Les Brêves du Football
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Les Brêves du Football
L2 : Vers des " play-offs " à la fin du championnat pour détermine le barragiste ?
A peine un an après l'instauration d'un barrage d'accession, la Ligue 2 pourrait connaître un nouveau changement. Déjà évoqué par la LFP, l'idée de jouer des « play-offs » pour déterminer le club qui sera barragiste fait son chemin et pourrait bientôt devenir une réalité.
Comme rendre la fin de saison de Ligue 2 encore plus haletante et étirer le suspense quelques semaines supplémentaires ? La LFP a peut-être trouvé la solution. Pour augmenter l'attractivité de la seconde division du football français, la Ligue est prête à instaurer un système un peu particulier en fin de saison. L'idée ? Déterminer qui sera le barragiste (entre le 3e et le 6e) et aura le droit d'affronter le 18e de Ligue 1 pour jouer l'accession à l'échelon supérieur. Cette innovation a déjà été évoquée par la Ligue dans un plan d'action rendu public en avril mais elle est désormais toute proche d'être adoptée par les acteurs de la Ligue 2, affirme L'Equipe dans son édition du jour.
Deux configurations à l'étude pour ces playoffs
Deux formules sont étudiées par la LFP pour mettre en place ces barrages avant LE barrage, celui face au pensionnaire de Ligue 1. La première s'inspire de ce qui se pratique en Top 14 : le 3e face au 5e, le 2e face au 4e et les vainqueurs de ces deux matchs disputés sur le terrain du mieux classé s'affrontent à leur tour. La deuxième voit le 6e affronter le 5e, le vainqueur affronter le 4e, etc. Quelle que soit la formule adoptée, cette réforme viendrait mettre un peu de piment supplémentaire à la fin de saison, un an tout juste après l'instauration du barrage entre le 18e de la Ligue 1 et le 3e de la Ligue 2.
« Cela peut être très attarctif »
Et la Ligue pourrait ne pas traîner pour adopter ce nouveau changement. La décision pourrait être prise le 15 juin prochain ce qui rendrait la réforme effective dès la saison prochaine. Les clubs, de leur côté, ont l'air plutôt favorable à l'idée. « Une majorité de clubs souhaite qu'il y ait des plaoffs. C'est quelques chose qui peut être très attractif, » explique dans les colonnes de L'Equipe Claude Michy, actuel président de Clermont et futur boss de l'UCPF, syndicat des clubs. Autant dire que si la Ligue et les clubs, qui sont en train d'être consultés, sont d'accord, ce système devrait bientôt devenir une réalité.
orange sports
A peine un an après l'instauration d'un barrage d'accession, la Ligue 2 pourrait connaître un nouveau changement. Déjà évoqué par la LFP, l'idée de jouer des « play-offs » pour déterminer le club qui sera barragiste fait son chemin et pourrait bientôt devenir une réalité.
Comme rendre la fin de saison de Ligue 2 encore plus haletante et étirer le suspense quelques semaines supplémentaires ? La LFP a peut-être trouvé la solution. Pour augmenter l'attractivité de la seconde division du football français, la Ligue est prête à instaurer un système un peu particulier en fin de saison. L'idée ? Déterminer qui sera le barragiste (entre le 3e et le 6e) et aura le droit d'affronter le 18e de Ligue 1 pour jouer l'accession à l'échelon supérieur. Cette innovation a déjà été évoquée par la Ligue dans un plan d'action rendu public en avril mais elle est désormais toute proche d'être adoptée par les acteurs de la Ligue 2, affirme L'Equipe dans son édition du jour.
Deux configurations à l'étude pour ces playoffs
Deux formules sont étudiées par la LFP pour mettre en place ces barrages avant LE barrage, celui face au pensionnaire de Ligue 1. La première s'inspire de ce qui se pratique en Top 14 : le 3e face au 5e, le 2e face au 4e et les vainqueurs de ces deux matchs disputés sur le terrain du mieux classé s'affrontent à leur tour. La deuxième voit le 6e affronter le 5e, le vainqueur affronter le 4e, etc. Quelle que soit la formule adoptée, cette réforme viendrait mettre un peu de piment supplémentaire à la fin de saison, un an tout juste après l'instauration du barrage entre le 18e de la Ligue 1 et le 3e de la Ligue 2.
« Cela peut être très attarctif »
Et la Ligue pourrait ne pas traîner pour adopter ce nouveau changement. La décision pourrait être prise le 15 juin prochain ce qui rendrait la réforme effective dès la saison prochaine. Les clubs, de leur côté, ont l'air plutôt favorable à l'idée. « Une majorité de clubs souhaite qu'il y ait des plaoffs. C'est quelques chose qui peut être très attractif, » explique dans les colonnes de L'Equipe Claude Michy, actuel président de Clermont et futur boss de l'UCPF, syndicat des clubs. Autant dire que si la Ligue et les clubs, qui sont en train d'être consultés, sont d'accord, ce système devrait bientôt devenir une réalité.
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67120- d'r Kàpallmaischter
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Age : 77
Localisation : la région de Molsheim
Re: Les Brêves du Football
Nous avons échangé avec Pontus Farnerud, porte-bonheur de la saison !
Monaco champion de France de Ligue 1, Strasbourg champion de Ligue 2… L’un de nos « Nordisk » préférés y est forcément pour quelque chose ! Pontus Farnerud semble, en effet, être le porte-bonheur de cette saison, lui qui a revêtu le maillot des deux clubs. Impossible, donc, de ne pas lui demander de ses nouvelles ! Qui plus est, le Suédois est de ces joueurs que le public adore. Milieu de terrain talentueux et élégant balle au pied, il est un homme abordable et extrêmement sympathique en dehors des pelouses. D’ailleurs, à en croire les voeux que lui ont adressés les supporters sur les réseaux sociaux pour ses 37 ans (le 4 juin), personne à l’ASM et au Racing ne l’a oublié !
Né à Helsingborg, formé à Landskrona, Pontus débarque sur le Rocher à l’été 1998, tout juste âgé de 18 ans. Il fait ses débuts en D1 en mars 1999, face à Metz. Un an plus tard, il est sacré Champion de France avec l’ASM. En 2003, après une victoire en Coupe de la Ligue, le Suédois est prêté à Strasbourg. Il refait ensuite une saison dans la Principauté, avant de retourner en Alsace. Malgré un beau parcours en Coupe de l’UEFA, où le Racing termine premier d’un groupe comprenant la Roma et Bâle, le club alsacien est relégué en 2006.
Après plus de 150 matches de L 1, Pontus signe alors au Sporting Lisbonne avec lequel il remporte notamment deux Coupes du Portugal en deux saisons. S’en suivent trois années et demie et un titre de champion de Norvège avec Stabaek. En 2012, il rentre en Suède, à Göteborg, où il terminera sa carrière. Côté sélection nationale, le joueur compte 11 apparitions avec les « A » suédois. Il a notamment participé à la Coupe du Monde 2002 et à l’Euro 2004.
Le plus français des suédois nous a offert un peu de son temps, et ça fait carrément plaisir !
Pour commencer, que fais-tu actuellement ? Le grand public français n’a plus forcément l’occasion de te suivre… De quoi sont faites tes journées ?
Je vis entre la France et la Suède. Je travaille depuis deux ans et demi pour la télé suédoise comme consultant. Au début en France, pour les matchs du PSG avec Zlatan et depuis qu’il est parti, pour le championnat de Suède.
Tu as mis un terme à ta carrière en 2013, suite à une blessure à la hanche. Comment réagit-on lorsqu’on est footballeur professionnel et qu’un médecin vous dit « Il faut arrêter » ?
C’était très difficile parce que j’avais envie de continuer. Je me suis fait opérer à la hanche, mais malheureusement j’avais toujours mal et ma dernière année j’étais obligé de prendre des cachets et des piqûres tout le temps. C’était très dur mentalement de ne pas pouvoir jouer au même niveau qu’avant et ne jamais être à 100%.
Souhaiterais-tu revenir plus proche des terrains ?
Oui j’aimerais bien revenir sur les terrains ou travailler pour un club. On verra bien.
As-tu une idée du poste que tu voudrais occuper ?
Je vais prendre ma licence pour devenir entraîneur cette année, mais je suis assez ouvert.
Puisque tu suis l’Allsvenskan (1ère division suédoise), y a-t-il des jeunes talents que tu conseillerais à des clubs français ou que tu verrais au plus haut niveau ?
Oui, le championnat est très intéressant. Il y a des talents, des « anciens » (Källström, Isaksson, Jonas Olsson, Rosenberg, mon frère, etc…) qui sont revenus, beaucoup de nouveaux stades très modernes et surtout beaucoup de clubs avec des supporters au top niveau européen. Le plus grand talent, Alexander Isak, vient de signer à Dortmund. Haksabanovic (Halmstad), Sarfo (Sirius), Irandust (Häcken), Svanberg (Malmö) sont de jeunes joueurs intéressants.
Selon toi, pourquoi les suédois, comme ceux que tu as cités, reviennent-ils souvent au pays en fin de carrière ? Toi aussi tu étais à Göteborg avant ta blessure…
Je pense que la plupart des joueurs suédois ont cette envie. Ils ont envie de revenir dans leur équipe de cœur ou/et de finir chez eux, dans le championnat de leur pays. C’est aussi par rapport aux familles et aux enfants je pense, pour qu’ils rentrent à l’école en Suède et fassent leur éducation en suédois.
Parlons de Monaco. Un titre de champion de France, une demie-finale de Champions League… Comment as-tu vécu cette magnifique saison ? As-tu suivi les matchs de l’ASM ?
Bien sûr que j’ai suivi cette équipe ! Je suis très content pour l’équipe, les supporters et le club. Avec un jeu très offensif et de jeunes joueurs, c’est plus que mérité !
Quel monégasque t’a le plus impressionné ?
Difficile de choisir… Les deux latéraux ont été très importants dans le jeu offensif. Bernardo Silva avait beaucoup progressé depuis son arrivée. Falcao a su rebondir et il est devenu un vrai leader. Germain est un exemple pour beaucoup de jeunes. N’importe quand et n’importe où, il se donne toujours à 100% pour le club. Fabinho est arrivé comme latéral droit, et maintenant il est l’un des meilleurs milieux de terrain du championnat. Lemar est très décisif. Et Mbappé, si jeune, si mature et tellement de qualités !
Tu avais participé au dernier titre de Monaco, en 2000, alors que tu n’avais que 19 ans. Quel souvenir gardes-tu de cette saison, avec des joueurs comme Gallardo, Trézéguet, Barthez ou Simone à tes côtés ?
Je garde beaucoup de souvenirs, mais surtout celui d’avoir fait partie de cette équipe fantastique ! Bien sûr, je me souviens du match contre Nancy (31e journée). Quand je rentre en jeu, je donne un ballon à Marco (Simone), qui centre pour Dado (Prso) qui marque (à la 92e minute, score final 2-2, ndlr) et on est officiellement champions !
Cette saison, tu es un porte-bonheur, puisqu’il y a aussi Strasbourg qui fait son retour en Ligue 1, après des années de galère suite à la relégation administrative en CFA2. Pensais-tu que le Racing arriverait à revenir aussi vite dans le monde pro, et mieux, en Ligue 1 ?
Non, sincèrement, je n’y croyais pas. Le Racing, la ville, le club, les supporters méritent d’être en Ligue 1 ! Mais ce ne sera pas facile de passer du National à l’élite en deux saisons…
Le public strasbourgeois fait beaucoup parler de lui, avec une Meinau souvent pleine, et des records d’affluence au inférieures. Est-ce que toi aussi tu sentais l’importance du club pour les Alsaciens ?
Oui, et je me sentais vraiment à la maison. C’est très important pour un club d’avoir une histoire, des supporters qui sont là pour le meilleur et pour le pire moment. Il y a une âme dans ce club.
Lors de tes passages au Racing, tu as eu la chance de jouer avec ton petit frère, Alexander (arrivé en janvier 2004). Cela a dû être particulier pour vous ! Est-ce toi qui avais suggéré aux dirigeants de le faire venir ?
Bien sûr c’était particulier, c’est un rêve qui se réalisait ! Nous avons également fait un match ensemble en équipe nationale et je suis très fier et très content que nous ayons porté le même maillot en club et en sélection ! Mais non, ce n’était pas grâce à moi qu’il était venu. C’est Marc Keller qui a fait le forcing pour qu’il signe à Strasbourg, même s’il avait d’autres clubs derrière lui.
Puisque tu connais Marc Keller, c’est lui qui a repris les rênes du Racing en CFA. Est-ce que cela t’a étonné qu’il se lance dans ce projet ?
Je ne suis pas du tout étonné qu’il ait décidé de prendre les choses en main et qu’il y soit arrivé. C’est quelqu’un de très sérieux, qui connaît le monde du foot, qui aime le club et qui fait tout pour le RCS.
J’aimerais maintenant que tu nous donnes ta vision du foot ! Tu es plutôt « attaque de feu » ou « défense de fer » ? Si on te donnait un budget illimité, quel(s) joueur(s) prendrais-tu dans ton équipe ?
Moi je suis pour le beau jeu, mais bien sûr avec la victoire au bout ! Je suis fan de Barcelone et j’adore des joueurs comme Iniesta, Xavi, Zidane, Pirlo. J’aime aussi les défenseurs qui sont très à l’aise avec le ballon et qui se projettent vers l’avant. Mais si je pouvais choisir n’importe quel joueur, je prendrais Messi.
Le 9 juin, la France et la Suède s’affronteront à Solna dans un match extrêmement important pour la qualification à la CM2018. Quels sont, selon toi, les atouts de cette équipe de Suède ?
L’équipe de Suède a pas mal changé avec le nouveau sélectionneur (Janne Andersson), surtout après la retraite internationale de joueurs clés, comme Zlatan. Maintenant je vois plus une équipe qu’avant, avec de jeunes joueurs très intéressants. C’est une équipe très disciplinée, qui défend bien ensemble et laisse peu d’espaces à son adversaire.
Très solidaire et collectif mais individuellement pas au même niveau que les français.
Un pronostic pour le match ?
Je pense que la France gagnera 2-1.
Et alors, qui vas-tu supporter ?
Toujours la Suède mais je suis pour le beau jeu, le jeu offensif donc si la Suède ne fait que défendre et que la France joue mieux, j’espère que ça payera pour l’équipe de France.
Un grand merci à Pontus pour sa disponibilité et sa gentillesse ! En espérant le retrouver, un jour peut-être, à la télévision française !
Live Foot
Monaco champion de France de Ligue 1, Strasbourg champion de Ligue 2… L’un de nos « Nordisk » préférés y est forcément pour quelque chose ! Pontus Farnerud semble, en effet, être le porte-bonheur de cette saison, lui qui a revêtu le maillot des deux clubs. Impossible, donc, de ne pas lui demander de ses nouvelles ! Qui plus est, le Suédois est de ces joueurs que le public adore. Milieu de terrain talentueux et élégant balle au pied, il est un homme abordable et extrêmement sympathique en dehors des pelouses. D’ailleurs, à en croire les voeux que lui ont adressés les supporters sur les réseaux sociaux pour ses 37 ans (le 4 juin), personne à l’ASM et au Racing ne l’a oublié !
Né à Helsingborg, formé à Landskrona, Pontus débarque sur le Rocher à l’été 1998, tout juste âgé de 18 ans. Il fait ses débuts en D1 en mars 1999, face à Metz. Un an plus tard, il est sacré Champion de France avec l’ASM. En 2003, après une victoire en Coupe de la Ligue, le Suédois est prêté à Strasbourg. Il refait ensuite une saison dans la Principauté, avant de retourner en Alsace. Malgré un beau parcours en Coupe de l’UEFA, où le Racing termine premier d’un groupe comprenant la Roma et Bâle, le club alsacien est relégué en 2006.
Après plus de 150 matches de L 1, Pontus signe alors au Sporting Lisbonne avec lequel il remporte notamment deux Coupes du Portugal en deux saisons. S’en suivent trois années et demie et un titre de champion de Norvège avec Stabaek. En 2012, il rentre en Suède, à Göteborg, où il terminera sa carrière. Côté sélection nationale, le joueur compte 11 apparitions avec les « A » suédois. Il a notamment participé à la Coupe du Monde 2002 et à l’Euro 2004.
Le plus français des suédois nous a offert un peu de son temps, et ça fait carrément plaisir !
Pour commencer, que fais-tu actuellement ? Le grand public français n’a plus forcément l’occasion de te suivre… De quoi sont faites tes journées ?
Je vis entre la France et la Suède. Je travaille depuis deux ans et demi pour la télé suédoise comme consultant. Au début en France, pour les matchs du PSG avec Zlatan et depuis qu’il est parti, pour le championnat de Suède.
Tu as mis un terme à ta carrière en 2013, suite à une blessure à la hanche. Comment réagit-on lorsqu’on est footballeur professionnel et qu’un médecin vous dit « Il faut arrêter » ?
C’était très difficile parce que j’avais envie de continuer. Je me suis fait opérer à la hanche, mais malheureusement j’avais toujours mal et ma dernière année j’étais obligé de prendre des cachets et des piqûres tout le temps. C’était très dur mentalement de ne pas pouvoir jouer au même niveau qu’avant et ne jamais être à 100%.
Souhaiterais-tu revenir plus proche des terrains ?
Oui j’aimerais bien revenir sur les terrains ou travailler pour un club. On verra bien.
As-tu une idée du poste que tu voudrais occuper ?
Je vais prendre ma licence pour devenir entraîneur cette année, mais je suis assez ouvert.
Puisque tu suis l’Allsvenskan (1ère division suédoise), y a-t-il des jeunes talents que tu conseillerais à des clubs français ou que tu verrais au plus haut niveau ?
Oui, le championnat est très intéressant. Il y a des talents, des « anciens » (Källström, Isaksson, Jonas Olsson, Rosenberg, mon frère, etc…) qui sont revenus, beaucoup de nouveaux stades très modernes et surtout beaucoup de clubs avec des supporters au top niveau européen. Le plus grand talent, Alexander Isak, vient de signer à Dortmund. Haksabanovic (Halmstad), Sarfo (Sirius), Irandust (Häcken), Svanberg (Malmö) sont de jeunes joueurs intéressants.
Selon toi, pourquoi les suédois, comme ceux que tu as cités, reviennent-ils souvent au pays en fin de carrière ? Toi aussi tu étais à Göteborg avant ta blessure…
Je pense que la plupart des joueurs suédois ont cette envie. Ils ont envie de revenir dans leur équipe de cœur ou/et de finir chez eux, dans le championnat de leur pays. C’est aussi par rapport aux familles et aux enfants je pense, pour qu’ils rentrent à l’école en Suède et fassent leur éducation en suédois.
Parlons de Monaco. Un titre de champion de France, une demie-finale de Champions League… Comment as-tu vécu cette magnifique saison ? As-tu suivi les matchs de l’ASM ?
Bien sûr que j’ai suivi cette équipe ! Je suis très content pour l’équipe, les supporters et le club. Avec un jeu très offensif et de jeunes joueurs, c’est plus que mérité !
Quel monégasque t’a le plus impressionné ?
Difficile de choisir… Les deux latéraux ont été très importants dans le jeu offensif. Bernardo Silva avait beaucoup progressé depuis son arrivée. Falcao a su rebondir et il est devenu un vrai leader. Germain est un exemple pour beaucoup de jeunes. N’importe quand et n’importe où, il se donne toujours à 100% pour le club. Fabinho est arrivé comme latéral droit, et maintenant il est l’un des meilleurs milieux de terrain du championnat. Lemar est très décisif. Et Mbappé, si jeune, si mature et tellement de qualités !
Tu avais participé au dernier titre de Monaco, en 2000, alors que tu n’avais que 19 ans. Quel souvenir gardes-tu de cette saison, avec des joueurs comme Gallardo, Trézéguet, Barthez ou Simone à tes côtés ?
Je garde beaucoup de souvenirs, mais surtout celui d’avoir fait partie de cette équipe fantastique ! Bien sûr, je me souviens du match contre Nancy (31e journée). Quand je rentre en jeu, je donne un ballon à Marco (Simone), qui centre pour Dado (Prso) qui marque (à la 92e minute, score final 2-2, ndlr) et on est officiellement champions !
Cette saison, tu es un porte-bonheur, puisqu’il y a aussi Strasbourg qui fait son retour en Ligue 1, après des années de galère suite à la relégation administrative en CFA2. Pensais-tu que le Racing arriverait à revenir aussi vite dans le monde pro, et mieux, en Ligue 1 ?
Non, sincèrement, je n’y croyais pas. Le Racing, la ville, le club, les supporters méritent d’être en Ligue 1 ! Mais ce ne sera pas facile de passer du National à l’élite en deux saisons…
Le public strasbourgeois fait beaucoup parler de lui, avec une Meinau souvent pleine, et des records d’affluence au inférieures. Est-ce que toi aussi tu sentais l’importance du club pour les Alsaciens ?
Oui, et je me sentais vraiment à la maison. C’est très important pour un club d’avoir une histoire, des supporters qui sont là pour le meilleur et pour le pire moment. Il y a une âme dans ce club.
Lors de tes passages au Racing, tu as eu la chance de jouer avec ton petit frère, Alexander (arrivé en janvier 2004). Cela a dû être particulier pour vous ! Est-ce toi qui avais suggéré aux dirigeants de le faire venir ?
Bien sûr c’était particulier, c’est un rêve qui se réalisait ! Nous avons également fait un match ensemble en équipe nationale et je suis très fier et très content que nous ayons porté le même maillot en club et en sélection ! Mais non, ce n’était pas grâce à moi qu’il était venu. C’est Marc Keller qui a fait le forcing pour qu’il signe à Strasbourg, même s’il avait d’autres clubs derrière lui.
Puisque tu connais Marc Keller, c’est lui qui a repris les rênes du Racing en CFA. Est-ce que cela t’a étonné qu’il se lance dans ce projet ?
Je ne suis pas du tout étonné qu’il ait décidé de prendre les choses en main et qu’il y soit arrivé. C’est quelqu’un de très sérieux, qui connaît le monde du foot, qui aime le club et qui fait tout pour le RCS.
J’aimerais maintenant que tu nous donnes ta vision du foot ! Tu es plutôt « attaque de feu » ou « défense de fer » ? Si on te donnait un budget illimité, quel(s) joueur(s) prendrais-tu dans ton équipe ?
Moi je suis pour le beau jeu, mais bien sûr avec la victoire au bout ! Je suis fan de Barcelone et j’adore des joueurs comme Iniesta, Xavi, Zidane, Pirlo. J’aime aussi les défenseurs qui sont très à l’aise avec le ballon et qui se projettent vers l’avant. Mais si je pouvais choisir n’importe quel joueur, je prendrais Messi.
Le 9 juin, la France et la Suède s’affronteront à Solna dans un match extrêmement important pour la qualification à la CM2018. Quels sont, selon toi, les atouts de cette équipe de Suède ?
L’équipe de Suède a pas mal changé avec le nouveau sélectionneur (Janne Andersson), surtout après la retraite internationale de joueurs clés, comme Zlatan. Maintenant je vois plus une équipe qu’avant, avec de jeunes joueurs très intéressants. C’est une équipe très disciplinée, qui défend bien ensemble et laisse peu d’espaces à son adversaire.
Très solidaire et collectif mais individuellement pas au même niveau que les français.
Un pronostic pour le match ?
Je pense que la France gagnera 2-1.
Et alors, qui vas-tu supporter ?
Toujours la Suède mais je suis pour le beau jeu, le jeu offensif donc si la Suède ne fait que défendre et que la France joue mieux, j’espère que ça payera pour l’équipe de France.
Un grand merci à Pontus pour sa disponibilité et sa gentillesse ! En espérant le retrouver, un jour peut-être, à la télévision française !
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Re: Les Brêves du Football
Les stats de la saison et de l’histoire du RC Strasbourg dans un livre de Jeoffrey Voltzenlogel
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Re: Les Brêves du Football
L1/L2
Règlement : pourquoi les critères qui départagent les équipes de Ligue 1 et Ligue 2 en cas d'égalité vont changer
La différence de buts restera le premier critère pour départager deux équipes à égalité en L1 et en L2 mais, en cas de nouvelle égalité, ce n'est plus la meilleure attaque mais la différence particulière qui sera décisive. Décryptage de la décision de la LFP.
Qu'est-ce qui change dans le règlement ?
A partir de la saison prochaine, la L1 sera «à cheval» sur les deux systèmes en vigueur dans le «Big 5». Jusqu'à présent, la France était alignée sur l'Angleterre et l'Allemagne : deux équipes à égalité de points étaient départagées à la différence de buts générale puis au nombre de buts marqués (meilleure attaque). Au sud, autre règlement : l'Italie et l'Espagne ont adopté de longue date comme premier critère de départage la différence particulière en points. Ce sera désormais le deuxième critère en Ligue 1 et en Ligue 2, après la différence générale qui restera le premier critère pour départager une égalité de points.
Quels sont les nouveaux critères de départage ?
1. Différence de buts générale
2. Plus grand nombre de points sur confrontations directes
3. Différence de buts particulière
4. Plus grand nombre de buts dans les confrontations directes
5. Plus grand nombre de buts à l'extérieur dans les confrontations directes
6. Meilleure attaque générale
7. Meilleure attaque à l'extérieur (général)
8. Club ayant marqué le plus grand nombre de buts sur une rencontre de championnat
9. Départage disciplinaire
Pourquoi changer les critères en cas d'égalité ?
Ce sont les présidents des clubs de Ligue 2, «à leur quasi-unanimité» selon l'un d'eux, qui ont milité pour ce changement. La Ligue se borne à expliquer que le nouveau départage «récompensera toujours la régularité avec la prise en compte de la différence de buts générale comme critère n°1 tout en introduisant une part plus importante pour les critères liés aux confrontations directes».
En réalité, le ressort de la réforme est à chercher dans l'introduction de play-offs en Ligue 2, autre décision du conseil d'administration de la Ligue, jeudi. Cet épisode final va concerner les équipes classées de la 3e à la 5e place et donc, pour ces places très convoitées dans un Championnat ultra sérré, multiplier les «risques» d'égalité de points comme de différence de buts générale.
«Les probabilités des historiques»
Dans ce contexte, explique un ex-acteur de la Ligue 2, goguenard, «les clubs historiques qui s'énervent de ne pas remonter, ont estimé que la probabilité de dominer un club moins huppé sur une double confrontation était plus élevée que celle de les devancer sur le critère de la meilleure attaque - ce qui n'est pas forcément faux. Et puis, tout le monde se souvient du Havre...»
Lors de la saison 2015-2016, le HAC avait terminé au pied du podium, derrière Metz, 3e et promu (directement à l'époque), avec le même nombre de points que les Lorrains (65), la même différence de buts (+15) mais une attaque moins féconde de deux unités seulement (52 buts contre 54). Avec le nouveau système, c'est Le Havre qui serait monté : les Normands avaient concédé un nul (1-1) à domicile avant d'aller s'imposer à Saint-Symphorien au retour (1-0)...
Deux autres règlements modifiés
Outre le changement des critères de départage, deux autres règlements vont changer la saison prochaine. Dans un sens répressif. Les mauvaises pelouses (trois notes consécutives sous la moyenne de 10) seront mises à l'amende (jusqu'à 50 000 €) et les sanctions disciplinaires prononcées par la commission de discipline à l'encontre des personnes physiques «pourront atteindre les 45 000 €», contre... 1500 € actuellement.
equipe
Règlement : pourquoi les critères qui départagent les équipes de Ligue 1 et Ligue 2 en cas d'égalité vont changer
La différence de buts restera le premier critère pour départager deux équipes à égalité en L1 et en L2 mais, en cas de nouvelle égalité, ce n'est plus la meilleure attaque mais la différence particulière qui sera décisive. Décryptage de la décision de la LFP.
Qu'est-ce qui change dans le règlement ?
A partir de la saison prochaine, la L1 sera «à cheval» sur les deux systèmes en vigueur dans le «Big 5». Jusqu'à présent, la France était alignée sur l'Angleterre et l'Allemagne : deux équipes à égalité de points étaient départagées à la différence de buts générale puis au nombre de buts marqués (meilleure attaque). Au sud, autre règlement : l'Italie et l'Espagne ont adopté de longue date comme premier critère de départage la différence particulière en points. Ce sera désormais le deuxième critère en Ligue 1 et en Ligue 2, après la différence générale qui restera le premier critère pour départager une égalité de points.
Quels sont les nouveaux critères de départage ?
1. Différence de buts générale
2. Plus grand nombre de points sur confrontations directes
3. Différence de buts particulière
4. Plus grand nombre de buts dans les confrontations directes
5. Plus grand nombre de buts à l'extérieur dans les confrontations directes
6. Meilleure attaque générale
7. Meilleure attaque à l'extérieur (général)
8. Club ayant marqué le plus grand nombre de buts sur une rencontre de championnat
9. Départage disciplinaire
Pourquoi changer les critères en cas d'égalité ?
Ce sont les présidents des clubs de Ligue 2, «à leur quasi-unanimité» selon l'un d'eux, qui ont milité pour ce changement. La Ligue se borne à expliquer que le nouveau départage «récompensera toujours la régularité avec la prise en compte de la différence de buts générale comme critère n°1 tout en introduisant une part plus importante pour les critères liés aux confrontations directes».
En réalité, le ressort de la réforme est à chercher dans l'introduction de play-offs en Ligue 2, autre décision du conseil d'administration de la Ligue, jeudi. Cet épisode final va concerner les équipes classées de la 3e à la 5e place et donc, pour ces places très convoitées dans un Championnat ultra sérré, multiplier les «risques» d'égalité de points comme de différence de buts générale.
«Les probabilités des historiques»
Dans ce contexte, explique un ex-acteur de la Ligue 2, goguenard, «les clubs historiques qui s'énervent de ne pas remonter, ont estimé que la probabilité de dominer un club moins huppé sur une double confrontation était plus élevée que celle de les devancer sur le critère de la meilleure attaque - ce qui n'est pas forcément faux. Et puis, tout le monde se souvient du Havre...»
Lors de la saison 2015-2016, le HAC avait terminé au pied du podium, derrière Metz, 3e et promu (directement à l'époque), avec le même nombre de points que les Lorrains (65), la même différence de buts (+15) mais une attaque moins féconde de deux unités seulement (52 buts contre 54). Avec le nouveau système, c'est Le Havre qui serait monté : les Normands avaient concédé un nul (1-1) à domicile avant d'aller s'imposer à Saint-Symphorien au retour (1-0)...
Deux autres règlements modifiés
Outre le changement des critères de départage, deux autres règlements vont changer la saison prochaine. Dans un sens répressif. Les mauvaises pelouses (trois notes consécutives sous la moyenne de 10) seront mises à l'amende (jusqu'à 50 000 €) et les sanctions disciplinaires prononcées par la commission de discipline à l'encontre des personnes physiques «pourront atteindre les 45 000 €», contre... 1500 € actuellement.
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Re: Les Brêves du Football
De nombreux matchs amicaux avaient lieu ce samedi pour les équipes réserves ou celles éliminées de la coupe de France. Découvrez
Samedi le 7/01/2017
les résultats ci-dessous :
Orléans - Bourges 18 2-1
Dinan Léhon - staderennais 4-2
Chartres - Beauvais 3 - 1
Red Star - Créteil 1-1
Marseille B - EUGA Ardziv 0-0
Lyon B - Lyon Duchère 0-1
Concarneau - Nantes B 0-1
Toulon - Cannet Rocheville 2-1
Auxerre B - Troyes B 2-2
Caen B - Guingamp B 3-2
Dunkerque - Valenciennes 3-0
Foot National :
Samedi le 7/01/2017
les résultats ci-dessous :
Orléans - Bourges 18 2-1
Dinan Léhon - staderennais 4-2
Chartres - Beauvais 3 - 1
Red Star - Créteil 1-1
Marseille B - EUGA Ardziv 0-0
Lyon B - Lyon Duchère 0-1
Concarneau - Nantes B 0-1
Toulon - Cannet Rocheville 2-1
Auxerre B - Troyes B 2-2
Caen B - Guingamp B 3-2
Dunkerque - Valenciennes 3-0
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Re: Les Brêves du Football
Les résultats du 8 juillet 2017
Strasbourg - FC Luzern 4 - 4
Ajaccio GFC - Nimes 3 - 1
Lyon Duchère - Creteil 2 - 2
Cholet - Angers 2 - 2
Rennes - Sion 0 - 1
Troyes - Orléans 0 - 0
Metz - Tubize 2 - 0
Bastia - Balagne Ile Rousse 2 - 0
Nancy - Dijon 2 - 1
Clermont - UNFP 1 - 1
Brest - Le Havre 1 - 1
Laval - Quevilly Rouen 1 - 1
Lens - Chambly 1 - 1
Entente SSG - Boulogne 3 - 1
Caen - Avranches 2 - 0
Niort - Bordeaux 1 - 2
Nantes - Lausanne 2 - 2
Saint-Etienne - AC Ajaccio 2 - 0
Bourg-en-Bresse Peronnas - Lyon 1 - 3
Foot National
.
Strasbourg - FC Luzern 4 - 4
Ajaccio GFC - Nimes 3 - 1
Lyon Duchère - Creteil 2 - 2
Cholet - Angers 2 - 2
Rennes - Sion 0 - 1
Troyes - Orléans 0 - 0
Metz - Tubize 2 - 0
Bastia - Balagne Ile Rousse 2 - 0
Nancy - Dijon 2 - 1
Clermont - UNFP 1 - 1
Brest - Le Havre 1 - 1
Laval - Quevilly Rouen 1 - 1
Lens - Chambly 1 - 1
Entente SSG - Boulogne 3 - 1
Caen - Avranches 2 - 0
Niort - Bordeaux 1 - 2
Nantes - Lausanne 2 - 2
Saint-Etienne - AC Ajaccio 2 - 0
Bourg-en-Bresse Peronnas - Lyon 1 - 3
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Re: Les Brêves du Football
Amicaux : Les résultats du 12 juillet 2017
Troyes (Ligue 1) - Lens (Ligue 2) 2 - 1
Bourg-en-Bresse Peronnas (Ligue 2) - Andrézieux (National 2) 1 - 2
Niort (Ligue 2) - Les Herbiers (National) 1 - 2
Clermont (Ligue 2) - Le Puy (National 2 Groupe A) 4 - 0
Lyon Duchère (National) - Marseille Consolat (National) 2 - 3
Chambly (National) - Red Star FC (National) 0 - 0
Dunkerque (National) - Quevilly Rouen (Ligue 2) 4 - 3
Nantes (Ligue 1) - Servette Genève (Suisse) 2 - 0
Sochaux (Ligue 2) - Dijon (Ligue 1) 2 - 3
Furiani (National 2) - Ajaccio GFC (Ligue 2) 0 - 3
Angers (Ligue 1) - Orléans (Ligue 2) 0 - 2
Brest (Ligue 2) - Concarneau (National) 0 - 2
Reims (Ligue 2) - Boulogne (National) 5 - 0
Rodez (National) - Pau (National) 2 - 1
Foot National :
Troyes (Ligue 1) - Lens (Ligue 2) 2 - 1
Bourg-en-Bresse Peronnas (Ligue 2) - Andrézieux (National 2) 1 - 2
Niort (Ligue 2) - Les Herbiers (National) 1 - 2
Clermont (Ligue 2) - Le Puy (National 2 Groupe A) 4 - 0
Lyon Duchère (National) - Marseille Consolat (National) 2 - 3
Chambly (National) - Red Star FC (National) 0 - 0
Dunkerque (National) - Quevilly Rouen (Ligue 2) 4 - 3
Nantes (Ligue 1) - Servette Genève (Suisse) 2 - 0
Sochaux (Ligue 2) - Dijon (Ligue 1) 2 - 3
Furiani (National 2) - Ajaccio GFC (Ligue 2) 0 - 3
Angers (Ligue 1) - Orléans (Ligue 2) 0 - 2
Brest (Ligue 2) - Concarneau (National) 0 - 2
Reims (Ligue 2) - Boulogne (National) 5 - 0
Rodez (National) - Pau (National) 2 - 1
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Re: Les Brêves du Football
Abonnements :
dans quels clubs de L1 payez-vous moins cher ?
Du simple au quintuple. Alors que la saison 2017-18 démarre dans dix jours, découvrez dans quels clubs les abonnements sont les plus attractifs - et les plus coûteux.
Sans surprise, les clubs les mieux classés n'hésitent pas à faire payer cher leurs supporters pour s'offrir un abonnement annuel dans leurs tribunes. Les tarifs peuvent ainsi atteindre 749€ du côté de l'OL, 1050€ à Bordeaux, 1250€ à Marseille et même...3150 euros pour le PSG.
A l'inverse, les prix plafonnent à 489 euros à Troyes, 460€ à Guingamp ou 440€ chez le promu et néophyte Amiens. Evidemment, des tarifs plus abordables existent mais, là encore, les écarts sont significatifs.
Comptez ainsi 420€ pour l'abonnement le moins cher dans la capitale, contre 80 euros à Montpellier. En ce domaine, le classement a bien moins d'importance et, alors que Saint-Etienne et Bordeaux ne dépassent pas les 160€, Angers et Dijon montent respectivement à 215 et 230 euros.
dna
dans quels clubs de L1 payez-vous moins cher ?
Du simple au quintuple. Alors que la saison 2017-18 démarre dans dix jours, découvrez dans quels clubs les abonnements sont les plus attractifs - et les plus coûteux.
Sans surprise, les clubs les mieux classés n'hésitent pas à faire payer cher leurs supporters pour s'offrir un abonnement annuel dans leurs tribunes. Les tarifs peuvent ainsi atteindre 749€ du côté de l'OL, 1050€ à Bordeaux, 1250€ à Marseille et même...3150 euros pour le PSG.
A l'inverse, les prix plafonnent à 489 euros à Troyes, 460€ à Guingamp ou 440€ chez le promu et néophyte Amiens. Evidemment, des tarifs plus abordables existent mais, là encore, les écarts sont significatifs.
Comptez ainsi 420€ pour l'abonnement le moins cher dans la capitale, contre 80 euros à Montpellier. En ce domaine, le classement a bien moins d'importance et, alors que Saint-Etienne et Bordeaux ne dépassent pas les 160€, Angers et Dijon montent respectivement à 215 et 230 euros.
dna
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Re: Les Brêves du Football
Bielsa et les Strasbourgeois rempliront-ils les stades de L1 ?
Peut-il y avoir un effet Marcelo Bielsa à Lille ? La belle ambiance de La Meinau, à Strasbourg, va-t-elle booster l’affluence globale en Ligue 1 ? Remplir les stades reste un défi pour de nombreux clubs de l’élite et un enjeu majeur pour la Ligue de football professionnel.
Des stades qui sonnent creux, des tribunes désertées... Remplir les stades de Ligue 1, dont nombre ont été récemment agrandis, reste une gageure pour nombre de clubs, alors que c'est un enjeu économique majeur.
Du côté de la Ligue de football professionnel, on insiste sur les chiffres positifs de l’exercice 2016-2017, avec une affluence moyenne de 21 208 spectateurs en Ligue 1, soit une hausse de 1,5% par rapport à la saison précédente, malgré un contexte sécuritaire compliqué avec la menace terroriste.
Faible taux de remplissage
"Si on fait la somme Coupe de la Ligue, Ligue 2 et Ligue 1, on est a peu près à 11,5 millions de spectateurs qui se sont rendus dans nos stades. Le football français reste le premier spectacle vivant en France en nombre de clients", souligne Olivier Jaubert, le directeur commercial de l’instance.
La marge de progression demeure cependant importante. La moyenne de 21 208 spectateurs de la saison passée est inférieure à celle de 2014-2015 (22 362). "Le taux de remplissage de nos stades est toujours autour de 70% en L1, là où il est à 90% et au-delà en Allemagne et en Angleterre. On a un gros travail à faire", convenait Didier Quillot, le directeur général de la LFP.
Des enceintes grand format
Tout cela alors que de nouveaux stades de grande capacité ont ouvert leurs portes à Lille (2012), Nice (2013), Bordeaux (2015) et Lyon (2016), à l’approche de l’Euro-2016 disputé en France. "Les nouveaux stades sont hyper importants, mais ça va peut-être mettre deux ou trois saisons pour totalement augmenter la moyenne de spectateurs", explique Olivier Jaubert.
Depuis la livraison du stade Pierre-Mauroy à Lille, l’affluence moyenne y a chuté, passant de 40 593 personnes en 2012-2013 à 29 487 spectateurs en 2016-2017. "Il y a un effet de nouveauté avec le stade qui a provoqué une affluence assez forte, avant que cela ne s’effrite", estime Boris Helleu, maître de conférences à l’Université de Caen.
"L'organisation urbaine française est spécifique"
"Les grands stades ont globalement été bien conçus et correspondaient au cahier des charges de l’UEFA pour l’Euro, poursuit le spécialiste. Du point de vue de l’UEFA, ils n’ont pas été surdimensionnés, du point de vue de la hiérarchie urbaine, peut-être. Mais l’organisation urbaine française est spécifique."
"On a 10 millions de personnes en région parisienne et très très peu de grandes villes derrière à l’échelle européenne. Nos clubs se comparent à des clubs équivalents au niveau européen, mais souvent la trame urbaine n’est pas la même", analyse-t-il. Le Losc a aussi perdu de sa superbe au classement, avec une onzième place la saison passée.
Bielsa et Racing
L’attente est donc forte autour du nouvel entraîneur, le charismatique Argentin Marcelo Bielsa. Va-t-il à nouveau ramener du beau jeu et des spectateurs, comme il l’avait fait au Vélodrome, quand il dirigeait l’équipe de Marseille (2014-2015) ? A Lille, on assure que les ventes d’abonnements partent sur de meilleures bases que la saison passée.
L’autre atout de L1 cette année est le retour dans l’élite de Strasbourg et son fervent public de La Meinau. En moyenne, ils étaient plus de 17 000 l’an passé à suivre les performances de leur club à domicile, en deuxième division. Et avec 14 000 abonnés cette saison, les Strasbourgeois ont déjà battu leur record.
Une culture foot limitée
Pour autant, peut-il vraiment y avoir un effet Bielsa ou Strasbourg pour tirer significativement les affluences vers le haut ? C’est "toujours très difficile de faire des projections", répond prudemment Olivier Jaubert. Boris Helleu est lui aussi circonspect et "observe une sorte de plafond aux alentours de 20 000-22 000 spectateurs".
Selon lui, la question principale, "c’est l’amélioration de l’expérience au stade, des à-côtés pour attirer une clientèle déconnectée de la passion du foot", un public plus divers et familial, alors que la France a une "culture du foot et du stade assez limitée en dehors du simple champ des supporters".
"Améliorer l'expérience stade"
"L’expérience stade", c’est d’ailleurs un des chantiers sur lequel travaille la Ligue depuis plusieurs mois. Le 10 juillet, elle a rendu publique une vaste étude réalisée auprès de 36 000 spectateurs pour obtenir leurs avis sur l’accès au stade, l’accueil, la sécurité...
Dans l’ensemble, le niveau de satisfaction progresse, même si l’accessibilité en voitures ou en transports en commun pose encore problème et que la LFP veut travailler avec les clubs pour améliorer "la restauration et les animations".
dna
Peut-il y avoir un effet Marcelo Bielsa à Lille ? La belle ambiance de La Meinau, à Strasbourg, va-t-elle booster l’affluence globale en Ligue 1 ? Remplir les stades reste un défi pour de nombreux clubs de l’élite et un enjeu majeur pour la Ligue de football professionnel.
Des stades qui sonnent creux, des tribunes désertées... Remplir les stades de Ligue 1, dont nombre ont été récemment agrandis, reste une gageure pour nombre de clubs, alors que c'est un enjeu économique majeur.
Du côté de la Ligue de football professionnel, on insiste sur les chiffres positifs de l’exercice 2016-2017, avec une affluence moyenne de 21 208 spectateurs en Ligue 1, soit une hausse de 1,5% par rapport à la saison précédente, malgré un contexte sécuritaire compliqué avec la menace terroriste.
Faible taux de remplissage
"Si on fait la somme Coupe de la Ligue, Ligue 2 et Ligue 1, on est a peu près à 11,5 millions de spectateurs qui se sont rendus dans nos stades. Le football français reste le premier spectacle vivant en France en nombre de clients", souligne Olivier Jaubert, le directeur commercial de l’instance.
La marge de progression demeure cependant importante. La moyenne de 21 208 spectateurs de la saison passée est inférieure à celle de 2014-2015 (22 362). "Le taux de remplissage de nos stades est toujours autour de 70% en L1, là où il est à 90% et au-delà en Allemagne et en Angleterre. On a un gros travail à faire", convenait Didier Quillot, le directeur général de la LFP.
Des enceintes grand format
Tout cela alors que de nouveaux stades de grande capacité ont ouvert leurs portes à Lille (2012), Nice (2013), Bordeaux (2015) et Lyon (2016), à l’approche de l’Euro-2016 disputé en France. "Les nouveaux stades sont hyper importants, mais ça va peut-être mettre deux ou trois saisons pour totalement augmenter la moyenne de spectateurs", explique Olivier Jaubert.
Depuis la livraison du stade Pierre-Mauroy à Lille, l’affluence moyenne y a chuté, passant de 40 593 personnes en 2012-2013 à 29 487 spectateurs en 2016-2017. "Il y a un effet de nouveauté avec le stade qui a provoqué une affluence assez forte, avant que cela ne s’effrite", estime Boris Helleu, maître de conférences à l’Université de Caen.
"L'organisation urbaine française est spécifique"
"Les grands stades ont globalement été bien conçus et correspondaient au cahier des charges de l’UEFA pour l’Euro, poursuit le spécialiste. Du point de vue de l’UEFA, ils n’ont pas été surdimensionnés, du point de vue de la hiérarchie urbaine, peut-être. Mais l’organisation urbaine française est spécifique."
"On a 10 millions de personnes en région parisienne et très très peu de grandes villes derrière à l’échelle européenne. Nos clubs se comparent à des clubs équivalents au niveau européen, mais souvent la trame urbaine n’est pas la même", analyse-t-il. Le Losc a aussi perdu de sa superbe au classement, avec une onzième place la saison passée.
Bielsa et Racing
L’attente est donc forte autour du nouvel entraîneur, le charismatique Argentin Marcelo Bielsa. Va-t-il à nouveau ramener du beau jeu et des spectateurs, comme il l’avait fait au Vélodrome, quand il dirigeait l’équipe de Marseille (2014-2015) ? A Lille, on assure que les ventes d’abonnements partent sur de meilleures bases que la saison passée.
L’autre atout de L1 cette année est le retour dans l’élite de Strasbourg et son fervent public de La Meinau. En moyenne, ils étaient plus de 17 000 l’an passé à suivre les performances de leur club à domicile, en deuxième division. Et avec 14 000 abonnés cette saison, les Strasbourgeois ont déjà battu leur record.
Une culture foot limitée
Pour autant, peut-il vraiment y avoir un effet Bielsa ou Strasbourg pour tirer significativement les affluences vers le haut ? C’est "toujours très difficile de faire des projections", répond prudemment Olivier Jaubert. Boris Helleu est lui aussi circonspect et "observe une sorte de plafond aux alentours de 20 000-22 000 spectateurs".
Selon lui, la question principale, "c’est l’amélioration de l’expérience au stade, des à-côtés pour attirer une clientèle déconnectée de la passion du foot", un public plus divers et familial, alors que la France a une "culture du foot et du stade assez limitée en dehors du simple champ des supporters".
"Améliorer l'expérience stade"
"L’expérience stade", c’est d’ailleurs un des chantiers sur lequel travaille la Ligue depuis plusieurs mois. Le 10 juillet, elle a rendu publique une vaste étude réalisée auprès de 36 000 spectateurs pour obtenir leurs avis sur l’accès au stade, l’accueil, la sécurité...
Dans l’ensemble, le niveau de satisfaction progresse, même si l’accessibilité en voitures ou en transports en commun pose encore problème et que la LFP veut travailler avec les clubs pour améliorer "la restauration et les animations".
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Re: Les Brêves du Football
Le Viktoria Plzen transforme son banc de touche en canette de bière
Le sponsoring n'a plus de limites. Le club tchèque du Viktoria Plzen a décidé de transformer les bancs de touche de la Doosan Arena en canette de bière. Deux tonnes de métal, 300m² d'aluminium. On a fait des travaux cet été à la Doosan Arena, enceinte du Viktoria Plzen. Le club tchèque s'est offert deux bancs de touche flambants neufs avec des sièges chauffants confortables comme il faut pour passer l'automne. Le plus intriguant sur cette nouvelle installation reste son allure pas banale. La structure est en forme de canette de bière.
C'est le fruit d'un partenariat entre le club et la brasserie tchèque Gambrinus. «Ils sont uniques et j'ose affirmer qu'aucun club n'a les mêmes», s'est félicité le manager général Adolf Sadek. En France, où la vente de bière avec alcool est le plus souvent interdite dans les stades, il paraît peu probable de voir un tel dispositif.
equipe
Le sponsoring n'a plus de limites. Le club tchèque du Viktoria Plzen a décidé de transformer les bancs de touche de la Doosan Arena en canette de bière. Deux tonnes de métal, 300m² d'aluminium. On a fait des travaux cet été à la Doosan Arena, enceinte du Viktoria Plzen. Le club tchèque s'est offert deux bancs de touche flambants neufs avec des sièges chauffants confortables comme il faut pour passer l'automne. Le plus intriguant sur cette nouvelle installation reste son allure pas banale. La structure est en forme de canette de bière.
C'est le fruit d'un partenariat entre le club et la brasserie tchèque Gambrinus. «Ils sont uniques et j'ose affirmer qu'aucun club n'a les mêmes», s'est félicité le manager général Adolf Sadek. En France, où la vente de bière avec alcool est le plus souvent interdite dans les stades, il paraît peu probable de voir un tel dispositif.
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Re: Les Brêves du Football
Au tour de la Bundesliga de revoir le mercato
C’est ce qu’on appelle un effet « boule de neige« . Après que la Premier League ait décidé de raccourcir la fenêtre du mercato d’été, d’autres compétitions européennes veulent adapter également les dates des transferts estivaux à l’image de la Bundesliga.
Pour rappel, il y a une semaine, les clubs anglais ont voté la fin du mercato d’été au jeudi précédent la reprise du championnat. Le but étant de ne pas perturber voir fausser les 1ères journées avec notamment joueurs encore en négociation avec d’autres formations ou sur le point de partir.
Aujourd’hui, Reinhard Rauball, le Président de la Ligue de Football Allemand, s’est exprimé à ce sujet dans les colonnes de Sport-Bild. « Je vais faire la demande au bureau de la Ligue pour que la période de transferts soit raccourcie. Cette décision correspondante devrait être adoptée lors de l’Assemblée générale en décembre » a-t-il notamment déclaré.
Alors qu’Aleksander Ceferin, le Président de l’UEFA, s’est montré favorable à de tels changements, la Ligue 1 va prochainement se pencher sur la question et devrait sûrement suivre la tendance.
Flash Mercato
C’est ce qu’on appelle un effet « boule de neige« . Après que la Premier League ait décidé de raccourcir la fenêtre du mercato d’été, d’autres compétitions européennes veulent adapter également les dates des transferts estivaux à l’image de la Bundesliga.
Pour rappel, il y a une semaine, les clubs anglais ont voté la fin du mercato d’été au jeudi précédent la reprise du championnat. Le but étant de ne pas perturber voir fausser les 1ères journées avec notamment joueurs encore en négociation avec d’autres formations ou sur le point de partir.
Aujourd’hui, Reinhard Rauball, le Président de la Ligue de Football Allemand, s’est exprimé à ce sujet dans les colonnes de Sport-Bild. « Je vais faire la demande au bureau de la Ligue pour que la période de transferts soit raccourcie. Cette décision correspondante devrait être adoptée lors de l’Assemblée générale en décembre » a-t-il notamment déclaré.
Alors qu’Aleksander Ceferin, le Président de l’UEFA, s’est montré favorable à de tels changements, la Ligue 1 va prochainement se pencher sur la question et devrait sûrement suivre la tendance.
Flash Mercato
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Re: Les Brêves du Football
Lutzelhouse -
Racing club de Strasbourg L’appel de la Meinau !
Septuagénaires, octogénaires, nonagénaires : l’âge n’a pas entamé leur enthousiasme, à la maison de retraite Abrapa de Lutzelhouse.
Ils sont septuagénaires, octogénaires, l’aîné a 94 ans. Et ce n’est pas le déambulateur ou le fauteuil roulant qui va les arrêter : ils veulent retourner à la Meinau, pour un match du Racing Club de Strasbourg.
Hier à 17 h, ils étaient au rendez-vous, fidèles, l’oreille tendue pour écouter le compte rendu du match face à Monaco, sur France Bleu Alsace.
Ce matin, car ils sont aussi pour certains de fidèles abonnés des DNA, ils liront -ou ont déjà lu- les articles de notre envoyé spécial François Namur. Ce sont d’inconditionnels supporters du Racing Club de Strasbourg, depuis des lustres. Il y a parmi eux un ancien des « ultras », un autre qui se souvient bien des temps forts de la prodigieuse saison de 1979 !
Ils sont tous pensionnaires à la maison de retraite Abrapa de Lutzelhouse, dans la vallée de la Bruche. Et leur animatrice, Diane, a bien compris qu’il y a là une belle aventure à engager : ce serait merveilleux de permettre à cette dizaine de supporters de revivre un match, à la Meinau, en Ligue 1 ! Un rêve fou ?
Peut-être, mais il a suffi d’un post sur Facebook pour susciter des milliers de réactions. Plus de 200 commentaires depuis mercredi sur le réseau social et plus de 3 000 partages ! « Le club n’a pas encore réagi, mais ce sera peut-être le cas la semaine prochaine. La sous-préfecture nous a contactés, des associations sont prêtes à nous aider, des particuliers abonnés au Racing sont prêts à céder leur billet, les familles sont toutes contentes de cet engouement, raconte l’animatrice. Vous savez, nous avons peu de ressources, nos fêtes et nos tombolas servent bien à financer des actions, mais cela ne suffit pas. Nous avons pour ce genre de projet besoin d’un geste commercial »…
On le sait, les billets sont rares, l’engouement pour le Racing revenu en Ligue 1 important. Mais ce qui est sûr, c’est que ces supporters sont en mesure de se rendre à la Meinau. Ce ne sont pas les déambulateurs ou un fauteuil roulant qui vont les arrêter…
Et ils ont d’ores et déjà un jeune allié à Strasbourg : Alain Fontanel qui, dans une réaction a déclaré : « Le club m’a bien confirmé vendredi son accord. Principe acté, nous travaillons sur les modalités ».
dna
Racing club de Strasbourg L’appel de la Meinau !
Septuagénaires, octogénaires, nonagénaires : l’âge n’a pas entamé leur enthousiasme, à la maison de retraite Abrapa de Lutzelhouse.
Ils sont septuagénaires, octogénaires, l’aîné a 94 ans. Et ce n’est pas le déambulateur ou le fauteuil roulant qui va les arrêter : ils veulent retourner à la Meinau, pour un match du Racing Club de Strasbourg.
Hier à 17 h, ils étaient au rendez-vous, fidèles, l’oreille tendue pour écouter le compte rendu du match face à Monaco, sur France Bleu Alsace.
Ce matin, car ils sont aussi pour certains de fidèles abonnés des DNA, ils liront -ou ont déjà lu- les articles de notre envoyé spécial François Namur. Ce sont d’inconditionnels supporters du Racing Club de Strasbourg, depuis des lustres. Il y a parmi eux un ancien des « ultras », un autre qui se souvient bien des temps forts de la prodigieuse saison de 1979 !
Ils sont tous pensionnaires à la maison de retraite Abrapa de Lutzelhouse, dans la vallée de la Bruche. Et leur animatrice, Diane, a bien compris qu’il y a là une belle aventure à engager : ce serait merveilleux de permettre à cette dizaine de supporters de revivre un match, à la Meinau, en Ligue 1 ! Un rêve fou ?
Peut-être, mais il a suffi d’un post sur Facebook pour susciter des milliers de réactions. Plus de 200 commentaires depuis mercredi sur le réseau social et plus de 3 000 partages ! « Le club n’a pas encore réagi, mais ce sera peut-être le cas la semaine prochaine. La sous-préfecture nous a contactés, des associations sont prêtes à nous aider, des particuliers abonnés au Racing sont prêts à céder leur billet, les familles sont toutes contentes de cet engouement, raconte l’animatrice. Vous savez, nous avons peu de ressources, nos fêtes et nos tombolas servent bien à financer des actions, mais cela ne suffit pas. Nous avons pour ce genre de projet besoin d’un geste commercial »…
On le sait, les billets sont rares, l’engouement pour le Racing revenu en Ligue 1 important. Mais ce qui est sûr, c’est que ces supporters sont en mesure de se rendre à la Meinau. Ce ne sont pas les déambulateurs ou un fauteuil roulant qui vont les arrêter…
Et ils ont d’ores et déjà un jeune allié à Strasbourg : Alain Fontanel qui, dans une réaction a déclaré : « Le club m’a bien confirmé vendredi son accord. Principe acté, nous travaillons sur les modalités ».
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Re: Les Brêves du Football
Pavel Nedved reprend une licence avec le club de Skalna
Le club amateur tchèque de Skalna aura l'honneur d'aligner occasionnellement l'ancien joyau de la Juventus Turin Pavel Nedved. Les spectateurs qui se presseront prochainement derrière la main courante du stade du club amateur tchèque de Skalna seront privilégiés. Ils auront l'occasion de voir rejouer Pavel Nedved, l'ancien meneur délicieux de la Juventus Turin et de la Lazio Rome. Aujourd'hui âgé de 45 ans, Nedved, vice-président de la Juve, a été autorisé par la Vieille Dame à reprendre une licence avec Skalna, le club de ses débuts. Il évoluera ainsi avec son fils, Pavel Junior (18 ans).
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Le club amateur tchèque de Skalna aura l'honneur d'aligner occasionnellement l'ancien joyau de la Juventus Turin Pavel Nedved. Les spectateurs qui se presseront prochainement derrière la main courante du stade du club amateur tchèque de Skalna seront privilégiés. Ils auront l'occasion de voir rejouer Pavel Nedved, l'ancien meneur délicieux de la Juventus Turin et de la Lazio Rome. Aujourd'hui âgé de 45 ans, Nedved, vice-président de la Juve, a été autorisé par la Vieille Dame à reprendre une licence avec Skalna, le club de ses débuts. Il évoluera ainsi avec son fils, Pavel Junior (18 ans).
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Re: Les Brêves du Football
Bingourou Kamara et Martin Terrier appelés en Espoirs
Le sélectionneur de l’Équipe de France Espoirs a dévoilé ce jeudi 28 septembre sa liste des 22 tricolores convoqués pour disputer deux prochaines rencontres comptant pour les éliminatoires de l’Euro Espoirs 2019.
Parmi les joueurs sélectionnés figure les deux Strasbourgeois Bingourou Kamara et Martin Terrier. Les Bleuets affronteront le Monténégro le jeudi 5 octobre (19h) au stade de l’Aube de Troyes, avant un déplacement au stade Emile-Mayrisch de Esch-sur-Alzette le lundi 9 octobre (21h) pour y défier les Luxembourgeois.
Pour rappel, les U21 français avaient bien débuté leur parcours qualificatif en dominant le Kazakhstan (4-1), le 5 septembre dernier au Mans avec notamment un triplé de Martin Terrier.
SO
Le sélectionneur de l’Équipe de France Espoirs a dévoilé ce jeudi 28 septembre sa liste des 22 tricolores convoqués pour disputer deux prochaines rencontres comptant pour les éliminatoires de l’Euro Espoirs 2019.
Parmi les joueurs sélectionnés figure les deux Strasbourgeois Bingourou Kamara et Martin Terrier. Les Bleuets affronteront le Monténégro le jeudi 5 octobre (19h) au stade de l’Aube de Troyes, avant un déplacement au stade Emile-Mayrisch de Esch-sur-Alzette le lundi 9 octobre (21h) pour y défier les Luxembourgeois.
Pour rappel, les U21 français avaient bien débuté leur parcours qualificatif en dominant le Kazakhstan (4-1), le 5 septembre dernier au Mans avec notamment un triplé de Martin Terrier.
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Re: Les Brêves du Football
Indiscrétions
❏ INTERNATIONAUX. – Comme début septembre, le Racing sera privé de ses internationaux ces prochains jours. Présents hier soir à Dijon, Nuno Da Costa, qui affrontera le Sénégal avec le Cap-Vert à Praia le 7 octobre en éliminatoires du Mondial 2018, Bakary Koné, retenu de son côté avec le Burkina Faso pour un déplacement ce jour-là en Afrique du Sud dans le même groupe de qualifications, Martin Terrier et Bingourou Kamara, qui disputeront deux rencontres éliminatoires de l’Euro 2019 avec l’équipe de France espoirs (le jeudi 5 à Troyes contre le Monténégro, puis le lundi 9 au Luxembourg), vont rejoindre leurs sélections respectives. Ils ne joueront donc pas avec le Racing en amical jeudi (15h30) à Fribourg (Bundesliga).
❏ AANEBA. – Thierry Laurey avait emmené 19 joueurs à Dijon. Hier, le coach a tranché : le jeune défenseur Ismaël Aaneba, remplaçant à Monaco il y a quinze jours, a assisté à la rencontre depuis les tribunes.
❏ DOUCHÉS. – Dans un stade Gaston-Gérard qui s’agrandit au fil des années et de la montée en puissance du DFCO, notamment en cette saison 2017-2018 avec l’inauguration de la tribune Est contre Saint-Etienne le 16 septembre, les seuls ”mal lotis’’ ont été les quelque 650 supporters strasbourgeois. Leur parcage était le seul à ne pas être abrité. Les fans du club bas-rhinois ont ainsi été copieusement arrosés avant le début de la rencontre. Mais la pluie battante, qui s’est calmée quelques minutes avant le coup d’envoi, n’a pas douché leur enthousiasme.
dna
❏ INTERNATIONAUX. – Comme début septembre, le Racing sera privé de ses internationaux ces prochains jours. Présents hier soir à Dijon, Nuno Da Costa, qui affrontera le Sénégal avec le Cap-Vert à Praia le 7 octobre en éliminatoires du Mondial 2018, Bakary Koné, retenu de son côté avec le Burkina Faso pour un déplacement ce jour-là en Afrique du Sud dans le même groupe de qualifications, Martin Terrier et Bingourou Kamara, qui disputeront deux rencontres éliminatoires de l’Euro 2019 avec l’équipe de France espoirs (le jeudi 5 à Troyes contre le Monténégro, puis le lundi 9 au Luxembourg), vont rejoindre leurs sélections respectives. Ils ne joueront donc pas avec le Racing en amical jeudi (15h30) à Fribourg (Bundesliga).
❏ AANEBA. – Thierry Laurey avait emmené 19 joueurs à Dijon. Hier, le coach a tranché : le jeune défenseur Ismaël Aaneba, remplaçant à Monaco il y a quinze jours, a assisté à la rencontre depuis les tribunes.
❏ DOUCHÉS. – Dans un stade Gaston-Gérard qui s’agrandit au fil des années et de la montée en puissance du DFCO, notamment en cette saison 2017-2018 avec l’inauguration de la tribune Est contre Saint-Etienne le 16 septembre, les seuls ”mal lotis’’ ont été les quelque 650 supporters strasbourgeois. Leur parcage était le seul à ne pas être abrité. Les fans du club bas-rhinois ont ainsi été copieusement arrosés avant le début de la rencontre. Mais la pluie battante, qui s’est calmée quelques minutes avant le coup d’envoi, n’a pas douché leur enthousiasme.
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Re: Les Brêves du Football
Près de 5 000 agressions d'arbitres amateurs la saison passée
Injures, menaces, crachats voire coups de poing... Les arbitres amateurs ont été victimes de 4 841 agressions verbales ou physiques lors de la saison 2016-2017, s’est alarmée l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), vendredi.
L’association dénombre 379 agressions physiques et réclame des sanctions beaucoup plus fermes - la radiation à vie - pour les auteurs de coups à l’encontre du corps arbitral.
Des agressions "graves" et "préméditées"
«Les agressions sont de plus en plus graves», dénonce son président Jean-Jacques Demarez. «Elles ont lieu sur des arbitres de plus en plus jeunes, parfois dans les catégories de moins de treize ans ou moins de quinze ans. Il n’y a rien de tel pour décourager les vocations chez les gamins bénévoles».
«Ce qui est encore plus grave, c’est la préméditation, quand les violences ont lieu deux ou trois jours après un match. Et on voit maintenant des arbitres féminines se faire agresser également, ce qui n’arrivait pas avant», dénonce le dirigeant de l’UNAF, qui représente 26 000 arbitres en France.
Suivre le modèle du rugby
Sur le plan judiciaire, l’association reconnaît les progrès apportés par la loi Lamour de 2006 qui a fait des arbitres des «chargés d’une mission de service public», ce qui permet d’aggraver les sanctions contre les agresseurs.
Mais elle voudrait aller plus loin en suivant le modèle de sanctions dans le monde du rugby. Tout en «reconnaissant» les efforts de la Fédération française de football pour renforcer le code disciplinaire, l’UNAF regrette «le silence de la FFF, des Ligues et des districts quand les arbitres se font insulter ou agresser».
«Il devrait y avoir des réactions immédiates des instances. Le monde professionnel se doit aussi d’être exemplaire. Quand un dirigeant ou un joueur s’en prend à un arbitre, ça rejaillit aussitôt sur nos terrains amateurs le dimanche suivant», souligne Jean-Jacques Demarez, en rappelant la récente sortie du président de Rennes René Ruello.
Le dirigeant breton avait dénoncé une «escroquerie arbitrale» après la défaite contre Guingamp (2-0), décrivant l’arbitre Frank Schneider comme un «prétentieux entêté et sûr de lui» et un «imbécile». Il est convoqué le 2 novembre devant la commission de discipline de la Ligue (LFP) pour s’expliquer.
dna
Injures, menaces, crachats voire coups de poing... Les arbitres amateurs ont été victimes de 4 841 agressions verbales ou physiques lors de la saison 2016-2017, s’est alarmée l’Union nationale des arbitres de football (UNAF), vendredi.
L’association dénombre 379 agressions physiques et réclame des sanctions beaucoup plus fermes - la radiation à vie - pour les auteurs de coups à l’encontre du corps arbitral.
Des agressions "graves" et "préméditées"
«Les agressions sont de plus en plus graves», dénonce son président Jean-Jacques Demarez. «Elles ont lieu sur des arbitres de plus en plus jeunes, parfois dans les catégories de moins de treize ans ou moins de quinze ans. Il n’y a rien de tel pour décourager les vocations chez les gamins bénévoles».
«Ce qui est encore plus grave, c’est la préméditation, quand les violences ont lieu deux ou trois jours après un match. Et on voit maintenant des arbitres féminines se faire agresser également, ce qui n’arrivait pas avant», dénonce le dirigeant de l’UNAF, qui représente 26 000 arbitres en France.
Suivre le modèle du rugby
Sur le plan judiciaire, l’association reconnaît les progrès apportés par la loi Lamour de 2006 qui a fait des arbitres des «chargés d’une mission de service public», ce qui permet d’aggraver les sanctions contre les agresseurs.
Mais elle voudrait aller plus loin en suivant le modèle de sanctions dans le monde du rugby. Tout en «reconnaissant» les efforts de la Fédération française de football pour renforcer le code disciplinaire, l’UNAF regrette «le silence de la FFF, des Ligues et des districts quand les arbitres se font insulter ou agresser».
«Il devrait y avoir des réactions immédiates des instances. Le monde professionnel se doit aussi d’être exemplaire. Quand un dirigeant ou un joueur s’en prend à un arbitre, ça rejaillit aussitôt sur nos terrains amateurs le dimanche suivant», souligne Jean-Jacques Demarez, en rappelant la récente sortie du président de Rennes René Ruello.
Le dirigeant breton avait dénoncé une «escroquerie arbitrale» après la défaite contre Guingamp (2-0), décrivant l’arbitre Frank Schneider comme un «prétentieux entêté et sûr de lui» et un «imbécile». Il est convoqué le 2 novembre devant la commission de discipline de la Ligue (LFP) pour s’expliquer.
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Re: Les Brêves du Football
Un ancien Strasbourgeois s’est confié sur un trépidant passé Larios dans tous ses états
Avec un parcours aussi brillant sur le terrain qu’agité en dehors, l’ancien milieu de terrain du Racing a vécu sans limite, avec excès. À 61 ans, un peu rangé des voitures, Jean-François Larios a décidé de s’arrêter sur ses trépidations innombrables. Sans langue de bois, il décrit un passé où il ne s’est pas ménagé.
Sa voix éraillée, son visage éprouvé mais un éternel sourire au bord des lèvres, Jean-François Larios ne peut pas se cacher. D’ailleurs, il ne le tait pas. La chandelle, il l’a grillée par les deux bouts.
« On mange quand même sacrément bien en Alsace »
Et dans le livre qu’il a commis en collaboration avec Bernard Lions, journaliste à l’Équipe , l’ancien milieu de terrain, formé à l’ombre de Geoffroy-Guichard, ne tourne pas autour du pot. Dans le titre, tout est dit : « J’ai joué avec le feu, le foot, le fric, le dopage, mes amours, mes emmerdes ».
Dans le détail, les épisodes sont savoureux et rappellent tout de même la stature d’un international, au palmarès long comme un jour sans pain. Jean-François Larios a décidé de tout dire et les raisons qui ont conduit à ne pas faire partie de l’histoire officielle, dans toute sa splendeur, apparaissent.
C’était un fêtard, c’était un flambeur, c’était un tombeur et ses travers ont pu le conduire dans quelques impasses. L’homme de 61 ans aujourd’hui a été chassé de la maison verte parce qu’il ne fallait pas toucher à Michel Platini, ni à sa femme. Le talentueux garçon s’est vu conseiller quelques produits illégaux lors de matches d’importance. Son corps a parfois dit stop alors que les blessures liées à une vie dissolue ont pu s’accumuler.
Mais y a-t-il de quelconques regrets ? A priori non, car la frénétique existence a été ponctuée d’amitiés vraies. Ainsi, son année alsacienne n’a pas été la moins intéressante en la matière.
« C’est vrai, je n’ai joué qu’une vingtaine de matches avec le Racing (1985-1986), admet-il. Mais je m’y suis bien éclaté. On mange quand même sacrément bien en Alsace et puis il y a la bière Fischer. Sportivement, cela a été un échec avec une descente à la fin. » Physiquement, Larios est déjà sur la jante, a les genoux qui sifflent, quand il déboule à Strasbourg.
« Piasecki ? Une tête de lard »
Mais il retrouve avec plaisir Georges van Straelen sous le maillot bleu et découvre Rémy Vogel. L’homme aux quatre titres de champion avec l’AS Saint-Étienne pratique également allègrement Jean-Henri Jaeger, l’émérite chirurgien qui a reconstruit tant de footballeurs.
Parmi les épisodes contenus dans le livre, l’agitation historique autour du Racing trouve quelques illustrations emblématiques. « Francis Piasecki avait une frappe de mule, c’est un joueur que j’admirais, l’un des grands artisans du titre de 1979, mais sur le banc, avec moi, ce n’était pas ça, souligne le pied-noir demi-finaliste de la Coupe du monde en 1982. Il m’a mis sur le banc, il ne m’a pas fait jouer dans les meilleures conditions. C’était une tête de lard. »
Après sa saison strasbourgeoise, il se contentera d’une trentaine de matches en pro avant une forme de descente aux enfers. Pour un footballeur, la retraite sportive correspond à une petite mort.
Larios, lui, est passé par les stades les moins marrants d’un quotidien en manque d’adrénaline. La dépression, le divorce, les problèmes avec le fisc, les condamnations dans le procès des comptes de l’OM puisque son activité d’agent l’a amené à quelques pratiques suspectes, constituent le chapelet des maux si caricaturaux qui l’ont frappé.
« J’ai eu des problèmes de santé aussi, les médecins m’ont ouvert trois fois le ventre mais ça va, je ne me plains pas, souligne-t-il. J’ai vécu des ruptures, nombreuses, je suis tombé, je me suis relevé, j’ai payé pour ce que j’ai fait. » Un peu comme le Racing finalement, dont il se réjouit de la renaissance. « Strasbourg, c’est Strasbourg, bon sang, lâche-t-il dans un éclat de rire. Ce que font Keller et Laurey, c’est extraordinaire.
Entre Perpignan et Paris, lui vit désormais plus modestement entre quelques amis de longue date, sa sœur.
« Suis-je devenu un clochard ? conclut-il dans le livre. Mais alors un clochard de luxe, je n’appartiens à personne, je suis un homme libre. » Et à l’écouter, il n’a pas nécessairement l’air d’un homme malheureux.
« Jean-François Larios : j’ai joué avec le feu », Solar Éditions
dna
Avec un parcours aussi brillant sur le terrain qu’agité en dehors, l’ancien milieu de terrain du Racing a vécu sans limite, avec excès. À 61 ans, un peu rangé des voitures, Jean-François Larios a décidé de s’arrêter sur ses trépidations innombrables. Sans langue de bois, il décrit un passé où il ne s’est pas ménagé.
Sa voix éraillée, son visage éprouvé mais un éternel sourire au bord des lèvres, Jean-François Larios ne peut pas se cacher. D’ailleurs, il ne le tait pas. La chandelle, il l’a grillée par les deux bouts.
« On mange quand même sacrément bien en Alsace »
Et dans le livre qu’il a commis en collaboration avec Bernard Lions, journaliste à l’Équipe , l’ancien milieu de terrain, formé à l’ombre de Geoffroy-Guichard, ne tourne pas autour du pot. Dans le titre, tout est dit : « J’ai joué avec le feu, le foot, le fric, le dopage, mes amours, mes emmerdes ».
Dans le détail, les épisodes sont savoureux et rappellent tout de même la stature d’un international, au palmarès long comme un jour sans pain. Jean-François Larios a décidé de tout dire et les raisons qui ont conduit à ne pas faire partie de l’histoire officielle, dans toute sa splendeur, apparaissent.
C’était un fêtard, c’était un flambeur, c’était un tombeur et ses travers ont pu le conduire dans quelques impasses. L’homme de 61 ans aujourd’hui a été chassé de la maison verte parce qu’il ne fallait pas toucher à Michel Platini, ni à sa femme. Le talentueux garçon s’est vu conseiller quelques produits illégaux lors de matches d’importance. Son corps a parfois dit stop alors que les blessures liées à une vie dissolue ont pu s’accumuler.
Mais y a-t-il de quelconques regrets ? A priori non, car la frénétique existence a été ponctuée d’amitiés vraies. Ainsi, son année alsacienne n’a pas été la moins intéressante en la matière.
« C’est vrai, je n’ai joué qu’une vingtaine de matches avec le Racing (1985-1986), admet-il. Mais je m’y suis bien éclaté. On mange quand même sacrément bien en Alsace et puis il y a la bière Fischer. Sportivement, cela a été un échec avec une descente à la fin. » Physiquement, Larios est déjà sur la jante, a les genoux qui sifflent, quand il déboule à Strasbourg.
« Piasecki ? Une tête de lard »
Mais il retrouve avec plaisir Georges van Straelen sous le maillot bleu et découvre Rémy Vogel. L’homme aux quatre titres de champion avec l’AS Saint-Étienne pratique également allègrement Jean-Henri Jaeger, l’émérite chirurgien qui a reconstruit tant de footballeurs.
Parmi les épisodes contenus dans le livre, l’agitation historique autour du Racing trouve quelques illustrations emblématiques. « Francis Piasecki avait une frappe de mule, c’est un joueur que j’admirais, l’un des grands artisans du titre de 1979, mais sur le banc, avec moi, ce n’était pas ça, souligne le pied-noir demi-finaliste de la Coupe du monde en 1982. Il m’a mis sur le banc, il ne m’a pas fait jouer dans les meilleures conditions. C’était une tête de lard. »
Après sa saison strasbourgeoise, il se contentera d’une trentaine de matches en pro avant une forme de descente aux enfers. Pour un footballeur, la retraite sportive correspond à une petite mort.
Larios, lui, est passé par les stades les moins marrants d’un quotidien en manque d’adrénaline. La dépression, le divorce, les problèmes avec le fisc, les condamnations dans le procès des comptes de l’OM puisque son activité d’agent l’a amené à quelques pratiques suspectes, constituent le chapelet des maux si caricaturaux qui l’ont frappé.
« J’ai eu des problèmes de santé aussi, les médecins m’ont ouvert trois fois le ventre mais ça va, je ne me plains pas, souligne-t-il. J’ai vécu des ruptures, nombreuses, je suis tombé, je me suis relevé, j’ai payé pour ce que j’ai fait. » Un peu comme le Racing finalement, dont il se réjouit de la renaissance. « Strasbourg, c’est Strasbourg, bon sang, lâche-t-il dans un éclat de rire. Ce que font Keller et Laurey, c’est extraordinaire.
Entre Perpignan et Paris, lui vit désormais plus modestement entre quelques amis de longue date, sa sœur.
« Suis-je devenu un clochard ? conclut-il dans le livre. Mais alors un clochard de luxe, je n’appartiens à personne, je suis un homme libre. » Et à l’écouter, il n’a pas nécessairement l’air d’un homme malheureux.
« Jean-François Larios : j’ai joué avec le feu », Solar Éditions
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Re: Les Brêves du Football
Inauguration de l’exposition en hommage à Yves Muller, demain à Colmar
Gress, invité d’honneur
Du 5 au 9 juin au Stadium de Colmar, la LAFA et le SRC invitent à la grande semaine du football diversifié. Avec, en énorme lever de rideau, l’inauguration de l’exposition hommage à Yves Muller, dès ce mercredi en présence de Gilbert Gress.
Yves Muller, 20 années de présidence à la Ligue d’Alsace, personnage exceptionnel et personnalité énorme à tous les niveaux. Le Colmarien, SRC vissé au corps et au cœur, reste présent bien au-delà de sa disparition et mérite amplement l’hommage qui lui sera rendu à travers l’exposition à la mairie, tout au long de la 8e édition de la semaine « foot pour tous et par tous ».
« Il ne sait pas dire non » quand une association l’appelle
Gilbert Gress, entraîneur champion de France, il y a près de 40 ans, en 1979 avec le RC Strasbourg. Autre personnage coloré, autre très forte personnalité, connu et reconnu en Alsace, à l’OM, mais aussi voire surtout en Suisse (Xamax, équipe nationale) et Allemagne (VfB Stuttgart).
L’attaquant international du Racing, impliqué à fond depuis 20 ans au cœur du sport pour handicapés, de multiples associations caritatives, s’investit sans retenue à la fois au Lions Club d’Illkirch aux côtés notamment de Michel Iderne, ancien rugbyman strasbourgeois, mais encore et surtout en Suisse, où il se rend régulièrement.
Deux figures du foot alsacien qui s’étaient rencontrées souvent dans les stades et qui seront à l’honneur à Colmar en cette fin de printemps, dans le cadre d’un autre rendez-vous à la fois sportif et humain, comme à Kaysersberg il y a deux ans, quand le coach-conférencier avait salué le Bâtonnier avec émotion.
Football adapté, solidaire, de loisir, de rue. Foot en fauteuil électrique, Cécifoot, foot pour sourds, foot pour valides et handicapés divers, mentaux et physiques. Le foot que Gress aime et contribue à promouvoir comme ces jours-ci à Bâle, chez des écoliers de 9 ans. Comme à Stuttgart récemment lors d’une conférence qui avait fait le plein (on a dû refuser du monde). Comme à Macolin, le plus grand centre de sport de Suisse, en compagnie de Chapuisat et Frei, deux prestigieux internationaux, pour le plus grand rassemblement handisport du pays. Comme à la télé helvétique, où “GG” fait partie des vedettes. « Incroyable talent », entraîneur des champions, des hommes politiques, pub, etc.
« Gilbert est parti sans arrêt. Il ne sait pas dire non », note Béatrice, son épouse. « Je fais partie également, comme unique valide, du jury d’un grand prix destiné à récompenser les deux meilleurs projets pour associations de handicapés », explique celui dont le livre “Mein Leben für den Fussball”, ma vie pour le football, remporte un énorme succès.
À la tête de ses équipes de Cécifoot (Schiltigheim pour l’Alsace), avec les jeunes, les féminines, les formations de handifoot, il ne fait aucune différence. Pourvu que le plaisir, la passion et l’amitié l’emportent. « Je suis content de venir dans le Haut-Rhin. J’y suis régulièrement très bien accueilli. » Pourvu que l’on parle football, échanges, rencontres, découvertes humaines.
dna
Gress, invité d’honneur
Du 5 au 9 juin au Stadium de Colmar, la LAFA et le SRC invitent à la grande semaine du football diversifié. Avec, en énorme lever de rideau, l’inauguration de l’exposition hommage à Yves Muller, dès ce mercredi en présence de Gilbert Gress.
Yves Muller, 20 années de présidence à la Ligue d’Alsace, personnage exceptionnel et personnalité énorme à tous les niveaux. Le Colmarien, SRC vissé au corps et au cœur, reste présent bien au-delà de sa disparition et mérite amplement l’hommage qui lui sera rendu à travers l’exposition à la mairie, tout au long de la 8e édition de la semaine « foot pour tous et par tous ».
« Il ne sait pas dire non » quand une association l’appelle
Gilbert Gress, entraîneur champion de France, il y a près de 40 ans, en 1979 avec le RC Strasbourg. Autre personnage coloré, autre très forte personnalité, connu et reconnu en Alsace, à l’OM, mais aussi voire surtout en Suisse (Xamax, équipe nationale) et Allemagne (VfB Stuttgart).
L’attaquant international du Racing, impliqué à fond depuis 20 ans au cœur du sport pour handicapés, de multiples associations caritatives, s’investit sans retenue à la fois au Lions Club d’Illkirch aux côtés notamment de Michel Iderne, ancien rugbyman strasbourgeois, mais encore et surtout en Suisse, où il se rend régulièrement.
Deux figures du foot alsacien qui s’étaient rencontrées souvent dans les stades et qui seront à l’honneur à Colmar en cette fin de printemps, dans le cadre d’un autre rendez-vous à la fois sportif et humain, comme à Kaysersberg il y a deux ans, quand le coach-conférencier avait salué le Bâtonnier avec émotion.
Football adapté, solidaire, de loisir, de rue. Foot en fauteuil électrique, Cécifoot, foot pour sourds, foot pour valides et handicapés divers, mentaux et physiques. Le foot que Gress aime et contribue à promouvoir comme ces jours-ci à Bâle, chez des écoliers de 9 ans. Comme à Stuttgart récemment lors d’une conférence qui avait fait le plein (on a dû refuser du monde). Comme à Macolin, le plus grand centre de sport de Suisse, en compagnie de Chapuisat et Frei, deux prestigieux internationaux, pour le plus grand rassemblement handisport du pays. Comme à la télé helvétique, où “GG” fait partie des vedettes. « Incroyable talent », entraîneur des champions, des hommes politiques, pub, etc.
« Gilbert est parti sans arrêt. Il ne sait pas dire non », note Béatrice, son épouse. « Je fais partie également, comme unique valide, du jury d’un grand prix destiné à récompenser les deux meilleurs projets pour associations de handicapés », explique celui dont le livre “Mein Leben für den Fussball”, ma vie pour le football, remporte un énorme succès.
Un punch intact
À près de 77 ans, celui qui a tout gagné à Marseille, qui reste une légende vivante à Neuchâtel, où personne n’a oublié les matches européens au sommet contre le Real, le Bayern ou Hambourg, qui passionne toujours les supporters stuttgartois et fait rêver ceux du Racing de la belle époque, conserve un punch intact, un mental de gagneur. « Je continue à privilégier la qualité à la quantité. »À la tête de ses équipes de Cécifoot (Schiltigheim pour l’Alsace), avec les jeunes, les féminines, les formations de handifoot, il ne fait aucune différence. Pourvu que le plaisir, la passion et l’amitié l’emportent. « Je suis content de venir dans le Haut-Rhin. J’y suis régulièrement très bien accueilli. » Pourvu que l’on parle football, échanges, rencontres, découvertes humaines.
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Re: Les Brêves du Football
Les tatouages polémiques dans le football
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Re: Les Brêves du Football
FFF : Un budget prévisionnel «historique»
L'Assemblée générale a adopté samedi le budget prévisionnel le plus élevé de son histoire : 250,2 millions d'euros pour la saison 2018-2019.
L'Assemblée générale de la FFF a adopté samedi à Strasbourg un budget prévisionnel de 250,2 millions d'euros pour la saison 2018-2019, «un total historique de ressources» selon le trésorier général Lionel Boland.
Ce total, en progression de 22% depuis 2011, ne tient pas compte de la dotation Fifa pour la Coupe du monde, budgétée à hauteur de 16,3 millions d'euros dans l'hypothèse d'une qualification de l'équipe de France pour les quarts de finale.
L'équipementier Nike, dont le contrat a été renouvelé en 2016 pour la période 2018-2026, contribue à hauteur de 50,5 millions d'euros au budget, les partenariats représentent 51,6 millions d'euros et les droits TV 63,1 millions d'euros. La billetterie apporte près de 9% des ressources de la Fédération.
Ces derniers jours, la FFF a multiplié les annonces de sponsoring avec Coca-Cola, Belin ou le Crédit agricole.
32% du budget est alloué au football amateur, ce qui constitue une somme de 86 millions d'euros.
equipe
L'Assemblée générale a adopté samedi le budget prévisionnel le plus élevé de son histoire : 250,2 millions d'euros pour la saison 2018-2019.
L'Assemblée générale de la FFF a adopté samedi à Strasbourg un budget prévisionnel de 250,2 millions d'euros pour la saison 2018-2019, «un total historique de ressources» selon le trésorier général Lionel Boland.
Ce total, en progression de 22% depuis 2011, ne tient pas compte de la dotation Fifa pour la Coupe du monde, budgétée à hauteur de 16,3 millions d'euros dans l'hypothèse d'une qualification de l'équipe de France pour les quarts de finale.
L'équipementier Nike, dont le contrat a été renouvelé en 2016 pour la période 2018-2026, contribue à hauteur de 50,5 millions d'euros au budget, les partenariats représentent 51,6 millions d'euros et les droits TV 63,1 millions d'euros. La billetterie apporte près de 9% des ressources de la Fédération.
Ces derniers jours, la FFF a multiplié les annonces de sponsoring avec Coca-Cola, Belin ou le Crédit agricole.
32% du budget est alloué au football amateur, ce qui constitue une somme de 86 millions d'euros.
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Re: Les Brêves du Football
Un avion transportant Emiliano Sala (ex Nantes) a disparu
L'avion privé dans lequel avait pris place le nouvel attaquant de Cardiff Emiliano Sala (ex Nantes) a perdu le contact avec le contrôle aérien lundi soir vers 20 heures. Les opérations de secours déclenchées dans la nuit dans la zone d'Aurigny, située dans les îles anglo-normandes, ont repris mardi matin.
Il venait de dire au revoir à ses coéquipiers nantais. Depuis quelques heures, les proches d'Emiliano Sala sont plongés dans une insoutenable attente. L'avion privé à bord duquel a pris place lundi soir le nouvel attaquant de Cardiff (28 ans) a perdu le contact avec le contrôle aérien vers 20 heures. Attendu au pays de Galles peu avant 21 heures en provenance de Nantes, il n'est pas arrivé. Les garde-côtes der Guernesey ont été alertés à 20h23 qu'un avion léger avait disparu des radars à environ 15 kilomètres au nord de l'île. Aurigny est une île qui se situe à 15 kilomètres de la Hague et de la côte normande.
Une vaste opération de secours a alors été déclenchée par Saint-Peter Port, composée de deux hélicoptères et de bateaux dans la zone de Guernesey-Aurigny pour tenter de retrouver la trace de l'avion «Piper Malibu» immatriculé PA 46 Malibu, où deux personnes, dont Sala avaient pris place.
A minuit trente, la police de Guernesey indiquait dans un communiqué qu'« une opération de sauvetage et de recherche est actuellement en cours au Nord d'Alderney après la disparition d'un avion léger il y a plusieurs heures. Deux hélicoptères à côté des embarcations de sauvetage de Guernesey sont à la recherche de nouveaux renseignements ». Les garde-côtes anglais qui, parallèlement à ceux de Guernesey, se sont rendus sur place - via hélicoptère - ont indiqué qu'en l'état, ils « n'avaient rien trouvé ». Les recherches, abandonnées à 2 heures du matin au regard des conditions météo, on repris mardi matin avec notamment la participation de la Marine Nationale.
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L'avion privé dans lequel avait pris place le nouvel attaquant de Cardiff Emiliano Sala (ex Nantes) a perdu le contact avec le contrôle aérien lundi soir vers 20 heures. Les opérations de secours déclenchées dans la nuit dans la zone d'Aurigny, située dans les îles anglo-normandes, ont repris mardi matin.
Il venait de dire au revoir à ses coéquipiers nantais. Depuis quelques heures, les proches d'Emiliano Sala sont plongés dans une insoutenable attente. L'avion privé à bord duquel a pris place lundi soir le nouvel attaquant de Cardiff (28 ans) a perdu le contact avec le contrôle aérien vers 20 heures. Attendu au pays de Galles peu avant 21 heures en provenance de Nantes, il n'est pas arrivé. Les garde-côtes der Guernesey ont été alertés à 20h23 qu'un avion léger avait disparu des radars à environ 15 kilomètres au nord de l'île. Aurigny est une île qui se situe à 15 kilomètres de la Hague et de la côte normande.
Une vaste opération de secours a alors été déclenchée par Saint-Peter Port, composée de deux hélicoptères et de bateaux dans la zone de Guernesey-Aurigny pour tenter de retrouver la trace de l'avion «Piper Malibu» immatriculé PA 46 Malibu, où deux personnes, dont Sala avaient pris place.
A minuit trente, la police de Guernesey indiquait dans un communiqué qu'« une opération de sauvetage et de recherche est actuellement en cours au Nord d'Alderney après la disparition d'un avion léger il y a plusieurs heures. Deux hélicoptères à côté des embarcations de sauvetage de Guernesey sont à la recherche de nouveaux renseignements ». Les garde-côtes anglais qui, parallèlement à ceux de Guernesey, se sont rendus sur place - via hélicoptère - ont indiqué qu'en l'état, ils « n'avaient rien trouvé ». Les recherches, abandonnées à 2 heures du matin au regard des conditions météo, on repris mardi matin avec notamment la participation de la Marine Nationale.
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Re: Les Brêves du Football
Le Real Madrid club le plus riche du monde, le PSG sixième
Selon le classement publié ce jeudi par le cabinet Deloitte, le Real Madrid est le club le plus riche du monde. Seul club français parmi les vingt premiers, le PSG est sixième.
Après avoir notamment remporté les trois dernières éditions de la Ligue des Champions, le Real Madrid est désormais le club le plus riche du monde selon un classement publié par le cabinet Deloitte. Le club madrilène a engendré 774 millions d'euros lors de la saison 2017-2018 et détrône ainsi Manchester United, désormais troisième, qui occupait la première place la saison précédente. Le FC Barcelone se classe deuxième, tandis que le Bayern Munich et Manchester City complètent le Top 5.
Seule formation française dans ce Top 20, le PSG se classe sixième avec 541,7 millions d'euros enregistrés. Le club parisien gagne une place par rapport à la saison précédente. Ce classement est largement dominé par les clubs de Premier League qui occupent 10 des 20 premières places. Au total, les 20 clubs les plus riches du monde ont amassé 7,4 milliards de livres de revenus la saison dernière, représentant ainsi une hausse de 6% par rapport à l'année précédente.
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Selon le classement publié ce jeudi par le cabinet Deloitte, le Real Madrid est le club le plus riche du monde. Seul club français parmi les vingt premiers, le PSG est sixième.
Après avoir notamment remporté les trois dernières éditions de la Ligue des Champions, le Real Madrid est désormais le club le plus riche du monde selon un classement publié par le cabinet Deloitte. Le club madrilène a engendré 774 millions d'euros lors de la saison 2017-2018 et détrône ainsi Manchester United, désormais troisième, qui occupait la première place la saison précédente. Le FC Barcelone se classe deuxième, tandis que le Bayern Munich et Manchester City complètent le Top 5.
Seule formation française dans ce Top 20, le PSG se classe sixième avec 541,7 millions d'euros enregistrés. Le club parisien gagne une place par rapport à la saison précédente. Ce classement est largement dominé par les clubs de Premier League qui occupent 10 des 20 premières places. Au total, les 20 clubs les plus riches du monde ont amassé 7,4 milliards de livres de revenus la saison dernière, représentant ainsi une hausse de 6% par rapport à l'année précédente.
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Re: Les Brêves du Football
INSOLITE
Un club turc engage... 22 joueurs en deux heures !
Elazığspor, qui lutte pour sa survie en deuxième division turque, a fait des folies dans les dernières heures du mercato, jeudi soir.
Plus fort que Monaco ! Le club turc d'Elazığspor a recruté 22 joueurs en l'espace de deux heures, jeudi soir, avant la fermeture du mercato d'hiver.
Le dix-septième de la deuxième division turque, comme le club de la Principauté, a dépensé à tout-va pour lancer son opération survie.
Interdiction de recrutement levée
Mais ce chiffre énorme - un record, évidemment - trouve une explication rationnelle. Elazığspor avait été, dans un premier temps, interdit de recrutement par sa fédération.
Une interdiction levée à... deux heures de la fin du mercato. Le club de la ville d'Elâzığ (est de la Turquie) avait anticipé un tel dénouement et donc déjà négocié en amont avec les 22 joueurs concernés. Ne restait plus qu'à valider les transferts.
12 d'entre eux font l'objet d'un transfert définitif, tandis que les dix restants arrivent en prêt.
dna
Un club turc engage... 22 joueurs en deux heures !
Elazığspor, qui lutte pour sa survie en deuxième division turque, a fait des folies dans les dernières heures du mercato, jeudi soir.
Plus fort que Monaco ! Le club turc d'Elazığspor a recruté 22 joueurs en l'espace de deux heures, jeudi soir, avant la fermeture du mercato d'hiver.
Le dix-septième de la deuxième division turque, comme le club de la Principauté, a dépensé à tout-va pour lancer son opération survie.
Interdiction de recrutement levée
Mais ce chiffre énorme - un record, évidemment - trouve une explication rationnelle. Elazığspor avait été, dans un premier temps, interdit de recrutement par sa fédération.
Une interdiction levée à... deux heures de la fin du mercato. Le club de la ville d'Elâzığ (est de la Turquie) avait anticipé un tel dénouement et donc déjà négocié en amont avec les 22 joueurs concernés. Ne restait plus qu'à valider les transferts.
12 d'entre eux font l'objet d'un transfert définitif, tandis que les dix restants arrivent en prêt.
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Re: Les Brêves du Football
L1 Ces attaquants ont marqué Strasbourg
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Re: Les Brêves du Football
Angleterre : Nelson Oliveira s'est fait marcher sur le visage
L'attaquant de Reading est défiguré après s'être fait marcher dessus par Tyrone Mings.
Nelson Oliveira s'est fait marcher dessus samedi lors du match de Championship entre Reading et Aston Villa (0-0). Tyrone Mings lui a piétiné le visage alors qu'il était au sol à la suite d'un duel entre les deux hommes. L'ancien attaquant du Stade Rennais est sorti le visage en sang avec des balafres impressionnantes au nez, au front et aux joues.
dna
L'attaquant de Reading est défiguré après s'être fait marcher dessus par Tyrone Mings.
Nelson Oliveira s'est fait marcher dessus samedi lors du match de Championship entre Reading et Aston Villa (0-0). Tyrone Mings lui a piétiné le visage alors qu'il était au sol à la suite d'un duel entre les deux hommes. L'ancien attaquant du Stade Rennais est sorti le visage en sang avec des balafres impressionnantes au nez, au front et aux joues.
dna
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