32ème journée : Angers - Strasbourg
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32ème journée : Angers - Strasbourg
Angers SCO-Racing le samedi 7 avril à 20 heures
La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 32e journée de Ligue 1 Conforama.
La rencontre entre Angers SCO et le Racing se déroulera le samedi 7 mars à 20 heures au stade Raymond Kopa dans le cadre de la 32e journée de Ligue 1 Conforama. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS.
SO
La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 32e journée de Ligue 1 Conforama.
La rencontre entre Angers SCO et le Racing se déroulera le samedi 7 mars à 20 heures au stade Raymond Kopa dans le cadre de la 32e journée de Ligue 1 Conforama. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS.
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Ndour suspendu à Angers
Expulsé lors du derby pour une faute grossière sur Mathieu Dossevi à la 64e – carton rouge direct, alors qu’il avait déjà été averti en première période –, Abdallah Ndour sera automatiquement suspendu à Angers. Il connaîtra sa sanction exacte après l’examen de son cas par la commission de discipline de la LFP jeudi. « L’expulsion est totalement méritée », a admis Thierry Laurey, tout en trouvant des circonstances atténuantes à son latéral sénégalais : « Il est sur le terrain, mais ne devrait pas y être. Après sa longue blessure (neuf mois d’absence pour une fracture tibia-péroné de la jambe droite) , il devrait retrouver le rythme avec la réserve. Mais en raison des blessures, on a été obligé de l’envoyer au feu. D’ailleurs, il y est tellement allé, au feu, qu’il s’est fait expulser. »dna
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Ketkéo sort la tête de l’eau
Billy Ketkeophomphone, formé au Racing, évolue depuis 2015 sous les couleurs angevines. Mais le milieu offensif, tout juste revenu de blessure, n’a rien oublié de ses années strasbourgeoises.
Billy Ketkeophomphone espère être dans le groupe angevin, samedi soir, pour cette 32e journée de Ligue 1.
Mais le milieu offensif aux origines laotiennes n’est sûr de rien. Car celui qui a porté durant quatre saisons les couleurs du Racing (*) est encore en phase de reprise.
La raison ? Le natif de Champigny-sur-Marne a été victime d’une grave blessure, une rupture des ligaments croisés, qui l’a tenu éloigné des terrains plus d’un an – 399 jours exactement – entre septembre 2016 et octobre 2017.
« On avait quand même fait une bonne saison »
« J’ai vécu des moments difficiles, confie le joueur, qui a dû être opéré à trois reprises. Je n’ai pas joué durant plus d’un an, c’était très long surtout que je ne suis pas très patient ».
Avant cette blessure, Billy Ketkeophomphone restait sur la saison la plus accomplie de sa carrière, avec 35 matches disputés sous les couleurs du SCO, assortis de 5 buts et 8 passes décisives.
« Je sortais d’une belle saison et je voulais confirmer et ça m’a complètement coupé dans mon élan », regrette le joueur.
Ketkeo a mis du temps à revenir. Mais il assure aujourd’hui être « à 100 % » de ses capacités, même s’il manque encore de rythme. « Pour retrouver mon meilleur niveau, il faudrait que j’enchaîne les matches… Mais comme l’équipe est bien en place, c’est compliqué, relate-t-il. Alors je continue à travailler à l’entraînement, en essayant de me donner au maximum dès que je peux jouer des bouts de matches ».
Prouver ses qualités en disputant « des bouts de matches », voilà une des ses spécialités. Lors de la saison 2010/2011, c’est en grattant du temps de jeu de ci, de là qu’il s’est imposé dans le onze strasbourgeois de Laurent Fournier. Révélation de la saison au Racing, il avait terminé avec un bilan de 5 buts et trois passes décisives en National.
Alors si pour les suiveurs alsaciens cette saison reste une annus horribilis , conclue par une descente en CFA2, Billy Ketkeophomphone garde de bons souvenirs de sa première saison pro. « On avait quand même fait une bonne saison, on avait échoué d’un rien à remonter, rappelle l’attaquant. Et franchement, j’ai appris beaucoup de choses. Comme j’étais jeune, le plus important pour moi était de jouer, de prendre de l’expérience… Avec les autres jeunes de l’effectif on ne se préoccupait pas trop de l’extra-sportif. Mais c’est quand même malheureux ce dépôt de bilan final ».
Et l’histoire va d’ailleurs se répéter pour Ketkeophomphone l’année d’après. Parti le sourire aux lèvres au FC Sion, il y découvre un président (Christian Constantin) presque aussi fou que Jafar Hilali, le fossoyeur du Racing. « En arrivant là-bas, je pensais que c’était un club sain, mais non », se remémore-t-il.
Après six mois à galérer en Suisse, l’ancien strasbourgeois cherche « un club où s’épanouir ». Ce sera le FC Tours. « La première année, ce n’était pas simple car je devais m’adapter à la Ligue 2. Mais après, j’ai commencé à marquer des buts et tout s’est enchaîné ».
Lors de sa deuxième saison pleine en Touraine, en 2013/2014, il s’impose et termine l’exercice avec 10 buts et 6 passes décisives. Des bonnes dispositions qu’il confirmera la saison suivante (8 buts, 4 passes). « Je me sentais bien à Tours. C’était un bon club, avec de l’ambition, de belles infrastructures… J’ai beaucoup apprécié mes années là-bas », souligne-t-il.
En fin de contrat en juin 2015, il opte pour Angers, équipe promue en Ligue 1. « Le discours des dirigeants et de Stéphane Moulin (l’entraîneur) m’a plu. J’ai vite pris ma décision », avance Ketkeophomphone.
« Revenir à la Meinau »
Une décision qu’il ne regrette pas, puisqu’il découvre au SCO un « club familial avec des bonnes valeurs, où tu peux travailler tranquillement, dans une belle petite région de France ».
Mais il n’oublie pas, pour autant, ce qu’il doit à son club formateur alsacien. « Je garde d’excellents souvenirs de Claude Fichaux, Jean-Marc Kuentz et François Keller, raconte-il encore. Et j’ai gardé quelques contacts avec Alexi (Peuget, à Grenoble) , Quentin (Othon, réserve du Racing) ou encore Farez (Brahmia actuellement à la Duchère) ».
Il aurait d’ailleurs aimé refouler la pelouse de la Meinau cette saison « parce qu’à mon époque il y avait moins d’ambiance » comme il le dit en souriant. Avant de conclure : « Mais j’espère bien y revenir l’année prochaine ». Et pour un duel de Ligue 1, évidemment…
(*) Après un passage par l’INF Clairefontaine, Ketkeophomphone est arrivé au Racing en 2007. Il a quitté le club en 2011, après le du dépôt de bilan.
dna
Billy Ketkeophomphone, formé au Racing, évolue depuis 2015 sous les couleurs angevines. Mais le milieu offensif, tout juste revenu de blessure, n’a rien oublié de ses années strasbourgeoises.
Billy Ketkeophomphone espère être dans le groupe angevin, samedi soir, pour cette 32e journée de Ligue 1.
Mais le milieu offensif aux origines laotiennes n’est sûr de rien. Car celui qui a porté durant quatre saisons les couleurs du Racing (*) est encore en phase de reprise.
La raison ? Le natif de Champigny-sur-Marne a été victime d’une grave blessure, une rupture des ligaments croisés, qui l’a tenu éloigné des terrains plus d’un an – 399 jours exactement – entre septembre 2016 et octobre 2017.
« On avait quand même fait une bonne saison »
« J’ai vécu des moments difficiles, confie le joueur, qui a dû être opéré à trois reprises. Je n’ai pas joué durant plus d’un an, c’était très long surtout que je ne suis pas très patient ».
Avant cette blessure, Billy Ketkeophomphone restait sur la saison la plus accomplie de sa carrière, avec 35 matches disputés sous les couleurs du SCO, assortis de 5 buts et 8 passes décisives.
« Je sortais d’une belle saison et je voulais confirmer et ça m’a complètement coupé dans mon élan », regrette le joueur.
Ketkeo a mis du temps à revenir. Mais il assure aujourd’hui être « à 100 % » de ses capacités, même s’il manque encore de rythme. « Pour retrouver mon meilleur niveau, il faudrait que j’enchaîne les matches… Mais comme l’équipe est bien en place, c’est compliqué, relate-t-il. Alors je continue à travailler à l’entraînement, en essayant de me donner au maximum dès que je peux jouer des bouts de matches ».
Prouver ses qualités en disputant « des bouts de matches », voilà une des ses spécialités. Lors de la saison 2010/2011, c’est en grattant du temps de jeu de ci, de là qu’il s’est imposé dans le onze strasbourgeois de Laurent Fournier. Révélation de la saison au Racing, il avait terminé avec un bilan de 5 buts et trois passes décisives en National.
Alors si pour les suiveurs alsaciens cette saison reste une annus horribilis , conclue par une descente en CFA2, Billy Ketkeophomphone garde de bons souvenirs de sa première saison pro. « On avait quand même fait une bonne saison, on avait échoué d’un rien à remonter, rappelle l’attaquant. Et franchement, j’ai appris beaucoup de choses. Comme j’étais jeune, le plus important pour moi était de jouer, de prendre de l’expérience… Avec les autres jeunes de l’effectif on ne se préoccupait pas trop de l’extra-sportif. Mais c’est quand même malheureux ce dépôt de bilan final ».
Et l’histoire va d’ailleurs se répéter pour Ketkeophomphone l’année d’après. Parti le sourire aux lèvres au FC Sion, il y découvre un président (Christian Constantin) presque aussi fou que Jafar Hilali, le fossoyeur du Racing. « En arrivant là-bas, je pensais que c’était un club sain, mais non », se remémore-t-il.
Après six mois à galérer en Suisse, l’ancien strasbourgeois cherche « un club où s’épanouir ». Ce sera le FC Tours. « La première année, ce n’était pas simple car je devais m’adapter à la Ligue 2. Mais après, j’ai commencé à marquer des buts et tout s’est enchaîné ».
Lors de sa deuxième saison pleine en Touraine, en 2013/2014, il s’impose et termine l’exercice avec 10 buts et 6 passes décisives. Des bonnes dispositions qu’il confirmera la saison suivante (8 buts, 4 passes). « Je me sentais bien à Tours. C’était un bon club, avec de l’ambition, de belles infrastructures… J’ai beaucoup apprécié mes années là-bas », souligne-t-il.
En fin de contrat en juin 2015, il opte pour Angers, équipe promue en Ligue 1. « Le discours des dirigeants et de Stéphane Moulin (l’entraîneur) m’a plu. J’ai vite pris ma décision », avance Ketkeophomphone.
« Revenir à la Meinau »
Une décision qu’il ne regrette pas, puisqu’il découvre au SCO un « club familial avec des bonnes valeurs, où tu peux travailler tranquillement, dans une belle petite région de France ».
Mais il n’oublie pas, pour autant, ce qu’il doit à son club formateur alsacien. « Je garde d’excellents souvenirs de Claude Fichaux, Jean-Marc Kuentz et François Keller, raconte-il encore. Et j’ai gardé quelques contacts avec Alexi (Peuget, à Grenoble) , Quentin (Othon, réserve du Racing) ou encore Farez (Brahmia actuellement à la Duchère) ».
Il aurait d’ailleurs aimé refouler la pelouse de la Meinau cette saison « parce qu’à mon époque il y avait moins d’ambiance » comme il le dit en souriant. Avant de conclure : « Mais j’espère bien y revenir l’année prochaine ». Et pour un duel de Ligue 1, évidemment…
(*) Après un passage par l’INF Clairefontaine, Ketkeophomphone est arrivé au Racing en 2007. Il a quitté le club en 2011, après le du dépôt de bilan.
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Da Costa toujours absent ?
Éloigné des terrains depuis sa dernière apparition contre Montpellier le 23 février, Nuno Da Costa devrait de nouveau manquer à l’appel ce samedi à Angers.
L’attaquant international cap-verdien, qui avait retrouvé l’entraînement collectif en début de semaine, a ressenti une petite douleur musculaire en haut de la cuisse mercredi matin.
L’examen qu’il a passé dans la foulée n’a rien révélé. « Il n’y a rien de grave, mais a priori, ça risque d’être compliqué pour Angers », a admis Thierry Laurey.
Nogueira encore forfait
Vincent Nogueira, lui, est d’ores et déjà forfait. Le milieu relayeur, certes très peu utilisé cette saison, souffre du dos depuis près de deux semaines.
« Une douleur en bas de la colonne qui n’est pas résorbée, détaille son entraîneur. Pour le moment, Vincent ne va pas mieux. »
En revanche, pas d’inquiétude, a priori, pour Martin Terrier, souffrant hier comme l’était aussi un Kenny Lala qui va de toute façon devoir patienter encore deux à trois semaines après sa déchirure à l’ischio-jambier droit le 9 mars contre Monaco.
dna
Éloigné des terrains depuis sa dernière apparition contre Montpellier le 23 février, Nuno Da Costa devrait de nouveau manquer à l’appel ce samedi à Angers.
L’attaquant international cap-verdien, qui avait retrouvé l’entraînement collectif en début de semaine, a ressenti une petite douleur musculaire en haut de la cuisse mercredi matin.
L’examen qu’il a passé dans la foulée n’a rien révélé. « Il n’y a rien de grave, mais a priori, ça risque d’être compliqué pour Angers », a admis Thierry Laurey.
Nogueira encore forfait
Vincent Nogueira, lui, est d’ores et déjà forfait. Le milieu relayeur, certes très peu utilisé cette saison, souffre du dos depuis près de deux semaines.
« Une douleur en bas de la colonne qui n’est pas résorbée, détaille son entraîneur. Pour le moment, Vincent ne va pas mieux. »
En revanche, pas d’inquiétude, a priori, pour Martin Terrier, souffrant hier comme l’était aussi un Kenny Lala qui va de toute façon devoir patienter encore deux à trois semaines après sa déchirure à l’ischio-jambier droit le 9 mars contre Monaco.
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
A 19 en Anjou
Thierry Laurey a gardé un groupe de 19 joueurs pour le déplacement du Racing à Angers (samedi, 20h) dans le cadre de la 32e journée de Ligue 1.
Thierry Laurey, l'entraîneur du Racing, a gardé un groupe de 19 joueurs à l'issue du dernier entraînement, vendredi après-midi. Dans ce groupe figurent les jeunes Kevin Zohi (attaquant de la réserve) et Duplexe Tchamba, défenseur polyvalent qui fait ainsi sa première apparition au sein du groupe pro alsacien cette saison.
La présence de Tchamba s'explique par le grand nombre de défenseurs sur le flanc pour ce déplacement à Angers. Kader Mangane est toujours en phase de reprise, tout comme Kenny Lala. Quant à Abdallah Ndour, il doit purger le premier de ses deux matches de suspension ferme. Au rayon des absents, il faut ajouter Vincent Nogueira, toujours en délicatesse avec son dos.
Dimitri Foulquier fait par contre son retour dans le groupe, mais le défenseur latéral, en manque de rythme, devrait a priori débuter sur le banc. Thierry Laurey devrait lui préférer Anthony Gonçalves dans le couloir droit, même si l'ancien lavallois joue habituellement plus haut. Mais "Gonzo" a terminé le match à ce poste face à Metz (après l'expulsion de Ndour) et il pourrait bien "dépanner" une nouvelle fois en défense samedi soir.
Le reste de la défense devrait être inchangée, avec un duo Koné/Martinez en défense centrale et Ernest Seka titulaire côté gauche. Pas de surprise non plus a priori au milieu de terrain: Aholou devrait être posté en sentinelle, Lienard occupera son habituel côté gauche, Jonas Martin le côté droit, avec Benjamin Corgnet au soutien des attaquants. A l'avant, Bahoken devrait débuter, mais il pourrait faire la paire avec Terrier, au détriment de Blayac.
Le groupe alsacien (19 joueurs): Oukidja, Kamara - Seka, Koné (cap), Foulquier, Salmier, Martinez - Corgnet, Aholou, Lienard, Martin, Gonçalves, Grimm - Terrier, Blayac, Bahoken, Saadi, Zohi.
Absents: Mangane, Lala, Nogueira (blessés), Ndour (suspendu) Aaneba, Caci, Zemzemi (choix de l'entraîneur)
dna
Thierry Laurey a gardé un groupe de 19 joueurs pour le déplacement du Racing à Angers (samedi, 20h) dans le cadre de la 32e journée de Ligue 1.
Thierry Laurey, l'entraîneur du Racing, a gardé un groupe de 19 joueurs à l'issue du dernier entraînement, vendredi après-midi. Dans ce groupe figurent les jeunes Kevin Zohi (attaquant de la réserve) et Duplexe Tchamba, défenseur polyvalent qui fait ainsi sa première apparition au sein du groupe pro alsacien cette saison.
La présence de Tchamba s'explique par le grand nombre de défenseurs sur le flanc pour ce déplacement à Angers. Kader Mangane est toujours en phase de reprise, tout comme Kenny Lala. Quant à Abdallah Ndour, il doit purger le premier de ses deux matches de suspension ferme. Au rayon des absents, il faut ajouter Vincent Nogueira, toujours en délicatesse avec son dos.
Dimitri Foulquier fait par contre son retour dans le groupe, mais le défenseur latéral, en manque de rythme, devrait a priori débuter sur le banc. Thierry Laurey devrait lui préférer Anthony Gonçalves dans le couloir droit, même si l'ancien lavallois joue habituellement plus haut. Mais "Gonzo" a terminé le match à ce poste face à Metz (après l'expulsion de Ndour) et il pourrait bien "dépanner" une nouvelle fois en défense samedi soir.
Le reste de la défense devrait être inchangée, avec un duo Koné/Martinez en défense centrale et Ernest Seka titulaire côté gauche. Pas de surprise non plus a priori au milieu de terrain: Aholou devrait être posté en sentinelle, Lienard occupera son habituel côté gauche, Jonas Martin le côté droit, avec Benjamin Corgnet au soutien des attaquants. A l'avant, Bahoken devrait débuter, mais il pourrait faire la paire avec Terrier, au détriment de Blayac.
Le groupe alsacien (19 joueurs): Oukidja, Kamara - Seka, Koné (cap), Foulquier, Salmier, Martinez - Corgnet, Aholou, Lienard, Martin, Gonçalves, Grimm - Terrier, Blayac, Bahoken, Saadi, Zohi.
Absents: Mangane, Lala, Nogueira (blessés), Ndour (suspendu) Aaneba, Caci, Zemzemi (choix de l'entraîneur)
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Sacré enjeu en Anjou
Entre un SCO d’Angers en forme ascendante et un Racing sur la corde raide, mais invaincu lors de ses deux dernières rencontres, le duel de ce soir au stade Raymond-Kopa vaut cher.
Le stade Jean-Bouin n’avait pas encore été rebaptisé Raymond-Kopa. Ni le Racing Club de Strasbourg, RCS Alsace. Dans les rangs alsaciens évoluait alors un certain Billy Ketkeophomphone, gamin de vingt ans formé du côté de la Meinau.
Pour la première fois, le Racing venait de tomber au troisième échelon hexagonal, le National. Et pour la dernière avant sa liquidation judiciaire le 22 août suivant, il affrontait une équipe hiérarchiquement supérieure, Angers, alors en Ligue 2.
Le 1er février 2011, les hommes de Laurent Fournier s’étaient inclinés 2-0 à Jean-Bouin en 8es de finale de la Coupe de France.
Sept ans plus tard, pour la 32e journée de Ligue 1, la troupe de Thierry Laurey se déplace, elle, au stade Raymond-Kopa. Le SCO a retrouvé l’élite en 2015-2016, après vingt deux ans d’attente. Le Racing n’a, lui, patienté “que” neuf années pour y revenir, malgré sa plongée à pic dans les abysses du foot amateur.
« Prendre des buts, ça devient lassant »
Entré à l’heure de jeu le 1er février 2011, “Ketkeo” est, dans l’intervalle, passé dans l’autre camp et porte le maillot noir et blanc depuis 2015.
Après deux années plutôt tranquilles pour son retour en L1, le club angevin peine davantage cette saison.
Le 17 février, au soir du 26e acte, il pointait au 19e rang, plombé par trois revers d’affilée, et pouvait envier un Racing qui émargeait cinq unités plus haut.
Mais depuis, l’équipe de Stéphane Moulin a remis le château des Ducs d’Anjou au milieu du village, avec trois succès à Lille (2-1), contre Guingamp (3-0) et Caen (3-0), un nul vierge à Bordeaux et un court revers à Paris (2-1).
En cinq rencontres, elle a repris sept points aux Bleus et les a rejetés à deux longueurs. Preuve – si besoin était – qu’à sept épisodes de l’épilogue, les positions sont loin d’être figées.
De son côté, le Racing n’a plus gagné depuis six matches (3 nuls, 3 défaites). Il n’a récolté que 9 points sur 39 en 13 journées et possède la 18e défense avec 56 buts encaissés. Une défense de nouveau remaniée ce soir, pour cause de suspension d’Abdallah Ndour, expulsé lors du derby.
« Prendre deux buts par match, c’est trop et c’est agaçant, enrage le défenseur axial Pablo Martinez. Mais je ne me fais pas de soucis : tout le monde est concerné et a envie de bien faire. Ça va payer. J’aimerais juste finir un match en me disant “On n’a rien concédé”. Car ça devient lassant. »
Thierry Laurey a lui aussi identifié le problème de longue date, sans trouver la bonne clef pour fermer le verrou à double tour.
« Tant qu’on prendra autant de buts, il sera compliqué de remonter facilement au classement. Je n’ai rien à reprocher aux garçons dans l’état d’esprit et l’investissement, mais des erreurs assez grossières nous plombent. Il faut qu’on arrive à améliorer ça quelles que soient la défense et l’équipe alignées . »
Face à une formation angevine qui, pour cause de match avancé à Paris, n’a plus joué depuis trois semaines, le Racing aura ainsi pour priorité de serrer sa garde et limiter l’influence du duo Karl Toko Ekambi (4e buteur de L1 avec 16 buts) - Flavien Tait (2 buts, 2 passes) que le technicien alsacien tient en haute estime.
Comme, du reste, un SCO venu chercher le nul à la Meinau le 28 octobre (2-2). « J’avais été surpris par son début chaotique, confie Thierry Laurey. Mais aujourd’hui, c’est une équipe en forme. Elle a acquis de l’expérience, est difficile à manœuvrer et a su redresser la tête, notamment à la maison où elle pousse pas mal. »
« Gratter un point serait une belle performance »
Et le coach d’ajouter : « Il faudra se battre jusqu’à la dernière seconde. Nous y allons pour essayer de l’emporter, mais gratter un point serait une bonne performance. On est vraiment dans la dernière ligne droite. Il reste sept matches. Dès qu’on va en gagner un, ça offrira une embellie. Pour l’instant, on a quelques points d’avance, mais pas tant que ça. Ça peut vite fondre. »
Angers naviguant peu ou prou dans les mêmes eaux, le vainqueur du duel de ce soir, s’il y en a un, ne sera plus très loin de toucher le Graal du maintien.
dna
Entre un SCO d’Angers en forme ascendante et un Racing sur la corde raide, mais invaincu lors de ses deux dernières rencontres, le duel de ce soir au stade Raymond-Kopa vaut cher.
Le stade Jean-Bouin n’avait pas encore été rebaptisé Raymond-Kopa. Ni le Racing Club de Strasbourg, RCS Alsace. Dans les rangs alsaciens évoluait alors un certain Billy Ketkeophomphone, gamin de vingt ans formé du côté de la Meinau.
Pour la première fois, le Racing venait de tomber au troisième échelon hexagonal, le National. Et pour la dernière avant sa liquidation judiciaire le 22 août suivant, il affrontait une équipe hiérarchiquement supérieure, Angers, alors en Ligue 2.
Le 1er février 2011, les hommes de Laurent Fournier s’étaient inclinés 2-0 à Jean-Bouin en 8es de finale de la Coupe de France.
Sept ans plus tard, pour la 32e journée de Ligue 1, la troupe de Thierry Laurey se déplace, elle, au stade Raymond-Kopa. Le SCO a retrouvé l’élite en 2015-2016, après vingt deux ans d’attente. Le Racing n’a, lui, patienté “que” neuf années pour y revenir, malgré sa plongée à pic dans les abysses du foot amateur.
« Prendre des buts, ça devient lassant »
Entré à l’heure de jeu le 1er février 2011, “Ketkeo” est, dans l’intervalle, passé dans l’autre camp et porte le maillot noir et blanc depuis 2015.
Après deux années plutôt tranquilles pour son retour en L1, le club angevin peine davantage cette saison.
Le 17 février, au soir du 26e acte, il pointait au 19e rang, plombé par trois revers d’affilée, et pouvait envier un Racing qui émargeait cinq unités plus haut.
Mais depuis, l’équipe de Stéphane Moulin a remis le château des Ducs d’Anjou au milieu du village, avec trois succès à Lille (2-1), contre Guingamp (3-0) et Caen (3-0), un nul vierge à Bordeaux et un court revers à Paris (2-1).
En cinq rencontres, elle a repris sept points aux Bleus et les a rejetés à deux longueurs. Preuve – si besoin était – qu’à sept épisodes de l’épilogue, les positions sont loin d’être figées.
De son côté, le Racing n’a plus gagné depuis six matches (3 nuls, 3 défaites). Il n’a récolté que 9 points sur 39 en 13 journées et possède la 18e défense avec 56 buts encaissés. Une défense de nouveau remaniée ce soir, pour cause de suspension d’Abdallah Ndour, expulsé lors du derby.
« Prendre deux buts par match, c’est trop et c’est agaçant, enrage le défenseur axial Pablo Martinez. Mais je ne me fais pas de soucis : tout le monde est concerné et a envie de bien faire. Ça va payer. J’aimerais juste finir un match en me disant “On n’a rien concédé”. Car ça devient lassant. »
Thierry Laurey a lui aussi identifié le problème de longue date, sans trouver la bonne clef pour fermer le verrou à double tour.
« Tant qu’on prendra autant de buts, il sera compliqué de remonter facilement au classement. Je n’ai rien à reprocher aux garçons dans l’état d’esprit et l’investissement, mais des erreurs assez grossières nous plombent. Il faut qu’on arrive à améliorer ça quelles que soient la défense et l’équipe alignées . »
Face à une formation angevine qui, pour cause de match avancé à Paris, n’a plus joué depuis trois semaines, le Racing aura ainsi pour priorité de serrer sa garde et limiter l’influence du duo Karl Toko Ekambi (4e buteur de L1 avec 16 buts) - Flavien Tait (2 buts, 2 passes) que le technicien alsacien tient en haute estime.
Comme, du reste, un SCO venu chercher le nul à la Meinau le 28 octobre (2-2). « J’avais été surpris par son début chaotique, confie Thierry Laurey. Mais aujourd’hui, c’est une équipe en forme. Elle a acquis de l’expérience, est difficile à manœuvrer et a su redresser la tête, notamment à la maison où elle pousse pas mal. »
« Gratter un point serait une belle performance »
Et le coach d’ajouter : « Il faudra se battre jusqu’à la dernière seconde. Nous y allons pour essayer de l’emporter, mais gratter un point serait une bonne performance. On est vraiment dans la dernière ligne droite. Il reste sept matches. Dès qu’on va en gagner un, ça offrira une embellie. Pour l’instant, on a quelques points d’avance, mais pas tant que ça. Ça peut vite fondre. »
Angers naviguant peu ou prou dans les mêmes eaux, le vainqueur du duel de ce soir, s’il y en a un, ne sera plus très loin de toucher le Graal du maintien.
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Malins Angevins
Le SCO Angers s’est installé depuis trois saisons en Ligue 1. Malgré des moyens financiers limités, les Angevins s’en sortent bien. Pourquoi ? Tentative de réponse.
Quand ils sont montés en Ligue 1 en mai 2015, beaucoup d’observateurs avisés du foot français voyaient les Angevins redescendre aussi sec.
Mais Stéphane Moulin et ses hommes ont déjoué tous les pronostics pour terminer à la 9e place lors de ce premier exercice au plus haut niveau. Et le miracle angevin s’est poursuivi la saison suivante, terminée à la 12e.
« Joueurs rapides et techniques »
Et pour l’année en cours, le SCO est dans les clous, malgré un début de saison compliqué et pointe à la 13e place, avec 35 points au compteur.
Est-ce cette “douceur angevine” tant vantée par Joachim Du Bellay, qui donnerait des ailes à Pierrick Capelle et les autres ?
Pas seulement, si l’on en croit Billy Ketkeophomphone, qui participe à ce miracle permanent depuis trois ans.
« On s’en sort grâce à notre état d’esprit et nos valeurs, raconte l’attaquant formé au Racing. Ceux qui jouent ici sont imprégnés par ces valeurs et ceux qui arrivent se fondent vite dans le moule ».
Des valeurs qui se nomment simplicité et discrétion. Comme le souligne encore “Ketkeo”, l’effectif noir et blanc ne compte pas de star. Mais « une équipe complète, homogène » qui travaille dans un environnement serein.
Autre atout angevin : « la stabilité », comme le souligne aussi l’ailier d’origine laotienne. « Garder les mêmes joueurs, le même coach, ça aide. On conserve toujours la même philosophie de jeu et c’est ce qui fait notre force ».
Une philosophie qui a fait ses preuves, en prônant une solidité défensive sans faille. Mais Angers ne se cantonne pas à un bétonnage massif.
« Oui, on a un jeu plutôt défensif, mais dès qu’on a la balle, on se projette vite vers l’avant. En attaque comme au milieu, on a des joueurs rapides et techniques », avance encore “Ketkeo”.
Des joueurs par ailleurs parfaitement adaptés à ce système de jeu pas toujours sexy, mais terriblement efficace. À l’image de Karl Toko-Ekambi, qui évoluait déjà dans un registre similaire à ses débuts en pro.
Les supporteurs du Racing présents à la Meinau en National s’en souviennent : lors de la venue du Paris FC, en mars 2014, Toko-Ekambi avait inscrit les deux buts du succès parisien sur deux contres parfaitement négociés.
L’attaquant franco camerounais de 25 ans est d’ailleurs l’un des points forts du SCO cette année. Auteur de sept buts la saison dernière pour ses premiers pas en Ligue 1 – après un passage par le FC Sochaux – il en a déjà inscrit 16 pour l’exercice en cours.
Et il devrait rapporter en fin de saison un joli pécule au SCO, puisqu’on parle d’un transfert qui devrait avoisiner les 20 millions d’euros.
Après la vente l’an passé de Nicolas Pépé (à Lille, pour 10 millions d’euros), Angers – et c’est un autre de ses atouts – a donc le nez toujours aussi creux question recrutement.
Sans oublier que le staff angevin a les clés pour “bonifier” des joueurs dénichés aux quatre coins de la Ligue 2, comme Pierrick Capelle (Clermont), Baptiste Santamaria (Tours), Angelo Fulgini (Valenciennes) ou Flavien Tait (Châteauroux), devenus des valeurs sûres de l’effectif angevin.
Du coup, le SCO ne se fait pas trop de soucis pour son maintien, si l’on en croit “Ketkeo”.
« J’espère qu’on sera maintenus dans deux ou trois matches, souligne-t-il. Et pourquoi pas viser plus haut dès que ce sera fait ? ».
Des objectifs qui passent forcément par une victoire face au Racing, ce soir. « Je pense qu’on va gagner, même si ça va être une bataille difficile face au bloc strasbourgeois », prédit encore “Ketkeo”. Aux Strasbourgeois d’essayer de le faire mentir…
dna
Le SCO Angers s’est installé depuis trois saisons en Ligue 1. Malgré des moyens financiers limités, les Angevins s’en sortent bien. Pourquoi ? Tentative de réponse.
Quand ils sont montés en Ligue 1 en mai 2015, beaucoup d’observateurs avisés du foot français voyaient les Angevins redescendre aussi sec.
Mais Stéphane Moulin et ses hommes ont déjoué tous les pronostics pour terminer à la 9e place lors de ce premier exercice au plus haut niveau. Et le miracle angevin s’est poursuivi la saison suivante, terminée à la 12e.
« Joueurs rapides et techniques »
Et pour l’année en cours, le SCO est dans les clous, malgré un début de saison compliqué et pointe à la 13e place, avec 35 points au compteur.
Est-ce cette “douceur angevine” tant vantée par Joachim Du Bellay, qui donnerait des ailes à Pierrick Capelle et les autres ?
Pas seulement, si l’on en croit Billy Ketkeophomphone, qui participe à ce miracle permanent depuis trois ans.
« On s’en sort grâce à notre état d’esprit et nos valeurs, raconte l’attaquant formé au Racing. Ceux qui jouent ici sont imprégnés par ces valeurs et ceux qui arrivent se fondent vite dans le moule ».
Des valeurs qui se nomment simplicité et discrétion. Comme le souligne encore “Ketkeo”, l’effectif noir et blanc ne compte pas de star. Mais « une équipe complète, homogène » qui travaille dans un environnement serein.
Autre atout angevin : « la stabilité », comme le souligne aussi l’ailier d’origine laotienne. « Garder les mêmes joueurs, le même coach, ça aide. On conserve toujours la même philosophie de jeu et c’est ce qui fait notre force ».
Une philosophie qui a fait ses preuves, en prônant une solidité défensive sans faille. Mais Angers ne se cantonne pas à un bétonnage massif.
« Oui, on a un jeu plutôt défensif, mais dès qu’on a la balle, on se projette vite vers l’avant. En attaque comme au milieu, on a des joueurs rapides et techniques », avance encore “Ketkeo”.
Des joueurs par ailleurs parfaitement adaptés à ce système de jeu pas toujours sexy, mais terriblement efficace. À l’image de Karl Toko-Ekambi, qui évoluait déjà dans un registre similaire à ses débuts en pro.
Les supporteurs du Racing présents à la Meinau en National s’en souviennent : lors de la venue du Paris FC, en mars 2014, Toko-Ekambi avait inscrit les deux buts du succès parisien sur deux contres parfaitement négociés.
L’attaquant franco camerounais de 25 ans est d’ailleurs l’un des points forts du SCO cette année. Auteur de sept buts la saison dernière pour ses premiers pas en Ligue 1 – après un passage par le FC Sochaux – il en a déjà inscrit 16 pour l’exercice en cours.
Et il devrait rapporter en fin de saison un joli pécule au SCO, puisqu’on parle d’un transfert qui devrait avoisiner les 20 millions d’euros.
Après la vente l’an passé de Nicolas Pépé (à Lille, pour 10 millions d’euros), Angers – et c’est un autre de ses atouts – a donc le nez toujours aussi creux question recrutement.
Sans oublier que le staff angevin a les clés pour “bonifier” des joueurs dénichés aux quatre coins de la Ligue 2, comme Pierrick Capelle (Clermont), Baptiste Santamaria (Tours), Angelo Fulgini (Valenciennes) ou Flavien Tait (Châteauroux), devenus des valeurs sûres de l’effectif angevin.
Du coup, le SCO ne se fait pas trop de soucis pour son maintien, si l’on en croit “Ketkeo”.
« J’espère qu’on sera maintenus dans deux ou trois matches, souligne-t-il. Et pourquoi pas viser plus haut dès que ce sera fait ? ».
Des objectifs qui passent forcément par une victoire face au Racing, ce soir. « Je pense qu’on va gagner, même si ça va être une bataille difficile face au bloc strasbourgeois », prédit encore “Ketkeo”. Aux Strasbourgeois d’essayer de le faire mentir…
dna
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Une défense modifiée
En l’absence d’Abdallah Ndour (suspendu) et de Kenny Lala (blessé), Thierry Laurey est forcé de modifier la défense du Racing. Du moins sur les côtés, puisque la doublette Koné/Martinez devrait rempiler en défense centrale.
Dimitri Foulquier, tout juste revenu de blessure, semble trop juste au niveau du rythme pour démarrer la rencontre à Angers et devrait prendre place sur le banc. C’est donc le milieu de terrain Anthony Gonçalves qui devrait débuter en tant qu’arrière droit, un poste où il a évolué face à Metz, après l’expulsion de Ndour.
Le milieu de terrain strasbourgeois devrait rester inchangé par rapport à la dernière sortie à domicile, mais l’attaque pourrait subir un léger lifting. Martin Terrier est pressenti pour faire la paire avec Stéphane Bahoken (photo ci-dessus) , en lieu et place de Jérémy Blayac.
Deux jeunes joueurs complètent le groupe de 19 retenus par Thierry Laurey à l’issue du dernier entraînement : l’attaquant Kevin Zohi, déjà apparu à quelques reprises sur la feuille de match et le défenseur Duplexe Tchamba, qui fait là sa première apparition dans le groupe pro alsacien.
Absents : Ndour (suspendu), Mangane (ischio-jambier gauche), Lala (ischio droit), Da Costa (adducteur), Nogueira (dos), Zemzemi, Caci, Aaneba, Othon, Bonnefoi (choix).
Dangereuse triplette
Les Angevins vont jouer dans leur système habituel en 4-3-3.
Derrière, Romain Thomas va relayer Matéo Pavlovic en défense centrale, le Croate étant malade. Thomas formera la charnière avec le capitaine angevin Ismaël Traoré.
Au milieu, Santamaria jouera en sentinelle, avec Oninangue à droite et Mangani à gauche.
Devant, les Strasbourgeois devront se méfier de la triplette Jeff Reine-Adelaïde (prêté par Arsenal au club angevin), Karl Toko-Ekambi (16 buts au compteur) et Flavien Tait, « homme en forme du moment » côté angevin si l’on en croit Thierry Laurey.
Deux anciens joueurs du Racing débuteront sur le banc : Baptiste Guillaume et Billy Ketkeophomphone.
Absents : Pavlovic (malade), Andreu (mollet), Capelle (reprise), Puyo (adducteurs), Sunu, T. Touré, F. Doré (choix)
dna
En l’absence d’Abdallah Ndour (suspendu) et de Kenny Lala (blessé), Thierry Laurey est forcé de modifier la défense du Racing. Du moins sur les côtés, puisque la doublette Koné/Martinez devrait rempiler en défense centrale.
Dimitri Foulquier, tout juste revenu de blessure, semble trop juste au niveau du rythme pour démarrer la rencontre à Angers et devrait prendre place sur le banc. C’est donc le milieu de terrain Anthony Gonçalves qui devrait débuter en tant qu’arrière droit, un poste où il a évolué face à Metz, après l’expulsion de Ndour.
Le milieu de terrain strasbourgeois devrait rester inchangé par rapport à la dernière sortie à domicile, mais l’attaque pourrait subir un léger lifting. Martin Terrier est pressenti pour faire la paire avec Stéphane Bahoken (photo ci-dessus) , en lieu et place de Jérémy Blayac.
Deux jeunes joueurs complètent le groupe de 19 retenus par Thierry Laurey à l’issue du dernier entraînement : l’attaquant Kevin Zohi, déjà apparu à quelques reprises sur la feuille de match et le défenseur Duplexe Tchamba, qui fait là sa première apparition dans le groupe pro alsacien.
Absents : Ndour (suspendu), Mangane (ischio-jambier gauche), Lala (ischio droit), Da Costa (adducteur), Nogueira (dos), Zemzemi, Caci, Aaneba, Othon, Bonnefoi (choix).
Dangereuse triplette
Les Angevins vont jouer dans leur système habituel en 4-3-3.
Derrière, Romain Thomas va relayer Matéo Pavlovic en défense centrale, le Croate étant malade. Thomas formera la charnière avec le capitaine angevin Ismaël Traoré.
Au milieu, Santamaria jouera en sentinelle, avec Oninangue à droite et Mangani à gauche.
Devant, les Strasbourgeois devront se méfier de la triplette Jeff Reine-Adelaïde (prêté par Arsenal au club angevin), Karl Toko-Ekambi (16 buts au compteur) et Flavien Tait, « homme en forme du moment » côté angevin si l’on en croit Thierry Laurey.
Deux anciens joueurs du Racing débuteront sur le banc : Baptiste Guillaume et Billy Ketkeophomphone.
Absents : Pavlovic (malade), Andreu (mollet), Capelle (reprise), Puyo (adducteurs), Sunu, T. Touré, F. Doré (choix)
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Bonjour et bienvenue à toutes et à tous à Angers où le Racing va affronter le SCO. Il a bien plu toute la journée et la pelouse du stade Raymond-Kopa a donc été bien arrosée. Mais elle a l'air tout à fait praticable.
.
Les compos des deux équipes sont tombées. Comme écrit aujourd'hui dans le journal, c'est bien Gonçalves qui dépannera au poste d'arrière droit.
ANGERS: Butelle - Manceau, Traoré (cap.), Thomas, Bamba - Oniangue, Santamaria, Mangani - Reine-Adélaïde, Toko Ekambi, Tait.
RACING: Oukidja - Gonçalves, Koné (cap.), Martinez, Seka - Martin, Aholou, Corgnet, Lienard - Terrier, Bahoken.
.
Les deux équipes sont encore à l'échauffement. Et la pluie s'est remise à tomber. Ce qui ne douche pas l'enthousiasme des supporters strasbourgeois qui s'amusent avec le speaker.
.
Les dynamiques des deux clubs sont dissemblables. Angers a repris du poil de la bête et vient d'engranger 10 points sur 15 possibles (3V, 1N, 1D). Dans le même laps de temps; le Racing, lui, n'a pris que trois points mais reste sur deux nuls consécutifs.
.
Le 28 octobre, les deux équipes s'étaient affrontées sur la pelouse de la Meinau et s'étaient quittées sur un match nul (2-2). Le Racing avait notamment loupé le coche en première période avant d'assurer le minimum en égalisant en seconde période.
.
Avant cette 32e journée, le Racing émarge deux points derrière le SCO à la 16e place. Sa marge sur le barragiste (Troyes) se monte à quatre points et même à cinq unités sur le premier relégable (Lille).
.
Le Racing n'a plus gagné depuis deux mois en L1. C'était contre Troyes le 11 février dernier. S'il pouvait retrouver le chemin de la victoire ce soir, il ne s'en porterait que mieux.
.
C'est parti au stade Raymond-Kopa.
.
Apparemment, Thierry Laurey a remisé son 4-4-2 en losange pour un 4-2-3-1 avec Martin et Aholou à la récupération et Terrier seul en pointe.
.
Bien servi sur l'aile gauche, Terrier centre au premier poteau mais Butelle intervient.
.
But 1-0
.
But de Toko Ekambi pour Angers. Ca commence très très mal pour le Racing. Une perte de balle d'Aholou profite à Angers. Au bout de l'action, Mangani s'infiltre dans la surface et centre pour Toko Ekambi qui n'a plus qu'à pousser le ballon au fond. Aïe aïe aïe
.
Le SCO continue de presser les Strasbourgeois qui peinent à conserver le ballon. Depuis l'ouverture du score, il y a déjà eu deux accrochages dans la surface strasbourgeoise...
.
Beau jeu en triangle entre Terrier, Corgnet et Bahoken mais la passe en profondeur de l'ex-Stéphanois n'est pas assez appuyée.
.
Thierry Laurey s'agite pas mal sur son banc de touche en donnant ses consignes. Le Racing n'est pas au mieux en ce début de rencontre.
.
Corner de Lienard accompagné par Butelle dans ses six mètres. Deuxième corner pour le Racing qui est dégagé par Santamaria.
.
Le Racing est un peu mieux dans le jeu et parvient à tenir le ballon dans le camp angevin. Mais dans les duels, il est bougé!
.
Bamba et Gonçalves restent au sol après un contact près de la surface angevine. Corner strasbourgeois à suivre.
.
Lienard tire le corner, cafouillage et re-corner.
.
Mangani sauve sur sa ligne! Martinez, au duel de la tête au second poteau, parvient à frapper une fois le cuir au sol. Tout le monde est battu sauf Mangani qui détourne le ballon sur sa ligne. L'égalisation alsacienne était toute proche.
.
Pas attaqué, Terrier se recentre et tente sa chance à 25m. Le ballon fuse sur la pelouse humide mais ça passe deux bons mètres à côté.
.
Le rythme n'est pas très élevé. Il y a pas mal de déchet de part et d'autre.
.
Gonçalves évite miraculeusement du jaune pour une semelle sur Bamba. Le Strasbourgeois est pourtant intervenu très en retard.
.
L'arrêt d'Oukidja! SUr une ouverture de Thomas qui atterrit sur... le dos de Koné, Tait, à l'affût, lâche une frappe qui fuse mais que le portier bas-rhinois déloge du soupirail. Une intervention capitale.
.
Mangani prend un jaune pour une faute sur Aholou.
.
Aholou semble touché à la cheville. Il va céder sa place.
.
Il y a de plus en plus de contacts sur la pelouse. Ca chauffe entre les deux équipes.
.
Corgnet obtient un bon coup franc, dans l'axe du but angevin, à 30m, après une faute de Thomas. Lienard trouve le mur.
.
Le Racing fait dorénavant jeu égal avec son hôte mais a vraiment du mal à se montrer dangereux.
.
Gonçalves obtient un nouveau corner. Butelle dégage des deux poings.
.
La grosse occaz de Bahoken! Sur un contact avec AHolou, Mangani reste au sol mais M. Jocheml ne siffle pas. Corgnet en profite pour trouver Bahoken en profondeur qui se présente face à Butelle. Sa frappe en force angle fermée est repoussée par el portier.
.
C'est la mi-temps à Raymond-Kopa. Après avoir souffert durant le premier quart d'heure, et concédé l'ouverture du score à Toko Ekambi, le Racing est progressivement revenu dans la rencontre. Il a même eu deux situations chaudes pour égaliser mais Mangani puis Butelle en ont décidé autrement. RIen n'est encore perdu!
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Les compos des deux équipes sont tombées. Comme écrit aujourd'hui dans le journal, c'est bien Gonçalves qui dépannera au poste d'arrière droit.
ANGERS: Butelle - Manceau, Traoré (cap.), Thomas, Bamba - Oniangue, Santamaria, Mangani - Reine-Adélaïde, Toko Ekambi, Tait.
RACING: Oukidja - Gonçalves, Koné (cap.), Martinez, Seka - Martin, Aholou, Corgnet, Lienard - Terrier, Bahoken.
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Les deux équipes sont encore à l'échauffement. Et la pluie s'est remise à tomber. Ce qui ne douche pas l'enthousiasme des supporters strasbourgeois qui s'amusent avec le speaker.
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Les dynamiques des deux clubs sont dissemblables. Angers a repris du poil de la bête et vient d'engranger 10 points sur 15 possibles (3V, 1N, 1D). Dans le même laps de temps; le Racing, lui, n'a pris que trois points mais reste sur deux nuls consécutifs.
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Le 28 octobre, les deux équipes s'étaient affrontées sur la pelouse de la Meinau et s'étaient quittées sur un match nul (2-2). Le Racing avait notamment loupé le coche en première période avant d'assurer le minimum en égalisant en seconde période.
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Avant cette 32e journée, le Racing émarge deux points derrière le SCO à la 16e place. Sa marge sur le barragiste (Troyes) se monte à quatre points et même à cinq unités sur le premier relégable (Lille).
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Le Racing n'a plus gagné depuis deux mois en L1. C'était contre Troyes le 11 février dernier. S'il pouvait retrouver le chemin de la victoire ce soir, il ne s'en porterait que mieux.
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C'est parti au stade Raymond-Kopa.
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Apparemment, Thierry Laurey a remisé son 4-4-2 en losange pour un 4-2-3-1 avec Martin et Aholou à la récupération et Terrier seul en pointe.
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Bien servi sur l'aile gauche, Terrier centre au premier poteau mais Butelle intervient.
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But 1-0
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But de Toko Ekambi pour Angers. Ca commence très très mal pour le Racing. Une perte de balle d'Aholou profite à Angers. Au bout de l'action, Mangani s'infiltre dans la surface et centre pour Toko Ekambi qui n'a plus qu'à pousser le ballon au fond. Aïe aïe aïe
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Le SCO continue de presser les Strasbourgeois qui peinent à conserver le ballon. Depuis l'ouverture du score, il y a déjà eu deux accrochages dans la surface strasbourgeoise...
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Beau jeu en triangle entre Terrier, Corgnet et Bahoken mais la passe en profondeur de l'ex-Stéphanois n'est pas assez appuyée.
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Thierry Laurey s'agite pas mal sur son banc de touche en donnant ses consignes. Le Racing n'est pas au mieux en ce début de rencontre.
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Corner de Lienard accompagné par Butelle dans ses six mètres. Deuxième corner pour le Racing qui est dégagé par Santamaria.
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Le Racing est un peu mieux dans le jeu et parvient à tenir le ballon dans le camp angevin. Mais dans les duels, il est bougé!
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Bamba et Gonçalves restent au sol après un contact près de la surface angevine. Corner strasbourgeois à suivre.
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Lienard tire le corner, cafouillage et re-corner.
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Mangani sauve sur sa ligne! Martinez, au duel de la tête au second poteau, parvient à frapper une fois le cuir au sol. Tout le monde est battu sauf Mangani qui détourne le ballon sur sa ligne. L'égalisation alsacienne était toute proche.
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Pas attaqué, Terrier se recentre et tente sa chance à 25m. Le ballon fuse sur la pelouse humide mais ça passe deux bons mètres à côté.
.
Le rythme n'est pas très élevé. Il y a pas mal de déchet de part et d'autre.
.
Gonçalves évite miraculeusement du jaune pour une semelle sur Bamba. Le Strasbourgeois est pourtant intervenu très en retard.
.
L'arrêt d'Oukidja! SUr une ouverture de Thomas qui atterrit sur... le dos de Koné, Tait, à l'affût, lâche une frappe qui fuse mais que le portier bas-rhinois déloge du soupirail. Une intervention capitale.
.
Mangani prend un jaune pour une faute sur Aholou.
.
Aholou semble touché à la cheville. Il va céder sa place.
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Il y a de plus en plus de contacts sur la pelouse. Ca chauffe entre les deux équipes.
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Corgnet obtient un bon coup franc, dans l'axe du but angevin, à 30m, après une faute de Thomas. Lienard trouve le mur.
.
Le Racing fait dorénavant jeu égal avec son hôte mais a vraiment du mal à se montrer dangereux.
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Gonçalves obtient un nouveau corner. Butelle dégage des deux poings.
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La grosse occaz de Bahoken! Sur un contact avec AHolou, Mangani reste au sol mais M. Jocheml ne siffle pas. Corgnet en profite pour trouver Bahoken en profondeur qui se présente face à Butelle. Sa frappe en force angle fermée est repoussée par el portier.
.
C'est la mi-temps à Raymond-Kopa. Après avoir souffert durant le premier quart d'heure, et concédé l'ouverture du score à Toko Ekambi, le Racing est progressivement revenu dans la rencontre. Il a même eu deux situations chaudes pour égaliser mais Mangani puis Butelle en ont décidé autrement. RIen n'est encore perdu!
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Grimm remplace Aholou
.
La barre pour Grimm qui a remplacé Ahoulou à la pause! Sur une ouverture de Martin, Bahoken remise de la tête vers Grimm qui reprend en demi-volée à 20m. Butelle dévie le cuir sur sa barre. Quelle mine de l'ancien Colmarien.
.
Martinez est averti après avoir séché Toko Ekambi.
.
Terrier reste longuement au sol, a priori après un choc aérien avec Traoré. Le futur Lyonnais est évacué sur une civière. Foulquier le remplace, Gonçalves et Martin montent chacun d'un cran.
.
Nouveau choc entre Bamba et Gonçalves. Cette fois-ci, c'est le Strasbourgeois qui est sanctionné par M. Jochem.
.
Et encore un corner pour le Racing après un long temps de possession. Mais le coup de pied de coin est mal tiré.
.
Bon tacle de Martinez sur Rene-Adélaïde qui cherchait à partir au but.
.
Angers se contente clairement d'attendre les Alsaciens mais ceux-ci ont du mal à trouver des espaces dans le camp du SCO. Les occasions sont trop rares, voire inexistantes...
.
Reine-Adélaïde est remplacé par Fulgini à Angers.
.
Penalty pour le Racing. Martin est accroché dans la surface après un bon contrôle orienté. C'est l'occasion rêvée d'égaliser.
.
BUTTTTTTTTTTTTTTTTTT 1-1 Martin
.
Egalisation de Martin qui concrétise la bonne période strasbourgeoise d'un tir plein axe mi-hauteur.
.
Cette égalisation est tout sauf imméritée. Le Racing a bien mené sa barque depuis la reprise des débats.
.
L'ancien Racingman Ketkeophomphone remplace Tait à Angers.
.
Angers a eu cinq minutes de mieux mais c'est le Racing qui a de nouveau la maîtrise du ballon. Il y a peut-être un très beau résultat à aller chercher.
.
Le corner de Lienard est convoité par Grimm mais l'arbitre siffle une charge dans le dos du Strasbourgeois.
.
Quelle frousse! Ketkeo trouve Manceau dans la surface qui sert Toko Ekambi. L'attaquant angevin fusille Oukidja mais l'arbitre de touche signale un hors-jeu au grand soulagement des Alsaciens.
.
Dans la foulée, Bahoken part en contre et frappe en force. Butelle s'interpose encore une fois.
.
Les Alsaciens décrochent un très bon point dans l'optique du maintien. Avec plus de réussite, ils auraient même pu décrocher la timbale.
.
1-1
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La barre pour Grimm qui a remplacé Ahoulou à la pause! Sur une ouverture de Martin, Bahoken remise de la tête vers Grimm qui reprend en demi-volée à 20m. Butelle dévie le cuir sur sa barre. Quelle mine de l'ancien Colmarien.
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Martinez est averti après avoir séché Toko Ekambi.
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Terrier reste longuement au sol, a priori après un choc aérien avec Traoré. Le futur Lyonnais est évacué sur une civière. Foulquier le remplace, Gonçalves et Martin montent chacun d'un cran.
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Nouveau choc entre Bamba et Gonçalves. Cette fois-ci, c'est le Strasbourgeois qui est sanctionné par M. Jochem.
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Et encore un corner pour le Racing après un long temps de possession. Mais le coup de pied de coin est mal tiré.
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Bon tacle de Martinez sur Rene-Adélaïde qui cherchait à partir au but.
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Angers se contente clairement d'attendre les Alsaciens mais ceux-ci ont du mal à trouver des espaces dans le camp du SCO. Les occasions sont trop rares, voire inexistantes...
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Reine-Adélaïde est remplacé par Fulgini à Angers.
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Penalty pour le Racing. Martin est accroché dans la surface après un bon contrôle orienté. C'est l'occasion rêvée d'égaliser.
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BUTTTTTTTTTTTTTTTTTT 1-1 Martin
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Egalisation de Martin qui concrétise la bonne période strasbourgeoise d'un tir plein axe mi-hauteur.
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Cette égalisation est tout sauf imméritée. Le Racing a bien mené sa barque depuis la reprise des débats.
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L'ancien Racingman Ketkeophomphone remplace Tait à Angers.
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Angers a eu cinq minutes de mieux mais c'est le Racing qui a de nouveau la maîtrise du ballon. Il y a peut-être un très beau résultat à aller chercher.
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Le corner de Lienard est convoité par Grimm mais l'arbitre siffle une charge dans le dos du Strasbourgeois.
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Quelle frousse! Ketkeo trouve Manceau dans la surface qui sert Toko Ekambi. L'attaquant angevin fusille Oukidja mais l'arbitre de touche signale un hors-jeu au grand soulagement des Alsaciens.
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Dans la foulée, Bahoken part en contre et frappe en force. Butelle s'interpose encore une fois.
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Les Alsaciens décrochent un très bon point dans l'optique du maintien. Avec plus de réussite, ils auraient même pu décrocher la timbale.
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1-1
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Un petit pas de plus
Le Racing, pris à froid par un but précoce d’Angers, a logiquement arraché le match nul hier soir, au stade Raymond-Kopa. Martin, sur penalty, a égalisé pour des Strasbourgeois qui ont désormais cinq points d’avance sur la zone rouge.
En quête de victoire depuis le 11 février dernier – un succès face à Troyes à la Meinau – le Racing voulait profiter de ce déplacement dans l’Anjou pour engranger trois points.
La mission s’annonçait compliquée, face à une équipe angevine en pleine bourre. Et compliquée, la tâche du Racing l’a bien été en raison d’une entame de match ratée. Mais Koné et les siens ont su redresser la tête pour empocher un point somme toute logique, Martin, sur penalty, répondant à l’ouverture du score signée Toko-Ekambi.
« C’est même un bon point »
« C’est un point amplement mérité et c’est même un bon point au vu des résultats des concurrents directs (Lille et Troyes ont perdu, ndlr) », résumait Thierry Laurey à l’issue des débats.
Après cinq minutes d’observation, la première accélération angevine est la bonne. Une perte de balle d’Aholou face à Tait et un coup de rein de Reine-Adelaïde couloir mettent Toko-Ekambi sur orbite. Seul au deuxième poteau, il n’a qu’à pousser le ballon au fond des filets d’un Oukidja impuissant.
On joue à peine la septième minute de cette rencontre et le Racing se retrouve mené. Les Alsaciens vont d’ailleurs mettre dix bonnes minutes pour se relancer véritablement, sous l’impulsion d’un Gonçalves percutant dans son couloir (lire page suivante).
Face à des Angevins attentistes, qui se contentent de gérer leur avance, le Racing prend le jeu à son compte. Et se procure logiquement ses premières opportunités sur corners.
À chaque fois ou presque, Martinez est dans le coup. De la tête d’abord, mais Butelle écarte le danger du bout des doigts (18e ). Du pied ensuite, quand le défenseur central voit sa lourde frappe sauvée sur la ligne par Mangani (24e). C’est ensuite au tour de Terrier de voir sa frappe filer à côté (27e).
Après cette bonne séquence alsacienne, le jeu devient plus haché. Tacles et fautes cassent le rythme et Aholou, touché à la cheville après une semelle de Mangani, a bien du mal à finir cette première mi-temps.
Trois minutes suffisent néanmoins au Racing pour s’offrir une balle d’égalisation en deuxième période. Las, la superbe demi-volée de Grimm, entré au relais d’Aholou, est détournée in extremis par Butelle sur sa transversale (48e ).
Les Strasbourgeois confisquent la balle durant cette seconde période, qui voit Terrier quitter les siens sur civière, touché à l’adducteur (53e ). Durant vingt minutes ces efforts sont vains, l’arrière-garde angevine coulissant parfaitement à chaque offensive alsacienne.
« En deuxième mi-temps, on a su se mettre au niveau »
Jusqu’à cette percée de Martin, lancé par Seka. Manceau et Traoré se referment telle une nasse, le milieu de terrain s’écroule et M. Jochem n’hésite pas à désigner le point de penalty. Martin se charge de le transformer et signe une égalisation somme toute logique pour des Strasbourgeois bien plus actifs que leurs homologues angevins (1-1, 71e ).
Et les Alsaciens sont tout près de doubler la mise dans la foulée, mais cette fois la passe de Seka est un poil trop appuyée pour Bahoken (76e ). Le SCO réagit, mais mollement. À l’image de cette frappe écrasée de Ketkéo, entré au relais de Tait.
Dans une fin de match tendue, Toko-Ekambi pense avoir fait le plus dur en inscrivant le deuxième but sur un centre de Manceau (86e ). Mais l’arbitre assistant signale un hors-jeu de Fulgini, qui a laissé filer le ballon. Bahoken a une balle de match dans la minute qui suit, mais sa lourde frappe est détournée par Butelle.
« On ne voulait pas trop s’exposer, mais on a encaissé un but trop rapidement. En première mi-temps, c’était dur, même si on a eu quelques possibilités. Mais en deuxième mi-temps, on a su se mettre au niveau », appréciait Thierry Laurey.
Avant de conclure : « On sait qu’on va devoir regagner un match. Mais en ce moment, on joue des matches un peu fous. Et on va apprécier ce point ».
dna
Le Racing, pris à froid par un but précoce d’Angers, a logiquement arraché le match nul hier soir, au stade Raymond-Kopa. Martin, sur penalty, a égalisé pour des Strasbourgeois qui ont désormais cinq points d’avance sur la zone rouge.
En quête de victoire depuis le 11 février dernier – un succès face à Troyes à la Meinau – le Racing voulait profiter de ce déplacement dans l’Anjou pour engranger trois points.
La mission s’annonçait compliquée, face à une équipe angevine en pleine bourre. Et compliquée, la tâche du Racing l’a bien été en raison d’une entame de match ratée. Mais Koné et les siens ont su redresser la tête pour empocher un point somme toute logique, Martin, sur penalty, répondant à l’ouverture du score signée Toko-Ekambi.
« C’est même un bon point »
« C’est un point amplement mérité et c’est même un bon point au vu des résultats des concurrents directs (Lille et Troyes ont perdu, ndlr) », résumait Thierry Laurey à l’issue des débats.
Après cinq minutes d’observation, la première accélération angevine est la bonne. Une perte de balle d’Aholou face à Tait et un coup de rein de Reine-Adelaïde couloir mettent Toko-Ekambi sur orbite. Seul au deuxième poteau, il n’a qu’à pousser le ballon au fond des filets d’un Oukidja impuissant.
On joue à peine la septième minute de cette rencontre et le Racing se retrouve mené. Les Alsaciens vont d’ailleurs mettre dix bonnes minutes pour se relancer véritablement, sous l’impulsion d’un Gonçalves percutant dans son couloir (lire page suivante).
Face à des Angevins attentistes, qui se contentent de gérer leur avance, le Racing prend le jeu à son compte. Et se procure logiquement ses premières opportunités sur corners.
À chaque fois ou presque, Martinez est dans le coup. De la tête d’abord, mais Butelle écarte le danger du bout des doigts (18e ). Du pied ensuite, quand le défenseur central voit sa lourde frappe sauvée sur la ligne par Mangani (24e). C’est ensuite au tour de Terrier de voir sa frappe filer à côté (27e).
Après cette bonne séquence alsacienne, le jeu devient plus haché. Tacles et fautes cassent le rythme et Aholou, touché à la cheville après une semelle de Mangani, a bien du mal à finir cette première mi-temps.
Trois minutes suffisent néanmoins au Racing pour s’offrir une balle d’égalisation en deuxième période. Las, la superbe demi-volée de Grimm, entré au relais d’Aholou, est détournée in extremis par Butelle sur sa transversale (48e ).
Les Strasbourgeois confisquent la balle durant cette seconde période, qui voit Terrier quitter les siens sur civière, touché à l’adducteur (53e ). Durant vingt minutes ces efforts sont vains, l’arrière-garde angevine coulissant parfaitement à chaque offensive alsacienne.
« En deuxième mi-temps, on a su se mettre au niveau »
Jusqu’à cette percée de Martin, lancé par Seka. Manceau et Traoré se referment telle une nasse, le milieu de terrain s’écroule et M. Jochem n’hésite pas à désigner le point de penalty. Martin se charge de le transformer et signe une égalisation somme toute logique pour des Strasbourgeois bien plus actifs que leurs homologues angevins (1-1, 71e ).
Et les Alsaciens sont tout près de doubler la mise dans la foulée, mais cette fois la passe de Seka est un poil trop appuyée pour Bahoken (76e ). Le SCO réagit, mais mollement. À l’image de cette frappe écrasée de Ketkéo, entré au relais de Tait.
Dans une fin de match tendue, Toko-Ekambi pense avoir fait le plus dur en inscrivant le deuxième but sur un centre de Manceau (86e ). Mais l’arbitre assistant signale un hors-jeu de Fulgini, qui a laissé filer le ballon. Bahoken a une balle de match dans la minute qui suit, mais sa lourde frappe est détournée par Butelle.
« On ne voulait pas trop s’exposer, mais on a encaissé un but trop rapidement. En première mi-temps, c’était dur, même si on a eu quelques possibilités. Mais en deuxième mi-temps, on a su se mettre au niveau », appréciait Thierry Laurey.
Avant de conclure : « On sait qu’on va devoir regagner un match. Mais en ce moment, on joue des matches un peu fous. Et on va apprécier ce point ».
dna
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Martin, «Monsieur penalty»
En transformant un penalty qu’il avait provoqué (71e’ ), Jonas Martin a permis aux Bleus d’égaliser et de ramener un point précieux. Son 4e but de la saison, le 3e dans cet exercice, vaut son pesant de cacahuètes.
OUKIDJA (5). – Le gardien bas-rhinois ne pouvait rien sur le but de Karl Toko Ekambi, embusqué tel un renard (7e’ ). Il n’a en fait pas eu grand-chose à faire, mais s’est tout de même fendu d’une jolie parade sur son côté droit après une frappe croisée de Tait (33e’ ). Un match honnête.
GONÇALVES (7). – Le meilleur Strasbourgeois
KONÉ (5). – Toko Ekambi lui a fait passer une première période délicate. Le capitaine du Racing a même parfois souffert dans le jeu aérien, son habituel point fort. Mais son rayonnement a été bien meilleur en deuxième mi-temps quand il s’est agi de faire le ménage dans la surface alsacienne.
MARTINEZ (6). – Il était bien placé pour catapulter au fond un corner de la droite signé Lienard, mais, du bout des phalanges, Butelle lui a ôté le ballon de la tête (18e’ ). Il a même cru égaliser sur un nouveau corner du Belfortain lorsque Mangani a sorti sur sa ligne sa reprise aux six mètres. Averti à la 49e’ pour un tacle très appuyé sur Toko Ekambi, il sera suspendu à Amiens le 21 avril. Mais il peut se targuer d’un match plein, puisqu’il a aussi assuré défensivement.
SEKA (5). – Le grand Ernest a pas mal souffert en première période dans son couloir gauche. Mais il faut dire qu’il a vu débouler à tour de rôle Reine-Adelaïde et Oniangue, quand ce n’était pas Tait, et s’est souvent retrouvé à un contre deux. Il s’est bien repris ensuite. C’est même lui qui sert Martin sur le penalty égalisateur. Il aurait aussi pu être passeur décisif sans la bonne sortie de Butelle dans les pieds de Bahoken (76e’ ).
MARTIN (6). – Positionné comme deuxième récupérateur dans un schéma en 4-2-3-1, l’habituel milieu relayeur a d’abord eu du mal à se situer. Mais après le repos, il a beaucoup sollicité le ballon et tenté de remettre les Bleus en marche avant. Il a d’ailleurs tout fait sur le penalty de l’égalisation, en le provoquant, puis en le transformant pour son 4e but de la saison, le 3e dans l’exercice (71e’ ).
AHOLOU (3). – Le nouvel international ivoirien avait vécu un derby compliqué. Sa soirée en Anjou a encore été plus noire. C’est lui qui, dès la 7e’ , perd devant Tait le ballon menant à l’ouverture du score signée Toko Ekambi. Victime d’une semelle de Mangani, averti sur le coup (36e’ ), il a traîné la patte droite jusqu’à la pause alors qu’il voulait sortir dès la 39e’. Il n’a évidemment pas pu aller plus loin, remplacé au retour des vestiaires par Jérémy Grimm (6). L’Ostheimois s’est tout de suite signalé par un missile du droit que Butelle a détourné sur sa transversale (48e’ ) et a réussi une entrée convaincante.
LIENARD (4). – Le gaucher, aligné côté droit en première période dans le 4-2-3-1 concocté par son coach, s’est beaucoup battu, mais pas toujours dans le bon timing. Sa précision sur coups de pied arrêtés, les corners notamment, a néanmoins été précieuse. Il a eu le mérite de ne jamais baisser la tête, mais semble chercher son second souffle.
CORGNET (4). – Serré de près par les cerbères locaux, le meneur de jeu a peiné à se mettre dans le sens du jeu et à faire briller ses partenaires. Son ouverture millimétrée pour Bahoken aurait toutefois pu se transformer en passe décisive si l’international camerounais n’avait pas buté sur Butelle (45e’ +1). Moins inspiré que lors de ses précédentes sorties, mais volontaire.
TERRIER (5). – Préféré à Jérémy Blayac, l’international espoirs a évolué dans un registre différent de celui de son avant-centre. Il s’est décarcassé sur son flanc gauche. À son crédit, un bon centre dans les bras de Butelle (3e’ ), un tir à ras de terre de peu à côté (27e’ ), mais aussi un sauvetage devant Tait au point de penalty (37e’ ). Victime d’une nouvelle blessure à la cuisse, il est sorti à la 53e’ , remplacé par Dimitri Foulquier.
BAHOKEN (6). – Aligné seul en pointe, le Camerounais a traversé la première période dans l’anonymat. Sauf dans le temps additionnel où il a perdu un premier duel avec Butelle (45e’ +1), avant d’en perdre un autre devant le portier angevin qui aurait pu offrir la victoire au Racing (87e’ ). Dangereux, mais pas en réussite, il s’est effacé à la 92e’ au profit de Jérémy Blayac.
dna
En transformant un penalty qu’il avait provoqué (71e’ ), Jonas Martin a permis aux Bleus d’égaliser et de ramener un point précieux. Son 4e but de la saison, le 3e dans cet exercice, vaut son pesant de cacahuètes.
OUKIDJA (5). – Le gardien bas-rhinois ne pouvait rien sur le but de Karl Toko Ekambi, embusqué tel un renard (7e’ ). Il n’a en fait pas eu grand-chose à faire, mais s’est tout de même fendu d’une jolie parade sur son côté droit après une frappe croisée de Tait (33e’ ). Un match honnête.
GONÇALVES (7). – Le meilleur Strasbourgeois
KONÉ (5). – Toko Ekambi lui a fait passer une première période délicate. Le capitaine du Racing a même parfois souffert dans le jeu aérien, son habituel point fort. Mais son rayonnement a été bien meilleur en deuxième mi-temps quand il s’est agi de faire le ménage dans la surface alsacienne.
MARTINEZ (6). – Il était bien placé pour catapulter au fond un corner de la droite signé Lienard, mais, du bout des phalanges, Butelle lui a ôté le ballon de la tête (18e’ ). Il a même cru égaliser sur un nouveau corner du Belfortain lorsque Mangani a sorti sur sa ligne sa reprise aux six mètres. Averti à la 49e’ pour un tacle très appuyé sur Toko Ekambi, il sera suspendu à Amiens le 21 avril. Mais il peut se targuer d’un match plein, puisqu’il a aussi assuré défensivement.
SEKA (5). – Le grand Ernest a pas mal souffert en première période dans son couloir gauche. Mais il faut dire qu’il a vu débouler à tour de rôle Reine-Adelaïde et Oniangue, quand ce n’était pas Tait, et s’est souvent retrouvé à un contre deux. Il s’est bien repris ensuite. C’est même lui qui sert Martin sur le penalty égalisateur. Il aurait aussi pu être passeur décisif sans la bonne sortie de Butelle dans les pieds de Bahoken (76e’ ).
MARTIN (6). – Positionné comme deuxième récupérateur dans un schéma en 4-2-3-1, l’habituel milieu relayeur a d’abord eu du mal à se situer. Mais après le repos, il a beaucoup sollicité le ballon et tenté de remettre les Bleus en marche avant. Il a d’ailleurs tout fait sur le penalty de l’égalisation, en le provoquant, puis en le transformant pour son 4e but de la saison, le 3e dans l’exercice (71e’ ).
AHOLOU (3). – Le nouvel international ivoirien avait vécu un derby compliqué. Sa soirée en Anjou a encore été plus noire. C’est lui qui, dès la 7e’ , perd devant Tait le ballon menant à l’ouverture du score signée Toko Ekambi. Victime d’une semelle de Mangani, averti sur le coup (36e’ ), il a traîné la patte droite jusqu’à la pause alors qu’il voulait sortir dès la 39e’. Il n’a évidemment pas pu aller plus loin, remplacé au retour des vestiaires par Jérémy Grimm (6). L’Ostheimois s’est tout de suite signalé par un missile du droit que Butelle a détourné sur sa transversale (48e’ ) et a réussi une entrée convaincante.
LIENARD (4). – Le gaucher, aligné côté droit en première période dans le 4-2-3-1 concocté par son coach, s’est beaucoup battu, mais pas toujours dans le bon timing. Sa précision sur coups de pied arrêtés, les corners notamment, a néanmoins été précieuse. Il a eu le mérite de ne jamais baisser la tête, mais semble chercher son second souffle.
CORGNET (4). – Serré de près par les cerbères locaux, le meneur de jeu a peiné à se mettre dans le sens du jeu et à faire briller ses partenaires. Son ouverture millimétrée pour Bahoken aurait toutefois pu se transformer en passe décisive si l’international camerounais n’avait pas buté sur Butelle (45e’ +1). Moins inspiré que lors de ses précédentes sorties, mais volontaire.
TERRIER (5). – Préféré à Jérémy Blayac, l’international espoirs a évolué dans un registre différent de celui de son avant-centre. Il s’est décarcassé sur son flanc gauche. À son crédit, un bon centre dans les bras de Butelle (3e’ ), un tir à ras de terre de peu à côté (27e’ ), mais aussi un sauvetage devant Tait au point de penalty (37e’ ). Victime d’une nouvelle blessure à la cuisse, il est sorti à la 53e’ , remplacé par Dimitri Foulquier.
BAHOKEN (6). – Aligné seul en pointe, le Camerounais a traversé la première période dans l’anonymat. Sauf dans le temps additionnel où il a perdu un premier duel avec Butelle (45e’ +1), avant d’en perdre un autre devant le portier angevin qui aurait pu offrir la victoire au Racing (87e’ ). Dangereux, mais pas en réussite, il s’est effacé à la 92e’ au profit de Jérémy Blayac.
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Re: 32ème journée : Angers - Strasbourg
Question de caractère
Le Racing n’a pas gagné depuis sept rencontres. Mais en décrochant le point du nul à Angers, il continue d’avancer. Et prouve qu’il a du caractère, ingrédient essentiel pour espérer se maintenir.
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le Racing. Pour la troisième fois d’affilée, les Alsaciens se sont retrouvés menés au score. Et pour la troisième fois d’affilée, ils ont réussi à revenir dans une rencontre mal emmanchée.
À Toulouse, il y a quelques semaines, Blayac et les autres ont arraché le nul dans les arrêts de jeu (2-2). Face à Metz, à la Meinau, ils ont dû patienter jusqu’à la 80e minute pour égaliser, après avoir couru derrière le score durant toute la seconde période (2-2).
Et samedi soir, au stade Raymond-Kopa, l’histoire s’est répétée. Les hommes de Thierry Laurey ont encore dû puiser dans leurs ressources, tant mentales que physiques. Et ils ont réussi à raccrocher le bon wagon après l’ouverture du score initiale des Angevins (1-1).
« Plus on avançait dans le match, plus notre jeu était intéressant »
Et pourtant, c’était loin d’être évident face à une équipe adverse en grande forme ces derniers temps. « Je pensais que l’ouverture du score allait décomplexer les Angevins, exposait d’ailleurs l’entraîneur alsacien samedi soir. En début de match, j’étais inquiet, mais on a réussi à ne pas tomber dans le piège. »
En effet, le Racing n’a guère été mis en danger, ni en première, ni en deuxième mi-temps. Et au fil des minutes, il s’est même montré de plus en plus entreprenant. Sur coups de pied arrêtés d’abord, grâce à des corners bien tirés par Lienard. Et dans le jeu ensuite, lorsque Seka et Foulquier ont réussi à apporter le surnombre dans les couloirs.
« On craignait les contres du duo Tait/Toko-Ekambi, parce que quand ça part, ça va vite, racontait encore Laurey. Mais on a eu le plus souvent la balle et plus on avançait dans le match, plus notre jeu était intéressant. »
Stéphane Moulin, l’entraîneur d’Angers, ne disait pas l’inverse. « On a pioché en deuxième mi-temps, on a peu tiré au but et on n’a pas eu les occasions pour faire la différence. »
Tout le contraire d’un Racing qui est monté en puissance. Et qui aurait même pu, avec un peu de réussite, décrocher son premier succès à l’extérieur depuis le 8 décembre dernier et un déplacement à Bordeaux (0-3).
Mais à l’heure du bilan, Thierry Laurey n’oubliait pas non plus que les Strasbourgeois sont passés tout près de la correctionnelle dans le « money time », quand Toko-Ekambi s’est vu refuser un but pour un hors-jeu pas évident de son compère Fulgini (lire par ailleurs).
Une infirmerie bien remplie
« Il faudra encore gommer des petites erreurs, c’est certain », reconnaissait d’ailleurs le coach alsacien. Tout en espérant que les pépins physiques cessent de s’accumuler en cette fin de saison. Alors que Mangane, Da Costa et Lala sont toujours sur le flanc, Aholou (entorse de la cheville) et Terrier (adducteur) les ont rejoints à l’infirmerie.
Pas vraiment une bonne nouvelle à l’aube du sprint final, même si les entrants (Grimm et Foulquier) sont à créditer d’une prestation « intéressante » comme le soulignait Laurey.
« Si tu prends un point à Angers, c’est que tu as fait un bon match, les deux derniers qui sont venus ici (Guingamp et Caen, ndlr) ont pris 3-0 », rappelait le coach des Ciel et Blanc.
Et ce point risque fort de compter à la fin. Ce matin, il permet en tout cas aux Bleus d’accentuer leur avance sur la zone rouge, Troyes (18e , à cinq points) et Lille (19e , à six points) ayant perdu samedi. Pas rien, à six journées de la fin…
dna
Le Racing n’a pas gagné depuis sept rencontres. Mais en décrochant le point du nul à Angers, il continue d’avancer. Et prouve qu’il a du caractère, ingrédient essentiel pour espérer se maintenir.
Les semaines se suivent et se ressemblent pour le Racing. Pour la troisième fois d’affilée, les Alsaciens se sont retrouvés menés au score. Et pour la troisième fois d’affilée, ils ont réussi à revenir dans une rencontre mal emmanchée.
À Toulouse, il y a quelques semaines, Blayac et les autres ont arraché le nul dans les arrêts de jeu (2-2). Face à Metz, à la Meinau, ils ont dû patienter jusqu’à la 80e minute pour égaliser, après avoir couru derrière le score durant toute la seconde période (2-2).
Et samedi soir, au stade Raymond-Kopa, l’histoire s’est répétée. Les hommes de Thierry Laurey ont encore dû puiser dans leurs ressources, tant mentales que physiques. Et ils ont réussi à raccrocher le bon wagon après l’ouverture du score initiale des Angevins (1-1).
« Plus on avançait dans le match, plus notre jeu était intéressant »
Et pourtant, c’était loin d’être évident face à une équipe adverse en grande forme ces derniers temps. « Je pensais que l’ouverture du score allait décomplexer les Angevins, exposait d’ailleurs l’entraîneur alsacien samedi soir. En début de match, j’étais inquiet, mais on a réussi à ne pas tomber dans le piège. »
En effet, le Racing n’a guère été mis en danger, ni en première, ni en deuxième mi-temps. Et au fil des minutes, il s’est même montré de plus en plus entreprenant. Sur coups de pied arrêtés d’abord, grâce à des corners bien tirés par Lienard. Et dans le jeu ensuite, lorsque Seka et Foulquier ont réussi à apporter le surnombre dans les couloirs.
« On craignait les contres du duo Tait/Toko-Ekambi, parce que quand ça part, ça va vite, racontait encore Laurey. Mais on a eu le plus souvent la balle et plus on avançait dans le match, plus notre jeu était intéressant. »
Stéphane Moulin, l’entraîneur d’Angers, ne disait pas l’inverse. « On a pioché en deuxième mi-temps, on a peu tiré au but et on n’a pas eu les occasions pour faire la différence. »
Tout le contraire d’un Racing qui est monté en puissance. Et qui aurait même pu, avec un peu de réussite, décrocher son premier succès à l’extérieur depuis le 8 décembre dernier et un déplacement à Bordeaux (0-3).
Mais à l’heure du bilan, Thierry Laurey n’oubliait pas non plus que les Strasbourgeois sont passés tout près de la correctionnelle dans le « money time », quand Toko-Ekambi s’est vu refuser un but pour un hors-jeu pas évident de son compère Fulgini (lire par ailleurs).
Une infirmerie bien remplie
« Il faudra encore gommer des petites erreurs, c’est certain », reconnaissait d’ailleurs le coach alsacien. Tout en espérant que les pépins physiques cessent de s’accumuler en cette fin de saison. Alors que Mangane, Da Costa et Lala sont toujours sur le flanc, Aholou (entorse de la cheville) et Terrier (adducteur) les ont rejoints à l’infirmerie.
Pas vraiment une bonne nouvelle à l’aube du sprint final, même si les entrants (Grimm et Foulquier) sont à créditer d’une prestation « intéressante » comme le soulignait Laurey.
« Si tu prends un point à Angers, c’est que tu as fait un bon match, les deux derniers qui sont venus ici (Guingamp et Caen, ndlr) ont pris 3-0 », rappelait le coach des Ciel et Blanc.
Et ce point risque fort de compter à la fin. Ce matin, il permet en tout cas aux Bleus d’accentuer leur avance sur la zone rouge, Troyes (18e , à cinq points) et Lille (19e , à six points) ayant perdu samedi. Pas rien, à six journées de la fin…
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