Les Entraineurs

Patrick Vieira, nouvel entraîneur de Nice
Comme attendu, Patrick Vieira s'installe sur le banc des Aiglons. Patrick Vieira est le nouvel entraîneur de Nice, comme nous vous l'annoncions. Quelques heures après avoir vu Manchester City officialiser le départ de l'ancien milieu des Bleus de son poste de coach du New York City FC, l'OGCN a annoncé son arrivée sur le banc. Vieira, qui devrait signer trois ans, sera présenté ce lundi, à 15h00.
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Julen Lopetegui nouvel entraîneur du Real Madrid


  Le Real Madrid a annoncé ce mardi la nomination de Julen Lopetegui, l'actuel sélectionneur de l'Espagne, comme nouvel entraîneur principal. Le remplaçant de Zinédine Zidane à la tête du Real Madrid est connu. Il s'agit de Julen Lopetegui, l'actuel sélectionneur de l'Espagne. Il prendra ses fonctions à la suite de la Coupe du monde.
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Le FC Nantes officialise l'arrivée de Miguel Cardoso au poste d'entraîneur 
Le technicien portugais (46 ans) s'est engagé mercredi avec les Canaris pour les deux prochaines saisons.
Le FC Nantes a officialisé mercredi le choix de Miguel Cardoso au poste d'entraîneur, laissé vacant par Claudio Ranieri. Le coach portugais, 46 ans, a signé pour deux ans, précise le club canari. Il arrive de Rio Ave, qu'il a hissé à la 5e place du dernier Championnat portugais. Dans un tweet, le nouvel entraîneur a dit sa «hâte de commencer le travail». La reprise du club est fixée dès le lundi 25 juin.
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José Anigo a signé avec le Panionios
L'ancien directeur sportif de l'OM, José Anigo, poursuit l'aventure en Grèce mais il change de club. Après le Levadiakos, il a signé mercredi avec le Panionios.
L'ex-entraîneur de l'OM José Anigo s'est engagé pour la saison 2018-19 avec le Panionios Athènes, a annoncé mercredi le club qui évolue en première division grecque, sans préciser la durée du contrat. Le technicien français de 57 ans officiait déjà en Grèce la saison passée, sur le banc du Levadiakos où il a pris la dixième place du championnat. Il y aura donc deux entraîneurs français en D1 grecque après Valérien Ismaël nommé à l'Apollon Smyrnis.
Ancien défenseur formé à l'OM, dont il a porté le maillot pendant huit saisons, José Anigo est surtout connu pour son rôle d'entraîneur à Marseille. Il a été sur le banc du club phocéen à plusieurs reprises entre 2001 et 2005, avant d'en être le directeur sportif, puis d'en redevenir coach la saison 2013-14.
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L1 : avec Jardim trois entraîneurs remplacés, un record depuis 20 ans 
Après Nantes et Bordeaux, Monaco est déjà le troisième club à changer d'entraîneur cette saison alors que neuf journées seulement ont été disputées en Ligue 1. S'il s'agit d'un record depuis 20 ans, cela ne signifie pas pour autant que cette saison sera sinistre pour les coaches de l'élite.
Attendue depuis plusieurs jours, la décision a été actée ce jeudi : Leonardo Jardim, arrivé sur le Rocher en 2014, n'est plus l'entraîneur de Monaco. Après Miguel Cardoso (Nantes) et Gustavo Poyet (Bordeaux), Jardim est déjà le troisième entraîneur de Ligue 1 à quitter son poste alors que la Ligue 1 n'a même pas encore atteint son premier tiers.
Il n'est pas rare de voir des clubs se séparer de leur coach (ou des coaches démissionner) à cette époque de la saison. Mais, c'est la première fois depuis 1998-1999, soit 20 ans, qu'on assiste à autant de changements d'entraîneurs après seulement neuf journées. À l'époque, Denis Troch avait quitté Le Havre pour devenir l'adjoint d'Artur Jorge au PSG, lui-même ayant succédé à Alain Giresse, remercié après une série de mauvais résultats. Henryk Kasperczak, lui, avait été limogé par Bastia et remplacé par Laurent Fournier.
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C'est le nombre de changements d'entraîneurs lors de la saison 2015-2016. Il s'agit du record dans l'élite depuis 30 ans devant la saison 2004-2005 (12 changements).
Pourtant cette saison 1998-1999 n'avait pas été la plus « dévastatrice » dans les rangs des coaches puisqu'à la fin « seulement » neuf d'entre eux avaient été virés ou avaient démissionné dont quatre rien qu'à Bastia (Kasperczak et Fournier) et au PSG (Giresse et Jorge).
Lors des deux dernières décennies, on a franchi à deux reprises la barre des dix changements d'entraîneurs en L1. Lors de la saison 2004-2005 onze clubs (Ajaccio, Bastia, Bordeaux, Caen, Istres, Lens, Marseille, Nantes, Nice, le PSG et Strasbourg) avaient changé de coach. Istres l'avait même fait à deux reprises (Bazdarevic, Gravelaine).
La saison 2015-2016 fut également éprouvante pour les coaches. Dix clubs ont eu recours à un changement d'entraîneur (Marseille, Lille, Troyes, Lyon, Montpellier, Rennes, Bastia, Toulouse, Bordeaux et Reims). Marseille (Bielsa, Michel), Montpellier (Courbis, Baills) et Troyes (Furlan, Robin) ont même changé à deux reprises.
Deschamps avait démissionné après la 7e journée
Pourtant, lors de ces saisons, on était parti sur un rythme assez calme avec seulement deux coaches limogés avant la 9e journée en 2004-2005 (Bijotat à Ajaccio et Kombouaré à Strasbourg) et seulement le départ soudain de Marcelo Bielsa en 2015-2016 après une défaite de l'OM à domicile face à Caen (0-1).
18 %
Sur les 121 entraîneurs limogés ou ayant démissionné depuis 1998, 18 % sont partis avant la 10e journée soit un total de 22 coaches.
Depuis 1998, on ne relève aucune saison sans départ ou changement d'entraîneur. Les trois saisons les plus « stables » avec seulement trois entraîneurs remplacés sur l'ensemble de l'exercice ont été 2014-2015 et 2009-2010, où aucun coach n'avait été changé après neuf journées, et 2005-2006. Cette saison-là, Didier Deschamps avait démissionné de son poste à Monaco après des débuts cahoteux et une défaite contre Rennes (2-0) lors de la 7e journée.
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Pascal Gastien élu meilleur entraîneur de Ligue 2 par France Football



Le coach de Clermont, Pascal Gastien, a été élu « meilleur entraîneur de Ligue 2 de l'année 2018 » par France Football.
Élu par France Football meilleur entraîneur de Ligue 2 pour 2018, Pascal Gastien (55 ans) a pris les rênes de Clermont Foot à la suite du départ de Corinne Diacre en septembre 2017, et il a prolongé en septembre dernier jusqu'en 2021.
Pour sa première saison, le technicien auvergnat a hissé son club aux portes des play-offs (6e), obtenant le record de points du club à ce niveau (63). Et cette saison, le club a réalisé une première moitié de Championnat prometteuse : à la 8e place, Clermont Foot détient le record de clean sheets (13 en 19 journées) dans les cinq grands pays européens de football.
« Papa, je suis fier de l'entraîneur que tu es »
Son fils Johan lui a adressé une lettre dans France Football pour célébrer cette récompense : « Tu mérites plus de reconnaissance. Tu aurais ta place en L1. Mais je te connais : ce que tu aimes le plus, c'est former des jeunes. Tu pourrais dire non à une bonne proposition dans l'élite et rester à Clermont parce que le club t'a permis de reprendre du service et que tu es loyal. Tu préfères rester dans l'ombre. Mais tu mérites davantage de lumière. Et là, c'est à l'entraîneur que je parle. Ce que tu fais avec Clermont, c'est beau, c'est fort. »
Avant Clermont, Pascal Gastien a entraîné les Chamois niortais et la Berrichonne de Châteauroux, également en Ligue 2.
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 Leonardo Jardim va entraîner le Dalian Yifang en Chine
L'ancien entraîneur de l'AS Monaco, Leonardo Jardim, va devenir l'entraîneur du Dalian Yifang, en Chine. Pour 10 millions d'euros par saison.
 Moins de trois mois après avoir été débarqué par l'AS Monaco, Leonardo Jardim va reprendre du service. L'entraîneur portugais (44 ans) va prendre les rênes du Dalian Yifang. Selon nos informations, il s'envolera vers la Chine ce jeudi soir.

Jardim va signer un contrat de deux ans, pour un salaire annuel de 10 millions d'euros. Soit plus du double de ce qu'il touchait en Principauté, où il était arrivé en 2014 et avait été champion de France et demi-finaliste de la Ligue des champions en 2017. Le technicien a déjà touché plus de 8 millions pour son licenciement de l'ASM le 11 octobre.
Le mois dernier, Jardim était proche de rebondir à Al-Nasr, en Arabie saoudite. Au Dalian Yifang, il va retrouver Yannick Carrasco, qu'il a entraîné à Monaco en 2014-2015. Le milieu international belge (25 ans) est en Chine depuis février 2018.
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Antoine Kombouaré nommé entraîneur de Dijon
Mis à pied de l'En Avant Guingamp cet automne, l'entraîneur kanak a vite rebondi en prenant la place d'Olivier Dall'Oglio, démis de ses fonctions le 31 décembre par le club de Dijon.
Sixième aventure en Ligue 1 pour Antoine Kombouaré : après Guingamp, dont il a été renvoyé début novembre, Lens, le PSG, Valenciennes et Strasbourg, l'ancien défenseur central a été nommé ce jeudi entraîneur du Dijon Football Côte-D'Or, qui a renvoyé Olivier Dall'Oglio le 31 décembre.

Le club bourguignon, de retour dans l'élite à l'été 2017, a connu un début de saison cataclysmique, avec seulement quatre succès sur la phase aller et une 18e place actuelle menaçante au classement, surtout compte tenu du mercato hivernal actif que va réaliser son poursuivant, Monaco.

En concurrence avec René Girard et Guy Lacombe - qui a décliné l’offre pour rester à la DTN, où il est en charge de la formation au Brevet d’entraîneur professionnel - l'entraîneur de 55 ans va prendre en charge l'équipe dès aujourd'hui et sera présent sur le banc de touche pour la réception de Montpellier, samedi soir, lors de 20e journée de Ligue 1.

Il s’engage jusqu’à la fin de saison, avec une année supplémentaire en cas de maintien en Ligue 1 Conforama. Il sera présenté à la presse ce jeudi à 18 heures.
dna

Thierry Henry suspendu de ses fonctions d'entraîneur
Monaco a annoncé ce jeudi soir la mise à l'écart de Thierry Henry. Franck Passi prendra en charge l'entraînement vendredi.
Thierry Henry a été suspendu de ses fonctions d'entraîneur par Monaco, ce jeudi soir. «L'AS Monaco annonce avoir décidé de suspendre de ses fonctions d'entraîneur de l'équipe première Thierry Henry à compter de ce jour et en attente d'une décision définitive. Franck Passi assurera l'entrainement du groupe professionnel ce vendredi», peut-on lire dans un communiqué.

L'ancien attaquant des Bleus été nommé à la tête de l'ASM le 13 octobre, prenant la suite de Leonardo Jardim. Il n'a jamais pu relever l'équipe, qui est toujours avant-dernière de la L1. Il a dirigé 20 matches, toutes compétitions confondues, pour quatre victoires.
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Thomas Tuchel bientôt prolongé à la tête du PSG ?
Malgré l'élimination du PSG en Ligue des Champions, Thomas Tuchel n'est pas menacé. Au contraire. Il pourrait être prolongé jusqu'en 2021 croit savoir le journal L'Equipe.

Certaines éliminations laissent plus de traces que d'autres. Alors qu'Unai Emery n'a jamais redoré son blason après la remontada barcelonaise, Thomas Tuchel pourrait se relever du come-back mancunien avec un nouveau contrat. C'est en tout cas ce que révèle le journal L'Equipe dans son édition de jeudi. D'après le quotidien, l'entraîneur du PSG pourrait être prolongé malgré l'élimination en huitièmes de finale de la Ligue des Champions. L'ancien coach du Borussia Dortmund est actuellement lié avec le champion de France jusqu'en 2020. Mais le contrat signé entre les différentes parties pendant l'été 2018 prévoit une année en option. Une option que souhaite activer Nasser al-Khelaïfi. Il serait donc possible de voir l'Allemand sur le banc du PSG pendant trois saisons. De quoi égaler le record de longévité d'un coach parisien sous l'ère qatarie. Jusque-là, seul Laurent Blanc a atteint le cap des trois ans.
Un bilan moins bon mais presque parfait

Thomas Tuchel est au coeur d'un étonnant paradoxe. Le tacticien de 45 ans fait l'unanimité. Alors que sa capacité à tenir un vestiaire peuplé de stars était longtemps mise en doute à son arrivée, il a réussi un véritable tour de force en séduisant les cadres, mais également les suiveurs du club de la capitale. De sa direction aux joueurs comme Neymar, ils sont nombreux à avoir vanté les qualités de celui qui a joué à Ulm. Malgré les compliments, et les résultats excellents en championnat, le PSG présente un bilan sportif décevant par rapport aux attentes qui l'entourent. Outre l'élimination embarrassante contre Manchester United, le club de la capitale ne gagnera pas la Coupe de la Ligue cette saison. Une première depuis 2013. Mais la direction semble décider à enfin prendre son temps et à ne pas faire table rase du passée à chaque coup d'arrêt. Comme si le champion de France avait enfin compris que c'est sur l'élimination d'une année qu'il est possible de construire les succès de la saison suivante.
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Son exil en Jordanie Objectif Mondial

Alexander Vencel (2 e en partant de la droite), désormais adjoint du sélectionneur belge de la Jordanie, est sous contrat jusqu’à la Coupe du monde 2022 au Qatar. « Pour la qualification, ça va être compliqué, mais on va essayer.»
Désormais adjoint et coach des gardiens avec la Jordanie, Alex Vencel rêve de disputer la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
 Il a quitté le Racing en juin 2016, alors qu’il y intervenait bénévolement depuis trois ans, en marge de ses missions d’instructeur de gardiens à la FIFA. Lorsque Thierry Laurey a débarqué en Alsace avec son staff, Alexander Vencel a repris son bâton de pèlerin. Au gré de ses pérégrinations, le globe-trotter, que ses fonctions à la Fédération internationale ont mené sur tous les continents, a atterri en Jordanie.

« Le lien existait depuis que j’y avais travaillé pour le compte de la FIFA », déroule-t-il. « Mais j’ai refusé les premières propositions, car j’étais en discussions très avancées avec un club chinois. Finalement, c’est tombé à l’eau. »
Le contact est aussitôt renoué avec la Fédération jordanienne. L’été dernier, il pose ses valises dans la capitale, Amman. Sa femme Gabriela l’accompagne.
Une prolongation jusqu’en 2022

« Je ne devais être là que pour préparer la Coupe d’Asie 2019. Mais le sélectionneur a été viré au bout de deux mois. Avec le Belge Vital Borkelmans, ex-adjoint de Marc Wilmots chez les Diables rouges (2012-2016), et un technicien local, nous avons repris l’équipe. Lui comme n°1, moi, comme adjoint et coach des gardiens. En Coupe d’Asie, nous avons fini premiers de poule et été éliminés en 8es de finale aux tirs au but, sans avoir perdu face à quatre équipes mieux placées au classement FIFA. En février, nous avons prolongé jusqu’à la Coupe du monde 2022 au Qatar dont les qualifications débutent en septembre. Travailler ici est compliqué, car les moyens ne sont pas illimités. Mais la Fédération fait beaucoup d’efforts. »

Juste après avoir paraphé son nouveau bail, Alex Vencel, qui collabore toujours avec l’UEFA, a retrouvé quelques jours sa maison de Mittelhausbergen qu’occupe l’une de ses deux filles.

« Ça faisait sept mois que je n’étais pas rentré et je ne pense pas revenir avant Noël. »
dna

Thomas Tuchel a signé sa prolongation de contrat
 L'entraîneur du PSG Thomas Tuchel a prolongé ce jeudi son contrat. Il est désormais lié jusqu'en 2021 avec le club parisien, avec une confortable revalorisation à la clé.
Comme annoncé mercredi, Thomas Tuchel a prolongé, ce jeudi, son contrat avec le PSG. Initialement lié jusqu'en juin 2020, le technicien allemand avait trouvé un accord ces derniers jours pour une année supplémentaire. Ne manquait plus que la signature : c'est chose faite ce jeudi à la Factory, le siège du club de la capitale.
Dans le détail, Tuchel et le PSG ont amendé le contrat existant pour parapher un nouvel engagement de deux ans (2019-2021) qui prendra cours à compter de juillet prochain.
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Bruno Genesio ne sera plus l'entraîneur de Lyon à la fin de la saison 
Le technicien en poste depuis décembre 2015 a annoncé au vestiaire lyonnais son départ en fin de saison. Un point presse doit officialiser le divorce avec Jean-Michel Aulas ce samedi après-midi.
Bruno Genesio donnera une conférence de presse ce samedi à 14h45. Le technicien, en poste depuis décembre 2015, a décidé d'arrêter en fin de saison à l'OL et va l'annoncer officiellement. Il l'a déjà dit à ses joueurs et à son staff.
Et il a parlé longuement avec Jean-Michel Aulas, son président. D'après un témoin de la scène, certains joueurs lui ont même avoué qu'ils avaient été surpris par sa capacité à résister à toutes les critiques ambiantes. Et à rester droit dans une période pas toujours évidente.
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Juninho de retour à Lyon
Selon les informations du Progrès, l'ancien milieu de terrain de l'OL va faire son retour au sein du club rhodanien pour occuper le poste de directeur sportif.
Jean-Michel Aulas rêvait de faire revenir Juninho Pernambucano. Ce rêve est en passe d'être exaucé, puisque selon les informations du Progrès le Brésilien, âgé de 44 ans, devrait bel et bien effectuer son retour à l'OL, comme l'affirmait L'Equipe dans son édition de jeudi. L'ancien joueur brésilien a joué à Lyon de 2001 à 2009.
Mercredi, l'ancienne gloire lyonnaise à "liké" plusieurs messages sur Tweeter le félicitant pour son retour à Lyon, dix après son départ du club rhodanien. C'est ensuite sa propre fille, sur Instagram, qui a félicité son père pour cette grande nouvelle.
Ceux qui connaissent bien Juninho savaient que l'ancien expert ès coup-franc se préparait à revenir dans la lumière. Depuis quelques mois, il s'était installé à Los Angeles, en famille, après quelques déboires dans son pays, notamment en raison de ses prises de position politiques. Il y prenait des cours d'anglais intensifs...
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Garcia viré, ça risque d'être long...
Au terme d'une saison totalement ratée, Rudi Garcia devrait être licencié par l'Olympique de Marseille. Mais compte tenu des indemnités de départ en jeu, les deux parties se seraient lancées dans une partie de poker. 
Cet été, un grand ménage est annoncé à l'Olympique de Marseille. Remplaçants ou titulaires, beaucoup seront concernés par le mercato. Mais les joueurs ne seront pas les seuls visés. En effet, Rudi Garcia devrait lui aussi prendre la porte. Alors que Jacques-Henri Eyraud l'a longtemps soutenu face aux critiques, l'entraîneur olympien a perdu tout son crédit au fil de la saison. 
Eyraud s'est rendu à l'évidence Il faut dire que le technicien n'a atteint aucun des objectifs fixés en début d'exercice. Depuis l'humiliation contre l'Olympique Lyonnais (0-3) dimanche au Vélodrome, le club phocéen a la confirmation qu'il ne disputera aucune coupe d'Europe la saison prochaine. Résultat, le président s'est rendu à l'évidence et semble prêt à virer son coach prolongé jusqu'en 2021 en octobre dernier. D'ailleurs, RMC croit savoir que tout le club s'attend à l'éviction de l'entraîneur. Conscients de la fracture avec une bonne partie du vestiaire, les joueurs en seraient persuadés. «La question n'est plus de savoir si Garcia va quitter l'OM après la fin de saison, mais quand et comment cela sera annoncé» , a même confié un dirigeant à la radio. De son côté, le principal intéressé n'est pas dupe et sait ce qui l'attend. 
Le double coup de bluff Pourtant, Garcia fait comme si de rien n'était, assurant qu'il prépare déjà la saison prochaine. Un simple coup de bluff selon nos confrères, qui révèlent que les deux parties refusent de jouer cartes sur table. «On se dirige vers une partie de poker menteur dans les prochains jours, a annoncé une source proche de l'OM. Le club attend aussi de savoir si Garcia a d'autres offres, ce qui pourrait alléger un peu les indemnités du club olympien au cas où Garcia doit être libéré plus rapidement pour s'engager ailleurs.» Et pour cause, on parle quand même de 10 millions d'euros d'indemnités pour virer l'entraîneur et son staff. Le propriétaire Frank McCourt est sûrement prêt à passer à la caisse, mais si Eyraud pouvait réduire la facture… En tout cas, peu importe la manière, les supporters seront ravis d'apprendre que l'OM s'apprête à éjecter la cible de leurs critiques répétées. Le public attendra néanmoins une fin rapide puisque l'incertitude autour d'un coach ne rassure jamais les potentielles recrues… -
 Source: Maxifoot,

 Jean-Marc Furlan entraînera Auxerre la saison prochaine (officiel)
Jean-Marc Furlan, en fin de contrat avec Brest, a confirmé ce vendredi qu'il serait l'entraîneur d'Auxerre en Ligue 2 la saison prochaine.
À l'issue de la dernière journée et après la défaite sans conséquence de Brest à Metz (0-1), ce vendredi, Jean-Marc Furlan a confirmé qu'il entraînerait bien Auxerre en Ligue 2 la saison prochaine. Il succédera à Cédric Daury sur le banc de l'AJA. Après avoir dirigé le Stade Brestois pendant trois saisons et avoir guidé le club jusqu'à la remontée dans l'élite, le technicien (61 ans) était en fin de contrat.
« Mon avenir n'est plus à Brest, les supporters le savent. la saison prochaine, je serai à l'AJA, c'est officiel, a-t-il déclaré sur beIN Sports. Je suis très heureux de remonter un nouveau projet. Je pars, sans regrets, pour une nouvelle aventure. Ça fait partie du jeu. J'ai connu trois années fantastiques ici. Je reviendrai à Brest, c'est sûr, parce que je m'y suis beaucoup plu. » Pour le remplacer en Bretagne, Olivier Dall'Oglio et Christophe Pelissier tiennent la corde.
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Sylvinho arrive à l'OL comme entraîneur


Lyon et Sylvinho ont trouvé un accord, ce vendredi. Le Brésilien succédera à Bruno Genesio comme entraîneur de l'OL la saison prochaine.
C'est désormais une certitude, le prochain entraîneur de Lyon se nomme Sylvinho. Après s'être sérieusement rapprochés dans la journée, le Brésilien (45 ans) et l'OL ont trouvé un accord. Il va signer un contrat de deux ans, selon RMC Sport.
Cette arrivée de l'ancien défenseur du Barça, libéré de ses fonctions un peu plus tôt par la Confédération brésilienne (CBF), est le choix de son compatriote Juninho, futur nouveau directeur sportif du club rhodanien. Sylvinho, qui n'a encore jamais entraîné, succédera à Bruno Genesio, en fin de contrat, sur le banc lyonnais.
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Mickaël Landreau n'est plus l'entraîneur de Lorient
Mickaël Landreau a annoncé samedi matin à ses joueurs qu'il ne serait plus l'entraîneur du FC Lorient. Le club a confirmé son départ.
Le FC Lorient n'a plus d'entraîneur. Comme révélé par Ouest France dans la matinée, Mickaël Landreau (40 ans) a annoncé son départ à ses joueurs samedi matin, au lendemain de la dernière journée de Ligue 2. Le club a confirmé son départ à midi, précisant qu'il s'agissait d'une résiliation à l'amiable.
Malgré son succès (3-2) vendredi au Havre, Lorient a terminé à la ?sixième place du classement et a donc échoué dans son opération remontée en Ligue 1, l'objectif en début de saison.
 Arrivé en 2017, Mickaël Landreau avait signé un contrat de trois ans avec le club morbihannais. Il a dirigé les Merlus pendant 76 matches de Ligue 2 pour un total de 35 victoires, 20 nuls et 21 défaites.

Le FC Lorient communiquera le nom du prochain entraîneur dans les semaines à venir.
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Malgré l'arrivée de Sylvinho sur le banc de l'OL, les entraîneurs brésiliens restent rares en France
  Sylvinho va entrer dans le cercle très fermé des Brésiliens entraînant un club français. Ils se comptent même sur les doigts de la main...
Il y a quatre ans, Leonardo faisait ce constat, implacable : « Citez-moi un entraîneur brésilien, aujourd'hui, qui exerce en Europe ? Il n'y en a pas. Vous avez des Argentins, Simeone à l'Atlético Madrid, Pochettino à Tottenham (les deux toujours en poste), Bielsa à Marseille (désormais à Leeds, D2 ANG) ; un Chilien, Pellegrini à Manchester City (maintenant à West Ham) ; un Uruguayen comme Poyet qui a dirigé Sunderland (puis Bordeaux)... Tous les Sud-Américains sont là, sauf les Brésiliens. »

Le discours de l'actuel directeur sportif de l'AC Milan pourrait être le même aujourd'hui. En attendant l'arrivée de Sylvinho sur le banc de l'OL la saison prochaine, aucun entraîneur brésilien n'exerce dans un Championnat européen, que ce soit l'un des cinq grands (Angleterre, Espagne, Italie, Allemagne et France) ou dans les autres principales Ligues (Portugal, Russie, Pays-Bas, Turquie, Ukraine, Belgique, Écosse et Suisse).

Seulement trois Brésiliens avant Sylvinho en France

En France, les entraîneurs brésiliens n'ont jamais eu la cote. Avant l'arrivée de Ricardo sur le banc du PSG en 1996, à seulement 31 ans, un seul de ses compatriotes avait dirigé une équipe française. Il faut remonter à janvier 1962 pour retrouver un certain Otto Gloria. Il n'était resté en poste que quatre mois, le temps de faire remonter l'OM en première division. Avant et après ce passage en France, Otto Gloria avait aussi entraîné d'autres grands clubs européens, comme Benfica, le FC Porto, le Sporting et l'Atlético de Madrid.

Libéré par le PSG en 1998, Ricardo reviendra en France sept ans plus tard. Il enchaînera deux expériences : Bordeaux (2005-2007) et Monaco (2007-2009). Le 5 septembre 2018, il est revenu aux Girondins mais, n'ayant pas le diplôme d'entraîneur, il était manager général. Il a été remercié le 26 février. Abel Braga, lui, n'est resté en poste que quatre mois à l'OM, entre juillet et novembre 2000. Il est alors licencié sur un bilan de cinq victoires, trois nuls et huit défaites.
Et ailleurs en Europe ?

Comme c'est le cas en France, l'entraîneur brésilien n'a pas beaucoup de succès dans les autres pays européens. Seuls quatre ont dirigé des grands clubs européens : Luiz Felipe Scolari à Chelsea pendant sept mois en 2008-2009, Vanderlei Luxemburgo au Real Madrid pendant un an, entre le 30 décembre 2004 et le 5 décembre 2005, Carlos Alberto Parreira à Valence (1995-1996) et Leonardo, qui a enchaîné AC Milan (2009-2010) et Inter Milan (2010-2011). Seul l'ancien directeur sportif du PSG a remporté un trophée, la Coupe d'Italie avec l'Inter.

Parreira a aussi entraîné en Turquie, où il a remporté le Championnat en 1996 avec Fenerbahçe. Zico a fait pareil en 2007, doublant avec la Supercoupe de Turquie. Il a également exercé en Russie, au CSKA Moscou, qu'il a mené au titre en 2009. Deux autres Brésiliens ont entraîné Fenerbahçe : Didi entre 1972 et 1975 (champion en 1974 et 1975) et Sebastiao Lazaroni, qui avait pris la succession de Carlos Alberto Parreira en 1996-1997. Sans connaître le même succès (troisième du Championnat). Il a aussi entraîné la Fiorentina pendant deux saisons (1990-1992). Paulo Autuori, qui s'est occupé du Ludogorets Razgrad la saison passée, a entraîné au Portugal dans les années 80 et 90 (Vitoria Guimaraes, Nacional, Maritimo et Benfica).
Baltemar Brito, le plus titré

Antonio Carlos Zago a, lui, exercé comme adjoint, à la Roma (2013) et au Chakhtior Donetsk (2013-2015). Finalement, le technicien brésilien le plus titré est Baltemar Brito, adjoint de José Mourinho à Porto, Chelsea et à l'Inter. Entre 2001 et 2010, il a remporté, entre autres, deux Ligues des champions, une Ligue Europa et six Championnats (deux Primeira Liga, deux Premier League et deux Serie A).

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Frédéric Antonetti sera manager général, Vincent Hognon entraîneur
 Frédéric Antonetti, rentré en Corse depuis décembre au chevet de son épouse malade, sera manager général du club mosellan la saison prochaine.
« Frédéric Antonetti sera manager général du secteur professionnel. » Bernard Serin, le président du FC Metz, a clarifié samedi la situation de son entraîneur, rentré en Corse depuis décembre au chevet de son épouse malade.
« Néanmoins, le fait qu'il ne puisse pas être présent en permanence nous amène à recruter un adjoint supplémentaire [...] ce qui permettra de travailler plus efficacement », a expliqué le dirigeant samedi, lors d'une réception à l'Hôtel de ville de Metz.
Vincent Hognon, qui a intégré le staff en août dernier à la demande du technicien corse, aura la responsabilité de l'équipe première, aux côtés de Jean-Marie De Zerbi, fidèle adjoint d'Antonetti. « Je suis venu avec Fred, j'ai envie de continuer avec Fred, il n'y a donc pas de souci », a commenté Hognon, en charge de l'équipe depuis la mise en retrait de Frédéric Antonetti.
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Jean-Louis Gasset, entraîneur de Saint-Étienne : «Ma mission se termine en apothéose» 
Jean-Louis Gasset, entraîneur de l'ASSE, confirme qu'il quittera les Verts en fin de saison, avec le sentiment du devoir accompli.
«Ma mission est terminée. Je rentre chez moi.» En conférence de presse, ce mardi après-midi, l'entraîneur de Saint-Étienne Jean-Louis Gasset (65 ans) a officialisé son départ du club à l'issue de la saison.
Arrivé à Saint-Étienne en décembre 2017, l'ancien entraîneur de Montpellier quitte le Forez après avoir qualifié les Verts, 4es de Ligue 1, pour la prochaine Ligue Europa. Il a également encensé son entraîneur adjoint Ghislain Printant, pressenti pour reprendre l'équipe avec Julien Sablé : «Ce n'est pas moi qui vais choisir mon successeur. Il a en tout cas un gros avantage, il en a plusieurs. Il a déjà entraîné en Ligue 1, il a de la bouteille et il connaît le groupe par coeur. Il a les leaders avec lui.»

« Confirmez-vous votre décision d'arrêter d'entraîner l'AS Saint-Étienne en fin de saison ?
Oui. J'ai pris la décision de rentrer chez moi. Ma mission est terminée. Elle s'est réalisée en deux temps : les six premiers mois (novembre 2017-mai 2018), pour sauver le club d'une situation délicate, après avoir fait un recrutement conséquent. On a même failli être européens, suite à une très, très belle série. Après cet épisode-là, je me suis déjà posé la question de savoir si je continuais l'aventure car ma mission était accomplie. C'est vrai que le dernier match contre Lille (5-0, le 19 mai 2018) m'a bouleversé. Voir ces gens quoi vous acclament, c'est magnifique. Donc, je savais qu'il fallait ramener Saint-Étienne à l'Europe et j'ai dit banco : on va essayer de remplir cet objectif. Ça a été très difficile, entre les blessures, les suspensions, le VAR et malgré ça, on a maintenu la barre grâce à quinze joueurs et les jeunes de la Gambardella pour finir en apothéose contre Nice en finissant à la quatrième place (3-0, samedi dernier). Car cette saison, il n'y en avait qu'une à atteindre pour se qualifier en Ligue Europa, en Championnat. Personnellement, je finis rincé car il y a une pression très forte ici. Saint-Étienne est un club médiatique qu'on veut mettre au plus haut des clubs de France. En finissant quatrièmes, on a fait, pour moi, une saison excellente. Après, une fois l'objectif atteint, se pose la question : dans quel état on se trouve ? Je peux vous dire qu'on finit très fatigué et on dira que lorsqu'on arrive à un âge un peu mûr (il a 65 ans), on se demande quelle est la priorité : sa vie ou de sa passion qui dure depuis quarante ans? Aujourd'hui, j'ai choisi la famille. Je remercie les joueurs. J'ai eu des gladiateurs, pas des joueurs de foot mais à vrais hommes, mon staff et surtout, je veux remercier ce public qui, contre Nice, nous a donné une fois de plus la chair de poule. Avec Ghislain (Printant, son adjoint), on a remis le club là, où il devait être.


«Je n'abandonne pas. Rien du tout. Rien, ni personne. Ne me dites pas ça. Je ne suis pas en état»


Abandonner cette équipe en Ligue d'Europa, n'est-ce pas un crève-coeur ?
Je n'abandonne pas. Rien du tout. Rien, ni personne. Ne me dites pas ça. Je ne suis pas en état. Je n'ai plus l'énergie. Physiquement, je suis usé.
Quand avez-vous pris cette décision ?
Il y a un petit moment. Pourquoi ai-je tardé à parler ? Je ne voulais pas déstabiliser le groupe et je ne l'ai pas dit samedi, parce que je n'avais pas envie de plomber l'ambiance en créant un "contre-événement". Je ne pouvais pas noircir le tableau après un tour d'honneur magique et devant des gens heureux.
Comment les joueurs ont-ils accueilli votre décision ?
J'ai été pris de court car j'avais établi un timing. Mais comme c'est sorti, j'ai dû appeler mes cadres un par un, pour pas qu'ils l'apprennent par la presse.

«C'est une décision dure à prendre car je vois des gens, entiers dans cette région,

touchés»


Rien n'aurait pu vous faire rester ?
Non, rien. Personne ne peut lutter contre ma famille. Si vous faites ça, vous avez perdu. C'est une décision dure à prendre car je vois des gens, entiers dans cette région, touchés. Je reviendrai à Geoffroy-Guichard pour les matches de Coupe d'Europe en me disant que j'y suis peut-être pour quelque chose.
Plus de moyens auraient-ils pu vous convaincre de rester ?
Mes présidents connaissent la bourse et ses limites et nous, entraîneurs, on ne pense que terrain et bons joueurs. Le tout est d'arriver à trouver un bon équilibre. C'est partout pareil.
Et qu'en est-il de vos rapports avec le président Romeyer ?
J'ai lu qu'on ne s'entendait pas trop. On a eu des relations normales, avec quelques frictions logiques. Le truc, c'est que c'est toujours à l'entraîneur de s'adapter. J'ai découvert combien le rôle d'entraîneur numéro un est éprouvant, notamment avec les médias. C'est un métier de parler à la presse, de ne pas faire une erreur toutes les semaines. De ne pas faire une erreur de français, sinon vous allez dire que je ne suis pas allé à l'école. Ce qui est vrai. C'est pour ça que je prépare tout sur de petits papiers. Avec Laurent Blanc (dont il a été l'adjoint), je ne me rendais pas compte de tout cela. Là, il y a beaucoup plus de travail et de décisions à prendre. Vous ne faites que parler, avec les uns, les autres, de leurs soucis, et vous adapter à la situation.
Vous reverra-t-on en numéro deux ?
Je ne sais pas. Pour moi, la mission se termine en apothéose. »
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Saint-Etienne : le départ du directeur sportif Dominique Rocheteau confirmé par le président Roland Romeyer



À 65 ans, Dominique Rocheteau, qui était revenu au club en 2010, quitte son poste de directeur sportif.
En marge de la conférence de presse qui a officialisé le départ de l'entraîneur Jean-Louis Gasset, ce mardi, le président de Saint-Etienne, Roland Romeyer, a également annoncé que Dominique Rocheteau quittait ses fonctions de directeur sportif.
« Je suis allé le chercher, il y a dix ans, à Blois, avec son épouse, s'est souvenu Romeyer. Je lui avais dit : "Tu es une icône. Viens dix ans avec moi et après, tu iras rejoindre ta Charente." Et, hier (lundi) matin, Dominique est venu me rappeler ce que je lui avais dit. Il va avoir 65 ans (il se met à pleurer). Et il m'a dit : "Je vais prendre ma retraite." »
La fin d'une époque
Revenu dans son club formateur en 2010, il avait occupé plusieurs fonctions à l'ASSE, tour à tour membre du conseil de surveillance puis du directoire, conseiller du président et coordinateur sportif. En juin 2017, il endossait la fonction de directeur sportif, chargé de chapeauter la formation, le recrutement et les pros. Conjuguée à celle de Gasset, la fin de ce mandat marque un changement dans la gouvernance du club stéphanois.
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l'entraîneur Rudi Garcia officialise son départ en fin de saison 
Rudi Garcia a annoncé ce mercredi en conférence de presse son départ du poste d'entraîneur de l'OM.
Arrivé à l'OM en octobre 2016, Rudi Garcia a annoncé son départ du club ce mercredi, lors d'une conférence de presse en présence du président du club Jacques-Henri Eyraud. «J'ai décidé de quitter l'OM, une décision acceptée par le président Jacques-Henri Eyraud», a lâché le technicien de 55 ans. «J'ai beaucoup de respect pour Rudi. Il restera à jamais comme l'entraîneur qui aura amené l'OM en finale européenne», a confié le président olympien.
Il quittera son poste la semaine prochaine, après le dernier match de Championnat contre Montpellier, vendredi (21h05). Il avait été prolongé jusqu'en 2021, au mois d'octobre. Garcia a incarné le début de l'ère Frank McCourt à Marseille. Il a reconstruit l'équipe à son arrivée, et a réussi l'exploit de mener le club jusqu'en finale de la Ligue Europa en 2018 (défaite 0-3 contre l'Atlético de Madrid).
La saison 2018-2019 a toutefois était un «échec» de son propre aveu. Chahuté par les supporters depuis plusieurs mois, Garcia a décidé de claquer la porte.
42% Marseille a perdu 42% de ses matches en 2018-2019 toutes compétitions confondues (19/45), son pire pourcentage de défaites sur une saison depuis 2000-2001 (49% 18/37).
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Jocelyn Gourvennec va quitter Guingamp
  Guingamp, déjà relégué en Ligue 2, a acté la séparation avec son entraîneur à l'issue de la saison.
Alors qu'il avait clamé le week-end dernier vouloir rester à Guingamp malgré la descente en Ligue 2, à condition que «le projet soit clair et défini», Jocelyn Gourvennec ne le fera pas. Le club a annoncé son départ en fin de saison ce mercredi, via un communiqué. «Après avoir pris chacun le temps de la réflexion, mais après avoir surtout pris tout le temps nécessaire pour échanger sereinement et honnêtement, les deux parties ont décidé d'un commun accord de mettre fin à leur collaboration, écrit l'EAG. Le club remercie Jocelyn pour sa contribution inoubliable à son histoire récente, et lui souhaite le meilleur pour la suite de sa carrière (...) Cette décision honnête pour les 2 parties marque le départ de chacun vers un nouveau projet.»

Il était arrivé le 12 novembre pour tenter de sauver la place du club dans l'élite, en vain. Il avait déjà guidé l'EAG de 2010 à 2016.

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