22ème journée: Strasbourg - Dijon
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22ème journée: Strasbourg - Dijon
Racing-Dijon FCO le samedi 20 janvier à 20h00 La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 22e journée de Ligue 1 Conforama.
La rencontre entre le Racing et le Dijon FCO se déroulera le samedi 20 janvier à 20h00 à la Meinau. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS. Après la Coupe de France le 7 janvier, ce sera la seconde fois en deux semaines que les Strasbourgeois accueilleront l’équipe dirigée par Olivier Dall’Oglio
SO
La rencontre entre le Racing et le Dijon FCO se déroulera le samedi 20 janvier à 20h00 à la Meinau. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS. Après la Coupe de France le 7 janvier, ce sera la seconde fois en deux semaines que les Strasbourgeois accueilleront l’équipe dirigée par Olivier Dall’Oglio
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
« Je dois beaucoup au Racing »
Olivier Cloarec, le secrétaire général de Dijon, revient à la Meinau pour la deuxième fois en deux semaines. Il a débuté sa carrière au sein du Racing qui lui « a tout appris ou presque ».
Le rendez-vous téléphonique était calé depuis quelques jours. Olivier Cloarec l’a honoré hier matin, sans se dérober. Pourtant, le secrétaire général de Dijon, qui a découvert le monde du football au Racing durant six ans et demi, entre la fin de ses études en 1998 (un DESS de marketing du sport obtenu à l’université Marc Bloch de Strasbourg) et son retour dans sa Bretagne natale, à Brest, en 2004, avait encore mal aux cheveux et à la tête.
« Le match de la semaine a lieu à la Meinau »
La veille, la formation dijonnaise entraînée par un autre ex-Strasbourgeois, Olivier Dall’Oglio, a en effet reçu une monumentale claque au Parc des Princes (8-0). Le PSG y a signé la plus large victoire à domicile de son histoire face à des Dijonnais à l’envers.
Rentré au bercail à 2h30, Olivier Cloarec a passé une courte nuit. « Je mentirais si je disais que j’ai bien dormi. En 19 ans dans le foot, je n’avais jamais pris 8-0. C’est malheureux, mais c’est logique. Paris a évolué sur sa valeur et nous, très en deçà de la nôtre. Ç’aurait même pu être pire parce que le PSG a joué jusqu’au bout, sans relâcher la pression. On en a vraiment pris une bonne. »
Mercredi après-midi, le dirigeant bourguignon avait évoqué dans un texto ce voyage au Parc comme « un match de gala », avant d’ajouter : « Pour nous, le match de la semaine a lieu samedi à la Meinau ». C’est aujourd’hui d’autant plus vrai que ledit match de gala a viré au cauchemar.
Encore assommé par le coup de massue asséné par les “galactiques” parisiens, Olivier Cloarec apprécie finalement d’ouvrir la boîte aux souvenirs strasbourgeois. Le natif de Concarneau, qui fêtera ses 45 ans le 4 mars, avoue – « avec sincérité », appuie-t-il – « avoir tissé un lien particulier avec cette belle région qu’est l’Alsace et les Alsaciens. Treize ans après mon départ, j’ai toujours des amis à Strasbourg, Colmar et Schoenau. J’étais vraiment heureux, il y a quinze jours en Coupe de France et malgré notre élimination (3-2 a-p), de revenir à la Meinau pour la deuxième fois seulement (*). J’ai été très content de revoir Marc (Keller) , François (Keller) , Guy (Feigenbrugel , le “tea m manager”) , Jean-Luc (Filser, le speaker) ou Sébastien (Renouf, ancien salarié aujourd’hui prestataire de services). »
« Strasbourg a toute sa place en Ligue 1 »
L’occasion de rembobiner avec eux le fil du temps et de dérouler les bons moments vécus à Strasbourg. « À la fin de mes études, je devais faire un stage de six mois. J’ai été pris au Racing. Puis en septembre, je suis reparti en Bretagne. Mais on m’a rappelé deux mois après et je suis revenu, d’abord en CDD, puis en CDI. J’ai travaillé à la boutique, avant qu’on me confie successivement la responsabilité de la billetterie, de la communication et du marketing. Si j’en suis là aujourd’hui, je le dois beaucoup au Racing où j’ai tout appris ou presque. C’est un super club, à tous points de vue. Je ne pouvais pas rêver mieux pour débuter. »
Depuis son départ de Strasbourg, Olivier Cloarec a pas mal bourlingué. Beaucoup en Bretagne, au Stade brestois en deux périodes, à Vannes et Lorient. À Dijon aussi, également en deux temps (2013-2014, puis depuis 2015).
Après un intermède d’une saison chez les Merlus, il est revenu en Bourgogne pour y retrouver un DFCO dirigé par « de bonnes personnes » et dont « les valeurs humaines sont sans équivalent dans les quatre autres clubs où j’ai travaillé, du moins à l’époque où j’y étais ».
Y compris au Racing à qui il souhaite le meilleur, même si Strasbourg et Dijon sont en concurrence frontale pour le maintien.
« Je suis très content de son retour en Ligue 1. Il y a toute sa place, évidemment. Quand je vois les supporters dans le mur bleu derrière le but et comment ils répondent au speaker (d’un « de rien » quand Jean-Luc Filser leur dit « Merci ») , c’est magnifique. La Meinau est portée par une ferveur populaire que tu ne retrouves que très peu en France, excepté peut-être à Lens, Saint-Etienne et Marseille. »
Il espère seulement, après la déroute d’avant-hier à Paris, que le DFCO ne lui donnera pas demain (20h) une nouvelle occasion de s’enflammer.
(*) La première, c’était avec Vannes, dont il était le directeur général, en L2 le 19 septembre 2008 (2-1 pour le Racing).
dna
Olivier Cloarec, le secrétaire général de Dijon, revient à la Meinau pour la deuxième fois en deux semaines. Il a débuté sa carrière au sein du Racing qui lui « a tout appris ou presque ».
Le rendez-vous téléphonique était calé depuis quelques jours. Olivier Cloarec l’a honoré hier matin, sans se dérober. Pourtant, le secrétaire général de Dijon, qui a découvert le monde du football au Racing durant six ans et demi, entre la fin de ses études en 1998 (un DESS de marketing du sport obtenu à l’université Marc Bloch de Strasbourg) et son retour dans sa Bretagne natale, à Brest, en 2004, avait encore mal aux cheveux et à la tête.
« Le match de la semaine a lieu à la Meinau »
La veille, la formation dijonnaise entraînée par un autre ex-Strasbourgeois, Olivier Dall’Oglio, a en effet reçu une monumentale claque au Parc des Princes (8-0). Le PSG y a signé la plus large victoire à domicile de son histoire face à des Dijonnais à l’envers.
Rentré au bercail à 2h30, Olivier Cloarec a passé une courte nuit. « Je mentirais si je disais que j’ai bien dormi. En 19 ans dans le foot, je n’avais jamais pris 8-0. C’est malheureux, mais c’est logique. Paris a évolué sur sa valeur et nous, très en deçà de la nôtre. Ç’aurait même pu être pire parce que le PSG a joué jusqu’au bout, sans relâcher la pression. On en a vraiment pris une bonne. »
Mercredi après-midi, le dirigeant bourguignon avait évoqué dans un texto ce voyage au Parc comme « un match de gala », avant d’ajouter : « Pour nous, le match de la semaine a lieu samedi à la Meinau ». C’est aujourd’hui d’autant plus vrai que ledit match de gala a viré au cauchemar.
Encore assommé par le coup de massue asséné par les “galactiques” parisiens, Olivier Cloarec apprécie finalement d’ouvrir la boîte aux souvenirs strasbourgeois. Le natif de Concarneau, qui fêtera ses 45 ans le 4 mars, avoue – « avec sincérité », appuie-t-il – « avoir tissé un lien particulier avec cette belle région qu’est l’Alsace et les Alsaciens. Treize ans après mon départ, j’ai toujours des amis à Strasbourg, Colmar et Schoenau. J’étais vraiment heureux, il y a quinze jours en Coupe de France et malgré notre élimination (3-2 a-p), de revenir à la Meinau pour la deuxième fois seulement (*). J’ai été très content de revoir Marc (Keller) , François (Keller) , Guy (Feigenbrugel , le “tea m manager”) , Jean-Luc (Filser, le speaker) ou Sébastien (Renouf, ancien salarié aujourd’hui prestataire de services). »
« Strasbourg a toute sa place en Ligue 1 »
L’occasion de rembobiner avec eux le fil du temps et de dérouler les bons moments vécus à Strasbourg. « À la fin de mes études, je devais faire un stage de six mois. J’ai été pris au Racing. Puis en septembre, je suis reparti en Bretagne. Mais on m’a rappelé deux mois après et je suis revenu, d’abord en CDD, puis en CDI. J’ai travaillé à la boutique, avant qu’on me confie successivement la responsabilité de la billetterie, de la communication et du marketing. Si j’en suis là aujourd’hui, je le dois beaucoup au Racing où j’ai tout appris ou presque. C’est un super club, à tous points de vue. Je ne pouvais pas rêver mieux pour débuter. »
Depuis son départ de Strasbourg, Olivier Cloarec a pas mal bourlingué. Beaucoup en Bretagne, au Stade brestois en deux périodes, à Vannes et Lorient. À Dijon aussi, également en deux temps (2013-2014, puis depuis 2015).
Après un intermède d’une saison chez les Merlus, il est revenu en Bourgogne pour y retrouver un DFCO dirigé par « de bonnes personnes » et dont « les valeurs humaines sont sans équivalent dans les quatre autres clubs où j’ai travaillé, du moins à l’époque où j’y étais ».
Y compris au Racing à qui il souhaite le meilleur, même si Strasbourg et Dijon sont en concurrence frontale pour le maintien.
« Je suis très content de son retour en Ligue 1. Il y a toute sa place, évidemment. Quand je vois les supporters dans le mur bleu derrière le but et comment ils répondent au speaker (d’un « de rien » quand Jean-Luc Filser leur dit « Merci ») , c’est magnifique. La Meinau est portée par une ferveur populaire que tu ne retrouves que très peu en France, excepté peut-être à Lens, Saint-Etienne et Marseille. »
Il espère seulement, après la déroute d’avant-hier à Paris, que le DFCO ne lui donnera pas demain (20h) une nouvelle occasion de s’enflammer.
(*) La première, c’était avec Vannes, dont il était le directeur général, en L2 le 19 septembre 2008 (2-1 pour le Racing).
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Quatre retours contre Dijon
Dimitri Lienard, Kader Mangane, Bingourou Kamara, absents sur blessure mardi à Marseille, et Jérémy Blayac, 19e au Vélodrome, reviennent dans le groupe strasbourgeois qui accueille Dijon demain (20h) à la Meinau pour la 22e journée de Ligue 1. Ihsan Sacko, Idriss Saadi et Yoann Salmier n’ont pas été retenus. Landry Bonnefoi gardera les buts du RCSA.
A chaque fois que l’infirmerie se vide, Thierry Laurey a l’embarras du choix. Cet après-midi, à l’issue de la séance de veille de match, l’entraîneur d’un Racing qui reste sur trois défaites en Ligue 1 (3-0 à Metz, 0-2 contre Guingamp et 2-0 à Marseille), a tranché. Il a réintégré dans son groupe de 18 appelé à affronter Dijon demain (20h) à la Meinau (22e journée) quatre Bleus qui n’avaient pas joué au Vélodrome : son vice-capitaine Jérémy Blayac, qui y était 19e, son capitaine Kader Mangane (entorse de la cheville), son milieu gauche Dimitri Lienard (mollet) et son gardien titulaire Bingourou Kamara (absent depuis le 2 décembre pour une tendinite du genou droit).
Difficile de dire, alors que les rencontres s’enchaînent tous les trois ou quatre jours, lesquels seront titulaires face à des Dijonnais étrillés à Paris mercredi (8-0). Seule certitude : Landry Bonnefoi, l’habituel n°3 dans la hiérarchie des portiers qui, au Vélodrome, a remplacé à la 89e le n°2 Alexandre Oukidja, victime d’une entorse au genou gauche, gardera bien la cage alsacienne, Kamara étant jugé un peu court.
Absent ces deux dernières rencontres pour une douleur au mollet, Dimitri Lienard, volontairement dispensé du déplacement sur la Canebière pour ne prendre aucun risque, devrait, lui, retrouver son poste de piston gauche au milieu de terrain. Sa patte gauche et son abattage défensif ont en effet beaucoup manqué au RCSA contre Guingamp et à Marseille.
Ces quatre retours entraînent évidemment la sortie d’autant de joueurs. Alex Oukidja est à l’arrêt pour deux à trois semaines. L’entraîneur bas-rhinois a par ailleurs choisi de ne pas convoquer Ihsan Sacko, Idriss Saadi et Yoann Salmier.
Le meneur de jeu Benjamin Corgnet, qui a lui aussi participé à l’entraînement de cet après-midi, n’est pas encore prêt après son opération d’une tendinite au genou fin novembre.
Le groupe : Bonnefoi, Kamara – Foulquier, Koné, Martinez, Mangane, Lala, Seka, Gonçalves, Aholou, Grimm, Martin, Lienard, Nogueira, Blayac, Bahoken, Da Costa, Terrier.
Absents : Oukidja (genou), Ndour, Corgnet (reprise), Tchamba (bassin), Aaneba (suspendu), Sacko, Saadi, Salmier, Caci, Zohi, Othon (choix de l’entraîneur).
dna
Dimitri Lienard, Kader Mangane, Bingourou Kamara, absents sur blessure mardi à Marseille, et Jérémy Blayac, 19e au Vélodrome, reviennent dans le groupe strasbourgeois qui accueille Dijon demain (20h) à la Meinau pour la 22e journée de Ligue 1. Ihsan Sacko, Idriss Saadi et Yoann Salmier n’ont pas été retenus. Landry Bonnefoi gardera les buts du RCSA.
A chaque fois que l’infirmerie se vide, Thierry Laurey a l’embarras du choix. Cet après-midi, à l’issue de la séance de veille de match, l’entraîneur d’un Racing qui reste sur trois défaites en Ligue 1 (3-0 à Metz, 0-2 contre Guingamp et 2-0 à Marseille), a tranché. Il a réintégré dans son groupe de 18 appelé à affronter Dijon demain (20h) à la Meinau (22e journée) quatre Bleus qui n’avaient pas joué au Vélodrome : son vice-capitaine Jérémy Blayac, qui y était 19e, son capitaine Kader Mangane (entorse de la cheville), son milieu gauche Dimitri Lienard (mollet) et son gardien titulaire Bingourou Kamara (absent depuis le 2 décembre pour une tendinite du genou droit).
Difficile de dire, alors que les rencontres s’enchaînent tous les trois ou quatre jours, lesquels seront titulaires face à des Dijonnais étrillés à Paris mercredi (8-0). Seule certitude : Landry Bonnefoi, l’habituel n°3 dans la hiérarchie des portiers qui, au Vélodrome, a remplacé à la 89e le n°2 Alexandre Oukidja, victime d’une entorse au genou gauche, gardera bien la cage alsacienne, Kamara étant jugé un peu court.
Absent ces deux dernières rencontres pour une douleur au mollet, Dimitri Lienard, volontairement dispensé du déplacement sur la Canebière pour ne prendre aucun risque, devrait, lui, retrouver son poste de piston gauche au milieu de terrain. Sa patte gauche et son abattage défensif ont en effet beaucoup manqué au RCSA contre Guingamp et à Marseille.
Ces quatre retours entraînent évidemment la sortie d’autant de joueurs. Alex Oukidja est à l’arrêt pour deux à trois semaines. L’entraîneur bas-rhinois a par ailleurs choisi de ne pas convoquer Ihsan Sacko, Idriss Saadi et Yoann Salmier.
Le meneur de jeu Benjamin Corgnet, qui a lui aussi participé à l’entraînement de cet après-midi, n’est pas encore prêt après son opération d’une tendinite au genou fin novembre.
Le groupe : Bonnefoi, Kamara – Foulquier, Koné, Martinez, Mangane, Lala, Seka, Gonçalves, Aholou, Grimm, Martin, Lienard, Nogueira, Blayac, Bahoken, Da Costa, Terrier.
Absents : Oukidja (genou), Ndour, Corgnet (reprise), Tchamba (bassin), Aaneba (suspendu), Sacko, Saadi, Salmier, Caci, Zohi, Othon (choix de l’entraîneur).
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
La fin de l’innocence
Sur une série de trois défaites, le Racing se doit de relever la tête, ce soir, à la Meinau, face à Dijon, un adversaire qu’il a croisé trois fois depuis juillet mais qui navigue dans les mêmes eaux que lui.
Depuis cinq semaines avec son ballon, le Racing n’a vécu qu’une accalmie dans son calendrier, bien agitée au demeurant, une qualification en Coupe de France, il y a deux semaines. Sa présence en 16e de finale donnera lieu à une intense page lilloise avec un match à la Meinau pour le compte de l’épreuve à élimination directe, jeudi, suivi d’un retour au championnat au stade Pierre-Mauroy, dans huit jours.
En regardant dans le rétroviseur, la venue de… Dijon, aujourd’hui, peut constituer une source d’espoir. Encore qu’il ne s’agit pas non plus d’y trouver un miroir déformant. Pour son premier match de l’année 2018, Mangane, Lienard et les autres avaient pris le meilleur sur les Bourguignons à la faveur de la prolongation (3-2). Il n’y en aura pas ce soir. Dans le même cas, la bande à Laurey devrait se contenter d’un nul, un petit point en accueillant un adversaire qui filoche dans la seconde partie du classement. Dijon n’a gratté qu’un point sur la lanterne rouge sur ses trois dernières sorties de Ligue 1 et vient de se prendre une déculottée au Parc (8-0, cela n’arrive pas tous les quatre jeudis!).
Il n’y aurait pas de quoi sabrer le champagne, c’est sûr. Les Strasbourgeois n’auraient pas craché sur un ou deux petits nuls depuis un mois en championnat. En étant autant en rade à Metz (3-0), à Marseille (2-0) ou en recevant Guingamp (0-2) que Sébastien Loeb au Paris-Dakar, ils ont fait grandir un sentiment d’urgence.
« Il faut qu’on enraye la série »
« On va tout faire pour l’emporter, a martelé Thierry Laurey un peu plus obsédé par le résultat à venir que d’habitude. On a besoin de prendre les points, il faut qu’on enraye la série. Il va falloir se réveiller. Le seul point positif en ce moment, c’est que la situation ne s’est pas vraiment détériorée. » Avec sa série de trois défaites, le Racing n’a perdu que trois places.
Ses poursuivants ne seront néanmoins pas toujours à l’arrêt et il serait assurément judicieux de prendre – enfin – le meilleur face à un adversaire face auquel il a arraché le nul, à l’aller (1-1), et a achevé sa préparation d’été sur un… nul, à Gaston-Gérard (0-0).
L’entraîneur l’espère sans nier qu’il s’attend à un match acharné. « On présente deux équipes assez similaires dans le jeu, considère Laurey. Dijon marque pas mal et prend des buts, a un côté joueur mais aussi un état d’esprit. Il faut s’attendre à un match équilibré. »
Comme un virage dangereux
Il intervient alors qu’apparaît, au-dessus du Racing, un impératif de résultat, dans un calendrier intense. Au cœur de sa série de six matches en 22 jours, à l’entame d’un programme où il est question de « trouver des solutions après avoir cherché les problèmes », pour reprendre l’expression utilisée par l’entraîneur strasbourgeois après l’échec face à Guingamp.
Dans les semaines à venir, le Racing accueillera le 13e , Bordeaux, un gros en crise, le 18e , Troyes, un promu dans le dur, pour rendre visite, dans l’intervalle, au 17e , le LOSC donc, un autre gros en crise. À chaque fois, il y aura la possibilité d’enfoncer un mal loti… ou de se faire enfoncer…
Si ce proche avenir ne constitue pas le dernier tournant de la saison, il vaut sans doute mieux l’envisager en ayant évité, au préalable, l’embardée. Sur un terrain glissant de saison, le Racing est invité à se redresser. Au regard de la contrariante période qu’il cherche à solder, il s’agit d’enjoliver sa comptabilité pour faire face à ses responsabilités et s’inscrire durablement dans la cour des grands.
dna
Sur une série de trois défaites, le Racing se doit de relever la tête, ce soir, à la Meinau, face à Dijon, un adversaire qu’il a croisé trois fois depuis juillet mais qui navigue dans les mêmes eaux que lui.
Depuis cinq semaines avec son ballon, le Racing n’a vécu qu’une accalmie dans son calendrier, bien agitée au demeurant, une qualification en Coupe de France, il y a deux semaines. Sa présence en 16e de finale donnera lieu à une intense page lilloise avec un match à la Meinau pour le compte de l’épreuve à élimination directe, jeudi, suivi d’un retour au championnat au stade Pierre-Mauroy, dans huit jours.
En regardant dans le rétroviseur, la venue de… Dijon, aujourd’hui, peut constituer une source d’espoir. Encore qu’il ne s’agit pas non plus d’y trouver un miroir déformant. Pour son premier match de l’année 2018, Mangane, Lienard et les autres avaient pris le meilleur sur les Bourguignons à la faveur de la prolongation (3-2). Il n’y en aura pas ce soir. Dans le même cas, la bande à Laurey devrait se contenter d’un nul, un petit point en accueillant un adversaire qui filoche dans la seconde partie du classement. Dijon n’a gratté qu’un point sur la lanterne rouge sur ses trois dernières sorties de Ligue 1 et vient de se prendre une déculottée au Parc (8-0, cela n’arrive pas tous les quatre jeudis!).
Il n’y aurait pas de quoi sabrer le champagne, c’est sûr. Les Strasbourgeois n’auraient pas craché sur un ou deux petits nuls depuis un mois en championnat. En étant autant en rade à Metz (3-0), à Marseille (2-0) ou en recevant Guingamp (0-2) que Sébastien Loeb au Paris-Dakar, ils ont fait grandir un sentiment d’urgence.
« Il faut qu’on enraye la série »
« On va tout faire pour l’emporter, a martelé Thierry Laurey un peu plus obsédé par le résultat à venir que d’habitude. On a besoin de prendre les points, il faut qu’on enraye la série. Il va falloir se réveiller. Le seul point positif en ce moment, c’est que la situation ne s’est pas vraiment détériorée. » Avec sa série de trois défaites, le Racing n’a perdu que trois places.
Ses poursuivants ne seront néanmoins pas toujours à l’arrêt et il serait assurément judicieux de prendre – enfin – le meilleur face à un adversaire face auquel il a arraché le nul, à l’aller (1-1), et a achevé sa préparation d’été sur un… nul, à Gaston-Gérard (0-0).
L’entraîneur l’espère sans nier qu’il s’attend à un match acharné. « On présente deux équipes assez similaires dans le jeu, considère Laurey. Dijon marque pas mal et prend des buts, a un côté joueur mais aussi un état d’esprit. Il faut s’attendre à un match équilibré. »
Comme un virage dangereux
Il intervient alors qu’apparaît, au-dessus du Racing, un impératif de résultat, dans un calendrier intense. Au cœur de sa série de six matches en 22 jours, à l’entame d’un programme où il est question de « trouver des solutions après avoir cherché les problèmes », pour reprendre l’expression utilisée par l’entraîneur strasbourgeois après l’échec face à Guingamp.
Dans les semaines à venir, le Racing accueillera le 13e , Bordeaux, un gros en crise, le 18e , Troyes, un promu dans le dur, pour rendre visite, dans l’intervalle, au 17e , le LOSC donc, un autre gros en crise. À chaque fois, il y aura la possibilité d’enfoncer un mal loti… ou de se faire enfoncer…
Si ce proche avenir ne constitue pas le dernier tournant de la saison, il vaut sans doute mieux l’envisager en ayant évité, au préalable, l’embardée. Sur un terrain glissant de saison, le Racing est invité à se redresser. Au regard de la contrariante période qu’il cherche à solder, il s’agit d’enjoliver sa comptabilité pour faire face à ses responsabilités et s’inscrire durablement dans la cour des grands.
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Dijon aura-t-il digéré ?
Tombé du grand huit mercredi à Paris, Dijon veut tourner la page et rebondir à la Meinau. Plus facile à dire qu’à faire pour une équipe dans le dur hors de ses bases.
L’énorme claque du Parc il y a trois jours (8-0) aura-t-elle laissé des traces ? Elle a en tout cas, à chaud, rougi les joues et les fesses – car c’est tout de même une “drôle” de fessée – de Dijonnais qui avaient souvent bu la tasse à l’extérieur cette saison, mais se sont cette fois noyés.
Depuis leur retour en Ligue 1 en 2016, les hommes d’Olivier Dall’Oglio n’ont carrément remporté que de deux de leurs 29 déplacements (9 nuls, 18 revers). Ils restent sur six échecs en voyage, dont une élimination en 32es de Coupe de France à… la Meinau le 7 janvier (3-2 a.p.).
« À Paris, ç’a été long »
Ce DFCO 2017-2018 est à double face : visage séduisant dans son stade (4e à domicile) et mine défaite hors de Gaston-Gérard (19e avec Toulouse, 1 succès et 7 revers en 10 matches). Dans leur antre, les Bourguignons filent à toute allure, même si samedi dernier, l’égalisation de Metz à la 89e les a privés d’un sixième triomphe domestique de rang.
« C’est dur d’expliquer le contraste très marqué entre nos performances à domicile et à l’extérieur, réfléchit leur secrétaire général Olivier Cloarec, passé par le Racing entre 1998 et 2004. Mais les joueurs et le staff travaillent pour inverser la tendance. Nous aurons peut-être un début de réponse à la Meinau où l’occasion nous est donnée de montrer un autre visage. »
Encore faudra-t-il que les Dijonnais aient retrouvé le droit chemin après leur embardée au Parc. Le dirigeant veut le croire: « 8-0, c’est le record du PSG à domicile. On se serait passé d’entrer ainsi dans l’histoire. Après une telle rouste, soit tu es abattu, soit tu t’en sers pour rebondir. Nous n’avons pas d’autre choix que de rebondir. »
Le quatrième acte de la saison entre les deux clubs
L’homme à tout faire du DFCO s’appuie sur le passé récent pour afficher un optimisme raisonné. « Je connais assez les composantes du club – staff, président, joueurs, secteur administratif – pour savoir qu’on va tout faire pour rebondir. Dijon est un club stable. L’an passé, pour sa deuxième saison en L1 (après 2011-2012) , il a arraché le maintien à l’ultime journée. De fin janvier à mi-avril, il a pourtant perdu sept de ses dix matches. Mais en interne, il n’y a pas eu de séisme. Ici, tout le monde est préparé à lutter jusqu’à la 38e journée. La claque de Paris ne nous fera pas partir dans tous les sens. Je reste confiant. »
Olivier Cloarec ne nie cependant pas que le match de mercredi a été interminable pour la nouvelle pire défense de L1 (42 buts encaissés, pile deux par match). « Avec ce but précoce de Di Maria, ça promettait d’être long. Ça l’a été. Mais il ne faut pas se tromper d’objectif. Comme pour le Racing, notre maintien se jouera contre les équipes de notre calibre. Paris, lui, est hors catégorie. »
Les trois premières confrontations de la saison entre Dijon et le Racing ont été serrées. Le Breton suggère que la quatrième pourrait l’être aussi.
« Il y a plein de similitudes entre les deux clubs, dans leur manière de travailler, et leurs équipes qui proposent du jeu, mais font preuve de fébrilité à l’extérieur. Le Racing développe un football très cohérent et est performant chez lui. Strasbourg et Dijon sont à leur place au classement (12e et 11e avant le 22e acte). Mais la L1 est un marathon avec douze à quatorze équipes concernées par le maintien. Et dans un marathon, ce qu’il faut, c’est durer. »
Dijon est programmé pour ça.
(*) 0-0 en amical le 29 juillet et 1-1 le 30 septembre en L1 à Dijon, plus la Coupe à la Meinau.
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Tombé du grand huit mercredi à Paris, Dijon veut tourner la page et rebondir à la Meinau. Plus facile à dire qu’à faire pour une équipe dans le dur hors de ses bases.
L’énorme claque du Parc il y a trois jours (8-0) aura-t-elle laissé des traces ? Elle a en tout cas, à chaud, rougi les joues et les fesses – car c’est tout de même une “drôle” de fessée – de Dijonnais qui avaient souvent bu la tasse à l’extérieur cette saison, mais se sont cette fois noyés.
Depuis leur retour en Ligue 1 en 2016, les hommes d’Olivier Dall’Oglio n’ont carrément remporté que de deux de leurs 29 déplacements (9 nuls, 18 revers). Ils restent sur six échecs en voyage, dont une élimination en 32es de Coupe de France à… la Meinau le 7 janvier (3-2 a.p.).
« À Paris, ç’a été long »
Ce DFCO 2017-2018 est à double face : visage séduisant dans son stade (4e à domicile) et mine défaite hors de Gaston-Gérard (19e avec Toulouse, 1 succès et 7 revers en 10 matches). Dans leur antre, les Bourguignons filent à toute allure, même si samedi dernier, l’égalisation de Metz à la 89e les a privés d’un sixième triomphe domestique de rang.
« C’est dur d’expliquer le contraste très marqué entre nos performances à domicile et à l’extérieur, réfléchit leur secrétaire général Olivier Cloarec, passé par le Racing entre 1998 et 2004. Mais les joueurs et le staff travaillent pour inverser la tendance. Nous aurons peut-être un début de réponse à la Meinau où l’occasion nous est donnée de montrer un autre visage. »
Encore faudra-t-il que les Dijonnais aient retrouvé le droit chemin après leur embardée au Parc. Le dirigeant veut le croire: « 8-0, c’est le record du PSG à domicile. On se serait passé d’entrer ainsi dans l’histoire. Après une telle rouste, soit tu es abattu, soit tu t’en sers pour rebondir. Nous n’avons pas d’autre choix que de rebondir. »
Le quatrième acte de la saison entre les deux clubs
L’homme à tout faire du DFCO s’appuie sur le passé récent pour afficher un optimisme raisonné. « Je connais assez les composantes du club – staff, président, joueurs, secteur administratif – pour savoir qu’on va tout faire pour rebondir. Dijon est un club stable. L’an passé, pour sa deuxième saison en L1 (après 2011-2012) , il a arraché le maintien à l’ultime journée. De fin janvier à mi-avril, il a pourtant perdu sept de ses dix matches. Mais en interne, il n’y a pas eu de séisme. Ici, tout le monde est préparé à lutter jusqu’à la 38e journée. La claque de Paris ne nous fera pas partir dans tous les sens. Je reste confiant. »
Olivier Cloarec ne nie cependant pas que le match de mercredi a été interminable pour la nouvelle pire défense de L1 (42 buts encaissés, pile deux par match). « Avec ce but précoce de Di Maria, ça promettait d’être long. Ça l’a été. Mais il ne faut pas se tromper d’objectif. Comme pour le Racing, notre maintien se jouera contre les équipes de notre calibre. Paris, lui, est hors catégorie. »
Les trois premières confrontations de la saison entre Dijon et le Racing ont été serrées. Le Breton suggère que la quatrième pourrait l’être aussi.
« Il y a plein de similitudes entre les deux clubs, dans leur manière de travailler, et leurs équipes qui proposent du jeu, mais font preuve de fébrilité à l’extérieur. Le Racing développe un football très cohérent et est performant chez lui. Strasbourg et Dijon sont à leur place au classement (12e et 11e avant le 22e acte). Mais la L1 est un marathon avec douze à quatorze équipes concernées par le maintien. Et dans un marathon, ce qu’il faut, c’est durer. »
Dijon est programmé pour ça.
(*) 0-0 en amical le 29 juillet et 1-1 le 30 septembre en L1 à Dijon, plus la Coupe à la Meinau.
dna
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Confiance en Bonnefoi
C’est une certitude: il y aura du changement ce soir dans les deux équipes de départ composées par les coaches Thierry Laurey et Olivier Dall’Oglio, ex-défenseur du Racing de 1989 à 1992.Mais comme l’un et l’autre se plaisent à entretenir le mystère, il faudra attendre pour connaître l’ampleur de ce turnover pour partie souhaité et pour partie contraint.
Au Racing, Thierry Laurey réintègre son vice-capitaine Jérémy Blayac, 19e mardi à Marseille, et trois ex-blessés, le capitaine Kader Mangane, le gardien Bingourou Kamara, éloigné des terrains depuis le 2 décembre à cause d’une tendinite au genou, et Dimitri Lienard, absent contre Guingamp et à l’OM. Seul ce dernier semble assuré de retrouver le onze de départ tant sa patte gauche et son apport défensif ont fait défaut.
L’entraîneur du Racing a tout de même confirmé une tendance : le gardien n°3 Landry Bonnefoi, qui avait remplacé à la 89e au Vélodrome le n°2 Alexandre Oukidja, victime d’une entorse du genou, gardera la cage alsacienne. Le technicien a jugé son n°1 au poste, un peu juste. Il pourrait le relancer jeudi contre Lille à la Meinau en 16es de finale de Coupe de France.
Attendra-t-il la Coupe pour en faire de même avec Mangane, son ‘’suppléant’’, Pablo Martinez, s’étant montré à la hauteur à Marseille ? Pas impossible. Le futur Lyonnais Martin Terrier, entré face à l’OM, devrait lui aussi débuter.
À Dijon, Olivier Dall’Oglio est confronté à une pénurie en défense centrale, au point de songer à y aligner son latéral gauche Oussama Haddadi. Papi Djilobodji, suspendu, et Cédric Varrault, blessé, manquent à l’appel.
Remplaçants – comme Haddadi – à Paris, Frédéric Sammaritano, Naïm Sliti et Julio Tavares sont attendus d’entrée. Tout comme Florent Balmont, peu utilisé jusqu’ici (13 matches de L1, dont 3 titularisations), mais chargé ce soir de muscler l’entrejeu et le jeu de son équipe.
dna
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Bonsoir à tous et bienvenue en direct du Stade de la Meinau pour suivre en direct et en intégralité cette rencontre de la 22e journée de Ligue 1 entre le Racing Club de Strasbourg Alsace et le Dijon Football Côte-d'Or !
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Immédiatement, un petit mot sur les conditions de jeu ce soir, qui ne s'annoncent pas folichonnes du tout, mais alors pas du tout. Les deux équipes sont certes à l'échauffement, mais la pelouse gorgée d'eau ne semble guère se prêter à une partie de football. L'arbitre Antony Gautier a effectué une première inspection du terrain en arrivant et a décrété que c'était jouable. Le même homme est actuellement à l'échauffement lui aussi et n'apparaît pas, pour l'heure, prêt à changer d'avis.
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Dans ces conditions, agissons donc comme s'il y aura bien un match tout à l'heure à 20h, quand bien même une fine pluie continue de tomber sur la pelouse strasbourgeoise...
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Racing Strasbourg : 1. Landry Bonnefoi (g) – 22. Ernest Seka, 12. Kader Mangane (cap), 4. Pablo Martinez, 27. Kenny Lala – 17. Anthony Gonçalves, 8. Jean-Eudes Aholou, 11. Dimitri Lienard – 28. Jonas Martin – 13. Jérémy Blayac, 20 Martin Terrier.
Remplaçants : 30. Bingourou Kamara (g), 29. Nuno Da Costa, 26. Bakary Koné, 5. Vincent Nogueira, 6. Jérémy Grimm, 2. Dimitri Foulquier, 19. Stéphane Bahoken. Entraîneur : Thierry Laurey.
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Dijon FCO : 30. Baptiste Reynet (g) – 26. Fouad Chafik, 18. Cédric Yambéré, 5. Oussama Haddadi, 19. Valentin Rosier – 15. Florent Balmont, 8. Mehdi Abeid, 28. Xeka – 7. Frédéric Sammaritano, 11. Julio Tavares, 10. Naïm Sliti.
Remplaçants : 1. Benjamin Leroy (g), 22. Changhoon Kwon, 6. Wesley Lautoa, 3. Arnold Bouka Moutou, 14. Jordan Marié, 9. Wesley Saïd, 29. Benjamin Jeannot. Entraîneur : Olivier Dall’Oglio.
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Comme à son habitude, le coach du Racing Thierry Laurey a fait quelques choix auxquels on ne s'attendait pas. Si Dimitri Lienard retrouve comme prévu une place de titulaire après sa blessure au mollet, les défenseurs Dimitri Foulquier et Bakary Koné sont remplaçants ce soir, suppléés par Ernest Seka et le capitaine Kader Mangane. L'attaquant Jérémy Blayac est lui aussi présent dans le onze de départ, au côté de Martin Terrier, que l'on a vu entrer en fin de match à Marseille mardi.
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Côté dijonnais, le onze proposée par Olivier Dall'Oglio, ancien défenseur du Racing, ne comporte en revanche aucune surprise, Julie Tavares étant chargé de porter le danger devant le but de Landry Bonnefoi, titulaire dans les cages strasbourgeoises ce soir, aux côtés de Naïm Sliti et Frédéric Sammaritano.
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Les deux équipes ont désormais regagné les vestiaires, de même que les arbitres. Les jardiniers s'affairent avec leurs fourches pour faire boire la pelouse au maximum et désengorger les parties du terrain les plus inondées. Il faut sans doute s'attendre à un match homérique...
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Pour rappel, le Racing et Dijon sont un peu les frères siamois de cette Ligue 1, et se connaissent d'ailleurs parfaitement bien. Séparés d'un point au classement (Dijon 12e avec 25 pts, Strasbourg 13e avec 24 pts), les deux clubs se sont déjà affrontés à trois reprises cette saison, une fois en amical (0-0), une fois en championnat (1-1) et une fois en Coupe de France (3-2 a.p.) il y a deux semaines. Bref, les deux équipes n'ont jamais su se départager dans le temps règlementaire. Autant dire que sur le papier, le match s'annonce forcément serré.
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Le Racing, qui reste sur trois défaites en championnat, serait donc bien inspiré de réenclencher la marche avant ce soir, qui plus est à domicile et face à un concurrent direct pour le maintien, qu'il dépasserait au classement en cas de victoire.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse devant une Meinau copieusement garnie, malgré les conditions climatiques détestables. Dans trois minutes, le coup d'envoi !
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Le coup d'envoi de la rencontre vient d'être donné par l'arbitre principal M. Antony Gautier. Strasbourg - Dijon, c'est parti !
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On vous le donne en mille : les 22 acteurs marchent sur des oeufs, ou plutôt sur d'immenses flaques d'eau. Les premières passes n'arrivent pas à destination, c'est la galère. On va bien s'amuser... ou pas.
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Immédiatement, un petit mot sur les conditions de jeu ce soir, qui ne s'annoncent pas folichonnes du tout, mais alors pas du tout. Les deux équipes sont certes à l'échauffement, mais la pelouse gorgée d'eau ne semble guère se prêter à une partie de football. L'arbitre Antony Gautier a effectué une première inspection du terrain en arrivant et a décrété que c'était jouable. Le même homme est actuellement à l'échauffement lui aussi et n'apparaît pas, pour l'heure, prêt à changer d'avis.
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Dans ces conditions, agissons donc comme s'il y aura bien un match tout à l'heure à 20h, quand bien même une fine pluie continue de tomber sur la pelouse strasbourgeoise...
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Racing Strasbourg : 1. Landry Bonnefoi (g) – 22. Ernest Seka, 12. Kader Mangane (cap), 4. Pablo Martinez, 27. Kenny Lala – 17. Anthony Gonçalves, 8. Jean-Eudes Aholou, 11. Dimitri Lienard – 28. Jonas Martin – 13. Jérémy Blayac, 20 Martin Terrier.
Remplaçants : 30. Bingourou Kamara (g), 29. Nuno Da Costa, 26. Bakary Koné, 5. Vincent Nogueira, 6. Jérémy Grimm, 2. Dimitri Foulquier, 19. Stéphane Bahoken. Entraîneur : Thierry Laurey.
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Dijon FCO : 30. Baptiste Reynet (g) – 26. Fouad Chafik, 18. Cédric Yambéré, 5. Oussama Haddadi, 19. Valentin Rosier – 15. Florent Balmont, 8. Mehdi Abeid, 28. Xeka – 7. Frédéric Sammaritano, 11. Julio Tavares, 10. Naïm Sliti.
Remplaçants : 1. Benjamin Leroy (g), 22. Changhoon Kwon, 6. Wesley Lautoa, 3. Arnold Bouka Moutou, 14. Jordan Marié, 9. Wesley Saïd, 29. Benjamin Jeannot. Entraîneur : Olivier Dall’Oglio.
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Comme à son habitude, le coach du Racing Thierry Laurey a fait quelques choix auxquels on ne s'attendait pas. Si Dimitri Lienard retrouve comme prévu une place de titulaire après sa blessure au mollet, les défenseurs Dimitri Foulquier et Bakary Koné sont remplaçants ce soir, suppléés par Ernest Seka et le capitaine Kader Mangane. L'attaquant Jérémy Blayac est lui aussi présent dans le onze de départ, au côté de Martin Terrier, que l'on a vu entrer en fin de match à Marseille mardi.
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Côté dijonnais, le onze proposée par Olivier Dall'Oglio, ancien défenseur du Racing, ne comporte en revanche aucune surprise, Julie Tavares étant chargé de porter le danger devant le but de Landry Bonnefoi, titulaire dans les cages strasbourgeoises ce soir, aux côtés de Naïm Sliti et Frédéric Sammaritano.
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Les deux équipes ont désormais regagné les vestiaires, de même que les arbitres. Les jardiniers s'affairent avec leurs fourches pour faire boire la pelouse au maximum et désengorger les parties du terrain les plus inondées. Il faut sans doute s'attendre à un match homérique...
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Pour rappel, le Racing et Dijon sont un peu les frères siamois de cette Ligue 1, et se connaissent d'ailleurs parfaitement bien. Séparés d'un point au classement (Dijon 12e avec 25 pts, Strasbourg 13e avec 24 pts), les deux clubs se sont déjà affrontés à trois reprises cette saison, une fois en amical (0-0), une fois en championnat (1-1) et une fois en Coupe de France (3-2 a.p.) il y a deux semaines. Bref, les deux équipes n'ont jamais su se départager dans le temps règlementaire. Autant dire que sur le papier, le match s'annonce forcément serré.
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Le Racing, qui reste sur trois défaites en championnat, serait donc bien inspiré de réenclencher la marche avant ce soir, qui plus est à domicile et face à un concurrent direct pour le maintien, qu'il dépasserait au classement en cas de victoire.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse devant une Meinau copieusement garnie, malgré les conditions climatiques détestables. Dans trois minutes, le coup d'envoi !
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Le coup d'envoi de la rencontre vient d'être donné par l'arbitre principal M. Antony Gautier. Strasbourg - Dijon, c'est parti !
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On vous le donne en mille : les 22 acteurs marchent sur des oeufs, ou plutôt sur d'immenses flaques d'eau. Les premières passes n'arrivent pas à destination, c'est la galère. On va bien s'amuser... ou pas.
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
BUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU T 1-0
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Quelle incroyable action collective du Racing, ponctuée d'un petit missile du gauche des 18 mètres de Jean-Eudes Aholou !!! Après une première tête sur la barre de Terrier, puis une parade exceptionnelle de Reynet sur la reprise de Blayac, les Strasbourgeois ont poursuivi leur offensive avec énormément d'envie et ont été récompensés sur ce ballon qui traînait devant la surface ! Le scénario est idéal !
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Quel retour de Mangane qui stoppe Tavares à l'entrée de la surface d'un tacle glissé parfait, alors que le Dijonnais allait se présenter seul devant Bonnefoi !
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On assistera probablement pas à du grand football mais au moins, il y aura du spectacle. C'est en tout cas bien parti à ce point de vue-là.
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Le Racing joue chaque coup à fond. Sur ce centre de Gonçalves de la droite, Blayac a surgi au premier poteau mais n'a pas pu redresser suffisamment le ballon. C'est au-dessus.
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Coup franc de plus de 30 mètres de Lienard, sans trop de puissance malheureusement. Reynet doit tout de même s'y reprendre à deux fois pour se saisir du ballon.
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PENALTY POUR LE RACING !! Faute très très peu évidente de Hadaddi sur Terrier dans la surface ! M. Gautier n'hésite pas.
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BUTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT 2-0 Lala sur pénalty
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Kenny Lala transforme tranquillement le penalty d'une frappe à ras de terre croisée du pied droit. Le Racing fait le break !
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Au préalable, le gardien dijonnais Baptiste Reynet a récolté un carton jaune logique pour avoir dégagé le ballon de rage dans le kop strasbourgeois. En voilà un qui s'est fait des amis.
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Outre le fait qu'il mène de deux buts et semble s’accommoder plutôt bien des conditions, le Racing fait preuve d'une solidité et d'une justesse défensive remarquable. Pourvu que ça dure.
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On atteint la demi-heure de jeu et le Racing lève un peu le pied, mais un peu seulement, après avoir attaqué ce match par le bon bout. Un 3e but serait néanmoins bienvenu pour se mettre vraiment à l'abri alors que le terrain ne cesse de se détériorer.
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Quelle incroyable action collective du Racing, ponctuée d'un petit missile du gauche des 18 mètres de Jean-Eudes Aholou !!! Après une première tête sur la barre de Terrier, puis une parade exceptionnelle de Reynet sur la reprise de Blayac, les Strasbourgeois ont poursuivi leur offensive avec énormément d'envie et ont été récompensés sur ce ballon qui traînait devant la surface ! Le scénario est idéal !
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Quel retour de Mangane qui stoppe Tavares à l'entrée de la surface d'un tacle glissé parfait, alors que le Dijonnais allait se présenter seul devant Bonnefoi !
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On assistera probablement pas à du grand football mais au moins, il y aura du spectacle. C'est en tout cas bien parti à ce point de vue-là.
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Le Racing joue chaque coup à fond. Sur ce centre de Gonçalves de la droite, Blayac a surgi au premier poteau mais n'a pas pu redresser suffisamment le ballon. C'est au-dessus.
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Coup franc de plus de 30 mètres de Lienard, sans trop de puissance malheureusement. Reynet doit tout de même s'y reprendre à deux fois pour se saisir du ballon.
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PENALTY POUR LE RACING !! Faute très très peu évidente de Hadaddi sur Terrier dans la surface ! M. Gautier n'hésite pas.
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BUTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT 2-0 Lala sur pénalty
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Kenny Lala transforme tranquillement le penalty d'une frappe à ras de terre croisée du pied droit. Le Racing fait le break !
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Au préalable, le gardien dijonnais Baptiste Reynet a récolté un carton jaune logique pour avoir dégagé le ballon de rage dans le kop strasbourgeois. En voilà un qui s'est fait des amis.
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Outre le fait qu'il mène de deux buts et semble s’accommoder plutôt bien des conditions, le Racing fait preuve d'une solidité et d'une justesse défensive remarquable. Pourvu que ça dure.
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On atteint la demi-heure de jeu et le Racing lève un peu le pied, mais un peu seulement, après avoir attaqué ce match par le bon bout. Un 3e but serait néanmoins bienvenu pour se mettre vraiment à l'abri alors que le terrain ne cesse de se détériorer.
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
But 2-1 BUT pour Dijon ! Julio Tavares !
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On venait de dire que le Racing levait un peu le pied et il l'a finalement fait un peu trop ! Oublié à gauche, Julio Tavares hérite du cuir et d'un petit ballon enroulé du droit, crucifie le pauvre Bonnefoi pris à contre-pied !
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La réponse immédiate du Racing par Lienard sur coup franc, dont la patte gauche magique contraint Reynet à une claquette au-dessus de sa barre !
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La frappe lointaine de Sliti ! Bonnefoi est sur la trajectoire mais s'y reprend à deux fois pour se saisir du cuir.
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Le slalom génial de Terrier, stoppé irrégulièrement par Abeid. Le bon coup franc pour le Racing à 20 mètres, mais le ballon de Lienard est dégagé par la défense bourguignonne.
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Le corner parfait de Lienard et la tête puissante de Mangane sortie d'une parade exceptionnelle par Reynet ! Et rebelote dans l'autre sens avec cette fois Blayac qui place son coup de casque juste au-dessus !! On était tout proche du 3-1 !
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But 2-2
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EGALISATION DIJONNAISE ! Sur un centre involontairement prolongé du pied par Seka après une tête contrée de Yambéré, Haddadi égalise à bout portant du gauche ! Tout est à refaire pour le Racing !
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Aïe aïe aïe, le Racing rentre aux vestiaires à égalité avec Dijon (2-2), après avoir pourtant mené 2-0 et semblé contrôler parfaitement son match. On vous annonçait un duel à rebondissements, on est servi !
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On venait de dire que le Racing levait un peu le pied et il l'a finalement fait un peu trop ! Oublié à gauche, Julio Tavares hérite du cuir et d'un petit ballon enroulé du droit, crucifie le pauvre Bonnefoi pris à contre-pied !
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La réponse immédiate du Racing par Lienard sur coup franc, dont la patte gauche magique contraint Reynet à une claquette au-dessus de sa barre !
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La frappe lointaine de Sliti ! Bonnefoi est sur la trajectoire mais s'y reprend à deux fois pour se saisir du cuir.
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Le slalom génial de Terrier, stoppé irrégulièrement par Abeid. Le bon coup franc pour le Racing à 20 mètres, mais le ballon de Lienard est dégagé par la défense bourguignonne.
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Le corner parfait de Lienard et la tête puissante de Mangane sortie d'une parade exceptionnelle par Reynet ! Et rebelote dans l'autre sens avec cette fois Blayac qui place son coup de casque juste au-dessus !! On était tout proche du 3-1 !
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But 2-2
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EGALISATION DIJONNAISE ! Sur un centre involontairement prolongé du pied par Seka après une tête contrée de Yambéré, Haddadi égalise à bout portant du gauche ! Tout est à refaire pour le Racing !
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Aïe aïe aïe, le Racing rentre aux vestiaires à égalité avec Dijon (2-2), après avoir pourtant mené 2-0 et semblé contrôler parfaitement son match. On vous annonçait un duel à rebondissements, on est servi !
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
C'est parti à la Meinau pour la seconde période. Aucun changement à signaler.
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Le Racing tente de mettre le même allant qu'en début de match, mais cette fois, les Dijonnais répondent présent, galvanisés par leur réaction de fin de première période. Les duels sont rugueux.
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L'arrêt de Bonnefoi sur cette frappe du gauche de Tavares ! Le Racing a eu chaud !
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Le Racing a le plus souvent le ballon, mais peine à se montrer réellement dangereux à l'approche des buts de Reynet.
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Blayac est touché au pied. Il va probablement devoir céder sa place.
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Faute d'être servi dans la surface, Terrier tente sa chance de loin. C'est au-dessus.
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Changement au Racing : sortie de Blayac, blessé, remplacé par Bahoken.
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La frappe de Sliti du gauche, mais Bonnefoi se couche bien.
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Dans le bourbier de la Meinau, la situation semble enlisée. Les organismes sont forcément fatigués et sans doute qu'on hésite désormais un peu à se livrer...
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Carton jaune logique à Lienard pour un tacle appuyé sur Sammaritano.
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Il y a 21067 spectateurs à la Meinau ce soir pour assister à un match qui n'a toujours pas choisi son camp !
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Martin Terrier choisit à nouveau la solution individuelle et frappe au-dessus de 20 mètres alors que Gonçalves lui proposait une jolie solution sur la droite.
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Le bon centre de Sliti et la tête de Xaka juste à côté ! Attention, les Dijonnais restent dangereux sur chacune de leurs actions !
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Le Racing tente de mettre le même allant qu'en début de match, mais cette fois, les Dijonnais répondent présent, galvanisés par leur réaction de fin de première période. Les duels sont rugueux.
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L'arrêt de Bonnefoi sur cette frappe du gauche de Tavares ! Le Racing a eu chaud !
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Le Racing a le plus souvent le ballon, mais peine à se montrer réellement dangereux à l'approche des buts de Reynet.
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Blayac est touché au pied. Il va probablement devoir céder sa place.
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Faute d'être servi dans la surface, Terrier tente sa chance de loin. C'est au-dessus.
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Changement au Racing : sortie de Blayac, blessé, remplacé par Bahoken.
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La frappe de Sliti du gauche, mais Bonnefoi se couche bien.
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Dans le bourbier de la Meinau, la situation semble enlisée. Les organismes sont forcément fatigués et sans doute qu'on hésite désormais un peu à se livrer...
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Carton jaune logique à Lienard pour un tacle appuyé sur Sammaritano.
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Il y a 21067 spectateurs à la Meinau ce soir pour assister à un match qui n'a toujours pas choisi son camp !
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Martin Terrier choisit à nouveau la solution individuelle et frappe au-dessus de 20 mètres alors que Gonçalves lui proposait une jolie solution sur la droite.
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Le bon centre de Sliti et la tête de Xaka juste à côté ! Attention, les Dijonnais restent dangereux sur chacune de leurs actions !
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Changement au Racing : sortie de Martin, remplacé par Da Costa.
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PENALTY POUR LE RACING !!! Faute d'Haddadi sur Da Costa, incontestable cette fois ! Quelle entrée en jeu de Da Costa, son premier ballon !
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Le doublé pour Kenny Lala, solide au moment de transformer son deuxième penalty de la soirée, tiré du même côté ! Le Racing est à nouveau devant !
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Changement à Dijon : sortie de Balmont, remplacé par Jeannot.
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Il reste quelques minutes à jouer, et inévitablement, le Racing recule un peu. Dijon récupère tous les deuxièmes ballons et fait le siège de la surface alsacienne.
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Dernier changement à Strasbourg : sortie de Gonçalves, remplacé par Grimm.
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On joue les arrêts de jeu ! Les Strasbourgeois tentent de gagner du temps sur chaque ballon !
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Le contre du Racing et la frappe de Terrier stoppée par Reynet !
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C'est terminé ! Victoire du Racing 3 buts à 2 face à Dijon au terme d'un match une nouvelle fois très accroché entre deux équipes très proches l'une de l'autre. Les esprits s'échauffent au coup de sifflet final, mais les trois points sont bien pour les Bleus !
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Sur une pelouse à la limite du praticable, les Strasbourgeois ont assuré l'essentiel mais l'affaire a été très dure à conclure. Après l'ouverture du score précoce d'Aholou, il a fallu en passer par deux penalties de Lala pour venir à bout de Dijonnais courageux et qui ont remonté deux buts de retard avant de s'incliner.
90+4
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Grâce à cette victoire, le Racing remonte à la 10e place avec 27 points. Après trois défaites consécutives, ça fait du bien !
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PENALTY POUR LE RACING !!! Faute d'Haddadi sur Da Costa, incontestable cette fois ! Quelle entrée en jeu de Da Costa, son premier ballon !
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Le doublé pour Kenny Lala, solide au moment de transformer son deuxième penalty de la soirée, tiré du même côté ! Le Racing est à nouveau devant !
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Changement à Dijon : sortie de Balmont, remplacé par Jeannot.
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Il reste quelques minutes à jouer, et inévitablement, le Racing recule un peu. Dijon récupère tous les deuxièmes ballons et fait le siège de la surface alsacienne.
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Dernier changement à Strasbourg : sortie de Gonçalves, remplacé par Grimm.
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On joue les arrêts de jeu ! Les Strasbourgeois tentent de gagner du temps sur chaque ballon !
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Le contre du Racing et la frappe de Terrier stoppée par Reynet !
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C'est terminé ! Victoire du Racing 3 buts à 2 face à Dijon au terme d'un match une nouvelle fois très accroché entre deux équipes très proches l'une de l'autre. Les esprits s'échauffent au coup de sifflet final, mais les trois points sont bien pour les Bleus !
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Sur une pelouse à la limite du praticable, les Strasbourgeois ont assuré l'essentiel mais l'affaire a été très dure à conclure. Après l'ouverture du score précoce d'Aholou, il a fallu en passer par deux penalties de Lala pour venir à bout de Dijonnais courageux et qui ont remonté deux buts de retard avant de s'incliner.
90+4
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Grâce à cette victoire, le Racing remonte à la 10e place avec 27 points. Après trois défaites consécutives, ça fait du bien !
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Finalement au sec
Virevoltant en début de match, le Racing s’est vite fait rejoindre par Dijon, avant d’arracher la victoire, sur penalty. Sans briller, il s’est au moins rassuré en grattant trois points qui devraient compter.
Le Racing en a fini avec sa funeste série. Il va finir par demander à la Ligue une multiplication des confrontations avec Dijon. Avant celle d’hier, cela faisait plus d’un mois qu’il n’avait pas gagné en championnat. En un tunnel de défaites, il avait croisé une oasis, un match de Coupe de France, face à Dijon, qui lui avait permis de ne pas complètement broyer du noir, en grattant la qualification.
L’entrée décisive de Nuno Da Costa
Hier, la bande à Thierry Laurey a remis la marche avant. La victoire ne restera pas un modèle du genre, mais c’était écrit puisqu’un doute a pu exister quant à la tenue d’un match disputé sur une aire de jeu limite limite.
En une soirée à ne pas sortir son bonhomme en sucre sous peine de le voir illico disparaître, les Strasbourgeois se sont remis debout après avoir glissé beaucoup, être tombés souvent. Mais ils ont placé trois précieux points dans leur escarcelle et la période de tous les dangers et de tous les espoirs, avec quatre matches face à des adversaires qui nagent dans les mêmes eaux qu’eux, s’est ouverte sur de fructueuses bases.
Un peu comme la rencontre d’hier, même si ça n’a pas duré. Le Racing a pris le match par le bon bout et la thématique sportive a été judicieusement inspirée par le défenseur central Pablo Martinez d’entrée : long ballon aérien et duel à remporter à sa retombée. Les Strasbourgeois ont mis suffisamment de cœur et d’énergie dans le début de rencontre pour tordre les Bourguignons, en deux temps, trois mouvements. Sur le premier, évidemment un… long centre de Lala, Terrier a trouvé la transversale, de la tête, Blayac, Reynet sur la trajectoire de sa reprise et, quasiment dans la continuité, Aholou a donné un grand coup de tatane qui a fait boum (1-0, 5e ).
La Meinau a vécu une entame idéale, ses favoris mordant dans les fameux deuxièmes ballons, ceux suivant le premier contrôle souvent douteux en raison des conditions de jeu. Terrier a provoqué une faute virtuelle de Haddadi dans la surface et Lala a doublé la marque sur penalty (2-0, 19e ).
Mais entre deux adversaires qui n’avaient été départagés que par une prolongation en trois matches et en six mois – un amical (0-0), l’aller (1-1) et en Coupe de France (3-2 a.p.) –, l’écart ne pouvait être durablement aussi marqué. La bande à Olivier Dall’Oglio a profité d’un oubli défensif alsacien pour réduire la marque par Tavares (2-1, 33e ) et Haddadi a été à la retombée d’un coup franc aérien de Sliti dans les six mètres pour l’égalisation (2-2, 45e ).
Le Racing se donne de l’air
« Le fait de l’emporter, ça fait du bien, a souri Thierry Laurey. Après leur match face au PSG (défaite 8-0) , on espérait leur avoir fait mal à la tête en marquant deux buts d’entrée. Mais après, ils sont revenus presque naturellement. »
À la pause, Dijon était verni car, sur coups de pied arrêtés, Lienard, Mangane et Blayac ont eu des occasions de refaire le beak, mais Reynet – pour les deux premiers – ou la maladresse ont conduit au bilan provisoire frustrant.
Le retour des vestiaires a néanmoins confirmé que les doutes avaient peut-être investi les calebasses strasbourgeoises et que trois défaites de rang ne s’effaçaient pas en deux coups de cuillère à pot.
Les ballons retombaient dans les pieds visiteurs. Bonnefoi a sauvé le coup devant Tavares (54e ) et dans l’occupation du terrain de circonstance puisqu’un ballon ovale n’aurait rien eu d’une anomalie dans ce champ de boue – bon courage au passage aux jardiniers en charge de remettre en état la pelouse pour jeudi et la venue de Lille en Coupe de France –, la balance a penché en faveur de Dijon. Le Racing s’est mis à tirer la langue jusqu’à ses crampons crottés.
Il a suffi d’une étincelle. Sur son premier ballon, Da Costa a pris le meilleur sur Rozier et provoqué la faute, réelle cette fois-ci, d’Haddadi. Lala a été l’auteur d’un doublé sur penalty (3-2, 79e ). L’affaire était dans le sac.
Avant une semaine lilloise – après le 16e de finale de Coupe de France dans quatre jours, Mangane et ses copains seront au stade Pierre-Mauroy dimanche –, le Racing se donne de l’air, avec ses cinq points d’avance sur la 18e place de barragiste. Il a aussi prouvé qu’il savait gagner sans vraiment bien jouer ou dominer. Et à l’avenir, ça pourrait servir.
dna
Virevoltant en début de match, le Racing s’est vite fait rejoindre par Dijon, avant d’arracher la victoire, sur penalty. Sans briller, il s’est au moins rassuré en grattant trois points qui devraient compter.
Le Racing en a fini avec sa funeste série. Il va finir par demander à la Ligue une multiplication des confrontations avec Dijon. Avant celle d’hier, cela faisait plus d’un mois qu’il n’avait pas gagné en championnat. En un tunnel de défaites, il avait croisé une oasis, un match de Coupe de France, face à Dijon, qui lui avait permis de ne pas complètement broyer du noir, en grattant la qualification.
L’entrée décisive de Nuno Da Costa
Hier, la bande à Thierry Laurey a remis la marche avant. La victoire ne restera pas un modèle du genre, mais c’était écrit puisqu’un doute a pu exister quant à la tenue d’un match disputé sur une aire de jeu limite limite.
En une soirée à ne pas sortir son bonhomme en sucre sous peine de le voir illico disparaître, les Strasbourgeois se sont remis debout après avoir glissé beaucoup, être tombés souvent. Mais ils ont placé trois précieux points dans leur escarcelle et la période de tous les dangers et de tous les espoirs, avec quatre matches face à des adversaires qui nagent dans les mêmes eaux qu’eux, s’est ouverte sur de fructueuses bases.
Un peu comme la rencontre d’hier, même si ça n’a pas duré. Le Racing a pris le match par le bon bout et la thématique sportive a été judicieusement inspirée par le défenseur central Pablo Martinez d’entrée : long ballon aérien et duel à remporter à sa retombée. Les Strasbourgeois ont mis suffisamment de cœur et d’énergie dans le début de rencontre pour tordre les Bourguignons, en deux temps, trois mouvements. Sur le premier, évidemment un… long centre de Lala, Terrier a trouvé la transversale, de la tête, Blayac, Reynet sur la trajectoire de sa reprise et, quasiment dans la continuité, Aholou a donné un grand coup de tatane qui a fait boum (1-0, 5e ).
La Meinau a vécu une entame idéale, ses favoris mordant dans les fameux deuxièmes ballons, ceux suivant le premier contrôle souvent douteux en raison des conditions de jeu. Terrier a provoqué une faute virtuelle de Haddadi dans la surface et Lala a doublé la marque sur penalty (2-0, 19e ).
Mais entre deux adversaires qui n’avaient été départagés que par une prolongation en trois matches et en six mois – un amical (0-0), l’aller (1-1) et en Coupe de France (3-2 a.p.) –, l’écart ne pouvait être durablement aussi marqué. La bande à Olivier Dall’Oglio a profité d’un oubli défensif alsacien pour réduire la marque par Tavares (2-1, 33e ) et Haddadi a été à la retombée d’un coup franc aérien de Sliti dans les six mètres pour l’égalisation (2-2, 45e ).
Le Racing se donne de l’air
« Le fait de l’emporter, ça fait du bien, a souri Thierry Laurey. Après leur match face au PSG (défaite 8-0) , on espérait leur avoir fait mal à la tête en marquant deux buts d’entrée. Mais après, ils sont revenus presque naturellement. »
À la pause, Dijon était verni car, sur coups de pied arrêtés, Lienard, Mangane et Blayac ont eu des occasions de refaire le beak, mais Reynet – pour les deux premiers – ou la maladresse ont conduit au bilan provisoire frustrant.
Le retour des vestiaires a néanmoins confirmé que les doutes avaient peut-être investi les calebasses strasbourgeoises et que trois défaites de rang ne s’effaçaient pas en deux coups de cuillère à pot.
Les ballons retombaient dans les pieds visiteurs. Bonnefoi a sauvé le coup devant Tavares (54e ) et dans l’occupation du terrain de circonstance puisqu’un ballon ovale n’aurait rien eu d’une anomalie dans ce champ de boue – bon courage au passage aux jardiniers en charge de remettre en état la pelouse pour jeudi et la venue de Lille en Coupe de France –, la balance a penché en faveur de Dijon. Le Racing s’est mis à tirer la langue jusqu’à ses crampons crottés.
Il a suffi d’une étincelle. Sur son premier ballon, Da Costa a pris le meilleur sur Rozier et provoqué la faute, réelle cette fois-ci, d’Haddadi. Lala a été l’auteur d’un doublé sur penalty (3-2, 79e ). L’affaire était dans le sac.
Avant une semaine lilloise – après le 16e de finale de Coupe de France dans quatre jours, Mangane et ses copains seront au stade Pierre-Mauroy dimanche –, le Racing se donne de l’air, avec ses cinq points d’avance sur la 18e place de barragiste. Il a aussi prouvé qu’il savait gagner sans vraiment bien jouer ou dominer. Et à l’avenir, ça pourrait servir.
dna
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Lala, “Monsieur penalty”
En transformant ses deuxième et troisième penalties pour ses… deuxième et troisième buts de la saison, le latéral droit a été l’un des acteurs majeurs de la première victoire du Racing en championnat en 2018 et a contribué à rompre la funeste série de trois défaites.
B onnefoi (5). – Les conditions de jeu catastrophiques le sont encore plus pour les gardiens. Landry Bonnefoi a donc vécu une soirée compliquée, très vite annoncée par sa sortie aérienne délicate, mais sans conséquence devant Xeka (24e ).
Solide par la suite, l’habituel n°3, qui a dû s’y reprendre à deux fois pour maîtriser un tir à rebond de Sliti (40e ) avant de faire échec à Tavares (55e ), ne pouvait rien sur les deux buts dijonnais.
LALA (6). – Le virevoltant latéral avait retrouvé ses ailes hier, alors que ces derniers matches, il avait semblé un peu émoussé et s’était surtout concentré sur sa mission défensive. Il a bonifié sa prestation grâce à ses deuxième et troisième buts de la saison, en transformant ses… deuxième et troisième penalties (19e , 79e ), après celui converti contre Angers.
L’activité de Gonçalves
MANGANE (6). – Finalement titularisé après son impasse à Marseille pour une entorse de la cheville, le capitaine a multiplié d’entrée les interventions soignées, dans les pieds de Julio Tavares, puis Xeka (38e ), et intercepté avec à-propos un ballon en profondeur qui aurait pu permettre au même Tavares de partir seul au but (40e ).
Il a cru inscrire le but du 3-1 d’une tête superbe que Reynet, d’une exceptionnelle parade horizontale sur sa gauche, a extirpée de sa cage (44e ). Volontaire, comme tous ses partenaires.
MARTINEZ (5). – Titulaire pour la deuxième fois de rang après une longue blessure, le natif de Martigues s’est efforcé de ne pas surjouer pour se consacrer tout entier à sa tâche défensive.
Pas évident face à un poison de la trempe de Tavares. Mais tout en sobriété, il s’en est plutôt bien sorti.
SEKA (5). – Remplaçant à Marseille, le latéral gauche de fortune, qui retrouvait sa place, n’a pas passé un match très confortable face à Sliti et Sammaritano. On l’a connu plus saignant. Mais il n’a jamais baissé les bras. Dommage que sa conduite de balle trop longue ait stoppé son rush rageur en toute fin de match.
GONÇALVES (6). – Si l’on excepte une interception ratée devant Tavares (55e ), le milieu droit a carburé à plein régime. Il a adressé un nombre incalculable – enfin presque – de centres et aligné les kilomètres sans jamais s’essouffler, même s’il s’est effacé à la 90e au profit de Jérémy Grimm.
AHOLOU (6). – De sa position de sentinelle, le grand Jean-Eudes s’est évertué à distribuer le jeu alsacien, avec réussite et intelligence la plupart du temps. Il a ouvert le score d’une frappe soudaine.
Son troisième but de la saison après ceux marqués contre Marseille à l’aller et à Saint-Étienne. Précieux.
LIENARD (6). – Pour sa rentrée après avoir zappé les matches contre Guingamp et à Marseille à cause d’un mollet douloureux, le gaucher a, comme souvent, fait parler sa patte. Ses corners pour Mangane (44e ) et Blayac (45e ) auraient pu se muer en passes décisives et son magnifique coup franc de 35 m, en but si Reynet ne l’avait pas claqué en corner (35e ). Averti à la 72e , il sera suspendu contre Bordeaux le 3 février.
MARTIN (6). – Le meneur de jeu s’est signalé d’emblée par une tête lobée sur la transversale (4e ). Il s’est beaucoup dépensé et a lui aussi cherché à donner de la variété aux mouvements alsaciens.
Il a fini sur la jante et cédé sa place à Nuno Da Costa (77e ) qui provoque le penalty victorieux sur son premier ballon (78e ).
BLAYAC (6). – Pour sa troisième titularisation en L1, l’Aveyronnais n’a jamais cessé d’aller au charbon. Il a joué à merveille son rôle de point de fixation.
Seul bémol : sa tête au-dessus sur un corner de Lienard alors qu’il était seul (45e ). Un raté qui aurait offert le 3-1 aux Bleus et qu’il regrettera d’autant plus qu’il est lobé juste après sur le coup franc de Sliti qui amène l’égalisation à 2-2.
Touché à un tendon et remplacé à la 67e par Stéphane Bahoken.
TERRIER (5). – L’international espoirs aura eu le mérite – si l’on peut dire – de provoquer, sur un duel avec Haddadi à la 18e , le penalty imaginaire qui permet à Lala d’ouvrir le score (19e ).
Même si son gabarit léger a parfois eu du mal à s’exprimer sur une surface spongieuse, il aurait pu apporter en fin de partie un écot encore plus concret au succès bas-rhinois si un Reynet parfait n’avait réalisé des arrêts de grande classe sur ses deux bonnes tentatives.
dna
En transformant ses deuxième et troisième penalties pour ses… deuxième et troisième buts de la saison, le latéral droit a été l’un des acteurs majeurs de la première victoire du Racing en championnat en 2018 et a contribué à rompre la funeste série de trois défaites.
B onnefoi (5). – Les conditions de jeu catastrophiques le sont encore plus pour les gardiens. Landry Bonnefoi a donc vécu une soirée compliquée, très vite annoncée par sa sortie aérienne délicate, mais sans conséquence devant Xeka (24e ).
Solide par la suite, l’habituel n°3, qui a dû s’y reprendre à deux fois pour maîtriser un tir à rebond de Sliti (40e ) avant de faire échec à Tavares (55e ), ne pouvait rien sur les deux buts dijonnais.
LALA (6). – Le virevoltant latéral avait retrouvé ses ailes hier, alors que ces derniers matches, il avait semblé un peu émoussé et s’était surtout concentré sur sa mission défensive. Il a bonifié sa prestation grâce à ses deuxième et troisième buts de la saison, en transformant ses… deuxième et troisième penalties (19e , 79e ), après celui converti contre Angers.
L’activité de Gonçalves
MANGANE (6). – Finalement titularisé après son impasse à Marseille pour une entorse de la cheville, le capitaine a multiplié d’entrée les interventions soignées, dans les pieds de Julio Tavares, puis Xeka (38e ), et intercepté avec à-propos un ballon en profondeur qui aurait pu permettre au même Tavares de partir seul au but (40e ).
Il a cru inscrire le but du 3-1 d’une tête superbe que Reynet, d’une exceptionnelle parade horizontale sur sa gauche, a extirpée de sa cage (44e ). Volontaire, comme tous ses partenaires.
MARTINEZ (5). – Titulaire pour la deuxième fois de rang après une longue blessure, le natif de Martigues s’est efforcé de ne pas surjouer pour se consacrer tout entier à sa tâche défensive.
Pas évident face à un poison de la trempe de Tavares. Mais tout en sobriété, il s’en est plutôt bien sorti.
SEKA (5). – Remplaçant à Marseille, le latéral gauche de fortune, qui retrouvait sa place, n’a pas passé un match très confortable face à Sliti et Sammaritano. On l’a connu plus saignant. Mais il n’a jamais baissé les bras. Dommage que sa conduite de balle trop longue ait stoppé son rush rageur en toute fin de match.
GONÇALVES (6). – Si l’on excepte une interception ratée devant Tavares (55e ), le milieu droit a carburé à plein régime. Il a adressé un nombre incalculable – enfin presque – de centres et aligné les kilomètres sans jamais s’essouffler, même s’il s’est effacé à la 90e au profit de Jérémy Grimm.
AHOLOU (6). – De sa position de sentinelle, le grand Jean-Eudes s’est évertué à distribuer le jeu alsacien, avec réussite et intelligence la plupart du temps. Il a ouvert le score d’une frappe soudaine.
Son troisième but de la saison après ceux marqués contre Marseille à l’aller et à Saint-Étienne. Précieux.
LIENARD (6). – Pour sa rentrée après avoir zappé les matches contre Guingamp et à Marseille à cause d’un mollet douloureux, le gaucher a, comme souvent, fait parler sa patte. Ses corners pour Mangane (44e ) et Blayac (45e ) auraient pu se muer en passes décisives et son magnifique coup franc de 35 m, en but si Reynet ne l’avait pas claqué en corner (35e ). Averti à la 72e , il sera suspendu contre Bordeaux le 3 février.
MARTIN (6). – Le meneur de jeu s’est signalé d’emblée par une tête lobée sur la transversale (4e ). Il s’est beaucoup dépensé et a lui aussi cherché à donner de la variété aux mouvements alsaciens.
Il a fini sur la jante et cédé sa place à Nuno Da Costa (77e ) qui provoque le penalty victorieux sur son premier ballon (78e ).
BLAYAC (6). – Pour sa troisième titularisation en L1, l’Aveyronnais n’a jamais cessé d’aller au charbon. Il a joué à merveille son rôle de point de fixation.
Seul bémol : sa tête au-dessus sur un corner de Lienard alors qu’il était seul (45e ). Un raté qui aurait offert le 3-1 aux Bleus et qu’il regrettera d’autant plus qu’il est lobé juste après sur le coup franc de Sliti qui amène l’égalisation à 2-2.
Touché à un tendon et remplacé à la 67e par Stéphane Bahoken.
TERRIER (5). – L’international espoirs aura eu le mérite – si l’on peut dire – de provoquer, sur un duel avec Haddadi à la 18e , le penalty imaginaire qui permet à Lala d’ouvrir le score (19e ).
Même si son gabarit léger a parfois eu du mal à s’exprimer sur une surface spongieuse, il aurait pu apporter en fin de partie un écot encore plus concret au succès bas-rhinois si un Reynet parfait n’avait réalisé des arrêts de grande classe sur ses deux bonnes tentatives.
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Le fait du match Le Racing sort de la pataugeoire
Avec une pluie continue jusqu’à l’heure de jeu et un terrain rapidement labouré, les conditions de jeu n’ont pas été des plus évidentes pour les joueurs des deux équipes hier soir. Au courage, le Racing s’en est finalement sorti.
Hier durant toute la journée , la capitale européenne s’est retrouvée les pieds dans l’eau. La pluie ne cessant de s’abattre et les nuages de s’amonceler, le doute commençait à poindre sur la tenue de la rencontre entre le Racing et Dijon. Les personnes les plus sceptiques commençaient même à y voir une sorte de malédiction. La saison passée en Ligue 2, à la même date, Strasbourgeois et Tourangeaux avaient dû laisser les crampons au vestiaire en raison du gel, quelques instants avant le coup d’envoi.
Cette fois-ci, l’incertitude était donc liée à un terrain gorgé d’eau. Dès 18h, le corps arbitral mené par Antony Gautier débutait son inspection et ne tardait pas à livrer son verdict : le rencontre allait bel et bien avoir lieu, malgré deux zones largement inondées devant les bancs de touche et une pluie toujours aussi abondante. Dès les premières minutes de jeu, chaque foulée, comme chaque duel, s’accompagnait d’une éclaboussure et d’un “pouic”. Les premières transmissions sont logiquement rendues très incertaines par l’état de la pelouse, tout comme les appuis des joueurs à l’abord des parties noyées. Mais très vite, les Strasbourgeois tirent profit de ce nouveau paramètre de jeu par l’intermédiaire de Jean-Eudes Aholou, lequel adresse une frappe fusante à l’entrée de la surface qui surprend Baptiste Reynet.
« C’était à la limite »
Quelques instants plus tard, le capitaine Kader Mangane profite lui aussi de cette pelouse humide pour revenir sur Julio Tavares d’un magnifique tacle glissé. Pour sa première intervention à cinq minutes de la pause, le portier strasbourgeois Landry Bonnefoi doit, lui, faire preuve de vigilance. L’ancien Amiénois doit en effet s’y prendre à deux fois pour maîtriser une frappe lointaine de Naïm Sliti, rendue vicieuse par son rebond. « Le terrain était dans un état très délicat, livrait Thierry Laurey au terme du match. S’il pleut des jours et des jours, ça complique forcément un peu les choses. C’était à la limite, certainement. Les équipes ont été obligées de s’adapter. »
Passée l’heure de jeu, les nuages retiennent enfin les gouttes mais les 22 acteurs ne trouvent pas pour autant de la fluidité dans leur jeu, à cause d’une aire de jeu labourée à ses quatre coins. Déjà mis à rude épreuve par l’enchaînement des rencontres, les organismes s’épuisent d’autant plus.
Rejoints au score par les Bourguignons à la fin du premier acte, les Alsaciens trouvent finalement les ressources nécessaires pour s’adjuger le gain de la rencontre, grâce au deuxième penalty de la soirée inscrit par Kenny Lala à dix minutes du terme.
Après avoir salué leurs supporters, les Strasbourgeois quittaient la pelouse pour laisser place aux jardiniers, lesquels s’attelaient déjà à la tâche. Et pour cause. Jeudi, la Meinau accueillera le 16e de finale de la Coupe de France entre le Racing et Lille. Il y a du boulot.
dna
Avec une pluie continue jusqu’à l’heure de jeu et un terrain rapidement labouré, les conditions de jeu n’ont pas été des plus évidentes pour les joueurs des deux équipes hier soir. Au courage, le Racing s’en est finalement sorti.
Hier durant toute la journée , la capitale européenne s’est retrouvée les pieds dans l’eau. La pluie ne cessant de s’abattre et les nuages de s’amonceler, le doute commençait à poindre sur la tenue de la rencontre entre le Racing et Dijon. Les personnes les plus sceptiques commençaient même à y voir une sorte de malédiction. La saison passée en Ligue 2, à la même date, Strasbourgeois et Tourangeaux avaient dû laisser les crampons au vestiaire en raison du gel, quelques instants avant le coup d’envoi.
Cette fois-ci, l’incertitude était donc liée à un terrain gorgé d’eau. Dès 18h, le corps arbitral mené par Antony Gautier débutait son inspection et ne tardait pas à livrer son verdict : le rencontre allait bel et bien avoir lieu, malgré deux zones largement inondées devant les bancs de touche et une pluie toujours aussi abondante. Dès les premières minutes de jeu, chaque foulée, comme chaque duel, s’accompagnait d’une éclaboussure et d’un “pouic”. Les premières transmissions sont logiquement rendues très incertaines par l’état de la pelouse, tout comme les appuis des joueurs à l’abord des parties noyées. Mais très vite, les Strasbourgeois tirent profit de ce nouveau paramètre de jeu par l’intermédiaire de Jean-Eudes Aholou, lequel adresse une frappe fusante à l’entrée de la surface qui surprend Baptiste Reynet.
« C’était à la limite »
Quelques instants plus tard, le capitaine Kader Mangane profite lui aussi de cette pelouse humide pour revenir sur Julio Tavares d’un magnifique tacle glissé. Pour sa première intervention à cinq minutes de la pause, le portier strasbourgeois Landry Bonnefoi doit, lui, faire preuve de vigilance. L’ancien Amiénois doit en effet s’y prendre à deux fois pour maîtriser une frappe lointaine de Naïm Sliti, rendue vicieuse par son rebond. « Le terrain était dans un état très délicat, livrait Thierry Laurey au terme du match. S’il pleut des jours et des jours, ça complique forcément un peu les choses. C’était à la limite, certainement. Les équipes ont été obligées de s’adapter. »
Passée l’heure de jeu, les nuages retiennent enfin les gouttes mais les 22 acteurs ne trouvent pas pour autant de la fluidité dans leur jeu, à cause d’une aire de jeu labourée à ses quatre coins. Déjà mis à rude épreuve par l’enchaînement des rencontres, les organismes s’épuisent d’autant plus.
Rejoints au score par les Bourguignons à la fin du premier acte, les Alsaciens trouvent finalement les ressources nécessaires pour s’adjuger le gain de la rencontre, grâce au deuxième penalty de la soirée inscrit par Kenny Lala à dix minutes du terme.
Après avoir salué leurs supporters, les Strasbourgeois quittaient la pelouse pour laisser place aux jardiniers, lesquels s’attelaient déjà à la tâche. Et pour cause. Jeudi, la Meinau accueillera le 16e de finale de la Coupe de France entre le Racing et Lille. Il y a du boulot.
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
OLIVIER DALL’OGLIO, entraîneur de Dijon
« On est frustré par notre début de match, d’autant qu’on savait que ça démarrait fort ici. Mes joueurs ont montré qu’ils savaient faire des choses. Quand tu sors d’un traumatisme comme le PSG, ce n’est pas évident d’avoir une réaction comme ça. Il y a encore beaucoup de travail, il y a de la frustration. »
KENNY LALA, latéral droit du Racing
« Avant le match, nous sommes allés voir le terrain et avons compris que ça allait être compliqué. Malgré tout, on fait l’entame qu’il faut. Malheureusement, on se fait peur tout seuls. Les Dijonnais reviennent à 2-2 et ça nous met un petit coup au moral. Mais on n’a pas lâché, c’est l’essentiel. »
ANTHONY GONÇALVES, milieu droit du Racing
« Il fallait absolument relancer la machine. On avait déjà montré un bon état d’esprit à Marseille, malgré la défaite 2-0. Il était important ce soir de mettre les mêmes ingrédients et d’y ajouter l’efficacité et le don de soi. On s’était dit à l’échauffement qu’il fallait démarrer pied au plancher. On s’est tous dépassés. »
dna
« On est frustré par notre début de match, d’autant qu’on savait que ça démarrait fort ici. Mes joueurs ont montré qu’ils savaient faire des choses. Quand tu sors d’un traumatisme comme le PSG, ce n’est pas évident d’avoir une réaction comme ça. Il y a encore beaucoup de travail, il y a de la frustration. »
KENNY LALA, latéral droit du Racing
« Avant le match, nous sommes allés voir le terrain et avons compris que ça allait être compliqué. Malgré tout, on fait l’entame qu’il faut. Malheureusement, on se fait peur tout seuls. Les Dijonnais reviennent à 2-2 et ça nous met un petit coup au moral. Mais on n’a pas lâché, c’est l’essentiel. »
ANTHONY GONÇALVES, milieu droit du Racing
« Il fallait absolument relancer la machine. On avait déjà montré un bon état d’esprit à Marseille, malgré la défaite 2-0. Il était important ce soir de mettre les mêmes ingrédients et d’y ajouter l’efficacité et le don de soi. On s’était dit à l’échauffement qu’il fallait démarrer pied au plancher. On s’est tous dépassés. »
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Re: 22ème journée: Strasbourg - Dijon
Fin de séries noires
En battant Dijon, le Racing a ouvert sur les meilleures bases une période capitale dans sa saison, un enchaînement de quatre matches de Ligue 1 face à des concurrents directs. Il a mis un terme en même temps à une mauvaise passe.
Le Racing n’a peut-être pas été l’auteur de la sortie la plus éblouissante de sa saison, confronté à un contexte particulier ainsi qu’à un adversaire qui ne l’a pas lâché. Mais les trois points décrochés face à Dijon sont, peut-être, un peu plus précieux que les autres.
« Un rendu sur le terrain qui te permet d’envisager gagner des matches »
La bande à Laurey s’était gaufrée pour le baisser de rideau de 2017, à Metz, et n’était pas repartie du bon pied pour la nouvelle année. Lors de trois journées à zéro point, les bonnes nouvelles affluaient des autres terrains que ceux où elle jouait. Dans son sillage, rares étaient les biens portants. Et si la queue du classement se rapprochait, le classement strasbourgeois n’avait finalement rien d’inquiétant.
Il était tout de même temps que la mauvaise série cesse. Et le ton enjoué avec lequel Thierry Laurey a commenté la septième victoire de la saison, l’état de la pelouse, le contenu des débats ( voire ci-contre ), était significatif. Ses protégés s’étaient ôté une sacrée épine du pied en remettant la marche avant après trois défaites de rang.
L’affaire n’a rien eu d’une évidence, face à la pire équipe de Ligue 1 en déplacement – son entraîneur, Olivier Dall’Oglio la considère « comme malade à l’extérieur » –, la pire défense de l’élite aussi – « ce qui n’est pas un hasard ». Franchement devant après vingt minutes (0-2), le Racing s’est fait rejoindre en baissant (un peu) de pied, en ratant trois occasions franches, en laissant les Bourguignons s’exprimer.
« On a offert des possibilités à l’adversaire et Dijon est une équipe dangereuse avec le ballon, a regretté l’entraîneur strasbourgeois. Après la pause, c’était plus dur pour nous, mais on a réussi avec les entrées de Stéphane ( Bahoken ) et de Nuno ( da Costa ) et en revenant à des choses assez basiques. Il y a un rendu sur le terrain qui te permet d’envisager gagner des matches. »
Les Strasbourgeois ont réussi à se rappeler l’essentiel, une forme d’efficacité, eux qui n’avaient pas marqué depuis plus de cinq heures avant l’ouverture du score par Aholou samedi, le recours à des qualités mentales, indispensable pour un promu qui n’a guère de marge. Ils ont aussi su trouver des solutions en provenance du banc ce qui ne fait pas de mal pour souder un collectif.
« On s’est tous donné pour le collègue »
« Sur l’ensemble du match, on s’est tous donné pour le collègue, a souligné Anthony Gonçalves. C’est comme ça qu’on va avancer dans ce championnat. On a montré des vertus qui nous permettent de voir l’avenir avec un peu plus d’optimisme. » Il ne reste plus qu’à l’entretenir, lors d’une page à deux matches face à Lille – jeudi en Coupe de France, dimanche en championnat. Et même après, en accueillant coup sur coup Bordeaux et Troyes, qui nagent dans les mêmes eaux. Le Racing doit désormais signifier que sa première victoire de l’année n’est pas qu’une parenthèse boueuse mais la première pierre, même meuble, d’un chemin serein vers le maintien.
dna
En battant Dijon, le Racing a ouvert sur les meilleures bases une période capitale dans sa saison, un enchaînement de quatre matches de Ligue 1 face à des concurrents directs. Il a mis un terme en même temps à une mauvaise passe.
Le Racing n’a peut-être pas été l’auteur de la sortie la plus éblouissante de sa saison, confronté à un contexte particulier ainsi qu’à un adversaire qui ne l’a pas lâché. Mais les trois points décrochés face à Dijon sont, peut-être, un peu plus précieux que les autres.
« Un rendu sur le terrain qui te permet d’envisager gagner des matches »
La bande à Laurey s’était gaufrée pour le baisser de rideau de 2017, à Metz, et n’était pas repartie du bon pied pour la nouvelle année. Lors de trois journées à zéro point, les bonnes nouvelles affluaient des autres terrains que ceux où elle jouait. Dans son sillage, rares étaient les biens portants. Et si la queue du classement se rapprochait, le classement strasbourgeois n’avait finalement rien d’inquiétant.
Il était tout de même temps que la mauvaise série cesse. Et le ton enjoué avec lequel Thierry Laurey a commenté la septième victoire de la saison, l’état de la pelouse, le contenu des débats ( voire ci-contre ), était significatif. Ses protégés s’étaient ôté une sacrée épine du pied en remettant la marche avant après trois défaites de rang.
L’affaire n’a rien eu d’une évidence, face à la pire équipe de Ligue 1 en déplacement – son entraîneur, Olivier Dall’Oglio la considère « comme malade à l’extérieur » –, la pire défense de l’élite aussi – « ce qui n’est pas un hasard ». Franchement devant après vingt minutes (0-2), le Racing s’est fait rejoindre en baissant (un peu) de pied, en ratant trois occasions franches, en laissant les Bourguignons s’exprimer.
« On a offert des possibilités à l’adversaire et Dijon est une équipe dangereuse avec le ballon, a regretté l’entraîneur strasbourgeois. Après la pause, c’était plus dur pour nous, mais on a réussi avec les entrées de Stéphane ( Bahoken ) et de Nuno ( da Costa ) et en revenant à des choses assez basiques. Il y a un rendu sur le terrain qui te permet d’envisager gagner des matches. »
Les Strasbourgeois ont réussi à se rappeler l’essentiel, une forme d’efficacité, eux qui n’avaient pas marqué depuis plus de cinq heures avant l’ouverture du score par Aholou samedi, le recours à des qualités mentales, indispensable pour un promu qui n’a guère de marge. Ils ont aussi su trouver des solutions en provenance du banc ce qui ne fait pas de mal pour souder un collectif.
« On s’est tous donné pour le collègue »
« Sur l’ensemble du match, on s’est tous donné pour le collègue, a souligné Anthony Gonçalves. C’est comme ça qu’on va avancer dans ce championnat. On a montré des vertus qui nous permettent de voir l’avenir avec un peu plus d’optimisme. » Il ne reste plus qu’à l’entretenir, lors d’une page à deux matches face à Lille – jeudi en Coupe de France, dimanche en championnat. Et même après, en accueillant coup sur coup Bordeaux et Troyes, qui nagent dans les mêmes eaux. Le Racing doit désormais signifier que sa première victoire de l’année n’est pas qu’une parenthèse boueuse mais la première pierre, même meuble, d’un chemin serein vers le maintien.
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67120- d'r Kàpallmaischter
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