Après, je ne sais pas si je vais prendre la relève. En tout cas, c’est une fierté de représenter l’Alsace sur ce rassemblement. C’est dingue. »
On a vu votre émotion lors de l’annonce de la liste. Racontez-nous ce que vous avez ressenti à ce moment-là ?
« Je n’étais pas spécialement au courant de quoi que ce soit. Je savais que j’avais la possibilité d’y être. J’ai regardé l’annonce avec le groupe (lensois) devant la télé. Je me suis dit : « Et pourquoi pas ? ». Quand il (Didier Deschamps) prononce mon nom, c’est dingue, c’est quelque chose à quoi je ne pensais pas, même si j’espérais un peu. Et puis c’est arrivé… »
« Ce sont surtout les gens qui avaient une attente par rapport à ça (une éventuelle sélection) »
Lorsque vous avez appelé votre maman, vous n’avez pas arrêté de pleurer…
« Le temps que tout le monde me félicite, je me suis posé un peu. J’ai pleuré parce qu’il y avait beaucoup d’émotions, le temps de faire redescendre la pression. Et quand je l’ai appelée, il n’y avait pas un mot qui sortait, parce que j’étais tellement content de la voir heureuse. J’étais presque plus content pour mes parents (Josiane et Jean-Luc), ma sœur (Julie)…»
C’est même toute une région qui est fière de vous…
« Quand j’ai vu tous les messages, c’était incroyable, vraiment incroyable (il insiste). Je ne pouvais pas répondre à tout le monde tout de suite. C’était dingue de voir autant de soutien. »
À partir de quand avez-vous commencé à croire à une possible sélection ?
« Je n’y ai jamais cru à 100 %. Je me donnais les moyens d’y croire, mais dans ma tête je ne me projetais pas du tout sur un événement comme celui-là. C’est pour ça que la surprise a été encore plus belle. Moi, je bossais au quotidien pour être performant avec mon club (le RC Lens), avec mes coéquipiers pour être performant sur le terrain chaque week-end. Ce sont surtout les gens qui en parlaient, qui avaient une attente par rapport à ça (une éventuelle sélection). Moi, je ne l’évoquais pas, j’avais besoin de prendre du recul, de me concentrer sur ce que je fais sur le terrain et en dehors pour éventuellement y arriver. Je savais qu’il y avait encore du chemin à faire et que j’étais prêt à le faire sans qu’il n’y ait rien d’acquis. Encore aujourd’hui, ce n’est pas parce que je suis là aujourd’hui que je me dis que c’est bon, je suis tranquille, au pire je fais deux matches, je rentre chez moi et si je ne suis plus appelé tant pis. Non. Maintenant que j’ai ma chance, je veux montrer ce que je vaux. »
« Je dois me dire que je suis à ma place »
Votre arrivée au château de Clairefontaine vous a-t-elle fait prendre conscience de l’importance du moment dans votre vie ?
« J’ai mis un petit moment, le temps de voir le coach et les autres joueurs. C’est un monde qui ne m’est pas familier. Il me fallait du temps pour m’adapter. Quand j’étais dans le vestiaire, au moment de prendre ma douche, j’ai dû me pincer un peu pour me dire que ça m’arrivait vraiment. Ensuite, j’ai dû me préparer pour ma chanson (de bizutage, Avec classe de Corneille). J’étais stressé à mort mais ça s’est plutôt bien passé. Ensuite, j’ai vraiment pris conscience que j’étais là et qu’il fallait que je fasse en sorte d’être vraiment là et pas d’être spectateur. Ensuite, j’ai pu discuter avec le sélectionneur. »
Vous venez de le dire, ce monde n’était pas le vôtre jusqu’à votre arrivée à Clairefontaine. Vous sentez-vous à votre place ?
« Je n’ai pas le choix, sinon je ne vais pas vivre le truc à fond ! Je ne vais discuter avec personne alors que je me rends compte qu’ils sont très ouverts, je l’ai constaté hier (lundi) lors du décrassage. Ils ont discuté avec moi alors que je n’avais pas l’impression que je pouvais intéresser quelqu’un… Je dois me dire que je suis à ma place, c’est le sens de la discussion que j’ai eue avec le sélectionneur. »
De qui vous vous êtes rapproché depuis votre arrivée ?
« J’ai surtout discuté avec Raphaël Varane. Il y a eu la connexion RC Lens. On a parlé de ce que lui a connu il y a dix ans (pour ses premières sélections) et de ce qui m’arrive. »
« Je ne vais pas avoir la tête plus grosse que la lune »
Est-ce que c’est trop bateau de parler de conte de fées pour décrire ce qui vous arrive depuis 18 mois ?
« Non, c’est la réalité. C’est extraordinaire ce qui m’arrive. Ma vie a changé, mais moi je n’ai pas changé. Et je n’ai pas envie que les gens changent autour de moi par rapport à mon nouveau statut. Je resterai la même personne, je ne vais pas avoir la tête plus grosse que la lune. Je sais qui sont mes amis, les gens bienveillants avec moi, ceux qui m’entourent depuis très longtemps et qui sont ici dans la lumière parce que j’y suis aussi. Mais je ne vais pas m’enflammer non plus. »
Êtes-vous surpris par votre progression fulgurante depuis votre retour en France en 2020 ?
« Je me suis surpris moi-même par ma force de caractère. Quand je suis revenu en France, je mettais à nouveau un pied dans l’inconnu alors que j’aurais pu rester dans le confort, entre guillemets, en restant à Bielefeld (qui venait d’être promu en Bundesliga, ndlr) parce que je faisais pleinement partie de cette équipe. Je me suis lancé un nouveau défi pour voir si j’en suis capable. Mon temps d’adaptation n’a pas été si long au final. Je ne me donne pas de limites, mais je bosse. Je me donne tous les moyens, mais vraiment tous, pour atteindre ces choses-là. Au moins, j’aurai tout essayé. Si je ne suis pas capable, que je me touche ma limite, c’est pas grave, mais au moins j’aurai mis tout en œuvre. »
Votre passage à l’Arminia Bielefeld (2018-2020) a-t-il été le vrai tournant de votre carrière ?
« J’ai été confronté à l’exigence de l’environnement en Allemagne, au-delà du coach (Uwe Neuhaus), du staff et des joueurs. Quand j’ai fait une erreur ou deux, j’ai compris que j’avais intérêt à ne plus les refaire. Ça m’a fait du bien. Je me suis dit : « Tu veux avancer, les gens te font confiance, alors te loupes plus. » Et à partir de là, je suis allé tout droit… »
Au-delà du public lensois qui a milité pour votre présence en équipe de France, on sent que vous bénéficiez d’une vraie cote de sympathie…
« Je le ressens bien sûr. Les gens se retrouvent en moi parce que je ne change pas. Je ne me permettrai pas vis-à-vis de mon éducation, de mes parents, de mon entourage, de prendre la grosse tête sinon je me tirerai moi-même une balle dans le pied. Personne ne l’accepterait autour de moi. Le public lensois a été extraordinaire avec moi. Quand j’étais dans une période moins bien, que je ne mettais plus un pied devant l’autre, j’avais un nombre incroyable de messages positifs – « c’est rien, ça arrive », « on sera toujours là pour toi » – si je postais quelque chose sur Insta. Peut-être que je me croyais zéro et que je ne l’étais pas. Pour moi, je leur dois d’être bon. Je dois réagir (quand ça ne va pas) mais je peux me prendre le temps de guérir intérieurement. Comprendre ça, ça a été la plus belle chose qui pouvait m’arriver… »
« Je me fais tous les scénarios possibles »
Cette première convocation chez les Bleus ne doit pas être une finalité…
« Je sais que je vais être jugé. Je me fais tous les scénarios possibles. Si je me loupe, je saurai ce que j’ai encore à bosser. Si je ne suis pas à la hauteur de l’événement, ce n’est pas pour autant que je vais m’arrêter là. Je vais rebondir là-dessus pour essayer de faire encore mieux. Et si ça se passe bien, tant mieux, et on va voir si je suis capable d’en faire encore plus. Ce n’est pas une finalité. Je suis aussi là pour apprendre, c’est ma première, je n’ai pas connu la Ligue des champions ni la coupe d’Europe. Je dois être au niveau, me mettre au niveau au quotidien. »
En équipe de France, il y a un nouveau système avec deux pistons. Personne ne s’est encore imposé à droite de la défense. Vous avez une belle carte à jouer…
« Je ne peux pas savoir si j’ai plus de chance que d’autres d’être titulaire. Si les mecs sont performants et qu’ils sont là, peu importe le système, c’est qu’ils méritent d’être là. »
Comment définiriez-vous votre poste de prédilection ?
« C’est tout ce que j’aime. C’est plus facile – on s’entend – d’évoluer dans un système qu’on aime. Tu dois animer un couloir à toi tout seul et je trouve ça dingue de devoir défendre comme un défenseur, attaquer comme un ailier, compenser comme un milieu, de devoir courir, se dépenser, être dans le dernier geste défensif comme offensif. Il y a tout ! »
« Si je ne m’en sentais pas capable, je ne serais pas venu »
Est-ce que vous appréhendez de vous frotter au niveau international ?
« Oui, comme tous les joueurs qui le découvrent. C’est le top, top niveau. Il va falloir que je me libère sur le terrain, à l’entraînement, que je prenne mes marques. Et après on verra ce que je sais faire. Mais si je ne m’en sentais pas capable, je ne serais pas venu. Il y a cette adrénaline qui te fait vibrer. »
Fin 2022, il y aura la Coupe du monde au Qatar. Est-ce que c’est un rendez-vous auquel vous pensez ?
« Pas pour l’instant, non. Là, je suis dans mon truc, je ne peux pas griller les étapes et encore moins celles-là. Là, c’est entraînement ce soir (mardi), entraînement demain (mercredi). Je vis ma semaine à fond et après on verra. »
À 29 ans, vous arrivez à un moment charnière de votre carrière en club. Est-ce que vous envisagez de rejoindre bientôt un cador européen ?
« Qui n’aurait pas envie de découvrir la Ligue des champions ? Après, est-ce que ça se fera ou pas, ce n’est pas entre mes mains pour l’instant et je n’y pense pas. »
Il aurait dû être en train de bronzer à Marrakech. Finalement, c’est au centre national du football de Clairefontaine qu’il prend le soleil cette semaine. Jonathan Clauss a annulé avec plaisir ses vacances marocaines pour découvrir l’équipe de France, à 29 ans, un Graal qu’il n’imaginait pas accessible il y a quelque temps encore.
Son arrivée au château ne l’a pas vraiment sorti de son rêve éveillé. Mis dans le bain par le sélectionneur Didier Deschamps et ses nouveaux coéquipiers, en particulier Raphaël Varane avec qui il a pu deviser du RC Lens durant le footing de lundi, l’enfant d’Osthoffen a bien conscience de pénétrer dans un nouveau monde où il détonne en raison de son parcours cabossé.
Durant les dix jours de son premier rassemblement, il entend bien prendre la mesure de son nouvel environnement même s’il a dû se « pincer » pour y croire. Après avoir poussé la chansonnette – « Avec classe » de Corneille – et passé sa première nuit en bleu dans la chambre Marcel Desailly, Jonathan Clauss nous a livré ses premières impressions de néo-international. « C’est dingue », n’a-t-il eu de cesse de répéter tout au long de l’entretien.
Bio express
➤ Né le 25 septembre 1992 à Strasbourg (Bas-Rhin).
Taille : 1m78
Poste : latéral droit
Clubs : FC Osthoffen (1998-2000), RC Strasbourg (2000-2010), Vauban Strasbourg (2010-2013), SV Linx (2013-2015), Raon l’Étape (2015-2016), Avranches (2016-2017), Quevilly Rouen (2017-2018), Arminia Bielefield (2018-2020), Lens (depuis 2020).
Cette saison : 31 matches (28 en Ligue 1, 3 en Coupe de France) 4 buts, 9 passes décisives
Palmarès : Champion de D2 Allemande 2020
Appelé pour la première fois en équipe de France, Jonathan Clauss a encore du mal à réaliser ce qui lui arrive. L’Alsacien au parcours atypique, encore amateur en 2017, a la tête dans les étoiles. Mais il garde les pieds bien sur terre. Son prochain défi : s’inscrire dans la durée chez les Bleus.
Est-ce que la date du 17 novembre 2015 vous dit quelque chose ?
« Non… »
C’est la dernière sélection de Morgan Schneiderlin. Depuis, il n’y a plus eu d’Alsaciens en équipe de France. Et c’est à votre tour de prendre la relève…
« C’est beau. Après, je ne sais pas si je vais prendre la relève. En tout cas, c’est une fierté de représenter l’Alsace sur ce rassemblement. C’est dingue. »
On a vu votre émotion lors de l’annonce de la liste. Racontez-nous ce que vous avez ressenti à ce moment-là ?
« Je n’étais pas spécialement au courant de quoi que ce soit. Je savais que j’avais la possibilité d’y être. J’ai regardé l’annonce avec le groupe (lensois) devant la télé. Je me suis dit : « Et pourquoi pas ? ». Quand il (Didier Deschamps) prononce mon nom, c’est dingue, c’est quelque chose à quoi je ne pensais pas, même si j’espérais un peu. Et puis c’est arrivé… »
« Ce sont surtout les gens qui avaient une attente par rapport à ça (une éventuelle sélection) »
Lorsque vous avez appelé votre maman, vous n’avez pas arrêté de pleurer…
« Le temps que tout le monde me félicite, je me suis posé un peu. J’ai pleuré parce qu’il y avait beaucoup d’émotions, le temps de faire redescendre la pression. Et quand je l’ai appelée, il n’y avait pas un mot qui sortait, parce que j’étais tellement content de la voir heureuse. J’étais presque plus content pour mes parents (Josiane et Jean-Luc), ma sœur (Julie)…»
C’est même toute une région qui est fière de vous…
« Quand j’ai vu tous les messages, c’était incroyable, vraiment incroyable (il insiste). Je ne pouvais pas répondre à tout le monde tout de suite. C’était dingue de voir autant de soutien. »
À partir de quand avez-vous commencé à croire à une possible sélection ?
« Je n’y ai jamais cru à 100 %. Je me donnais les moyens d’y croire, mais dans ma tête je ne me projetais pas du tout sur un événement comme celui-là. C’est pour ça que la surprise a été encore plus belle. Moi, je bossais au quotidien pour être performant avec mon club (le RC Lens), avec mes coéquipiers pour être performant sur le terrain chaque week-end. Ce sont surtout les gens qui en parlaient, qui avaient une attente par rapport à ça (une éventuelle sélection). Moi, je ne l’évoquais pas, j’avais besoin de prendre du recul, de me concentrer sur ce que je fais sur le terrain et en dehors pour éventuellement y arriver. Je savais qu’il y avait encore du chemin à faire et que j’étais prêt à le faire sans qu’il n’y ait rien d’acquis. Encore aujourd’hui, ce n’est pas parce que je suis là aujourd’hui que je me dis que c’est bon, je suis tranquille, au pire je fais deux matches, je rentre chez moi et si je ne suis plus appelé tant pis. Non. Maintenant que j’ai ma chance, je veux montrer ce que je vaux. »
« Je dois me dire que je suis à ma place »
Votre arrivée au château de Clairefontaine vous a-t-elle fait prendre conscience de l’importance du moment dans votre vie ?
« J’ai mis un petit moment, le temps de voir le coach et les autres joueurs. C’est un monde qui ne m’est pas familier. Il me fallait du temps pour m’adapter. Quand j’étais dans le vestiaire, au moment de prendre ma douche, j’ai dû me pincer un peu pour me dire que ça m’arrivait vraiment. Ensuite, j’ai dû me préparer pour ma chanson (de bizutage, Avec classe de Corneille). J’étais stressé à mort mais ça s’est plutôt bien passé. Ensuite, j’ai vraiment pris conscience que j’étais là et qu’il fallait que je fasse en sorte d’être vraiment là et pas d’être spectateur. Ensuite, j’ai pu discuter avec le sélectionneur. »
Vous venez de le dire, ce monde n’était pas le vôtre jusqu’à votre arrivée à Clairefontaine. Vous sentez-vous à votre place ?
« Je n’ai pas le choix, sinon je ne vais pas vivre le truc à fond ! Je ne vais discuter avec personne alors que je me rends compte qu’ils sont très ouverts, je l’ai constaté hier (lundi) lors du décrassage. Ils ont discuté avec moi alors que je n’avais pas l’impression que je pouvais intéresser quelqu’un… Je dois me dire que je suis à ma place, c’est le sens de la discussion que j’ai eue avec le sélectionneur. »
De qui vous vous êtes rapproché depuis votre arrivée ?
« J’ai surtout discuté avec Raphaël Varane. Il y a eu la connexion RC Lens. On a parlé de ce que lui a connu il y a dix ans (pour ses premières sélections) et de ce qui m’arrive. »
« Je ne vais pas avoir la tête plus grosse que la lune »
Est-ce que c’est trop bateau de parler de conte de fées pour décrire ce qui vous arrive depuis 18 mois ?
« Non, c’est la réalité. C’est extraordinaire ce qui m’arrive. Ma vie a changé, mais moi je n’ai pas changé. Et je n’ai pas envie que les gens changent autour de moi par rapport à mon nouveau statut. Je resterai la même personne, je ne vais pas avoir la tête plus grosse que la lune. Je sais qui sont mes amis, les gens bienveillants avec moi, ceux qui m’entourent depuis très longtemps et qui sont ici dans la lumière parce que j’y suis aussi. Mais je ne vais pas m’enflammer non plus. »
Êtes-vous surpris par votre progression fulgurante depuis votre retour en France en 2020 ?
« Je me suis surpris moi-même par ma force de caractère. Quand je suis revenu en France, je mettais à nouveau un pied dans l’inconnu alors que j’aurais pu rester dans le confort, entre guillemets, en restant à Bielefeld (qui venait d’être promu en Bundesliga, ndlr) parce que je faisais pleinement partie de cette équipe. Je me suis lancé un nouveau défi pour voir si j’en suis capable. Mon temps d’adaptation n’a pas été si long au final. Je ne me donne pas de limites, mais je bosse. Je me donne tous les moyens, mais vraiment tous, pour atteindre ces choses-là. Au moins, j’aurai tout essayé. Si je ne suis pas capable, que je me touche ma limite, c’est pas grave, mais au moins j’aurai mis tout en œuvre. »
Votre passage à l’Arminia Bielefeld (2018-2020) a-t-il été le vrai tournant de votre carrière ?
« J’ai été confronté à l’exigence de l’environnement en Allemagne, au-delà du coach (Uwe Neuhaus), du staff et des joueurs. Quand j’ai fait une erreur ou deux, j’ai compris que j’avais intérêt à ne plus les refaire. Ça m’a fait du bien. Je me suis dit : « Tu veux avancer, les gens te font confiance, alors te loupes plus. » Et à partir de là, je suis allé tout droit… »
Au-delà du public lensois qui a milité pour votre présence en équipe de France, on sent que vous bénéficiez d’une vraie cote de sympathie…
« Je le ressens bien sûr. Les gens se retrouvent en moi parce que je ne change pas. Je ne me permettrai pas vis-à-vis de mon éducation, de mes parents, de mon entourage, de prendre la grosse tête sinon je me tirerai moi-même une balle dans le pied. Personne ne l’accepterait autour de moi. Le public lensois a été extraordinaire avec moi. Quand j’étais dans une période moins bien, que je ne mettais plus un pied devant l’autre, j’avais un nombre incroyable de messages positifs – « c’est rien, ça arrive », « on sera toujours là pour toi » – si je postais quelque chose sur Insta. Peut-être que je me croyais zéro et que je ne l’étais pas. Pour moi, je leur dois d’être bon. Je dois réagir (quand ça ne va pas) mais je peux me prendre le temps de guérir intérieurement. Comprendre ça, ça a été la plus belle chose qui pouvait m’arriver… »
« Je me fais tous les scénarios possibles »
Cette première convocation chez les Bleus ne doit pas être une finalité…
« Je sais que je vais être jugé. Je me fais tous les scénarios possibles. Si je me loupe, je saurai ce que j’ai encore à bosser. Si je ne suis pas à la hauteur de l’événement, ce n’est pas pour autant que je vais m’arrêter là. Je vais rebondir là-dessus pour essayer de faire encore mieux. Et si ça se passe bien, tant mieux, et on va voir si je suis capable d’en faire encore plus. Ce n’est pas une finalité. Je suis aussi là pour apprendre, c’est ma première, je n’ai pas connu la Ligue des champions ni la coupe d’Europe. Je dois être au niveau, me mettre au niveau au quotidien. »
En équipe de France, il y a un nouveau système avec deux pistons. Personne ne s’est encore imposé à droite de la défense. Vous avez une belle carte à jouer…
« Je ne peux pas savoir si j’ai plus de chance que d’autres d’être titulaire. Si les mecs sont performants et qu’ils sont là, peu importe le système, c’est qu’ils méritent d’être là. »
Comment définiriez-vous votre poste de prédilection ?
« C’est tout ce que j’aime. C’est plus facile – on s’entend – d’évoluer dans un système qu’on aime. Tu dois animer un couloir à toi tout seul et je trouve ça dingue de devoir défendre comme un défenseur, attaquer comme un ailier, compenser comme un milieu, de devoir courir, se dépenser, être dans le dernier geste défensif comme offensif. Il y a tout ! »
« Si je ne m’en sentais pas capable, je ne serais pas venu »
Est-ce que vous appréhendez de vous frotter au niveau international ?
« Oui, comme tous les joueurs qui le découvrent. C’est le top, top niveau. Il va falloir que je me libère sur le terrain, à l’entraînement, que je prenne mes marques. Et après on verra ce que je sais faire. Mais si je ne m’en sentais pas capable, je ne serais pas venu. Il y a cette adrénaline qui te fait vibrer. »
Fin 2022, il y aura la Coupe du monde au Qatar. Est-ce que c’est un rendez-vous auquel vous pensez ?
« Pas pour l’instant, non. Là, je suis dans mon truc, je ne peux pas griller les étapes et encore moins celles-là. Là, c’est entraînement ce soir (mardi), entraînement demain (mercredi). Je vis ma semaine à fond et après on verra. »
À 29 ans, vous arrivez à un moment charnière de votre carrière en club. Est-ce que vous envisagez de rejoindre bientôt un cador européen ?
« Qui n’aurait pas envie de découvrir la Ligue des champions ? Après, est-ce que ça se fera ou pas, ce n’est pas entre mes mains pour l’instant et je n’y pense pas. »
Il aurait dû être en train de bronzer à Marrakech. Finalement, c’est au centre national du football de Clairefontaine qu’il prend le soleil cette semaine. Jonathan Clauss a annulé avec plaisir ses vacances marocaines pour découvrir l’équipe de France, à 29 ans, un Graal qu’il n’imaginait pas accessible il y a quelque temps encore.
Son arrivée au château ne l’a pas vraiment sorti de son rêve éveillé. Mis dans le bain par le sélectionneur Didier Deschamps et ses nouveaux coéquipiers, en particulier Raphaël Varane avec qui il a pu deviser du RC Lens durant le footing de lundi, l’enfant d’Osthoffen a bien conscience de pénétrer dans un nouveau monde où il détonne en raison de son parcours cabossé.
Durant les dix jours de son premier rassemblement, il entend bien prendre la mesure de son nouvel environnement même s’il a dû se « pincer » pour y croire. Après avoir poussé la chansonnette – « Avec classe » de Corneille – et passé sa première nuit en bleu dans la chambre Marcel Desailly, Jonathan Clauss nous a livré ses premières impressions de néo-international. « C’est dingue », n’a-t-il eu de cesse de répéter tout au long de l’entretien.
Bio express
➤ Né le 25 septembre 1992 à Strasbourg (Bas-Rhin).
Taille : 1m78
Poste : latéral droit
Clubs : FC Osthoffen (1998-2000), RC Strasbourg (2000-2010), Vauban Strasbourg (2010-2013), SV Linx (2013-2015), Raon l’Étape (2015-2016), Avranches (2016-2017), Quevilly Rouen (2017-2018), Arminia Bielefield (2018-2020), Lens (depuis 2020).
Cette saison : 31 matches (28 en Ligue 1, 3 en Coupe de France) 4 buts, 9 passes décisives
Palmarès : Champion de D2 Allemande 2020
67120- d'r Kàpallmaischter
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Age : 77
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Re: Les Brêves du Football
67120 Lun 4 Avr - 18:00
Terrier a encore frappé : les performances du week-end des Alsaciens et des joueurs passés par l’Alsace
Toutes les performances des joueurs alsaciens et des joueurs passés par l’Alsace durant le week-end.
■ Terrier a encore frappé
Alors que son Stade rennais était mené sur la pelouse de Nice, l’ancien Strasbourgeois Martin Terrier a surgi pour remettre les deux équipes à égalité. L’autre ancien du Racing Jonas Martin est entré en jeu à la 87e. À Nice, l’Alsacien Morgan Schneiderlin était forfait pour cette rencontre, victime d’une lésion au mollet.
■ Fofana victorieux
L’ancien Strasbourgeois Youssouf Fofana semble avoir retrouvé ses galons de titulaire à l’AS Monaco aux côtés d’Aurélien Tchouameni. Ce dimanche, l’ASM s’est imposée à Metz 2-1.
■ Hérelle averti
Gros coup réalisé ce dimanche par le Stade brestois et l’ancien Colmarien Christophe Hérelle. Les Bretons l’ont emporté 2-1 à Montpellier, n’encaissant qu’un penalty au bout du temps additionnel. Le défenseur central a été averti en première période, sans conséquence.
■ Bouanga a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois a ouvert le score ce dimanche après-midi face à Marseille, mais les Verts ont ensuite subi la loi de l’OM et se sont inclinés 4-2. Le Colmarien Ryad Boudebouz était également titulaire chez les Stéphanois et il a été remplacé à la 64e.
■ Salmier et Mothiba poursuivent la bonne série
L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Lebo Mothiba, prêté par le Racing, sont venus à bout à la dernière minute de Reims ce dimanche après-midi (1-0). Mothiba a été remplacé à l’heure de jeu.
■ Bahoken passeur
L’ancien Strasbourgeois Stéphane Bahoken a offert une passe décisive ce dimanche après-midi, mais cela n’a pas suffi aux Angevins, finalement battus à Lyon 3-2. L’attaquant a été rappelé sur le banc à la 83e minute.
■ Défaite pour Boutaïb et Siby
Khalid Boutaïb, l’ancien Strasbourgeois, et Mahame Siby, prêté par le Racing, se sont inclinés samedi chez le leader toulousain dans le choc au sommet de la Ligue 2 (2-1). Le Paris FC compte à présent dix points de retard sur le leader, qui a plus qu’un pied en Ligue 1.
■ Mendy double la mise
L’ancien Strasbourgeois Alexandre Mendy a inscrit le second but de Caen samedi soir, victorieux de Dunkerque (2-1). Son coéquipier Nuno Da Costa, autre ancien du Racing, a évolué toute la rencontre à ses côtés.
■ Martinez défait
L’ancien du Racing Pablo Martinez et Nîmes se sont une nouvelle fois inclinés à domicile samedi soir, cette fois devant Guingamp (2-0).
■ Armand égalise
L’ancien Colmarien Romain Armand a égalisé samedi à la 36e pour Pau face au Havre. Son équipe a fini par s’imposer 2-1 et le milieu offensif a été remplacé à la 84e.
■ Ndour et Sochaux font le boulot
En l’absence de Gaétan Weissbeck et Ismaël Aaneba, Abdallah Ndour, l’ancien du Racing, et Sochaux se sont imposés samedi 2-0 sur la pelouse de Quevilly-Rouen, assurant quasiment leur place dans le top 5 de la Ligue 2.
■ Ouammou décisif
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou a offert la passe décisive samedi soir lors du but inscrit par Rodez. Cela n’a pas suffi pour dominer Niort (1-1), où l’ancien Strasbourgeois Moataz Zemzemi a cédé sa place à la 80e.
■ Saadi passeur
L’ancien Strasbourgeois Idriss Saadi a été le passeur décisif lors du but inscrit par Bastia samedi face à Auxerre (1-1). Il a été rappelé sur le banc à la 81e.
■ Gurtner remplacé
Le gardien alsacien d’Amiens Régis Gurtner a dû céder sa place à la 48e minute samedi soir, ce qui n’a pas empêché son équipe de s’imposer 2-0 à Valenciennes. Chez les Nordistes, l’ancien Strasbourgeois Baptiste Guillaume a été remplacé à un quart d’heure de la fin.
■ Lepaul buteur
Esteban Lepaul, formé en Alsace, a marqué le but de la victoire pour Orléans vendredi soir, qui a dominé Le Mans 2-1. Il a disputé toute la rencontre, alors que le Strasbourgeois Hicham Benkaïd a été remplacé à la 74e. Au Mans, l’ancien du Racing Loïc Damour a joué les 90 minutes.
■ Un nul pour Jaques
L’ancien Colmarien Thibaut Jaques et Bourg-en-Bresse ont accroché Concarneau, le 3e du National, vendredi soir (1-1). L’ex-Strasbourgeois Benjamin Corgnet a attendu la 82e pour entrer en jeu.
■ Umbdenstock expulsé
Repositionné au milieu de terrain, le Colmarien Isaak Umbdenstock a été expulsé juste avant la pause vendredi soir. Son équipe de Chambly s’est ensuite inclinée 2-0 devant Châteauroux.
■ Fuchs prend une leçon
Le Haut-Rhinois Jeando Fuchs et Peterborough ont pris une leçon à domicile samedi après-midi devant Middlesbrough, le 5e du Championship (4-0). Le milieu de terrain et son équipe se retrouvent désormais lanterne rouge du championnat.
■ Cuisance battu
Le Strasbourgeois Michaël Cuisance et Venise se sont inclinés samedi à La Spezia (1-0). Le milieu de terrain a été rappelé sur le banc à la 73e. Chez les locaux, le Colmarien Aurélien Nguiamba est resté, comme d’habitude, sur le banc de touche.
■ Pululu entre sur la fin
Le Mulhousien Afimico Pululu est entré en jeu à la 84e minute samedi après-midi. Son équipe de Fürth a obtenu un bon point sur la pelouse de Francfort (0-0).
■ Schmid y a cru
Le Strasbourgeois Jonathan Schmid a longtemps cru que Fribourg pouvait accrocher le Bayern samedi après-midi. Lorsque l’Alsacien a été remplacé à la 69e, les deux équipes étaient a égalité (1-1). Finalement, les Badois se sont écroulés et se sont inclinés 4-1.
■ Simakan très solide
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan et le RB Leipzig ont réussi un gros coup samedi en allant largement s’imposer à Dortmund (4-1). Le défenseur a été remplacé à la 84e.
■ Lebeau a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois Adrien Lebeau a ouvert le score dès la 5e minute en faveur de Mannheim hier à Zwickau, mais il a été contraint de céder sa place sur blessure dès la 41e minute. Les deux équipes ont partagé les points (1-1).
■ Moufi dominé
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense se sont inclinés samedi après-midi sur le terrain de Belenenses (2-0), confirmant leur mauvaise passe actuelle.
■ Ilaimaharitra sévèrement battu
Le Mulhousien Marco Ilaimaharitra et le Sporting Charleroi se sont inclinés ce dimanche soir sur la pelouse d’Anderlecht (4-0). Le milieu de terrain a été remplacé à la 80e.
dna
Toutes les performances des joueurs alsaciens et des joueurs passés par l’Alsace durant le week-end.
■ Terrier a encore frappé
Alors que son Stade rennais était mené sur la pelouse de Nice, l’ancien Strasbourgeois Martin Terrier a surgi pour remettre les deux équipes à égalité. L’autre ancien du Racing Jonas Martin est entré en jeu à la 87e. À Nice, l’Alsacien Morgan Schneiderlin était forfait pour cette rencontre, victime d’une lésion au mollet.
■ Fofana victorieux
L’ancien Strasbourgeois Youssouf Fofana semble avoir retrouvé ses galons de titulaire à l’AS Monaco aux côtés d’Aurélien Tchouameni. Ce dimanche, l’ASM s’est imposée à Metz 2-1.
■ Hérelle averti
Gros coup réalisé ce dimanche par le Stade brestois et l’ancien Colmarien Christophe Hérelle. Les Bretons l’ont emporté 2-1 à Montpellier, n’encaissant qu’un penalty au bout du temps additionnel. Le défenseur central a été averti en première période, sans conséquence.
■ Bouanga a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois a ouvert le score ce dimanche après-midi face à Marseille, mais les Verts ont ensuite subi la loi de l’OM et se sont inclinés 4-2. Le Colmarien Ryad Boudebouz était également titulaire chez les Stéphanois et il a été remplacé à la 64e.
■ Salmier et Mothiba poursuivent la bonne série
L’ancien Strasbourgeois Yoann Salmier et Lebo Mothiba, prêté par le Racing, sont venus à bout à la dernière minute de Reims ce dimanche après-midi (1-0). Mothiba a été remplacé à l’heure de jeu.
■ Bahoken passeur
L’ancien Strasbourgeois Stéphane Bahoken a offert une passe décisive ce dimanche après-midi, mais cela n’a pas suffi aux Angevins, finalement battus à Lyon 3-2. L’attaquant a été rappelé sur le banc à la 83e minute.
■ Défaite pour Boutaïb et Siby
Khalid Boutaïb, l’ancien Strasbourgeois, et Mahame Siby, prêté par le Racing, se sont inclinés samedi chez le leader toulousain dans le choc au sommet de la Ligue 2 (2-1). Le Paris FC compte à présent dix points de retard sur le leader, qui a plus qu’un pied en Ligue 1.
■ Mendy double la mise
L’ancien Strasbourgeois Alexandre Mendy a inscrit le second but de Caen samedi soir, victorieux de Dunkerque (2-1). Son coéquipier Nuno Da Costa, autre ancien du Racing, a évolué toute la rencontre à ses côtés.
■ Martinez défait
L’ancien du Racing Pablo Martinez et Nîmes se sont une nouvelle fois inclinés à domicile samedi soir, cette fois devant Guingamp (2-0).
■ Armand égalise
L’ancien Colmarien Romain Armand a égalisé samedi à la 36e pour Pau face au Havre. Son équipe a fini par s’imposer 2-1 et le milieu offensif a été remplacé à la 84e.
■ Ndour et Sochaux font le boulot
En l’absence de Gaétan Weissbeck et Ismaël Aaneba, Abdallah Ndour, l’ancien du Racing, et Sochaux se sont imposés samedi 2-0 sur la pelouse de Quevilly-Rouen, assurant quasiment leur place dans le top 5 de la Ligue 2.
■ Ouammou décisif
L’ancien Mulhousien Nassim Ouammou a offert la passe décisive samedi soir lors du but inscrit par Rodez. Cela n’a pas suffi pour dominer Niort (1-1), où l’ancien Strasbourgeois Moataz Zemzemi a cédé sa place à la 80e.
■ Saadi passeur
L’ancien Strasbourgeois Idriss Saadi a été le passeur décisif lors du but inscrit par Bastia samedi face à Auxerre (1-1). Il a été rappelé sur le banc à la 81e.
■ Gurtner remplacé
Le gardien alsacien d’Amiens Régis Gurtner a dû céder sa place à la 48e minute samedi soir, ce qui n’a pas empêché son équipe de s’imposer 2-0 à Valenciennes. Chez les Nordistes, l’ancien Strasbourgeois Baptiste Guillaume a été remplacé à un quart d’heure de la fin.
■ Lepaul buteur
Esteban Lepaul, formé en Alsace, a marqué le but de la victoire pour Orléans vendredi soir, qui a dominé Le Mans 2-1. Il a disputé toute la rencontre, alors que le Strasbourgeois Hicham Benkaïd a été remplacé à la 74e. Au Mans, l’ancien du Racing Loïc Damour a joué les 90 minutes.
■ Un nul pour Jaques
L’ancien Colmarien Thibaut Jaques et Bourg-en-Bresse ont accroché Concarneau, le 3e du National, vendredi soir (1-1). L’ex-Strasbourgeois Benjamin Corgnet a attendu la 82e pour entrer en jeu.
■ Umbdenstock expulsé
Repositionné au milieu de terrain, le Colmarien Isaak Umbdenstock a été expulsé juste avant la pause vendredi soir. Son équipe de Chambly s’est ensuite inclinée 2-0 devant Châteauroux.
■ Fuchs prend une leçon
Le Haut-Rhinois Jeando Fuchs et Peterborough ont pris une leçon à domicile samedi après-midi devant Middlesbrough, le 5e du Championship (4-0). Le milieu de terrain et son équipe se retrouvent désormais lanterne rouge du championnat.
■ Cuisance battu
Le Strasbourgeois Michaël Cuisance et Venise se sont inclinés samedi à La Spezia (1-0). Le milieu de terrain a été rappelé sur le banc à la 73e. Chez les locaux, le Colmarien Aurélien Nguiamba est resté, comme d’habitude, sur le banc de touche.
■ Pululu entre sur la fin
Le Mulhousien Afimico Pululu est entré en jeu à la 84e minute samedi après-midi. Son équipe de Fürth a obtenu un bon point sur la pelouse de Francfort (0-0).
■ Schmid y a cru
Le Strasbourgeois Jonathan Schmid a longtemps cru que Fribourg pouvait accrocher le Bayern samedi après-midi. Lorsque l’Alsacien a été remplacé à la 69e, les deux équipes étaient a égalité (1-1). Finalement, les Badois se sont écroulés et se sont inclinés 4-1.
■ Simakan très solide
L’ancien Strasbourgeois Mohamed Simakan et le RB Leipzig ont réussi un gros coup samedi en allant largement s’imposer à Dortmund (4-1). Le défenseur a été remplacé à la 84e.
■ Lebeau a ouvert le score
L’ancien Strasbourgeois Adrien Lebeau a ouvert le score dès la 5e minute en faveur de Mannheim hier à Zwickau, mais il a été contraint de céder sa place sur blessure dès la 41e minute. Les deux équipes ont partagé les points (1-1).
■ Moufi dominé
Le Mulhousien Fahd Moufi et Portimonense se sont inclinés samedi après-midi sur le terrain de Belenenses (2-0), confirmant leur mauvaise passe actuelle.
■ Ilaimaharitra sévèrement battu
Le Mulhousien Marco Ilaimaharitra et le Sporting Charleroi se sont inclinés ce dimanche soir sur la pelouse d’Anderlecht (4-0). Le milieu de terrain a été remplacé à la 80e.
dna
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Re: Les Brêves du Football
67120 Dim 4 Juin - 16:32
dna a écrit :Karim Benzema va s'engager avec un club en Arabie saoudite
Alors que le Real Madrid a officialisé ce dimanche le départ de Karim Benzema après 14 ans dans la capitale espagnole, le Français devrait signer avec le club saoudien d'Al-Ittihad. Le natif de Lyon devrait percevoir un salaire présenté comme « record », avoisinant les 200 M€ d'euros par an.
Le Ballon d'Or français Karim Benzema va signer avec le club saoudien Al-Ittihad en provenance du Real Madrid, rapporte dimanche la chaîne de télévision d'Etat saoudienne Al-Ekhbariya.
« Le club d'Al-Ittihad a conclu un accord officiel avec le Français Karim Benzema pour rejoindre ses rangs dans un contrat qui s'étend sur deux saisons », précise Al-Ekhbariya.
Selon la chaîne, le président du club et son adjoint se trouvent à Madrid « pour signer officiellement » avec le buteur un contrat « record » qui tournerait autour de 200 M€ annuels.
Le Real a annoncé à la mi-journée le départ de son capitaine de 35 ans, qui, précise le club, va « mettre fin à sa brillante et inoubliable étape comme joueur de notre club ».
Benzema qui a passé 14 saisons au Real Madrid devrait donc rejoindre l'autre ex-star du club espagnol, Cristiano Ronaldo, dans le championnat de la richissime monarchie pétrolière du Golfe.
Son dernier sacre européen, en 2022, lui a ouvert les portes du Ballon d'Or, le premier pour un joueur français depuis Zinédine Zidane en 1998.
Depuis mardi, la presse espagnole évoquait une offre d'Al-Ittihad à l'attaquant français. Basé dans la ville côtière de Jeddah, au bord de la mer Rouge, Al-Ittihad a été sacré champion d'Arabie saoudite cette saison devant Al-Nassr, le club de Cristiano Ronaldo.
Il rejoint Ronaldo... avant une arrivée de Messi ?
Premier exportateur de pétrole brut au monde, l'Arabie saoudite mise de plus en plus sur le sport pour diversifier son économie et s'offrir une meilleure image internationale, ternie par des accusations récurrentes de violations des droits humains.
Cristiano Ronaldo s'est engagé fin décembre pour deux ans et demi avec Al-Nassr pour un contrat dont le montant atteindrait, selon des informations non confirmées, 400 millions de dollars.
Selon plusieurs médias, le septuple Ballon d'Or et champion du monde argentin Lionel Messi, dont le départ du PSG a été officialisé samedi, a lui aussi reçu une offre faramineuse de l'ordre de 400 millions d'euros par an pour débarquer à son tour dans le royaume.
Alors que le Real Madrid a officialisé ce dimanche le départ de Karim Benzema après 14 ans dans la capitale espagnole, le Français devrait signer avec le club saoudien d'Al-Ittihad. Le natif de Lyon devrait percevoir un salaire présenté comme « record », avoisinant les 200 M€ d'euros par an.
Le Ballon d'Or français Karim Benzema va signer avec le club saoudien Al-Ittihad en provenance du Real Madrid, rapporte dimanche la chaîne de télévision d'Etat saoudienne Al-Ekhbariya.
« Le club d'Al-Ittihad a conclu un accord officiel avec le Français Karim Benzema pour rejoindre ses rangs dans un contrat qui s'étend sur deux saisons », précise Al-Ekhbariya.
Selon la chaîne, le président du club et son adjoint se trouvent à Madrid « pour signer officiellement » avec le buteur un contrat « record » qui tournerait autour de 200 M€ annuels.
Le Real a annoncé à la mi-journée le départ de son capitaine de 35 ans, qui, précise le club, va « mettre fin à sa brillante et inoubliable étape comme joueur de notre club ».
Benzema qui a passé 14 saisons au Real Madrid devrait donc rejoindre l'autre ex-star du club espagnol, Cristiano Ronaldo, dans le championnat de la richissime monarchie pétrolière du Golfe.
Son dernier sacre européen, en 2022, lui a ouvert les portes du Ballon d'Or, le premier pour un joueur français depuis Zinédine Zidane en 1998.
Depuis mardi, la presse espagnole évoquait une offre d'Al-Ittihad à l'attaquant français. Basé dans la ville côtière de Jeddah, au bord de la mer Rouge, Al-Ittihad a été sacré champion d'Arabie saoudite cette saison devant Al-Nassr, le club de Cristiano Ronaldo.
Il rejoint Ronaldo... avant une arrivée de Messi ?
Premier exportateur de pétrole brut au monde, l'Arabie saoudite mise de plus en plus sur le sport pour diversifier son économie et s'offrir une meilleure image internationale, ternie par des accusations récurrentes de violations des droits humains.
Cristiano Ronaldo s'est engagé fin décembre pour deux ans et demi avec Al-Nassr pour un contrat dont le montant atteindrait, selon des informations non confirmées, 400 millions de dollars.
Selon plusieurs médias, le septuple Ballon d'Or et champion du monde argentin Lionel Messi, dont le départ du PSG a été officialisé samedi, a lui aussi reçu une offre faramineuse de l'ordre de 400 millions d'euros par an pour débarquer à son tour dans le royaume.
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Re: Les Brêves du Football
67120 Mar 11 Juil - 13:05
dna a écrit :Le FC Sochaux a perdu tout espoir, la DNCG va le rétrograder ce mardi
Depuis deux semaines, la date est cochée. Le FC Sochaux passe ce mardi après-midi devant la commission d’appel de la DNCG et tout le monde espérait que le cauchemar prendrait alors fin avec un virement de Nenking. Rien ne s’est passé comme prévu et, ce mardi, la relégation du club sera actée.
Alors c’est ainsi que s’écroule un mythe. L’institution FC Sochaux-Montbéliard fait partie du paysage du foot professionnel depuis près de cent ans, mais elle ne repose plus sur grand-chose. Il n’est même plus besoin d’espérer un miracle de dernière minute devant la commission d’appel de la Direction nationale du contrôle de gestion de la FFF. Il n’aura pas lieu. Lundi, la direction a informé les joueurs et les salariés que l’argent espéré n’était pas arrivé de Chine, où Samuel Laurent était parti jeudi pour un voyage de la dernière chance. Non content d’avoir abîmé plusieurs fois l’image du FCSM, le directeur général aura aussi mis en miettes le plus vieux des clubs professionnels français. Ce mardi après-midi, la DNCG va donc confirmer la rétrogradation administrative du club en National 1.
Un budget insuffisant pour le N1 ?
Et après ? Les dirigeants sochaliens ont déjà prévenu, en interne, qu’ils allaient faire leur maximum pour présenter, sous sept jours, un budget permettant de redémarrer en N1. Pour ce faire, tous les scénarios sont envisagés, y compris celui de fermer le centre de formation. Mais même là, le pessimisme est de mise. L’issue la plus probable reste bien le dépôt de bilan, dans le courant de la semaine prochaine.
En quelques mois, le FC Sochaux est passé de prétendant au top 18 français à probable club de National… et même certainement plus bas. Le 12 juin encore, le nom de Jocelyn Gourvennec, entraîneur qui a mené Lille en huitièmes de finale de la Ligue des Champions un an plus tôt, était cité comme favori pour succéder à Olivier Guégan, mis à pied mi-mai.
Irréel ? Oui. En fait, le FCSM vivait au-dessus de ses moyens. Le pari de l’endettement pour monter en Ligue 1 avait déjà été révélé. C’était plus fort que ça. Le 23 juin, le directeur général Samuel Laurent sort de son silence et parle, à propos de la saison écoulée, de « trahison collective ». Sauf que moins d’une semaine plus tard, le couperet tombe, la DNCG sanctionne le FC Sochaux d’une rétrogradation administrative en National. Et l’information se propage vite : ce sont 22 millions d’euros qui manquent.
Une chute violente
Pas simplement un trou, un abîme. Ce sentiment de « trahison », ce sont désormais les suiveurs du club, ses salariés aussi certainement, qui le ressentent, vif. Le choc est si violent que le FCSM n’avait pas encore vendu un seul joueur. Et se retrouve désormais en mauvaise posture pour le faire. S’ensuit une litanie de ruptures de contrats. « Le club remercie Aldo Kalulu », « Le club souhaite une bonne continuation à Moussa Doumbia »… En tout, ils sont 18 à s’en aller en une poignée de jours à peine ! Un exploit rendu possible par le travail monstrueux abattu par la direction sportive, qui peut, elle aussi, se sentir trahie aujourd’hui.
« Le club était à l’agonie et on a survécu, on a assaini les finances », affirmait Frankie Yau, le président du FC Sochaux, le 1er décembre 2021. Et puisque les finances « allaient bien », l’ambition n’était pas juste de monter dans l’élite du foot français, mais de « s’y maintenir ». Tout s’est effondré. Les multiples économies réalisées dans ce début du mois de juillet devraient ramener les sommes manquantes aux alentours de 12 millions d’euros. C’est évidemment beaucoup trop. L’avenir n’a jamais semblé aussi sinistre au stade Bonal…
Depuis deux semaines, la date est cochée. Le FC Sochaux passe ce mardi après-midi devant la commission d’appel de la DNCG et tout le monde espérait que le cauchemar prendrait alors fin avec un virement de Nenking. Rien ne s’est passé comme prévu et, ce mardi, la relégation du club sera actée.
Alors c’est ainsi que s’écroule un mythe. L’institution FC Sochaux-Montbéliard fait partie du paysage du foot professionnel depuis près de cent ans, mais elle ne repose plus sur grand-chose. Il n’est même plus besoin d’espérer un miracle de dernière minute devant la commission d’appel de la Direction nationale du contrôle de gestion de la FFF. Il n’aura pas lieu. Lundi, la direction a informé les joueurs et les salariés que l’argent espéré n’était pas arrivé de Chine, où Samuel Laurent était parti jeudi pour un voyage de la dernière chance. Non content d’avoir abîmé plusieurs fois l’image du FCSM, le directeur général aura aussi mis en miettes le plus vieux des clubs professionnels français. Ce mardi après-midi, la DNCG va donc confirmer la rétrogradation administrative du club en National 1.
Un budget insuffisant pour le N1 ?
Et après ? Les dirigeants sochaliens ont déjà prévenu, en interne, qu’ils allaient faire leur maximum pour présenter, sous sept jours, un budget permettant de redémarrer en N1. Pour ce faire, tous les scénarios sont envisagés, y compris celui de fermer le centre de formation. Mais même là, le pessimisme est de mise. L’issue la plus probable reste bien le dépôt de bilan, dans le courant de la semaine prochaine.
En quelques mois, le FC Sochaux est passé de prétendant au top 18 français à probable club de National… et même certainement plus bas. Le 12 juin encore, le nom de Jocelyn Gourvennec, entraîneur qui a mené Lille en huitièmes de finale de la Ligue des Champions un an plus tôt, était cité comme favori pour succéder à Olivier Guégan, mis à pied mi-mai.
Irréel ? Oui. En fait, le FCSM vivait au-dessus de ses moyens. Le pari de l’endettement pour monter en Ligue 1 avait déjà été révélé. C’était plus fort que ça. Le 23 juin, le directeur général Samuel Laurent sort de son silence et parle, à propos de la saison écoulée, de « trahison collective ». Sauf que moins d’une semaine plus tard, le couperet tombe, la DNCG sanctionne le FC Sochaux d’une rétrogradation administrative en National. Et l’information se propage vite : ce sont 22 millions d’euros qui manquent.
Une chute violente
Pas simplement un trou, un abîme. Ce sentiment de « trahison », ce sont désormais les suiveurs du club, ses salariés aussi certainement, qui le ressentent, vif. Le choc est si violent que le FCSM n’avait pas encore vendu un seul joueur. Et se retrouve désormais en mauvaise posture pour le faire. S’ensuit une litanie de ruptures de contrats. « Le club remercie Aldo Kalulu », « Le club souhaite une bonne continuation à Moussa Doumbia »… En tout, ils sont 18 à s’en aller en une poignée de jours à peine ! Un exploit rendu possible par le travail monstrueux abattu par la direction sportive, qui peut, elle aussi, se sentir trahie aujourd’hui.
« Le club était à l’agonie et on a survécu, on a assaini les finances », affirmait Frankie Yau, le président du FC Sochaux, le 1er décembre 2021. Et puisque les finances « allaient bien », l’ambition n’était pas juste de monter dans l’élite du foot français, mais de « s’y maintenir ». Tout s’est effondré. Les multiples économies réalisées dans ce début du mois de juillet devraient ramener les sommes manquantes aux alentours de 12 millions d’euros. C’est évidemment beaucoup trop. L’avenir n’a jamais semblé aussi sinistre au stade Bonal…
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Re: Les Brêves du Football
67120 Mer 12 Juil - 11:40
dna a écrit :En prolongeant au Portugal Kazuyoshi Miura est à 56 ansle plus vieux footballeur professionnel en activité
L'ancien international japonais Kazuyoshi Miura, âgé de 56 ans, a prolongé son prêt à Oliveirense, a annoncé mardi le club de deuxième division portugais faisant de lui le footalleur professionnel le plus âgé en activité.
A 56 ans, Kazuyoshi Miura a prolongé mardi son contrat avec Oliveirense en D2 portugaise faisant de lui le footballeur professionnel le plus âgé en activité.
L'ancien international japonais est arrivé au Portugal en février dernier, prêté par Yokohama FC, et y restera au moins une saison de plus. Car Miura n'est pas encore prêt à raccrocher les crampons, et veut continuer à jouer jusqu'à 60 ans. « Il y aura des moments où je ne participerai pas aux matches, mais je veux rester motivé et faire ce que je peux là où je peux », a-t-il récemment déclaré au quotidien Nikkan Sports.
Connu sous le nom de « King Kazu » dans son pays, Miura a fait ses débuts en 1986 avec le club brésilien de Santos et a également joué au Japon, en Italie, en Croatie et en Australie. Il a joué avec la sélection nationale à partir de 1990, mais a été écarté lors de la première participation des « Samurai Blue » à la phase finale de la Coupe du monde en 1998, bien qu'il ait marqué 55 buts en 89 matches pour l'équipe nationale.
L'ancien international japonais Kazuyoshi Miura, âgé de 56 ans, a prolongé son prêt à Oliveirense, a annoncé mardi le club de deuxième division portugais faisant de lui le footalleur professionnel le plus âgé en activité.
A 56 ans, Kazuyoshi Miura a prolongé mardi son contrat avec Oliveirense en D2 portugaise faisant de lui le footballeur professionnel le plus âgé en activité.
L'ancien international japonais est arrivé au Portugal en février dernier, prêté par Yokohama FC, et y restera au moins une saison de plus. Car Miura n'est pas encore prêt à raccrocher les crampons, et veut continuer à jouer jusqu'à 60 ans. « Il y aura des moments où je ne participerai pas aux matches, mais je veux rester motivé et faire ce que je peux là où je peux », a-t-il récemment déclaré au quotidien Nikkan Sports.
Connu sous le nom de « King Kazu » dans son pays, Miura a fait ses débuts en 1986 avec le club brésilien de Santos et a également joué au Japon, en Italie, en Croatie et en Australie. Il a joué avec la sélection nationale à partir de 1990, mais a été écarté lors de la première participation des « Samurai Blue » à la phase finale de la Coupe du monde en 1998, bien qu'il ait marqué 55 buts en 89 matches pour l'équipe nationale.
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Re: Les Brêves du Football
67120 Jeu 13 Juil - 20:29
equipe a écrit :L'AS Nancy-Lorraine finalement repêchée en National
La Fédération française de football a publié jeudi le calendrier du Championnat de National. L'AS Nancy-Lorraine, reléguée en National 2 puis rétrogradée en National 3, a finalement été repêchée en National.
Après les désillusions, les supporters nancéiens voient enfin le bout du tunnel. La Fédération française de football a publié jeudi le calendrier de la prochaine saison du Championnat de National, et l'AS Nancy-Lorraine y figure en remplacement de Sedan, exclu de tous les Championnats nationaux. « L'AS Nancy-Lorraine sera donc officiellement de retour sur les terrains de National dès le 11 août 2023 », a communiqué le club sur ses réseaux sociaux.
La nouvelle est une très bonne surprise pour tous les Nancéiens. Les responsables du club se présentaient encore mardi devant la commission d'appel de la DNCG pour faire annuler la rétrogradation administrative en National 3, après la relégation sportive en National 2 à l'issue de la saison passée.
Les actionnaires majoritaires du club, Chien Lee et Krishen Sud, ont assumé leurs responsabilités. Devant la commission d'appel, ces derniers avaient même présenté deux budgets pour la saison prochaine. Le premier en cas de maintien en National 2, le second en cas de repêchage en National. Finalement, les responsables lorrains ont trouvé la bonne formule. Ils vont maintenant préparer cette saison avec plusieurs semaines de retard.
La Fédération française de football a publié jeudi le calendrier du Championnat de National. L'AS Nancy-Lorraine, reléguée en National 2 puis rétrogradée en National 3, a finalement été repêchée en National.
Après les désillusions, les supporters nancéiens voient enfin le bout du tunnel. La Fédération française de football a publié jeudi le calendrier de la prochaine saison du Championnat de National, et l'AS Nancy-Lorraine y figure en remplacement de Sedan, exclu de tous les Championnats nationaux. « L'AS Nancy-Lorraine sera donc officiellement de retour sur les terrains de National dès le 11 août 2023 », a communiqué le club sur ses réseaux sociaux.
La nouvelle est une très bonne surprise pour tous les Nancéiens. Les responsables du club se présentaient encore mardi devant la commission d'appel de la DNCG pour faire annuler la rétrogradation administrative en National 3, après la relégation sportive en National 2 à l'issue de la saison passée.
Les actionnaires majoritaires du club, Chien Lee et Krishen Sud, ont assumé leurs responsabilités. Devant la commission d'appel, ces derniers avaient même présenté deux budgets pour la saison prochaine. Le premier en cas de maintien en National 2, le second en cas de repêchage en National. Finalement, les responsables lorrains ont trouvé la bonne formule. Ils vont maintenant préparer cette saison avec plusieurs semaines de retard.
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Re: Les Brêves du Football
67120 Mar 1 Aoû - 18:34
equipe a écrit :Le CNOSF rejette la requête de Sochaux, Annecy devrait être repêché en Ligue 2
Le club du Doubs se dirige vers le dépôt de bilan, après l'avis négatif du CNOSF sur sa demande de réintégrer la Ligue 2. Annecy devrait en profiter pour disputer la saison à venir de L2.
Les efforts de Romain Peugeot pour porter une offre de rachat et d'injection de capitaux au FC Sochaux n'ont pas suffi à convaincre le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). L'instance a, selon nos informations rendu, un avis négatif pour la réintégration de Sochaux en Ligue 2, ce mardi, à la suite de l'audition de la veille.
Alors que le projet de rachat était conditionné par ce maintien au deuxième échelon du football français, le FCSM semble se diriger vers un dépôt de bilan et une nouvelle rétrogradation de plusieurs divisions supplémentaires.
Alors qu'Annecy, 17e, avait été relégué à l'issue de la saison, le club de Haute-Savoie devrait profiter de cette décision et être réintégré, à quatre jours de l'ouverture du Championnat.
Le club du Doubs se dirige vers le dépôt de bilan, après l'avis négatif du CNOSF sur sa demande de réintégrer la Ligue 2. Annecy devrait en profiter pour disputer la saison à venir de L2.
Les efforts de Romain Peugeot pour porter une offre de rachat et d'injection de capitaux au FC Sochaux n'ont pas suffi à convaincre le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). L'instance a, selon nos informations rendu, un avis négatif pour la réintégration de Sochaux en Ligue 2, ce mardi, à la suite de l'audition de la veille.
Alors que le projet de rachat était conditionné par ce maintien au deuxième échelon du football français, le FCSM semble se diriger vers un dépôt de bilan et une nouvelle rétrogradation de plusieurs divisions supplémentaires.
Alors qu'Annecy, 17e, avait été relégué à l'issue de la saison, le club de Haute-Savoie devrait profiter de cette décision et être réintégré, à quatre jours de l'ouverture du Championnat.
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Re: Les Brêves du Football
67120 Lun 11 Déc - 17:15
equipe a écrit :Huit cartons rouges, bagarres et arbitre visé : un match de D2 belge dégénère
Lors d'un match comptant pour la 15e journée de Deuxième Division belge, un arbitre a dû sortir à 8 reprises son carton rouge, 5 fois à l'encontre de joueurs et 3 fois contre des membres du staff de l'équipe locale.
Initialement, cela s'annonçait comme un match de football classique. Au final, ce dernier a eu des airs de champ de bataille footballistique. En Challenger Pro League, la Deuxième Division belge, le club de K. Beerschot VA recevait le KMSK Deinze pour un duel 100 % flamand et une défaite 2-1 lui faisant perdre sa place de leader. Un choc au sommet dans ce Championnat puisque le 1er recevait le 3e au classement.
Visiblement, cet enjeu a beaucoup enflammé la partie puisque l'arbitre a sorti son premier carton à la 32e minute pour sanctionner l'ailier Thibaud Verlinden, sans savoir qu'il allait remettre la main à la poche à plus d'une dizaine de reprises. En effet, l'attaquant sanctionné a pris un deuxième carton jaune, synonyme de rouge, à peine trois minutes après pour avoir attrapé un adversaire par le cou. Avant l'heure de jeu, c'est un autre de ses coéquipiers, Mardochee Nzita, qui a connu le même sort avec un double carton jaune. Cela n'a pas empêché Beerschot d'ouvrir le score (49e), même si Deinze a égalisé peu de temps après (56e).
Un but qui fait dégoupiller le stade
À la 68e minute, le rythme s'est accéléré et les gestes répréhensibles se sont additionnés suite au deuxième but des visiteurs (1-2). Dans la foulée, l'arbitre principal a sanctionné trois membres du staff de l'équipe locale, dont le coach principal, de cartons rouges. À ce moment-là, le corps arbitral a été ciblé par le public qui lui jetait des gobelets de bière, selon la RTBF. Cette attitude a poussé Quentin Pirard, arbitre principal de la rencontre, à arrêter le jeu pendant 15 minutes.
Néanmoins, les joueurs n'ont visiblement pas eu le temps de se calmer, puisqu'un milieu de Deinze, Kenneth Schuermans, a écopé d'un carton rouge à la 74e minute. À ce moment-là, la rencontre s'est terminée avec une tension relative, avec un autre carton jaune pour les locaux et deux pour les visiteurs. Cependant, le gardien de Beerschot, Davor Matijas, et un défenseur des vainqueurs, Denys Prychynenko, en sont venus aux mains au bout du temps additionnel et ont tous les deux été exclus.
8
Au final, ce sont 8 cartons rouges qui ont été distribués durant la rencontre. Trois d'entre eux étaient à destination des membres du staff de Beerschot, trois autres pour les joueurs de cette même formation (un seul direct) et deux pour les visiteurs (un seul direct également). Cinq autres cartons jaunes simples ont aussi été distribués.
Au moment de rentrer aux vestiaires, Beerschot comptait 8 joueurs sortis du terrain sans être expulsés, quand Deinze était réduit à 9. Sur ses réseaux, le club local, ayant perdu le match et sa première place au Championnat, a répondu avec amertume. « Ils ont lutté, ils se sont battus, ils ont donné tout ce qu'ils avaient. Mais à 9 contre 12, c'était trop », peut-on lire sur les réseaux du K. Beerschot VA. Avec un tel nombre de cartons, cette rencontre serait un record en Belgique, selon le diffuseur DAZN.
Lors d'un match comptant pour la 15e journée de Deuxième Division belge, un arbitre a dû sortir à 8 reprises son carton rouge, 5 fois à l'encontre de joueurs et 3 fois contre des membres du staff de l'équipe locale.
Initialement, cela s'annonçait comme un match de football classique. Au final, ce dernier a eu des airs de champ de bataille footballistique. En Challenger Pro League, la Deuxième Division belge, le club de K. Beerschot VA recevait le KMSK Deinze pour un duel 100 % flamand et une défaite 2-1 lui faisant perdre sa place de leader. Un choc au sommet dans ce Championnat puisque le 1er recevait le 3e au classement.
Visiblement, cet enjeu a beaucoup enflammé la partie puisque l'arbitre a sorti son premier carton à la 32e minute pour sanctionner l'ailier Thibaud Verlinden, sans savoir qu'il allait remettre la main à la poche à plus d'une dizaine de reprises. En effet, l'attaquant sanctionné a pris un deuxième carton jaune, synonyme de rouge, à peine trois minutes après pour avoir attrapé un adversaire par le cou. Avant l'heure de jeu, c'est un autre de ses coéquipiers, Mardochee Nzita, qui a connu le même sort avec un double carton jaune. Cela n'a pas empêché Beerschot d'ouvrir le score (49e), même si Deinze a égalisé peu de temps après (56e).
Un but qui fait dégoupiller le stade
À la 68e minute, le rythme s'est accéléré et les gestes répréhensibles se sont additionnés suite au deuxième but des visiteurs (1-2). Dans la foulée, l'arbitre principal a sanctionné trois membres du staff de l'équipe locale, dont le coach principal, de cartons rouges. À ce moment-là, le corps arbitral a été ciblé par le public qui lui jetait des gobelets de bière, selon la RTBF. Cette attitude a poussé Quentin Pirard, arbitre principal de la rencontre, à arrêter le jeu pendant 15 minutes.
Néanmoins, les joueurs n'ont visiblement pas eu le temps de se calmer, puisqu'un milieu de Deinze, Kenneth Schuermans, a écopé d'un carton rouge à la 74e minute. À ce moment-là, la rencontre s'est terminée avec une tension relative, avec un autre carton jaune pour les locaux et deux pour les visiteurs. Cependant, le gardien de Beerschot, Davor Matijas, et un défenseur des vainqueurs, Denys Prychynenko, en sont venus aux mains au bout du temps additionnel et ont tous les deux été exclus.
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Au final, ce sont 8 cartons rouges qui ont été distribués durant la rencontre. Trois d'entre eux étaient à destination des membres du staff de Beerschot, trois autres pour les joueurs de cette même formation (un seul direct) et deux pour les visiteurs (un seul direct également). Cinq autres cartons jaunes simples ont aussi été distribués.
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67120- d'r Kàpallmaischter
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