16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
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16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
dna a écrit:
Le 18 janvier à Angoulême
Le 16e de finale de Coupe de France entre Angoulême et le Racing a été fixé au samedi 18 janvier (18h) au stade Lebon, l’habituelle enceinte de 6 500 places du club charentais qui évolue en National 2.
Le 18 janvier à Angoulême
Le 16e de finale de Coupe de France entre Angoulême et le Racing a été fixé au samedi 18 janvier (18h) au stade Lebon, l’habituelle enceinte de 6 500 places du club charentais qui évolue en National 2.
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
dna a écrit:
Angoulême – Racing au stade de rugby
Initialement annoncé au stade Camille-Lebon, enceinte habituelle des footballeurs et d’une capacité de 6 500 places, le 16e de finale de Coupe de France entre Angoulême (N2) et le Racing se déroulera le samedi 18 janvier à 18h au stade Chanzy, fief du Soyaux-Angoulême Quinze Charente, pensionnaire de Pro D2 de rugby. Le principal stade de la ville peut accueillir 8 000 spectateurs (dont un peu plus de 4 000 en places assises). La rencontre sera retransmise en multiplex sur Eurosport 2.
Angoulême – Racing au stade de rugby
Initialement annoncé au stade Camille-Lebon, enceinte habituelle des footballeurs et d’une capacité de 6 500 places, le 16e de finale de Coupe de France entre Angoulême (N2) et le Racing se déroulera le samedi 18 janvier à 18h au stade Chanzy, fief du Soyaux-Angoulême Quinze Charente, pensionnaire de Pro D2 de rugby. Le principal stade de la ville peut accueillir 8 000 spectateurs (dont un peu plus de 4 000 en places assises). La rencontre sera retransmise en multiplex sur Eurosport 2.
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
C’est l’engouement à Angoulême avant d'affronter le Racing
Une file d’attente de 300 personnes en quête de billets ce jeudi matin : le 16e de finale de Coupe de France entre l’Angoulême CFC (National 2) et le Racing suscite dans la cité charentaise une attente inédite depuis le quart de finale disputé en 2003 face à l’AJ Auxerre.
7h30 ce jeudi à l’entrée du stade Camille-Lebon, fief de l’Angoulême Charente Football-Club, 9e du groupe C de National 2 et, surtout, seizième-de-finaliste de la Coupe de France. Samedi (18h) au stade Chanzy, antre du club de rugby voisin sociétaire de Pro D2, les Angoumoisins recevront le Racing, 12e de Ligue 1, pour un match qui fait saliver toute leur ville.
Plus que 900 places
Soixante heures avant donc, une cinquantaine de spectateurs fait le pied de grue sous un beau soleil pour être sûre d’obtenir un précieux sésame. Après la vente restreinte de la veille aux abonnés et licenciés, l’ouverture des guichets au grand public n’est pourtant prévue qu’à 10h30.
Au plus fort de la journée, la file d’attente atteindra les 300 personnes. Sans oublier les innombrables coups de fil reçus au club. « C’est de la folie, insupportable. Le téléphone sonne sans arrêt. Je n’ai jamais vu ça », sourit le responsable communication, presse, web et marketing de l’ACFC, Pierre-Emmanuel Allard (27 ans), en poste depuis six ans. « En fait, ça me rappelle le quart de finale de 2003 contre l’AJ Auxerre des (Philippe) Mexès, (Jean-Alain) Boumsong et (Djibril) Cissé (élimination 0-0, 2-4 aux tirs au but face au futur lauréat, NDLR). À l’époque, je jouais dans les équipes de jeunes du club. L’engouement avait été immense. Pour Strasbourg, on a fait les choses bien : on a prévu un vigile. Les gens entrent quatre par quatre dans le calme pour acheter les billets. Ça se passe bien. Il ne reste déjà plus de places assises, seulement 900 debout. En principe, tout sera parti avant la rencontre. »
L’empressement des Angoumoisins s’explique d’autant plus que la Fédération Française de Football a, pour l’occasion, réduit la capacité du stade Chanzy de 8 000 places – dont 4114 assises – à 6 000. « Lors du tirage, nous n’avons, c’est vrai, pas été loin de récolter l’OM, mais ici, tout le monde est très heureux de recevoir Strasbourg, reprend Pierre-Emmanuel Allard. C’est un club mythique, soutenu par de formidables supporters que beaucoup lui envient. Le coach (Hervé Loubat, ancien entraîneur de Moulins vainqueur 4-0 à la Meinau en CFA le 10 avril 2013, après le 1-1 de l’aller dans l’Allier, NDLR) n’a pas du tout parlé du seizième face à Strasbourg avant le match du week-end dernier chez la réserve de Saint-Étienne sur lequel tout le monde était concentré (victoire 3-0). Il n’a rien changé non plus à sa préparation. »
Cette saison, “son” Angoulême a déjà fait mieux qu’en 2017-2018 lorsqu’il s’était arrêté en 32e face aux Herbiers (1-2), finalistes malheureux quatre mois plus tard contre le PSG. Le cru angoumoisin 2019-2020 marche ainsi sur les traces de ses aînés, demi-finalistes en 1947, 1967, 1968 et 1979.
Les plus jeunes ignorent sans doute que le club charentais a, avant de dégringoler dans la pyramide hexagonale pour des soucis financiers, passé trois saisons en Division 1 (1969-1972), avec une 4e place en 1970 suivie d’une participation au 1er tour de la Coupe des Villes de Foire, l’ancêtre de la Coupe UEFA, et dix-huit en D2.
Samedi, le Racing devra prendre garde à ne pas faire revivre ce glorieux passé peuplé de personnages marquants du foot français, comme Daniel Leclercq, décédé récemment, qui y a joué, l’international argentin Hugo Bargas ou le Polonais Andrzej Szarmach, 3e des Coupes du monde 1974 et 1982 avec son pays et meilleur buteur de l’histoire de l’AJA, qui y ont entraîné.
dna
Une file d’attente de 300 personnes en quête de billets ce jeudi matin : le 16e de finale de Coupe de France entre l’Angoulême CFC (National 2) et le Racing suscite dans la cité charentaise une attente inédite depuis le quart de finale disputé en 2003 face à l’AJ Auxerre.
7h30 ce jeudi à l’entrée du stade Camille-Lebon, fief de l’Angoulême Charente Football-Club, 9e du groupe C de National 2 et, surtout, seizième-de-finaliste de la Coupe de France. Samedi (18h) au stade Chanzy, antre du club de rugby voisin sociétaire de Pro D2, les Angoumoisins recevront le Racing, 12e de Ligue 1, pour un match qui fait saliver toute leur ville.
Plus que 900 places
Soixante heures avant donc, une cinquantaine de spectateurs fait le pied de grue sous un beau soleil pour être sûre d’obtenir un précieux sésame. Après la vente restreinte de la veille aux abonnés et licenciés, l’ouverture des guichets au grand public n’est pourtant prévue qu’à 10h30.
Au plus fort de la journée, la file d’attente atteindra les 300 personnes. Sans oublier les innombrables coups de fil reçus au club. « C’est de la folie, insupportable. Le téléphone sonne sans arrêt. Je n’ai jamais vu ça », sourit le responsable communication, presse, web et marketing de l’ACFC, Pierre-Emmanuel Allard (27 ans), en poste depuis six ans. « En fait, ça me rappelle le quart de finale de 2003 contre l’AJ Auxerre des (Philippe) Mexès, (Jean-Alain) Boumsong et (Djibril) Cissé (élimination 0-0, 2-4 aux tirs au but face au futur lauréat, NDLR). À l’époque, je jouais dans les équipes de jeunes du club. L’engouement avait été immense. Pour Strasbourg, on a fait les choses bien : on a prévu un vigile. Les gens entrent quatre par quatre dans le calme pour acheter les billets. Ça se passe bien. Il ne reste déjà plus de places assises, seulement 900 debout. En principe, tout sera parti avant la rencontre. »
L’empressement des Angoumoisins s’explique d’autant plus que la Fédération Française de Football a, pour l’occasion, réduit la capacité du stade Chanzy de 8 000 places – dont 4114 assises – à 6 000. « Lors du tirage, nous n’avons, c’est vrai, pas été loin de récolter l’OM, mais ici, tout le monde est très heureux de recevoir Strasbourg, reprend Pierre-Emmanuel Allard. C’est un club mythique, soutenu par de formidables supporters que beaucoup lui envient. Le coach (Hervé Loubat, ancien entraîneur de Moulins vainqueur 4-0 à la Meinau en CFA le 10 avril 2013, après le 1-1 de l’aller dans l’Allier, NDLR) n’a pas du tout parlé du seizième face à Strasbourg avant le match du week-end dernier chez la réserve de Saint-Étienne sur lequel tout le monde était concentré (victoire 3-0). Il n’a rien changé non plus à sa préparation. »
Hervé Loubat, coach récidiviste
Le dernier fait d’armes de l’ACFC en Coupe remonte au 7e tour de la saison passée. Le 18 novembre 2018, la formation de Loubat prenait, quinze ans plus tard, sa revanche sur Auxerre (Ligue 2, 1-0). Un exploit de plus pour un technicien considéré comme un “dangereux” récidiviste : en 2012-2013, il avait déjà atteint les 16es avec l’AS Moulins, sortie 2-1 par Bordeaux. Puis l’année suivante, l’ASM s’était hissée en quarts, après avoir éliminé Toulouse en 16es (2-1). Elle n’avait rendu les armes qu’aux tirs au but à Gueugnon face à Angers (0-0, 2-4).Cette saison, “son” Angoulême a déjà fait mieux qu’en 2017-2018 lorsqu’il s’était arrêté en 32e face aux Herbiers (1-2), finalistes malheureux quatre mois plus tard contre le PSG. Le cru angoumoisin 2019-2020 marche ainsi sur les traces de ses aînés, demi-finalistes en 1947, 1967, 1968 et 1979.
Les plus jeunes ignorent sans doute que le club charentais a, avant de dégringoler dans la pyramide hexagonale pour des soucis financiers, passé trois saisons en Division 1 (1969-1972), avec une 4e place en 1970 suivie d’une participation au 1er tour de la Coupe des Villes de Foire, l’ancêtre de la Coupe UEFA, et dix-huit en D2.
Samedi, le Racing devra prendre garde à ne pas faire revivre ce glorieux passé peuplé de personnages marquants du foot français, comme Daniel Leclercq, décédé récemment, qui y a joué, l’international argentin Hugo Bargas ou le Polonais Andrzej Szarmach, 3e des Coupes du monde 1974 et 1982 avec son pays et meilleur buteur de l’histoire de l’AJA, qui y ont entraîné.
dna
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
Attention, case piégeuse pour le Racing !
Sur l’échiquier de ses déplacements en janvier, le Racing atterrit ce samedi sur la case Angoulême. Sur la pelouse du stade Chanzy d’ordinaire dévouée au rugby, les hommes de Thierry Laurey doivent sortir du piège angoumoisin pour poser leur jeton sur la case “8e de finale” au tour suivant.
Deux semaines après avoir parfaitement réussi son entrée en lice en Coupe de France en venant à bout du Stade Portelois, pensionnaire de National 3, à Calais (4-1), le Racing se rend ce samedi soir à Angoulême avec la ferme intention de franchir le cap des seizièmes de finale de la Coupe de France.
«Tout est réuni pour que ça soit un match difficile… Pas insurmontable, mais difficile»
Mais s’il ne peut que se savoir de nouveau favori sur le papier au moment de se rendre en Charente chez une équipe qui évolue trois divisions plus bas que lui, le club strasbourgeois a aussi conscience qu’il passe à un niveau supérieur en termes d’opposition.
«Quand tu joues contre une équipe de Régional 1 ou National 3, la différence se fait naturellement. Contre une National 2 ce n’est plus tout à fait la même histoire, avance Thierry Laurey au moment d’évoquer cette nouvelle étape. Il y a des garçons qui sont souvent passés par des centres de formations, d’autres qui peuvent descendre de l’étage supérieur, il y a des entraîneurs de qualité aussi. Tout est réuni pour que ça soit un match difficile… Pas insurmontable, mais difficile.»
Ce ne sont pas les Messins, terrassés 3-0 au tour précédent à Rouen – également pensionnaire de National 2 – qui vont venir raconter aux Strasbourgeois que l’histoire est sensiblement la même. Ce récent exemple doit servir de sérieux avertissement aux Racingmen.
Le club normand caracole certes en tête de son groupe de National 2 (le B) et affiche sans doute des ambitions plus rapides de retour dans les sphères plus élevées du football hexagonal que l’hôte du Racing ce samedi.
Mais ce n’est pas l’actuelle 9e place de l’Angoulême Charente FC dans le groupe C qui doit faire croire aux hommes de Thierry Laurey que l’affaire peut être rapidement ficelée.
«Tous les matches de Coupe de France sont difficiles à aborder. On ne sait pas beaucoup de choses sur cette équipe, si ce n’est qu’il y a de bons joueurs et qu’il faudra être vigilant, insiste d’ailleurs Jeanricner Bellegarde. On sait qu’ils auront beaucoup d’envie, qu’ils seront déterminés. Il faudra qu’on soit fort, de l’entame à la fin du match.»
dna
Sur l’échiquier de ses déplacements en janvier, le Racing atterrit ce samedi sur la case Angoulême. Sur la pelouse du stade Chanzy d’ordinaire dévouée au rugby, les hommes de Thierry Laurey doivent sortir du piège angoumoisin pour poser leur jeton sur la case “8e de finale” au tour suivant.
Deux semaines après avoir parfaitement réussi son entrée en lice en Coupe de France en venant à bout du Stade Portelois, pensionnaire de National 3, à Calais (4-1), le Racing se rend ce samedi soir à Angoulême avec la ferme intention de franchir le cap des seizièmes de finale de la Coupe de France.
«Tout est réuni pour que ça soit un match difficile… Pas insurmontable, mais difficile»
Mais s’il ne peut que se savoir de nouveau favori sur le papier au moment de se rendre en Charente chez une équipe qui évolue trois divisions plus bas que lui, le club strasbourgeois a aussi conscience qu’il passe à un niveau supérieur en termes d’opposition.
«Quand tu joues contre une équipe de Régional 1 ou National 3, la différence se fait naturellement. Contre une National 2 ce n’est plus tout à fait la même histoire, avance Thierry Laurey au moment d’évoquer cette nouvelle étape. Il y a des garçons qui sont souvent passés par des centres de formations, d’autres qui peuvent descendre de l’étage supérieur, il y a des entraîneurs de qualité aussi. Tout est réuni pour que ça soit un match difficile… Pas insurmontable, mais difficile.»
Ce ne sont pas les Messins, terrassés 3-0 au tour précédent à Rouen – également pensionnaire de National 2 – qui vont venir raconter aux Strasbourgeois que l’histoire est sensiblement la même. Ce récent exemple doit servir de sérieux avertissement aux Racingmen.
Le club normand caracole certes en tête de son groupe de National 2 (le B) et affiche sans doute des ambitions plus rapides de retour dans les sphères plus élevées du football hexagonal que l’hôte du Racing ce samedi.
Mais ce n’est pas l’actuelle 9e place de l’Angoulême Charente FC dans le groupe C qui doit faire croire aux hommes de Thierry Laurey que l’affaire peut être rapidement ficelée.
«Tous les matches de Coupe de France sont difficiles à aborder. On ne sait pas beaucoup de choses sur cette équipe, si ce n’est qu’il y a de bons joueurs et qu’il faudra être vigilant, insiste d’ailleurs Jeanricner Bellegarde. On sait qu’ils auront beaucoup d’envie, qu’ils seront déterminés. Il faudra qu’on soit fort, de l’entame à la fin du match.»
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
equipe a écrit:
Dimitri Liénard de retour pour affronter Angoulême en Coupe de France
Le milieu de terrain de Strasbourg Dimitri Liénard effectuera son retour dans le groupe qui se déplace à Angoulême (N2) ce samedi (18 heures) en seizièmes de finale de la Coupe de France.
Il était espéré contre Metz (0-1) samedi dernier en Championnat, mais avait dû renoncer en raison d'un essai non concluant à l'entraînement. Dimitri Liénard, victime d'une entorse à une cheville, est présent dans le groupe strasbourgeois qui se déplace ce samedi à Angoulême (N2) dans le cadre des seizièmes de finale de la Coupe de France. En revanche, Kenny Lala, Anthony Caci, Lebo Mothiba, Nuno Da Costa, Mohamed Simakan, Sanjin Prcic et Ivann Botella sont toujours absents.
Le groupe de Strasbourg
Sels, Kawashima - Ndour, Koné, Mitrovic, Carole, Djiku, Aaneba - Corgnet, Liénard, Bellegarde, Sissoko, Fofana, Thomasson, Lebeau, Ounahi - Zohi, Ajorque.
Dimitri Liénard de retour pour affronter Angoulême en Coupe de France
Le milieu de terrain de Strasbourg Dimitri Liénard effectuera son retour dans le groupe qui se déplace à Angoulême (N2) ce samedi (18 heures) en seizièmes de finale de la Coupe de France.
Il était espéré contre Metz (0-1) samedi dernier en Championnat, mais avait dû renoncer en raison d'un essai non concluant à l'entraînement. Dimitri Liénard, victime d'une entorse à une cheville, est présent dans le groupe strasbourgeois qui se déplace ce samedi à Angoulême (N2) dans le cadre des seizièmes de finale de la Coupe de France. En revanche, Kenny Lala, Anthony Caci, Lebo Mothiba, Nuno Da Costa, Mohamed Simakan, Sanjin Prcic et Ivann Botella sont toujours absents.
Le groupe de Strasbourg
Sels, Kawashima - Ndour, Koné, Mitrovic, Carole, Djiku, Aaneba - Corgnet, Liénard, Bellegarde, Sissoko, Fofana, Thomasson, Lebeau, Ounahi - Zohi, Ajorque.
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
Pour cette rencontre, l'enceinte va être pleine, avec 6000 spectateurs. Les billets se sont vendus comme des petits pains.
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la composition des deux équipes:
Angoulême :
Chaumet - Portejoie, Maga, Moges, Djabou (cap) – De Body, Gomis – Zinga, Franco, Lobo – Moke.
Remplaçants : Barcq, Cissé, Alouache, Beaudou, Leroy, Lacroix, Sintcheu (g). Entraîneur : Hervé Loubat.
Strasbourg :
Sels – Aaneba, Koné, Mitrovic (cap), Carole – Sissoko, Djiku, Bellegarde – Thomasson – Ajorque, Zohi.
Remplaçants : Ndour, Lienard, Fofana, Ounahi, Lebeau, Corgnet, Kawashima (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
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Au Racing, Thierry Laurey a finalement choisi d'aligner une équipe assez classique, compte tenu des blessures qui amoindrissent son effectif. On attendra évidemment le début de rencontre pour être certain du schéma dans lequel évoluera son équipe, mais sauf surprise, le Racing sera disposé en 4-4-2 avec un milieu de terrain en losange, Kevin Zohi, double buteur en 32es de finale à Calais face au Portel (National 3) le 4 janvier (4-1), épaulant Ludovic Ajorque en pointe.
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De leur côté, les Angoumoisins évolueront en 4-2-3-1, avec le seul Ashley Moke devant.
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Voilà, pas grand-chose à ajouter pour planter le décor avant ce 16e de finale. Sinon que l'aire de jeu n'est pas en si mauvais état pour un terrain de rugby. On n'ira pas jusqu'à vous dire que la pelouse est aussi impeccable que le billard de Saint-Symphorien à Metz samedi dernier. Mais si l'on excepte quelques zones au gazon un peu plus clairsemé, elle semble acceptable. La température n'est pas très fraîche et les cieux sont cléments.
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C'est parti au stade Chanzy. Les Bleus strasbourgeois vont évoluer en blanc face à des Angoumoisins tout de bleu vêtus.
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C'est parti au stade Chanzy. Les Bleus strasbourgeois vont évoluer en blanc face à des Angoumoisins tout de bleu vêtus.
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Pas de surprise dans le schéma strasbourgeois: les Strasbourgeois évoluent bien en 4-4-2, avec un milieu en losange. C'est Bellegarde qui a pris position sur le flanc droit de l'entrejeu. Sissoko s'est installé à gauche.
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L'ouverture du score pour Angoulême!!!!! Lucas Franco!!!!! 1-0
.
Le meneur de jeu angoumoisin est à l'origine de l'action. C'est lui qui, du milieu du terrain, a décalé sur le côté droit son latéral Anthony Portejoie. Ce dernier adresse un centre tendu sur lequel Matz Sels est obligé d'intervenir. Mais le portier strasbourgeois ne peut que repousser le ballon plein axe. Franco, qui a poursuivi sa course, contrôle le ballon au point de penalty et, du gauche, ajuste la lucarne gauche du gardien belge.
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La première véritable occasion strasbourgeoise est signée Ludovic Ajorque. Le Réunionnais s'est précipité au premier poteau pour reprendre de la tête un centre de la gauche amené par Adrien Thomasson, mais il a raté le cadre.
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Pour l'instant, les Racingmen sont globalement battus dans l'engagement et la détermination par des Angoumoisins survoltés. Attention, pour les hommes de Thierry Laurey, à ne pas laisser les joueurs de Hervé Loubat prendre encore plus confiance. Une confiance déjà accrue par l'ouverture du score.
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Le premier avertissement du match est distribué au passeur décisif Anthony Portejoie.
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Un carton partout, puisqu'Alexander Djiku vient d'être averti à son tour.
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Sur un lointain coup franc de Franco, excentré à gauche, et une déviation au point de penalty, Maga, embusqué au 2e poteau, a tenté une volée du droit, mais a complètement dévissé sa tentative.
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Les occasions franches du Racing sont rares. Celle-ci ne l'était pas franchement, mais elle aurait pu l'être si Thomasson n'avait pas été un peu court à la réception d'un centre de Zohi sur le côté droit.
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Matz Sels vient de sauver le Racing du 2-0. Alors que Moke arrivait seul devant lui, le portier belge a gagné son duel à six mètres de ses buts.
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Le Racing qui égalise juste après la demi-heure de jeu par Kevin Zohi!!!!!!! 1-1
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Sur un ballon qui traînait devant la surface, Bellegarde a décalé Zohi qui, de l'angle droit de la surface, a trompé Chaumet d'une frappe croisée à ras de terre.
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Le deuxième but pour les Strasbourgeois, deux minutes après le premier. Cette fois, c'est Thomasson qui, d'une superbe frappe enroulée du droit à 20m après un appui sur Sissoko, a nettoyé la lucarne gauche de Chaumet.
1-2
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En quatre minutes, le Racing vient de frapper trois fois. Jeanricner Bellegarde vient d'inscrire le 3e but sur un centre au cordeau d'Ajorque.
1-3
.
Alors que les Bleus ont frôlé le 0-2, ils viennent de marquer trois buts en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Sur le centre d'Ajorque, l'international espoirs s'est faufilé entre deux défenseurs angoumoisins pour marquer du gauche.
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Et de quatre pour le Racing!!!! Cette fois, le buteur s'appelle Alexander Djiku.
1-4
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Le 3e buteur Jeanricner Bellegarde s'est cette fois muet en passeur. L'international espoirs a tiré à ras de terre un coup franc venu de la droite et Djiku est venu en couper la trajectoire au point de penalty pour nettoyer une 2e fois la lucarne gauche de Chaumet, au cas où le 2e but de Thomasson n'ait pas totalement détruit la toile d'araignée.
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Encore un sauvetage de Sels qui claque un missile de De Body qui s'apprêtait à se loger sur sa transversale.
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Mi-temps
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le Racing mène 4-1 après avoir été mené d'entrée, puis avoir inscrit 4 buts en dix minutes. La qualification pour les 8es de finale est pratiquement en poche.
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la composition des deux équipes:
Angoulême :
Chaumet - Portejoie, Maga, Moges, Djabou (cap) – De Body, Gomis – Zinga, Franco, Lobo – Moke.
Remplaçants : Barcq, Cissé, Alouache, Beaudou, Leroy, Lacroix, Sintcheu (g). Entraîneur : Hervé Loubat.
Strasbourg :
Sels – Aaneba, Koné, Mitrovic (cap), Carole – Sissoko, Djiku, Bellegarde – Thomasson – Ajorque, Zohi.
Remplaçants : Ndour, Lienard, Fofana, Ounahi, Lebeau, Corgnet, Kawashima (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
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Au Racing, Thierry Laurey a finalement choisi d'aligner une équipe assez classique, compte tenu des blessures qui amoindrissent son effectif. On attendra évidemment le début de rencontre pour être certain du schéma dans lequel évoluera son équipe, mais sauf surprise, le Racing sera disposé en 4-4-2 avec un milieu de terrain en losange, Kevin Zohi, double buteur en 32es de finale à Calais face au Portel (National 3) le 4 janvier (4-1), épaulant Ludovic Ajorque en pointe.
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De leur côté, les Angoumoisins évolueront en 4-2-3-1, avec le seul Ashley Moke devant.
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Voilà, pas grand-chose à ajouter pour planter le décor avant ce 16e de finale. Sinon que l'aire de jeu n'est pas en si mauvais état pour un terrain de rugby. On n'ira pas jusqu'à vous dire que la pelouse est aussi impeccable que le billard de Saint-Symphorien à Metz samedi dernier. Mais si l'on excepte quelques zones au gazon un peu plus clairsemé, elle semble acceptable. La température n'est pas très fraîche et les cieux sont cléments.
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C'est parti au stade Chanzy. Les Bleus strasbourgeois vont évoluer en blanc face à des Angoumoisins tout de bleu vêtus.
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C'est parti au stade Chanzy. Les Bleus strasbourgeois vont évoluer en blanc face à des Angoumoisins tout de bleu vêtus.
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Pas de surprise dans le schéma strasbourgeois: les Strasbourgeois évoluent bien en 4-4-2, avec un milieu en losange. C'est Bellegarde qui a pris position sur le flanc droit de l'entrejeu. Sissoko s'est installé à gauche.
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L'ouverture du score pour Angoulême!!!!! Lucas Franco!!!!! 1-0
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Le meneur de jeu angoumoisin est à l'origine de l'action. C'est lui qui, du milieu du terrain, a décalé sur le côté droit son latéral Anthony Portejoie. Ce dernier adresse un centre tendu sur lequel Matz Sels est obligé d'intervenir. Mais le portier strasbourgeois ne peut que repousser le ballon plein axe. Franco, qui a poursuivi sa course, contrôle le ballon au point de penalty et, du gauche, ajuste la lucarne gauche du gardien belge.
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La première véritable occasion strasbourgeoise est signée Ludovic Ajorque. Le Réunionnais s'est précipité au premier poteau pour reprendre de la tête un centre de la gauche amené par Adrien Thomasson, mais il a raté le cadre.
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Pour l'instant, les Racingmen sont globalement battus dans l'engagement et la détermination par des Angoumoisins survoltés. Attention, pour les hommes de Thierry Laurey, à ne pas laisser les joueurs de Hervé Loubat prendre encore plus confiance. Une confiance déjà accrue par l'ouverture du score.
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Le premier avertissement du match est distribué au passeur décisif Anthony Portejoie.
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Un carton partout, puisqu'Alexander Djiku vient d'être averti à son tour.
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Sur un lointain coup franc de Franco, excentré à gauche, et une déviation au point de penalty, Maga, embusqué au 2e poteau, a tenté une volée du droit, mais a complètement dévissé sa tentative.
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Les occasions franches du Racing sont rares. Celle-ci ne l'était pas franchement, mais elle aurait pu l'être si Thomasson n'avait pas été un peu court à la réception d'un centre de Zohi sur le côté droit.
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Matz Sels vient de sauver le Racing du 2-0. Alors que Moke arrivait seul devant lui, le portier belge a gagné son duel à six mètres de ses buts.
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Le Racing qui égalise juste après la demi-heure de jeu par Kevin Zohi!!!!!!! 1-1
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Sur un ballon qui traînait devant la surface, Bellegarde a décalé Zohi qui, de l'angle droit de la surface, a trompé Chaumet d'une frappe croisée à ras de terre.
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Le deuxième but pour les Strasbourgeois, deux minutes après le premier. Cette fois, c'est Thomasson qui, d'une superbe frappe enroulée du droit à 20m après un appui sur Sissoko, a nettoyé la lucarne gauche de Chaumet.
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En quatre minutes, le Racing vient de frapper trois fois. Jeanricner Bellegarde vient d'inscrire le 3e but sur un centre au cordeau d'Ajorque.
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Alors que les Bleus ont frôlé le 0-2, ils viennent de marquer trois buts en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Sur le centre d'Ajorque, l'international espoirs s'est faufilé entre deux défenseurs angoumoisins pour marquer du gauche.
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Et de quatre pour le Racing!!!! Cette fois, le buteur s'appelle Alexander Djiku.
1-4
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Le 3e buteur Jeanricner Bellegarde s'est cette fois muet en passeur. L'international espoirs a tiré à ras de terre un coup franc venu de la droite et Djiku est venu en couper la trajectoire au point de penalty pour nettoyer une 2e fois la lucarne gauche de Chaumet, au cas où le 2e but de Thomasson n'ait pas totalement détruit la toile d'araignée.
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Encore un sauvetage de Sels qui claque un missile de De Body qui s'apprêtait à se loger sur sa transversale.
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Mi-temps
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le Racing mène 4-1 après avoir été mené d'entrée, puis avoir inscrit 4 buts en dix minutes. La qualification pour les 8es de finale est pratiquement en poche.
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67120- d'r Kàpallmaischter
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
Une petite info durant la pause: averti à la 18e minute, Alexander Djiku sera suspendu pour le 8e de finale de la Coupe de France le 28 ou le 29 janvier. A condition, bien entendu, que le Racing se qualifie.
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Par précaution, Thierry Laurey a sorti à la pause Alexander Djiku, averti à la 18e, qui s'est un peu chauffé avec les Angoumoisins quelques minutes plus tard et n'a pas été si loin de voir rouge.
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C'est Youssouf Fofana qui le relaie.
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A l'instant, le coup d'envoi de la 2e période.
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L'Angoumoisin Joffrey Lobo est averti pour une semelle sur Lamine Koné.
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Sels sauvé par son poteau!!!!! Ca faisait quelques minutes qu'Angoulême appuyait sur l'accélérateur. Et de l'angle de la surface droite, Ashley Moke vient d'allumer un énorme pétard sur le montant gauche d'un Sels totalement battu.
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Deux changements simultanés à Angoulême: Portejoie et De Body sont remplacés respectivement par Alouache et Barcq.
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Deuxième changement à Strasbourg avec l'entrée d'Abdallah Ndour à la place de Jeanricner Bellegarde, buteur et double passeur cet après-midi.
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Encore un carton jaune, délivré cette fois à Youssouf Fofana qui était entré à la pause.
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Thierry Laurey vient de procéder à son dernier remplacement, avec l'entrée du jeune Adrien Lebeau à la place d'un autre Adrien, Thomasson.
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Cette fois, c'est le tout dernier changement de la rencontre, puisqu'à Angoulême, Gaëtan Lacroix vient de prendre le relais de Joffrey Lobo.
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Penalty pour le Racing pour une faute peu évidente d'Alain Moges sur Ludovic Ajorque!!!!
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Ludovic Ajorque se fait justice - façon de parler - en prenant Chaumet à contrepied d'un intérieur croisé du pied gauche!!!
1-5
.
Sur le penalty, Moges a été averti à la 81e.
.
Angoulême vient de toucher du bois pour la 2e fois de la partie. Après s'être infiltré sur la gauche, le capitaine Yann Djabou a décoché une frappe sèche du droit qui a fini sa course sur l'extérieur du poteau droit d'un Sels encore battu.
.
C'est fini à Angoulême. Le Racing élimine finalement assez tranquillement le pensionnaire du groupe C de National 2 et file tout droit en 8es de finale (5-1).
.
Thierry Laurey et ses joueurs connaîtront leur adversaire ce dimanche à l'issue du 16e de finale entre Lorient et le PSG dont le coup d'envoi sera donné à 20h55. Les huitièmes se disputeront les mardi 28 et mercredi 29 janvier. Les Bleus le joueront sans Alexander Djiku, suspendu.
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Par précaution, Thierry Laurey a sorti à la pause Alexander Djiku, averti à la 18e, qui s'est un peu chauffé avec les Angoumoisins quelques minutes plus tard et n'a pas été si loin de voir rouge.
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C'est Youssouf Fofana qui le relaie.
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A l'instant, le coup d'envoi de la 2e période.
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L'Angoumoisin Joffrey Lobo est averti pour une semelle sur Lamine Koné.
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Sels sauvé par son poteau!!!!! Ca faisait quelques minutes qu'Angoulême appuyait sur l'accélérateur. Et de l'angle de la surface droite, Ashley Moke vient d'allumer un énorme pétard sur le montant gauche d'un Sels totalement battu.
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Deux changements simultanés à Angoulême: Portejoie et De Body sont remplacés respectivement par Alouache et Barcq.
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Deuxième changement à Strasbourg avec l'entrée d'Abdallah Ndour à la place de Jeanricner Bellegarde, buteur et double passeur cet après-midi.
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Encore un carton jaune, délivré cette fois à Youssouf Fofana qui était entré à la pause.
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Thierry Laurey vient de procéder à son dernier remplacement, avec l'entrée du jeune Adrien Lebeau à la place d'un autre Adrien, Thomasson.
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Cette fois, c'est le tout dernier changement de la rencontre, puisqu'à Angoulême, Gaëtan Lacroix vient de prendre le relais de Joffrey Lobo.
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Penalty pour le Racing pour une faute peu évidente d'Alain Moges sur Ludovic Ajorque!!!!
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Ludovic Ajorque se fait justice - façon de parler - en prenant Chaumet à contrepied d'un intérieur croisé du pied gauche!!!
1-5
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Sur le penalty, Moges a été averti à la 81e.
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Angoulême vient de toucher du bois pour la 2e fois de la partie. Après s'être infiltré sur la gauche, le capitaine Yann Djabou a décoché une frappe sèche du droit qui a fini sa course sur l'extérieur du poteau droit d'un Sels encore battu.
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C'est fini à Angoulême. Le Racing élimine finalement assez tranquillement le pensionnaire du groupe C de National 2 et file tout droit en 8es de finale (5-1).
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Thierry Laurey et ses joueurs connaîtront leur adversaire ce dimanche à l'issue du 16e de finale entre Lorient et le PSG dont le coup d'envoi sera donné à 20h55. Les huitièmes se disputeront les mardi 28 et mercredi 29 janvier. Les Bleus le joueront sans Alexander Djiku, suspendu.
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
dna a écrit:
Le Racing sorti d’affaire en dix minutes!
Mené rapidement, absent dans l’engagement pendant la première demi-heure, le Racing a mis les points sur les i en fin de première période pour se mettre à l’abri (1-4) avant de gérer en seconde période sa qualification en 8e de finale ce samedi à Angoulême (1-5).
Si Thierry Laurey avait “ouvert” son groupe au tour précédent, le 4 janvier à Calais face au Stade Portelois (National 3), titularisant les habituels remplaçants Aaneba, Ndour, Grimm, Corgnet, Lebeau ou encore Zohi, l’entraîneur du Racing a aligné ce samedi à Angoulême une équipe bien plus proche d’une “configuration Ligue 1”.
L’élimination aux tirs au but en quart de finale de Coupe de la Ligue le 7 janvier à Reims est passée par là entre-temps et le technicien strasbourgeois n’a pas caché depuis qu’il aimerait « aller le plus loin possible » en Coupe de France.
Une demi-heure pour sortir de leur somnolence espagnole
Ce samedi, sur la pelouse du stade Chanzy – impeccable pour la pratique du rugby et somme toute correcte pour celle du football par ce temps sec –, si Ismaïl Aaneba et Kevin Zohi ont été lancés d’entrée de jeu, c’est avant tout parce que Kenny Lala et Lebo Mothiba ne sont pas disponibles.
Pour le reste, c’est quasiment l’équipe type du Racing, avec son 4-4-2 et son milieu en losange, qu’Angoulême a affrontée.
Mais la Coupe de France a cela de magique qu’un pensionnaire de National 2 peut, le temps d’un soir, bousculer la hiérarchie. Ce ne sont pas les Messins – sortis en 32e de finale à Rouen (3-0), le leader du groupe B de N2 – qui vont prétendre le contraire.
Le Angoulême Charente FC est, lui, neuvième (avec quatre matches en retard) du groupe C. Et comme les Rouennais, les Angoumoisins avaient envie de s’enivrer du parfum d’un exploit.
Décalé par Franco, Portejoie – sans la moindre opposition – centre côté droit: Sels repousse main droite mais Franco a suivi, contrôle au point de penalty avant de faire rugir de bonheur le stade Chanzy. On joue depuis un peu moins de six minutes et le Racing se retrouve en fâcheuse position.
Pendant une demi-heure, les Strasbourgeois vont se faire “manger” par un pensionnaire de National 2 bien plus déterminé. Il aura fallu une énorme parade à bout portant de Sels sur le raid de Moke qui avait échappé à la vigilance de Mitrovic (32e’ ) pour que les hommes de Thierry Laurey sortent de leur somnolence espagnole.
«On a eu une entame de match assez difficile. J’avais peut-être des joueurs qui avaient peut-être encore la tête à Murcia », en blaguera Thierry Laurey. Mais si le coach du Racing a pu en sourire, c’est que le réveil de sa troupe a été brutal pour ses adversaires.
En dix minutes, les Racingmen vont faire exploser la défense angoumoisine. Auteur d’un doublé contre Le Portel en 32e de finale, Zohi va allumer la première mèche d’une frappe croisée ras de terre (1-1, 34e’ )
Premières pour Bellegarde et Djiku
Les hommes de Hervé Loubat n’ont pas le temps de digérer cette égalisation : après un une-deux avec Djiku, Thomasson expédie des 20m un bijou de frappe enroulée dans la lucarne gauche de Chaumet (1-2, 36e’ ).
À la passe sur le but de Zohi, Bellegarde est à la conclusion dans la foulée sur un centre fort d’Ajorque (1-3, 38e’ ), inscrivant son premier but sous le maillot strasbourgeois.
«Je trouve qu’on a bien négocié la période où on a mis le premier but et l’enchaînement après. On a mis des beaux buts et on a fait de belles actions, il me semble», glissera un Thierry Laurey qui n’a pu qu’apprécier le coup d’œil de Bellegarde, sur un coup franc excentré, pour servir Djiku au point de penalty.
À Reims, il avait touché le poteau. Ce coup-ci, la lucarne gauche de Chaumet est on ne peut plus propre (1-4, 44e’ ). Djiku – averti un peu plus tôt (18e’ ) et donc suspendu pour les 8es de finale –, ouvre également son compteur-but avec le Racing.
«On a fait ce qu’on avait à faire et c’est plutôt une bonne chose»
On pourra reprocher aux Strasbourgeois d’avoir ensuite trop voulu gérer cette avance. «Quand on mène 4-1, on baisse forcément un peu sa garde», concède Thierry Laurey.
On peut surtout féliciter cette équipe angoumoisine qui n’a pas abdiqué et qui aurait mérité de réduire le score en seconde période, Moke (59e’ , 61e’ ) puis Djabou – peu avant un gros cafouillage devant la cage de Sels (84e’ ) – touchant les montants d’un Racing qui pliera l’affaire en fin de match sur un penalty provoqué et transformé par Ajorque (1-5, 84e’ ).
« Ce n’était pas évident, c’est une équipe qui a fait un bon match. On a fait ce qu’on devait faire, ni plus ni moins et c’est plutôt une bonne chose. Même si c’est une équipe de National 2, mettre cinq buts, ce n’est jamais anodin», termine Thierry Laurey.
Il aura fallu une dizaine de minutes au Racing pour mater la détermination angoumoisine. C’est suffisant pour attendre le tirage des 8es de finale, effectué ce dimanche après Lorient-PSG, pour savoir ce que le sort lui réserve pour la suite..
Le Racing sorti d’affaire en dix minutes!
Mené rapidement, absent dans l’engagement pendant la première demi-heure, le Racing a mis les points sur les i en fin de première période pour se mettre à l’abri (1-4) avant de gérer en seconde période sa qualification en 8e de finale ce samedi à Angoulême (1-5).
Si Thierry Laurey avait “ouvert” son groupe au tour précédent, le 4 janvier à Calais face au Stade Portelois (National 3), titularisant les habituels remplaçants Aaneba, Ndour, Grimm, Corgnet, Lebeau ou encore Zohi, l’entraîneur du Racing a aligné ce samedi à Angoulême une équipe bien plus proche d’une “configuration Ligue 1”.
L’élimination aux tirs au but en quart de finale de Coupe de la Ligue le 7 janvier à Reims est passée par là entre-temps et le technicien strasbourgeois n’a pas caché depuis qu’il aimerait « aller le plus loin possible » en Coupe de France.
Une demi-heure pour sortir de leur somnolence espagnole
Ce samedi, sur la pelouse du stade Chanzy – impeccable pour la pratique du rugby et somme toute correcte pour celle du football par ce temps sec –, si Ismaïl Aaneba et Kevin Zohi ont été lancés d’entrée de jeu, c’est avant tout parce que Kenny Lala et Lebo Mothiba ne sont pas disponibles.
Pour le reste, c’est quasiment l’équipe type du Racing, avec son 4-4-2 et son milieu en losange, qu’Angoulême a affrontée.
Mais la Coupe de France a cela de magique qu’un pensionnaire de National 2 peut, le temps d’un soir, bousculer la hiérarchie. Ce ne sont pas les Messins – sortis en 32e de finale à Rouen (3-0), le leader du groupe B de N2 – qui vont prétendre le contraire.
Le Angoulême Charente FC est, lui, neuvième (avec quatre matches en retard) du groupe C. Et comme les Rouennais, les Angoumoisins avaient envie de s’enivrer du parfum d’un exploit.
Décalé par Franco, Portejoie – sans la moindre opposition – centre côté droit: Sels repousse main droite mais Franco a suivi, contrôle au point de penalty avant de faire rugir de bonheur le stade Chanzy. On joue depuis un peu moins de six minutes et le Racing se retrouve en fâcheuse position.
Pendant une demi-heure, les Strasbourgeois vont se faire “manger” par un pensionnaire de National 2 bien plus déterminé. Il aura fallu une énorme parade à bout portant de Sels sur le raid de Moke qui avait échappé à la vigilance de Mitrovic (32e’ ) pour que les hommes de Thierry Laurey sortent de leur somnolence espagnole.
«On a eu une entame de match assez difficile. J’avais peut-être des joueurs qui avaient peut-être encore la tête à Murcia », en blaguera Thierry Laurey. Mais si le coach du Racing a pu en sourire, c’est que le réveil de sa troupe a été brutal pour ses adversaires.
En dix minutes, les Racingmen vont faire exploser la défense angoumoisine. Auteur d’un doublé contre Le Portel en 32e de finale, Zohi va allumer la première mèche d’une frappe croisée ras de terre (1-1, 34e’ )
Premières pour Bellegarde et Djiku
Les hommes de Hervé Loubat n’ont pas le temps de digérer cette égalisation : après un une-deux avec Djiku, Thomasson expédie des 20m un bijou de frappe enroulée dans la lucarne gauche de Chaumet (1-2, 36e’ ).
À la passe sur le but de Zohi, Bellegarde est à la conclusion dans la foulée sur un centre fort d’Ajorque (1-3, 38e’ ), inscrivant son premier but sous le maillot strasbourgeois.
«Je trouve qu’on a bien négocié la période où on a mis le premier but et l’enchaînement après. On a mis des beaux buts et on a fait de belles actions, il me semble», glissera un Thierry Laurey qui n’a pu qu’apprécier le coup d’œil de Bellegarde, sur un coup franc excentré, pour servir Djiku au point de penalty.
À Reims, il avait touché le poteau. Ce coup-ci, la lucarne gauche de Chaumet est on ne peut plus propre (1-4, 44e’ ). Djiku – averti un peu plus tôt (18e’ ) et donc suspendu pour les 8es de finale –, ouvre également son compteur-but avec le Racing.
«On a fait ce qu’on avait à faire et c’est plutôt une bonne chose»
On pourra reprocher aux Strasbourgeois d’avoir ensuite trop voulu gérer cette avance. «Quand on mène 4-1, on baisse forcément un peu sa garde», concède Thierry Laurey.
On peut surtout féliciter cette équipe angoumoisine qui n’a pas abdiqué et qui aurait mérité de réduire le score en seconde période, Moke (59e’ , 61e’ ) puis Djabou – peu avant un gros cafouillage devant la cage de Sels (84e’ ) – touchant les montants d’un Racing qui pliera l’affaire en fin de match sur un penalty provoqué et transformé par Ajorque (1-5, 84e’ ).
« Ce n’était pas évident, c’est une équipe qui a fait un bon match. On a fait ce qu’on devait faire, ni plus ni moins et c’est plutôt une bonne chose. Même si c’est une équipe de National 2, mettre cinq buts, ce n’est jamais anodin», termine Thierry Laurey.
Il aura fallu une dizaine de minutes au Racing pour mater la détermination angoumoisine. C’est suffisant pour attendre le tirage des 8es de finale, effectué ce dimanche après Lorient-PSG, pour savoir ce que le sort lui réserve pour la suite..
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Re: 16me de finale de la coupe de France : Angoulême / Strasbourg
butfootball a écrit:
les dirigeants strasbourgeois remerciés pour leur grande classe
Publié le 21 janvier 2020 à 10h45 par Benjamin Danet
Après leur 16e de finale de Coupe de France, remporté contre Angoulême, les dirigeants du RC Strasbourg ont chaleureusement été remerciés.
Il n’y a donc pas, en Coupe de France, que de mauvaises histoires de recettes non partagées. Si l’OM, et le LOSC, ont récemment été montrés du doigt, le RC Strasbourg, lui, a fait l’unanimité lors de son 16e de finale face au club d’Angoulême (victoire 5-1 des Alsaciens).
Dans un communiqué, ce dernier a en effet tenu à dire tout le bien qu’il pensait de l’attitude des dirigeants du RCSA. « Générosité, attention, bienveillance », tout y est. Ainsi que l’intégralité de la recette. La classe.
les dirigeants strasbourgeois remerciés pour leur grande classe
Publié le 21 janvier 2020 à 10h45 par Benjamin Danet
Après leur 16e de finale de Coupe de France, remporté contre Angoulême, les dirigeants du RC Strasbourg ont chaleureusement été remerciés.
Il n’y a donc pas, en Coupe de France, que de mauvaises histoires de recettes non partagées. Si l’OM, et le LOSC, ont récemment été montrés du doigt, le RC Strasbourg, lui, a fait l’unanimité lors de son 16e de finale face au club d’Angoulême (victoire 5-1 des Alsaciens).
Dans un communiqué, ce dernier a en effet tenu à dire tout le bien qu’il pensait de l’attitude des dirigeants du RCSA. « Générosité, attention, bienveillance », tout y est. Ainsi que l’intégralité de la recette. La classe.
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