23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
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23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
AS St-Etienne-Racing le dimanche 3 février à 17 heures
La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 23e journée de Ligue 1 Conforama.
La rencontre entre l’AS Saint-Etienne et le Racing se déroulera le dimanche 3 février à 17 heures au stade Geoffroy-Guichard dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1 Conforama. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS 1.
SO
La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 23e journée de Ligue 1 Conforama.
La rencontre entre l’AS Saint-Etienne et le Racing se déroulera le dimanche 3 février à 17 heures au stade Geoffroy-Guichard dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1 Conforama. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS 1.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Le marathon finit dans le Chaudron
Demain dans le Chaudron de Saint-Étienne, le Racing franchira la ligne d’arrivée de son marathon de huit matches en vingt-six jours, conclu par un choc entre le 4e et le 5e de la Ligue 1.
Pour un Racing qui marche sur l’eau depuis le début de l’année 2019, il ne saurait être question de miracle divin comme dans le film éponyme. Mais demain à Saint-Étienne, c’est bien une ligne verte que franchira l’équipe de Thierry Laurey. La ligne d’arrivée d’un marathon de huit matches en vingt-six jours, entamé le mardi 8 janvier non loin de là, à Lyon, en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (succès 2-1).
« En Espagne, on avait l’impression d’être une famille »
À leur retour du Chaudron de Geoffroy-Guichard, les Bleus retrouveront un rythme moins harassant d’un match par semaine. En ont-ils réellement besoin, eux qui, en un mois, n’ont pas connu de baisse de régime significative, avec six succès pour un seul échec, loin d’être infamant, à Paris en 16es de Coupe de France (2-0) ?
Pas du style à lâcher du lest, même quand tout va bien, Thierry Laurey prépare déjà l’entrée de la fusée strasbourgeoise dans un sas qu’il aimerait ne pas être de décompression. « Je suis un peu soulagé (que le marathon s’achève) , mais quand tu es habitué à jouer tous les trois ou quatre jours, ça peut faire un vide. Il faut faire attention à ce qu’il n’y ait pas de relâchement complet. À Saint-Étienne, il n’y aura pas matière à se relâcher. Il faudra garder le même état d’esprit. »
Un état d’esprit que le séjour à San Pedro Del Pinatar (Espagne), du 9 au 12 janvier, a contribué, sinon à forger, du moins à consolider, selon un Dimitri Lienard qui, en vieux sage, a observé la mue de l’effectif strasbourgeois ces derniers mois.
« On a eu la chance de faire un stage en Espagne où le club nous a mis dans de très bonnes conditions pour préparer correctement la deuxième partie de saison, se réjouit-il. Le groupe a vraiment pu se retrouver. On avait l’impression d’être une famille.»
«Quatre jours, c’était juste bien, ni trop long, ni trop court, ajote Lienard. En avant-saison, tout le monde n’était pas arrivé et on se connaissait à peine. Là, on a vraiment senti une osmose totale. Bien sûr, c’est toujours plus simple quand les résultats sont bons. Malheureusement, il y a eu la blessure de Jonas (Martin) , mais si on excepte ça, on a eu toutes les armes pour aborder chaque match. Le coach a pu faire tourner. C’est positif dans le sens où tout le monde a pu jouer. En jouant tous les trois jours, on évite la routine. C’était d’autant plus cool qu’on a presque tout gagné, sauf Paris. »
Cette osmose décrite par son vice-capitaine, le milieu défensif Ibrahima Sissoko l’attribue en partie au management de son entraîneur : « Il fait en sorte que tout le monde se sente concerné et ait sa chance. C’est pour ça que le groupe est uni et vit bien, qu’on est une vraie famille. En Espagne, on a bien bossé et ça a payé.»
«En stage, on dort, on mange, on joue au foot, poursuit-il. On est tous dans le même état d’esprit. On suit le même fil conducteur. Janvier a été extraordinaire. Il faut continuer sur notre lancée, ne pas s’arrêter là. La demi-finale de Coupe de la Ligue contre Bordeaux est passée. Maintenant, on va à Saint-Étienne avec l’espoir de faire un très bon match à l’extérieur, dans la lignée des précédents. »
« L’effectif est important et il y a des choix à faire »
Avant la “coupure” de six jours qui mènera à la réception d’Angers samedi prochain, Thierry Laurey va de nouveau veiller ce dimanche à l’intégrité physique de ses hommes.
« Les gars sont sous pression et contre Bordeaux, certains ont terminé exténués, admet-il. À Saint-Étienne, on va voir comment on peut gérer cet état de fatigue un peu plus prononcé. À part le cas spécifique de Lionel Carole qui s’est blessé bêtement – s’il nous avait dit qu’il ressentait quelque chose, je ne l’aurais pas fait jouer à Paris –, la période a été bien gérée. Aujourd’hui, l’effectif est important et il y a des choix à faire. »
Et, pour le Racing, un ultime coup de rein à donner dans le Chaudron pour faire bouillir un peu plus la marmite et prouver qu’on peut très bien finir un marathon au sprint.
dna
Demain dans le Chaudron de Saint-Étienne, le Racing franchira la ligne d’arrivée de son marathon de huit matches en vingt-six jours, conclu par un choc entre le 4e et le 5e de la Ligue 1.
Pour un Racing qui marche sur l’eau depuis le début de l’année 2019, il ne saurait être question de miracle divin comme dans le film éponyme. Mais demain à Saint-Étienne, c’est bien une ligne verte que franchira l’équipe de Thierry Laurey. La ligne d’arrivée d’un marathon de huit matches en vingt-six jours, entamé le mardi 8 janvier non loin de là, à Lyon, en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (succès 2-1).
« En Espagne, on avait l’impression d’être une famille »
À leur retour du Chaudron de Geoffroy-Guichard, les Bleus retrouveront un rythme moins harassant d’un match par semaine. En ont-ils réellement besoin, eux qui, en un mois, n’ont pas connu de baisse de régime significative, avec six succès pour un seul échec, loin d’être infamant, à Paris en 16es de Coupe de France (2-0) ?
Pas du style à lâcher du lest, même quand tout va bien, Thierry Laurey prépare déjà l’entrée de la fusée strasbourgeoise dans un sas qu’il aimerait ne pas être de décompression. « Je suis un peu soulagé (que le marathon s’achève) , mais quand tu es habitué à jouer tous les trois ou quatre jours, ça peut faire un vide. Il faut faire attention à ce qu’il n’y ait pas de relâchement complet. À Saint-Étienne, il n’y aura pas matière à se relâcher. Il faudra garder le même état d’esprit. »
Un état d’esprit que le séjour à San Pedro Del Pinatar (Espagne), du 9 au 12 janvier, a contribué, sinon à forger, du moins à consolider, selon un Dimitri Lienard qui, en vieux sage, a observé la mue de l’effectif strasbourgeois ces derniers mois.
« On a eu la chance de faire un stage en Espagne où le club nous a mis dans de très bonnes conditions pour préparer correctement la deuxième partie de saison, se réjouit-il. Le groupe a vraiment pu se retrouver. On avait l’impression d’être une famille.»
«Quatre jours, c’était juste bien, ni trop long, ni trop court, ajote Lienard. En avant-saison, tout le monde n’était pas arrivé et on se connaissait à peine. Là, on a vraiment senti une osmose totale. Bien sûr, c’est toujours plus simple quand les résultats sont bons. Malheureusement, il y a eu la blessure de Jonas (Martin) , mais si on excepte ça, on a eu toutes les armes pour aborder chaque match. Le coach a pu faire tourner. C’est positif dans le sens où tout le monde a pu jouer. En jouant tous les trois jours, on évite la routine. C’était d’autant plus cool qu’on a presque tout gagné, sauf Paris. »
Cette osmose décrite par son vice-capitaine, le milieu défensif Ibrahima Sissoko l’attribue en partie au management de son entraîneur : « Il fait en sorte que tout le monde se sente concerné et ait sa chance. C’est pour ça que le groupe est uni et vit bien, qu’on est une vraie famille. En Espagne, on a bien bossé et ça a payé.»
«En stage, on dort, on mange, on joue au foot, poursuit-il. On est tous dans le même état d’esprit. On suit le même fil conducteur. Janvier a été extraordinaire. Il faut continuer sur notre lancée, ne pas s’arrêter là. La demi-finale de Coupe de la Ligue contre Bordeaux est passée. Maintenant, on va à Saint-Étienne avec l’espoir de faire un très bon match à l’extérieur, dans la lignée des précédents. »
« L’effectif est important et il y a des choix à faire »
Avant la “coupure” de six jours qui mènera à la réception d’Angers samedi prochain, Thierry Laurey va de nouveau veiller ce dimanche à l’intégrité physique de ses hommes.
« Les gars sont sous pression et contre Bordeaux, certains ont terminé exténués, admet-il. À Saint-Étienne, on va voir comment on peut gérer cet état de fatigue un peu plus prononcé. À part le cas spécifique de Lionel Carole qui s’est blessé bêtement – s’il nous avait dit qu’il ressentait quelque chose, je ne l’aurais pas fait jouer à Paris –, la période a été bien gérée. Aujourd’hui, l’effectif est important et il y a des choix à faire. »
Et, pour le Racing, un ultime coup de rein à donner dans le Chaudron pour faire bouillir un peu plus la marmite et prouver qu’on peut très bien finir un marathon au sprint.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Le match Saint-Étienne - Racing club de Strasbourg reporté
L'entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey vient de l’annoncer en conférence de presse ce samedi après-midi, quelques instants après l’avoir appris dans le vestiaire : la rencontre de la 23e journée de Ligue 1 entre Saint-Étienne et Strasbourg, initialement programmée ce dimanche à 17 h au stade Geoffroy-Guichard, est reportée à une date ultérieure. Une décision prise en raison des fortes chutes de neige qui s’abattent actuellement sur le Forez et rendent l’accès au stade très compliqué.
Les dirigeants stéphanois n’ayant pas la garantie que la situation météo s’améliorera ces prochains jours, le match ne sera pas reprogrammé cette semaine, mais plus tard, à une date à définir par la commission d’organisation des compétitions.
dna
L'entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey vient de l’annoncer en conférence de presse ce samedi après-midi, quelques instants après l’avoir appris dans le vestiaire : la rencontre de la 23e journée de Ligue 1 entre Saint-Étienne et Strasbourg, initialement programmée ce dimanche à 17 h au stade Geoffroy-Guichard, est reportée à une date ultérieure. Une décision prise en raison des fortes chutes de neige qui s’abattent actuellement sur le Forez et rendent l’accès au stade très compliqué.
Les dirigeants stéphanois n’ayant pas la garantie que la situation météo s’améliorera ces prochains jours, le match ne sera pas reprogrammé cette semaine, mais plus tard, à une date à définir par la commission d’organisation des compétitions.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Un peu de répit
Le Saint-Étienne – Racing programmé ce dimanche a été reporté à une date ultérieure. Les rigoureuses conditions climatiques dans le Forez ont amené la Ligue à prendre cette décision.
C’est l’hiver. Il fait froid et parfois même, il neige. Il faudra vraiment songer à une réforme des calendriers pour l’Hexagone où une bonne partie du territoire grelotte de janvier à mars, à une période où le rythme des matches n’est jamais plus élevé. Cette saison, le Racing aura joué trois matches au mois d’août, sept en janvier.
Il a été exempté de l’ultime étape de son marathon de début d’année, un déplacement à Saint-Étienne qui devait clôturer une période à huit matches en vingt-six jours. Les conditions climatiques, à savoir des chutes de neige continues qui ont enseveli le Forez sous un voile blanc, ont eu raison de la tenue du 23e match des Strasbourgeois en championnat. L’information a commencé à fuiter, ce samedi, aux alentours de 14h30 heures.
« Qu’il neige à Saint-Étienne, ce n’est pas une surprise »
À ce moment-là, Matz Sels, en conférence de presse, exprimait ses espoirs de prolonger une dynamique si positive pour son équipe. Le gardien belge n’était alors au courant de rien. À son retour aux vestiaires, il a été informé du changement de programme par Thierry Laurey, en même temps que ses coéquipiers.
« Ici, ce n’est pas le centre du monde, a confié l’entraîneur, au moment de commenter le report. J’ai vécu à Saint-Étienne (il a été joueur chez les Verts et également recruteur, ndlr) et c’est une région où il y a beaucoup de microclimats. Mais qu’il neige à Saint-Étienne, ce n’est pas une surprise, ça peut arriver et il y a plus de chances que ça y arrive qu’à Nice ou à Monaco. »
Ainsi, le Racing est confronté à son deuxième report de la saison, à chaque fois pour des raisons climatiques alors que beaucoup de clubs de l’élite ont plutôt été “victimes” de la crise des gilets jaunes.
Après son premier match de janvier, en 32es de finale de Coupe de France, face à Grenoble, initialement prévu le 5 et finalement reporté au 16 (0-1 a.p.), c’est son premier match de février qui est concerné. Il y a au moins la satisfaction de ne pas s’être coltiné un voyage pour rien, ce qui avait le cas en Isère, puisque le report avait alors été décidé moins d’une heure avant le coup d’envoi.
« Pour l’instant, le match est reporté sine die », a néanmoins précisé officiellement le Racing.
Les joueurs ont donc eu droit à un peu de répit même si une séance d’entraînement a bien été à leur programme ce samedi. Néanmoins, le staff technique leur a accordé un dimanche et un lundi de liberté, les retrouvailles ayant été programmées mardi matin.
« On va prendre notre mal en patience, on va se reposer, a conclu Thierry Laurey. Ce n’est peut-être pas une mauvaise chose malgré tout. Je n’ai pas trop d’inquiétude par rapport à cet épisode. La semaine où il y aura trois matches à jouer va sans doute arriver rapidement. Tous les joueurs doivent rester sous pression par rapport à ça. Quelques garçons ont fini le match contre Bordeaux un peu fatigués. »
Ils ont notamment été trois (Pablo Martinez, Anthony Caci et Ibrahima Sissoko) à se ménager en s’entretenant à part. Mais la suite de la réjouissante saison est pour bientôt. Dans six jours, Angers débarque à la Meinau.
dna
Le Saint-Étienne – Racing programmé ce dimanche a été reporté à une date ultérieure. Les rigoureuses conditions climatiques dans le Forez ont amené la Ligue à prendre cette décision.
C’est l’hiver. Il fait froid et parfois même, il neige. Il faudra vraiment songer à une réforme des calendriers pour l’Hexagone où une bonne partie du territoire grelotte de janvier à mars, à une période où le rythme des matches n’est jamais plus élevé. Cette saison, le Racing aura joué trois matches au mois d’août, sept en janvier.
Il a été exempté de l’ultime étape de son marathon de début d’année, un déplacement à Saint-Étienne qui devait clôturer une période à huit matches en vingt-six jours. Les conditions climatiques, à savoir des chutes de neige continues qui ont enseveli le Forez sous un voile blanc, ont eu raison de la tenue du 23e match des Strasbourgeois en championnat. L’information a commencé à fuiter, ce samedi, aux alentours de 14h30 heures.
« Qu’il neige à Saint-Étienne, ce n’est pas une surprise »
À ce moment-là, Matz Sels, en conférence de presse, exprimait ses espoirs de prolonger une dynamique si positive pour son équipe. Le gardien belge n’était alors au courant de rien. À son retour aux vestiaires, il a été informé du changement de programme par Thierry Laurey, en même temps que ses coéquipiers.
« Ici, ce n’est pas le centre du monde, a confié l’entraîneur, au moment de commenter le report. J’ai vécu à Saint-Étienne (il a été joueur chez les Verts et également recruteur, ndlr) et c’est une région où il y a beaucoup de microclimats. Mais qu’il neige à Saint-Étienne, ce n’est pas une surprise, ça peut arriver et il y a plus de chances que ça y arrive qu’à Nice ou à Monaco. »
Ainsi, le Racing est confronté à son deuxième report de la saison, à chaque fois pour des raisons climatiques alors que beaucoup de clubs de l’élite ont plutôt été “victimes” de la crise des gilets jaunes.
Après son premier match de janvier, en 32es de finale de Coupe de France, face à Grenoble, initialement prévu le 5 et finalement reporté au 16 (0-1 a.p.), c’est son premier match de février qui est concerné. Il y a au moins la satisfaction de ne pas s’être coltiné un voyage pour rien, ce qui avait le cas en Isère, puisque le report avait alors été décidé moins d’une heure avant le coup d’envoi.
Reporté sine die mais…
En pareil cas, la date libre la plus proche est généralement privilégiée par la Ligue de Football Professionnel mais les prévisions météorologiques ne sont guère optimismes et il a été exclu que le match puisse se dérouler en milieu de semaine prochaine. Ainsi, du côté du Racing, le voyage vers Geoffroy-Guichard commençait à être envisagé la semaine d’après, entre la réception d’Angers, le 9 février, et le déplacement à Caen, le 16.« Pour l’instant, le match est reporté sine die », a néanmoins précisé officiellement le Racing.
Les joueurs ont donc eu droit à un peu de répit même si une séance d’entraînement a bien été à leur programme ce samedi. Néanmoins, le staff technique leur a accordé un dimanche et un lundi de liberté, les retrouvailles ayant été programmées mardi matin.
« On va prendre notre mal en patience, on va se reposer, a conclu Thierry Laurey. Ce n’est peut-être pas une mauvaise chose malgré tout. Je n’ai pas trop d’inquiétude par rapport à cet épisode. La semaine où il y aura trois matches à jouer va sans doute arriver rapidement. Tous les joueurs doivent rester sous pression par rapport à ça. Quelques garçons ont fini le match contre Bordeaux un peu fatigués. »
Ils ont notamment été trois (Pablo Martinez, Anthony Caci et Ibrahima Sissoko) à se ménager en s’entretenant à part. Mais la suite de la réjouissante saison est pour bientôt. Dans six jours, Angers débarque à la Meinau.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Saint-Etienne - Racing reprogrammé le 13 février
Initialement prévu le 4 février, Saint-Etienne - Racing se disputera le 13 février avec un coup d'envoi fixé à 19h.
A priori, le calendrier du Racing ne sera pas perturbé trop longtemps. En effet, la Ligue de Foot professionnel a décidé, comme à son habitude, de reprogrammer le Saint-Etienne - Racing reporté en raison des conditions climatiques, à la première date libre à savoir le 13 février, avec un coup d'envoi à 19h. Il n'était pas concevable de faire disputer la rencontre cette semaine, en raison de la rigueur de la période actuelle sur le Forez.
Les hommes de Laurey se rendront donc sur la pelouse du quatrième de la Ligue, entre la réception d'Angers, samedi, et son déplacement à Caen, le samedi 16 février.
dna
Initialement prévu le 4 février, Saint-Etienne - Racing se disputera le 13 février avec un coup d'envoi fixé à 19h.
A priori, le calendrier du Racing ne sera pas perturbé trop longtemps. En effet, la Ligue de Foot professionnel a décidé, comme à son habitude, de reprogrammer le Saint-Etienne - Racing reporté en raison des conditions climatiques, à la première date libre à savoir le 13 février, avec un coup d'envoi à 19h. Il n'était pas concevable de faire disputer la rencontre cette semaine, en raison de la rigueur de la période actuelle sur le Forez.
Les hommes de Laurey se rendront donc sur la pelouse du quatrième de la Ligue, entre la réception d'Angers, samedi, et son déplacement à Caen, le samedi 16 février.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Sans Lala, ni Lienard, ni Caci
Coup dur pour le Racing, qui devra se passer de Lala (touché à la cuisse), Caci (touché à la cheville) et Lienard (malade) pour le déplacement de mercredi soir, dans le Forez, pour affronter Saint-Etienne.
C'est l'hécatombe au Racing! Kenny Lala, touché à la cuisse lors du match à Angers, est en effet forfait pour le déplacement de mercredi à Saint-Etienne. Idem pour Dimitri Lienard, malade, qui restera lui aussi en Alsace. Et le dernier coup dur a eu lieu mardi après-midi, lors du dernier entraînement. Anthony Caci a en effet quitté prématurément le groupe après un choc avec Kevin Zohi. Touché à la cheville, il est out pour ce match en retard de la 23e journée de Ligue 1.
Une défense à recomposer
Du coup, Thierry Laurey va devoir recomposer les ailes de sa défense pour affronter les Verts. A gauche, Abdallah Ndour est en balance favorable pour débuter, lui qui a fait son retour lors des derniers matches de Coupe. A droite, deux options sont en balance: Laurey peut titulariser le jeune Ismaël Aaneba ou Anthony Gonçalves, qui a déjà dépanné à plusieurs reprises à ce poste.
Au milieu, Prcic et Sissoko sont pressentis pour faire la paire, à moins que Laurey ne relance Fofana. Thomasson, malade lundi mais bien présent mardi, devrait aussi débuter. Avec qui devant? Telle est la question. Laurey pourrait opter pour une paire Da Costa - Mothiba, histoire de faire souffler un Ajorque qui a beaucoup donné ces derniers temps. Réponse mercredi soir...
Le groupe de 18
Sels, Kamara - Koné, Mitrovic, Martinez, Ndour, Aaneba - Gonçalves, Fofana, Sissoko, Prcic, Thomasson, Corgnet, Grandsir - Ajorque, Da Costa, Mothiba, Zohi.
dna
Coup dur pour le Racing, qui devra se passer de Lala (touché à la cuisse), Caci (touché à la cheville) et Lienard (malade) pour le déplacement de mercredi soir, dans le Forez, pour affronter Saint-Etienne.
C'est l'hécatombe au Racing! Kenny Lala, touché à la cuisse lors du match à Angers, est en effet forfait pour le déplacement de mercredi à Saint-Etienne. Idem pour Dimitri Lienard, malade, qui restera lui aussi en Alsace. Et le dernier coup dur a eu lieu mardi après-midi, lors du dernier entraînement. Anthony Caci a en effet quitté prématurément le groupe après un choc avec Kevin Zohi. Touché à la cheville, il est out pour ce match en retard de la 23e journée de Ligue 1.
Une défense à recomposer
Du coup, Thierry Laurey va devoir recomposer les ailes de sa défense pour affronter les Verts. A gauche, Abdallah Ndour est en balance favorable pour débuter, lui qui a fait son retour lors des derniers matches de Coupe. A droite, deux options sont en balance: Laurey peut titulariser le jeune Ismaël Aaneba ou Anthony Gonçalves, qui a déjà dépanné à plusieurs reprises à ce poste.
Au milieu, Prcic et Sissoko sont pressentis pour faire la paire, à moins que Laurey ne relance Fofana. Thomasson, malade lundi mais bien présent mardi, devrait aussi débuter. Avec qui devant? Telle est la question. Laurey pourrait opter pour une paire Da Costa - Mothiba, histoire de faire souffler un Ajorque qui a beaucoup donné ces derniers temps. Réponse mercredi soir...
Le groupe de 18
Sels, Kamara - Koné, Mitrovic, Martinez, Ndour, Aaneba - Gonçalves, Fofana, Sissoko, Prcic, Thomasson, Corgnet, Grandsir - Ajorque, Da Costa, Mothiba, Zohi.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
reverdir vite
Battus le week-end dernier, Saint-Étienne et le Racing s’affrontent dans le Forez pour remettre à jour leur calendrier. En cas de victoire, les Strasbourgeois feraient un immense bond au classement.
Voilà, c’est fini. Une belle série de quatre victoires en championnat s’est achevée samedi, un peu par surprise. La défaite face à Angers (1-2) n’était peut-être pas dans l’air d’un temps heureux pour le Racing, solide, inspiré, efficace pendant les deux mois précédent. Il n’est pas question pour autant de sombrer dans la déprime. Il y a cinq jours, Stefan Mitrovic et ses copains se sont juste montrés un brin moins solides, inspirés et efficaces. L’affaire aurait pu prendre une tout autre tournure, avec un peu plus de précision à la conclusion d’une ou deux actions du début.
Accessoirement, une équipe de la promotion de Ligue 2 2017 n’est pas programmée pour dominer, de la tête et des épaules, chaque semaine son championnat. On n’est plus dans les années 70 quand on décrochait un titre de champion de France avec 13 joueurs, du cœur et de la ferveur. Le foot a changé, les moyens nécessaires pour réussir ou seulement s’installer ont bigrement augmenté et cela ressemble à un petit miracle de voir la bande à Laurey qualifiée pour décrocher la Coupe de la Ligue dans un petit peu plus de six semaines.
Le ballon rond a néanmoins ceci de bon dans certaines de ses traditions. Et le vert y participe activement. Outre ses jolis monts, le Forez se distingue depuis des décennies grâce à son club mythique qui a choisi la couleur de l’espoir. Le voyage, pour les Strasbourgeois, vers Geoffroy-Guichard, son public bouillant, son froid hivernal, constitue déjà une réussite. C’est qu’il valide le maintien décroché au mois de mai, pour un point faut-il le rappeler. Au final, le point remporté dans le Chaudron, il y a quinze mois, pèse de tout son poids.
Il s’était agi probablement de la meilleure sortie sous le maillot strasbourgeois de Jean-Eudes Aholou, un test collectif de légitimité quant à une présence dans l’élite passé avec succès par le Racing. Le 2-2 avait même été source de regrets. En fait, à chaque fois qu’ils ont croisé les Stéphanois, les Bleus ont eu de quoi enrager.
En début de saison, le 1-1 du mois d’août s’est avéré deux points de perdus plutôt qu’un de gagné. En fin de saison passée, la défaite, à la Meinau (0-1), sur un but de Debuchy en fin de match s’est révélée d’une cruauté absolue. « C’est une équipe assez efficace, avec de la malice, considère Thierry Laurey. On s’aperçoit que sur les derniers matches, elle est souvent ballottée, mais sait faire le dos rond. L’objectif, c’est d’empêcher qu’elle ait la moindre occasion parce qu’il y a beaucoup de répondant dans cette équipe. »
« On espère être capable de résister »
Saint-Étienne aura d’autant plus l’intention de marquer un territoire où il avait récolté 26 points sur 30 en 2018 qu’il sort de deux échecs à domicile – face à Lyon (1-2) en L1, face Dijon en Coupe de France dans des proportions stupéfiantes (3-6) – et d’une défaite frustrante face à Rennes (3-0). Les dirigeants stéphanois ont notamment fustigé un arbitrage vidéo orienté et il ne s’agirait pas que le Racing en fasse les frais.
Accessoirement, l’environnement pourrait être assez lunaire avec les deux tribunes derrière les buts fermées par la Commission de discipline de la Ligue.
« Les supporters stéphanois seront tout de même là, le stade ne sera pas vide et les joueurs de talent n’ont pas besoin du public pour s’exprimer, considère l’entraîneur strasbourgeois. Alors que le classement s’est clarifié, on se prépare à un match serré et ouvert. Les trois points signifieraient un grand bond en avant. On espère être capable de résister parce que ça va pousser. »
Généralement, ses protégés, habiles voyageurs qui ont déjà glané quatre succès à l’extérieur, ont su le faire lors de leurs pérégrinations. « Il y a eu certaines circonstances qu’on a parfois provoquées d’ailleurs, souligne Laurey. Monaco a été rapidement à 10, Bordeaux aussi et Rennes revenait d’un match en coupe d’Europe. Après, on est conscient d’avoir fait des progrès. » Avec une quatrième place dans le viseur pour le vainqueur, il n’a peut-être jamais été aussi opportun que de le démontrer ce mercredi soir.
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Battus le week-end dernier, Saint-Étienne et le Racing s’affrontent dans le Forez pour remettre à jour leur calendrier. En cas de victoire, les Strasbourgeois feraient un immense bond au classement.
Voilà, c’est fini. Une belle série de quatre victoires en championnat s’est achevée samedi, un peu par surprise. La défaite face à Angers (1-2) n’était peut-être pas dans l’air d’un temps heureux pour le Racing, solide, inspiré, efficace pendant les deux mois précédent. Il n’est pas question pour autant de sombrer dans la déprime. Il y a cinq jours, Stefan Mitrovic et ses copains se sont juste montrés un brin moins solides, inspirés et efficaces. L’affaire aurait pu prendre une tout autre tournure, avec un peu plus de précision à la conclusion d’une ou deux actions du début.
Accessoirement, une équipe de la promotion de Ligue 2 2017 n’est pas programmée pour dominer, de la tête et des épaules, chaque semaine son championnat. On n’est plus dans les années 70 quand on décrochait un titre de champion de France avec 13 joueurs, du cœur et de la ferveur. Le foot a changé, les moyens nécessaires pour réussir ou seulement s’installer ont bigrement augmenté et cela ressemble à un petit miracle de voir la bande à Laurey qualifiée pour décrocher la Coupe de la Ligue dans un petit peu plus de six semaines.
Le ballon rond a néanmoins ceci de bon dans certaines de ses traditions. Et le vert y participe activement. Outre ses jolis monts, le Forez se distingue depuis des décennies grâce à son club mythique qui a choisi la couleur de l’espoir. Le voyage, pour les Strasbourgeois, vers Geoffroy-Guichard, son public bouillant, son froid hivernal, constitue déjà une réussite. C’est qu’il valide le maintien décroché au mois de mai, pour un point faut-il le rappeler. Au final, le point remporté dans le Chaudron, il y a quinze mois, pèse de tout son poids.
Il s’était agi probablement de la meilleure sortie sous le maillot strasbourgeois de Jean-Eudes Aholou, un test collectif de légitimité quant à une présence dans l’élite passé avec succès par le Racing. Le 2-2 avait même été source de regrets. En fait, à chaque fois qu’ils ont croisé les Stéphanois, les Bleus ont eu de quoi enrager.
En début de saison, le 1-1 du mois d’août s’est avéré deux points de perdus plutôt qu’un de gagné. En fin de saison passée, la défaite, à la Meinau (0-1), sur un but de Debuchy en fin de match s’est révélée d’une cruauté absolue. « C’est une équipe assez efficace, avec de la malice, considère Thierry Laurey. On s’aperçoit que sur les derniers matches, elle est souvent ballottée, mais sait faire le dos rond. L’objectif, c’est d’empêcher qu’elle ait la moindre occasion parce qu’il y a beaucoup de répondant dans cette équipe. »
« On espère être capable de résister »
Saint-Étienne aura d’autant plus l’intention de marquer un territoire où il avait récolté 26 points sur 30 en 2018 qu’il sort de deux échecs à domicile – face à Lyon (1-2) en L1, face Dijon en Coupe de France dans des proportions stupéfiantes (3-6) – et d’une défaite frustrante face à Rennes (3-0). Les dirigeants stéphanois ont notamment fustigé un arbitrage vidéo orienté et il ne s’agirait pas que le Racing en fasse les frais.
Accessoirement, l’environnement pourrait être assez lunaire avec les deux tribunes derrière les buts fermées par la Commission de discipline de la Ligue.
« Les supporters stéphanois seront tout de même là, le stade ne sera pas vide et les joueurs de talent n’ont pas besoin du public pour s’exprimer, considère l’entraîneur strasbourgeois. Alors que le classement s’est clarifié, on se prépare à un match serré et ouvert. Les trois points signifieraient un grand bond en avant. On espère être capable de résister parce que ça va pousser. »
Généralement, ses protégés, habiles voyageurs qui ont déjà glané quatre succès à l’extérieur, ont su le faire lors de leurs pérégrinations. « Il y a eu certaines circonstances qu’on a parfois provoquées d’ailleurs, souligne Laurey. Monaco a été rapidement à 10, Bordeaux aussi et Rennes revenait d’un match en coupe d’Europe. Après, on est conscient d’avoir fait des progrès. » Avec une quatrième place dans le viseur pour le vainqueur, il n’a peut-être jamais été aussi opportun que de le démontrer ce mercredi soir.
dna
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Les compos sont tombées. Petite surprise côté strasbourgeois avec la troisième titularisation en L1 d'Aaneba dans le couloir droit alors que l'hypothèse Gonçalves tenait la corde. Dans l'entrejeu, Fofana remplace Thomasson tandis que devant Mothiba et Da Costa feront la paire. Côté stéphanois, Diony manque l'appel et est remplacé par Beric devant.
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ASSE: Ruffier - Monnet-Paquet, Kolodziejzak, Perrin (cap.), Subotic, Gabriel Silva - M'Vila, Aït Bennasser - Khazri, Cabella, Beric.
RACING: Sels - Aaneba, Kone, Mitrovic (cap.), Martinez, Ndour - Sissoko, Prcic, Fofana - Mothiba, Da Costa.
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Lors du match aller, les deux équipes s'étaient séparées sur un score de parité (1-1). Anthony Gonçalves, remplaçant ce soir, avait ouvert le score et marqué, par la même occasion, son premier but en L1. Le jeune Makthar Gueye lui avait répondu en toute fin de match alors que les Verts évoluaient à dix depuis le quart d'heure de jeu.
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Saint-Etienne comme le Racing restent sur une défaite en championnat. L'ASSE, privée de Khazri et M'Vila à Rennes, a bu la tasse au Roazhon Park (0-3). Quant aux Alsaciens, ils se sont fait surprendre à la Meinau par une très efficace formation angevine (1-2).
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La rencontre de ce soir a un certain enjeu au classement. Saint-Etienne, actuellement quatrième de L1, pourrait s'ancrer au pied du podium en cas de succès. En revanche, si le Racing réussissait un gros coup dans le Chaudron, il passerait devant l'ASSE.
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Depuis sa remontée en L1, le Racing n'a pas encore réussi à battre Saint-Etienne. La saison dernière, il avait ramené le nul (2-2) de Geoffroy-Guichard avant de perdre à la maison contre le cours du jeu sur un but tardif de Debuchy (0-1). En 2018-2019, après le nul de la Meinau (1-1), la quatrième opposition va-t-elle être la bonne ?
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Petite stade toute chaude: Saint-Etienne, dans son histoire, a marqué 96 buts face au Racing dans son Chaudron et en a encaissé... 45 contre les Alsaciens.
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A noter que ce soir le Racing ne jouera pas dans un stade plein. Pas que les Alsaciens n'attirent pas les foules mais Saint-Etienne a vu son huis-clos partiel (les deux tribunes derrières les buts sont vides) levé suite à des incidents lors du dernier derby contre l'OL.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse.
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C'est parti à Geoffroy-Guichard.
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Des banderoles ont été déployées en tribunes. Côté stéphanois: "Sanctions collectives profitent à qui ? Profitez du spectacle et réfléchissez." Côté strasbourgeois: "Sans supporters le football n'est rien."
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Première occasion pour Saint-Etienne. Cabella trouve Monnet-Paquet sur le côté droit qui centre de volée dans les six mètres strasbourgeois. Personne n'est là pour couper la trajectoire du ballon.
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L'ASSE effectue un gros pressing d'entrée pour mettre la pression sur le Racing.
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BUT 1-0 Ouverture du score de Beric!
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Ouverture du score de Beric! Khazri sauve la touche et lance Kolodziejczak sur la gauche. Le centre est poarfait pour Beric qui s'élève entre Mitrovic et Martinez pour placer une tête hors de porté de Sels.
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éaction strasbourgeoise. Suite à un corner de Prcic, Fofana récupère un mauvais dégagement stéphanois et part en slalom. Contré au dernier moment, le ballon échoue sur Kone qui envoie un missile au-dessus depuis l'angle des six mètres.
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Penalty pour Saint-Etienne! Monnet-Paquet se recentre et voit sa frappe contrée par Mitrovic. M. Brisard désigne le point de penalty.
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Penalty annulé! M. Brisard consulte finalement la vidéo et décide de changer de décision et de siffler un corner pour l'ASSE.
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La pression stéphanoise est constante. Le Racing n'arrive pas à ressortir proprement les ballons de puis le début du match.
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Da Costa est averti pour une faute sur Perrin.
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Après un quart d'heure de grève des encouragements, en solidarité avec les fans stéphanois, les supporters du Racing donnent enfin de la voix.
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Le Racing refait timidement surface après avoir pris la marée durant une grosse dizaine de minutes.
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Pour le moment, les latéraux strasbourgeois - Aaneba et Ndour - ne sont pas à la fête, c'est le moins que l'on puisse dire. En creux, on voit aussi toute la place qu'ont pris Lala et Caci cette saison dans leur couloir respectif.
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Kone perd un ballon dans les 30m stéphanois et le contre ligérien s'organise. Cabella remonte le terrain à toute berzingue et cherche Beric en profondeur mais Mitrovic intervient.
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La tête de Mothiba, sur le reculoir, manque de puissance pour inquiéter Ruffier.
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Sur une perte de balle de Prcic à l'entrée de la surface alsacienne, Cabella décale M'Vila qui ouvre son pied à 25 bons mètres. Sels se couche bien.
.
but 2-0 Perrin double la mise.
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Perrin double la mise. Sur un coup franc de Khazri, Monnet-Paquet oblige Sels à une énorme parade pour sortir sa tête. Dans la continuité, le ballon revient dans la surface et Perrin domine Ndour au duel pour planter une deuxième banderille. Le Racing est dans les cordes.
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Il ne faudrait pas non plus que ce match tourne à la démonstration. Saint-Etienne évolue clairement trois crans au-dessus.
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Le 3-0 était tout proche. Sur un coup franc lointain de Khazri, Sels, trompé par le rebond, relâche le ballon devant Beric qui frappe à bout portant au-dessus. Ouf!
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Cela faisait très longtemps que l'on n'avait pas vu le Racing autant balloté en L1. Il n'a clairement rien réussi de bon durant cette première demi-heure.
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Encore une grosse frayeur qui démontre toute la fébrilité de ce Racing. Ndour effectue une passe en retrait ultra dangereuse en direction de Sels. Le portier strasbourgeois doit sortir au devant de Beric pour éviter la catastrophe.
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Les vagues vertes ne cessent de déferler sur le but strasbourgeois. Dans ces conditions, être mené 2-0 est presque un minimum.
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Aaneba est logiquement averti pour avoir mis la main dans le visage de Khazri.
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Mothiba contrôle dans la course le ballon que lui a envoyé Sissoko de la tête. Le Sud-Africain s'excentre légèrement et frappe ras du sol. Ruffier se couche proprement sur la première frappe cadrée du match des Alsaciens.
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Khazri reste au sol un long moment avant de se faire soigner sur le bord du terrain.
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Quel dommage. Sur une interception strasbourgeoise au milieu de terrain, Fofana alerte directement Mothiba. C'est un poil trop fort mais l'idée était très bonne.
.
Il y aura deux minutes de temps additionnel.
.
C'est la pause à Geoffroy-Guichard. Le Racing a vécu un premier acte cauchemardesque. Il est logiquement mené par une équipe de Saint-Etienne évoluant deux tons au-dessus. A ce rythme-là, la seconde période risque d'être très (trop?) longue...
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ASSE: Ruffier - Monnet-Paquet, Kolodziejzak, Perrin (cap.), Subotic, Gabriel Silva - M'Vila, Aït Bennasser - Khazri, Cabella, Beric.
RACING: Sels - Aaneba, Kone, Mitrovic (cap.), Martinez, Ndour - Sissoko, Prcic, Fofana - Mothiba, Da Costa.
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Lors du match aller, les deux équipes s'étaient séparées sur un score de parité (1-1). Anthony Gonçalves, remplaçant ce soir, avait ouvert le score et marqué, par la même occasion, son premier but en L1. Le jeune Makthar Gueye lui avait répondu en toute fin de match alors que les Verts évoluaient à dix depuis le quart d'heure de jeu.
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Saint-Etienne comme le Racing restent sur une défaite en championnat. L'ASSE, privée de Khazri et M'Vila à Rennes, a bu la tasse au Roazhon Park (0-3). Quant aux Alsaciens, ils se sont fait surprendre à la Meinau par une très efficace formation angevine (1-2).
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La rencontre de ce soir a un certain enjeu au classement. Saint-Etienne, actuellement quatrième de L1, pourrait s'ancrer au pied du podium en cas de succès. En revanche, si le Racing réussissait un gros coup dans le Chaudron, il passerait devant l'ASSE.
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Depuis sa remontée en L1, le Racing n'a pas encore réussi à battre Saint-Etienne. La saison dernière, il avait ramené le nul (2-2) de Geoffroy-Guichard avant de perdre à la maison contre le cours du jeu sur un but tardif de Debuchy (0-1). En 2018-2019, après le nul de la Meinau (1-1), la quatrième opposition va-t-elle être la bonne ?
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Petite stade toute chaude: Saint-Etienne, dans son histoire, a marqué 96 buts face au Racing dans son Chaudron et en a encaissé... 45 contre les Alsaciens.
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A noter que ce soir le Racing ne jouera pas dans un stade plein. Pas que les Alsaciens n'attirent pas les foules mais Saint-Etienne a vu son huis-clos partiel (les deux tribunes derrières les buts sont vides) levé suite à des incidents lors du dernier derby contre l'OL.
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Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse.
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C'est parti à Geoffroy-Guichard.
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Des banderoles ont été déployées en tribunes. Côté stéphanois: "Sanctions collectives profitent à qui ? Profitez du spectacle et réfléchissez." Côté strasbourgeois: "Sans supporters le football n'est rien."
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Première occasion pour Saint-Etienne. Cabella trouve Monnet-Paquet sur le côté droit qui centre de volée dans les six mètres strasbourgeois. Personne n'est là pour couper la trajectoire du ballon.
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L'ASSE effectue un gros pressing d'entrée pour mettre la pression sur le Racing.
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BUT 1-0 Ouverture du score de Beric!
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Ouverture du score de Beric! Khazri sauve la touche et lance Kolodziejczak sur la gauche. Le centre est poarfait pour Beric qui s'élève entre Mitrovic et Martinez pour placer une tête hors de porté de Sels.
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éaction strasbourgeoise. Suite à un corner de Prcic, Fofana récupère un mauvais dégagement stéphanois et part en slalom. Contré au dernier moment, le ballon échoue sur Kone qui envoie un missile au-dessus depuis l'angle des six mètres.
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Penalty pour Saint-Etienne! Monnet-Paquet se recentre et voit sa frappe contrée par Mitrovic. M. Brisard désigne le point de penalty.
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Penalty annulé! M. Brisard consulte finalement la vidéo et décide de changer de décision et de siffler un corner pour l'ASSE.
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La pression stéphanoise est constante. Le Racing n'arrive pas à ressortir proprement les ballons de puis le début du match.
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Da Costa est averti pour une faute sur Perrin.
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Après un quart d'heure de grève des encouragements, en solidarité avec les fans stéphanois, les supporters du Racing donnent enfin de la voix.
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Le Racing refait timidement surface après avoir pris la marée durant une grosse dizaine de minutes.
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Pour le moment, les latéraux strasbourgeois - Aaneba et Ndour - ne sont pas à la fête, c'est le moins que l'on puisse dire. En creux, on voit aussi toute la place qu'ont pris Lala et Caci cette saison dans leur couloir respectif.
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Kone perd un ballon dans les 30m stéphanois et le contre ligérien s'organise. Cabella remonte le terrain à toute berzingue et cherche Beric en profondeur mais Mitrovic intervient.
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La tête de Mothiba, sur le reculoir, manque de puissance pour inquiéter Ruffier.
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Sur une perte de balle de Prcic à l'entrée de la surface alsacienne, Cabella décale M'Vila qui ouvre son pied à 25 bons mètres. Sels se couche bien.
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but 2-0 Perrin double la mise.
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Perrin double la mise. Sur un coup franc de Khazri, Monnet-Paquet oblige Sels à une énorme parade pour sortir sa tête. Dans la continuité, le ballon revient dans la surface et Perrin domine Ndour au duel pour planter une deuxième banderille. Le Racing est dans les cordes.
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Il ne faudrait pas non plus que ce match tourne à la démonstration. Saint-Etienne évolue clairement trois crans au-dessus.
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Le 3-0 était tout proche. Sur un coup franc lointain de Khazri, Sels, trompé par le rebond, relâche le ballon devant Beric qui frappe à bout portant au-dessus. Ouf!
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Cela faisait très longtemps que l'on n'avait pas vu le Racing autant balloté en L1. Il n'a clairement rien réussi de bon durant cette première demi-heure.
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Encore une grosse frayeur qui démontre toute la fébrilité de ce Racing. Ndour effectue une passe en retrait ultra dangereuse en direction de Sels. Le portier strasbourgeois doit sortir au devant de Beric pour éviter la catastrophe.
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Les vagues vertes ne cessent de déferler sur le but strasbourgeois. Dans ces conditions, être mené 2-0 est presque un minimum.
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Aaneba est logiquement averti pour avoir mis la main dans le visage de Khazri.
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Mothiba contrôle dans la course le ballon que lui a envoyé Sissoko de la tête. Le Sud-Africain s'excentre légèrement et frappe ras du sol. Ruffier se couche proprement sur la première frappe cadrée du match des Alsaciens.
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Khazri reste au sol un long moment avant de se faire soigner sur le bord du terrain.
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Quel dommage. Sur une interception strasbourgeoise au milieu de terrain, Fofana alerte directement Mothiba. C'est un poil trop fort mais l'idée était très bonne.
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Il y aura deux minutes de temps additionnel.
.
C'est la pause à Geoffroy-Guichard. Le Racing a vécu un premier acte cauchemardesque. Il est logiquement mené par une équipe de Saint-Etienne évoluant deux tons au-dessus. A ce rythme-là, la seconde période risque d'être très (trop?) longue...
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
C'est reparti à Geoffroy-Guichard.
.
Thierry Laurey a revu ses plans à la pause: Aaneba et Ndour, assez fantomatiques, ont cédé leur place à Gonçalves et Thomasson. Du coup, le Racing est passé en 4-4-2, délaissant son 5-3-2.
.
La frappe de Da Costa! Sur une action construite (enfin!), Gonçalves centre au deuxième poteau pour la reprise du droit de Da Costa qui passe de peu à côté. Pas trop de regrets, le Cap-Verdien est signalé hors-jeu.
.
Le Racing est un petit peu plus mordant en ce début de seconde période. Il gagne enfin quelques duels et Mothiba touche plus régulièrement le cuir.
.
La frappe de Monnet-Paquet, qui s'était une nouvelle fois recentré, s'envole vers la tribune vide.
.
Le Racing est beaucoup sanctionné ce soir, notamment ses milieux de terrain.
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Le match est bien plus équilibré. Même s'il ne maîtrise pas tout, le Racing parvient au moins à mettre Saint-Etienne sur le reculoir.
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Thomasson est averti pour une faute sur Cabella. Le bon coup franc à suivre pour les Stéphanois ne donne rien.
.
Premier changement à l'ASSE: Cabella sort, Debuchy entre.
.
Le centre de Gonçalves atterrit directement dans les gants de Ruffier qui passe une soirée paisible. A moins que le Racing ne s'enhardisse...
.
Le Racing fait preuve de plus de maîtrise collective. Au moins il n'est plus acculé sur son but. Mais pour se montrer dangereux, c'est une autre paire de manches.
.
La frappe contrée de Prcic n'inquiète pas Ruffier.
.
Deuxième remplacement à l'ASSE: Vada remplace Aït Bennasser.
.
Le Racing tout près de s'en prendre un troisième. Gonçalves sauve une mauvaise passe de Martinez ce qui se transforme en offrande pour Khazri. Le Tunisien s'avance, décale Monnet-Paquet qui trouve Sels sur la trajectoire. Le ballon revient et Mitrovic suave de la tête sur sa ligne.
.
BUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUT 2-1
.
Da Costa réduit le score. Sur un corner, la défense stéphanoise dégage le ballon. Sissoko décale Thomasson dont la frappe contrée atterrit dans les pieds de Da Costa qui réduit la marque à bout portant.
.
Le Racing tente des coups mais s'expose aux contres stéphanois. Ce dernier quart d'heure va se jouer sur un fil.
.
Le Racing concède énormément de fautes ce qui a tendance à faire sortir Saint-Etienne de son match.
.
Magnifique sauvetage de Mitrovic devant Khazri dans la surface.
.
Dernier changement côté Racing. Fofana est remplacé par Ajorque.
.
Penalty pour Saint-Etienne.
.
Martinez voit jaune pour contestation.
.
Penalty annulé pour la seconde fois suite au recours à la VAR.
.
C'est chaud dans les travées de Geoffroy-Guichard qui ne comprend pas les décisions arbitrales.
.
Corner strasbourgeois obtenu par Thomasson. C'est dans la boîte mais ça ne donne rien.
.
Remplacement de Gabriel SIlva par Polomat. C'est le dernier changement de la partie.
.
Quatre minutes de temps additionnel.
.
Le Racing n'arrive pas à porter le danger devant le but de Ruffier. Et les Stéphanois gagnent du temps, et pas qu'un peu...
.
C'est terminé à Geoffroy-Guichard sur cette défaite du Racing. Complètement hors-sujet en première période, les Alsaciens ont relevé la tête après le repos mais c'était insuffisant pour ramener quelques chose de ce voyage dans le Forez.
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Thierry Laurey a revu ses plans à la pause: Aaneba et Ndour, assez fantomatiques, ont cédé leur place à Gonçalves et Thomasson. Du coup, le Racing est passé en 4-4-2, délaissant son 5-3-2.
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La frappe de Da Costa! Sur une action construite (enfin!), Gonçalves centre au deuxième poteau pour la reprise du droit de Da Costa qui passe de peu à côté. Pas trop de regrets, le Cap-Verdien est signalé hors-jeu.
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Le Racing est un petit peu plus mordant en ce début de seconde période. Il gagne enfin quelques duels et Mothiba touche plus régulièrement le cuir.
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La frappe de Monnet-Paquet, qui s'était une nouvelle fois recentré, s'envole vers la tribune vide.
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Le Racing est beaucoup sanctionné ce soir, notamment ses milieux de terrain.
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Le match est bien plus équilibré. Même s'il ne maîtrise pas tout, le Racing parvient au moins à mettre Saint-Etienne sur le reculoir.
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Thomasson est averti pour une faute sur Cabella. Le bon coup franc à suivre pour les Stéphanois ne donne rien.
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Premier changement à l'ASSE: Cabella sort, Debuchy entre.
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Le centre de Gonçalves atterrit directement dans les gants de Ruffier qui passe une soirée paisible. A moins que le Racing ne s'enhardisse...
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Le Racing fait preuve de plus de maîtrise collective. Au moins il n'est plus acculé sur son but. Mais pour se montrer dangereux, c'est une autre paire de manches.
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La frappe contrée de Prcic n'inquiète pas Ruffier.
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Deuxième remplacement à l'ASSE: Vada remplace Aït Bennasser.
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Le Racing tout près de s'en prendre un troisième. Gonçalves sauve une mauvaise passe de Martinez ce qui se transforme en offrande pour Khazri. Le Tunisien s'avance, décale Monnet-Paquet qui trouve Sels sur la trajectoire. Le ballon revient et Mitrovic suave de la tête sur sa ligne.
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BUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUT 2-1
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Da Costa réduit le score. Sur un corner, la défense stéphanoise dégage le ballon. Sissoko décale Thomasson dont la frappe contrée atterrit dans les pieds de Da Costa qui réduit la marque à bout portant.
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Le Racing tente des coups mais s'expose aux contres stéphanois. Ce dernier quart d'heure va se jouer sur un fil.
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Le Racing concède énormément de fautes ce qui a tendance à faire sortir Saint-Etienne de son match.
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Magnifique sauvetage de Mitrovic devant Khazri dans la surface.
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Dernier changement côté Racing. Fofana est remplacé par Ajorque.
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Penalty pour Saint-Etienne.
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Martinez voit jaune pour contestation.
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Penalty annulé pour la seconde fois suite au recours à la VAR.
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C'est chaud dans les travées de Geoffroy-Guichard qui ne comprend pas les décisions arbitrales.
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Corner strasbourgeois obtenu par Thomasson. C'est dans la boîte mais ça ne donne rien.
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Remplacement de Gabriel SIlva par Polomat. C'est le dernier changement de la partie.
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Quatre minutes de temps additionnel.
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Le Racing n'arrive pas à porter le danger devant le but de Ruffier. Et les Stéphanois gagnent du temps, et pas qu'un peu...
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C'est terminé à Geoffroy-Guichard sur cette défaite du Racing. Complètement hors-sujet en première période, les Alsaciens ont relevé la tête après le repos mais c'était insuffisant pour ramener quelques chose de ce voyage dans le Forez.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Contre Saint-Etienne (2-1), le Racing est parti de trop loin
Totalement hors sujet en première période, le Racing a redressé la barre après le repos, ce mercredi soir, à Geoffroy-Guichard. Insuffisant, pourtant, pour accrocher une belle équipe de Saint-Etienne (2-1). Ce second revers de rang en championnat condamne les Strasbourgeois, toujours neuvièmes, au surplace au classement.
Le Racing n’a d’abord pas existé au stade Geoffroy-Guichard (lire notre direct). La faute à une première période épouvantable comme on n’en avait encore jamais vu en championnat cette saison. Dominé dans tous les compartiments du jeu par une équipe stéphanoise pleine d’allant, Strasbourg a été submergé par les vagues ligériennes qui ont déferlé durant 45 minutes sur son but.
Peut-être que si le match s’était tenu à la date initiale, le 3 février, le scénario n’aurait pas été le même. A ce moment-là, l’ASSE n’aurait pas pu aligner ni Khazri, ni M’Vila, tous deux suspendus. Ce soir, avec l’aide de Cabella, ils ont fait tourner la boutique au milieu de terrain. Le 3 février, le Racing aurait également pu compter sur ses latéraux Caci et Lala qui se sont blessés depuis. Leurs remplaçants, Aaneba et Ndour, ont vécu un match très, très compliqué.
Le calvaire d’Aaneba et Ndour
Dès la 4e minute, Aaneba était trop loin de Kolodziejczak pour l’empêcher de trouver la tête victorieuse de Beric (1-0, 4e). Quant à Ndour, alors que Sels venait d’effectuer une superbe parade sur un coup de boule de Monnet-Paquet, il perdait dans la foulée son duel avec Perrin qui trompait Sels à bout portant (2-0, 27e).
Bien entendu, les deux défenseurs ne sont pas les seuls à être pointés du doigt au cours de cette première période cauchemardesque. Complètement dépassés par une formation ligérienne bien plus mobile, toujours au duel avec un temps de retard, les Ciel et Blanc ont passé leur temps à courir derrière le ballon. Et n’ont jamais vraiment trouvé la solution pour empêcher les Verts de pénétrer dans leurs 16 mètres. Sels a dû s’employer sur une frappe de 25m de M’Vila (25e) et aurait pu être l’auteur d’une passe décisive sur un coup franc de Khazri mais Beric n’a pas profité de ce ballon relâché dans les six mètres (31e)…
Inoffensif, Strasbourg a dû se contenter d’une frappe croisée de Mothiba sans danger (41e). Mais c’est bien avant, sur un slalom de Fofana conclu par Kone d’une frappe puissante mais au-dessus (6e), qu’il aurait pu rapidement inverser la tendance.
Pour essayer d’exister dans ce duel de haut de tableau, Thierry Laurey a revu sa copie à la mi-temps. Le coach alsacien a fait sortir ses deux latéraux (pour Gonçalves et Thomasson) pour mieux changer de système et délaisser le 3-5-2 pour un 4-2-3-1. Une réorganisation tactique qui a eu le mérite de redonner un peu de couleurs à des Bas-Rhinois bien trop pâlichons.
Changement de visage après la pause
Le Racing a alors gagné en maîtrise collective et n’a plus constamment subi les assauts d’une équipe ligérienne plus encline à gérer son avantage qu’à enfoncer définitivement le clou. Les Alsaciens sont donc sortis prudemment de leur coquille, cherchant à développer du jeu, mais ils ont eu bien eu du mal à constituer une menace pour Stéphane Ruffier. Et c’est même Saint-Etienne qui a été proche du break définitif sur ce duel perdu par Monnet-Paquet devant Sels (71e).
Et pourtant, la réduction du score inattendue de Da Costa consécutive à un corner (2-1, 73e) a donné du piment à une fin de partie jusqu’ici à sens unique. L’option offensive choisie par Thierry Laurey avec la rentrée d’Ajorque n’aura toutefois pas été suffisante à venir prendre un point, ce qui aurait été miraculeux, d’autant plus que l’ASSE s’est vu refusé justement deux penalties par M. Brisard après consultation du VAR.
Avec ce second revers de rang, le Racing fait du surplace au classement. Il reste neuvième (35 points), à distance respectable de la zone rouge et légèrement décroché des places européennes. Il faudra se reprendre dès dimanche à Caen pour stopper la mauvaise série en cours.
dna
Totalement hors sujet en première période, le Racing a redressé la barre après le repos, ce mercredi soir, à Geoffroy-Guichard. Insuffisant, pourtant, pour accrocher une belle équipe de Saint-Etienne (2-1). Ce second revers de rang en championnat condamne les Strasbourgeois, toujours neuvièmes, au surplace au classement.
Le Racing n’a d’abord pas existé au stade Geoffroy-Guichard (lire notre direct). La faute à une première période épouvantable comme on n’en avait encore jamais vu en championnat cette saison. Dominé dans tous les compartiments du jeu par une équipe stéphanoise pleine d’allant, Strasbourg a été submergé par les vagues ligériennes qui ont déferlé durant 45 minutes sur son but.
Peut-être que si le match s’était tenu à la date initiale, le 3 février, le scénario n’aurait pas été le même. A ce moment-là, l’ASSE n’aurait pas pu aligner ni Khazri, ni M’Vila, tous deux suspendus. Ce soir, avec l’aide de Cabella, ils ont fait tourner la boutique au milieu de terrain. Le 3 février, le Racing aurait également pu compter sur ses latéraux Caci et Lala qui se sont blessés depuis. Leurs remplaçants, Aaneba et Ndour, ont vécu un match très, très compliqué.
Le calvaire d’Aaneba et Ndour
Dès la 4e minute, Aaneba était trop loin de Kolodziejczak pour l’empêcher de trouver la tête victorieuse de Beric (1-0, 4e). Quant à Ndour, alors que Sels venait d’effectuer une superbe parade sur un coup de boule de Monnet-Paquet, il perdait dans la foulée son duel avec Perrin qui trompait Sels à bout portant (2-0, 27e).
Bien entendu, les deux défenseurs ne sont pas les seuls à être pointés du doigt au cours de cette première période cauchemardesque. Complètement dépassés par une formation ligérienne bien plus mobile, toujours au duel avec un temps de retard, les Ciel et Blanc ont passé leur temps à courir derrière le ballon. Et n’ont jamais vraiment trouvé la solution pour empêcher les Verts de pénétrer dans leurs 16 mètres. Sels a dû s’employer sur une frappe de 25m de M’Vila (25e) et aurait pu être l’auteur d’une passe décisive sur un coup franc de Khazri mais Beric n’a pas profité de ce ballon relâché dans les six mètres (31e)…
Inoffensif, Strasbourg a dû se contenter d’une frappe croisée de Mothiba sans danger (41e). Mais c’est bien avant, sur un slalom de Fofana conclu par Kone d’une frappe puissante mais au-dessus (6e), qu’il aurait pu rapidement inverser la tendance.
Pour essayer d’exister dans ce duel de haut de tableau, Thierry Laurey a revu sa copie à la mi-temps. Le coach alsacien a fait sortir ses deux latéraux (pour Gonçalves et Thomasson) pour mieux changer de système et délaisser le 3-5-2 pour un 4-2-3-1. Une réorganisation tactique qui a eu le mérite de redonner un peu de couleurs à des Bas-Rhinois bien trop pâlichons.
Changement de visage après la pause
Le Racing a alors gagné en maîtrise collective et n’a plus constamment subi les assauts d’une équipe ligérienne plus encline à gérer son avantage qu’à enfoncer définitivement le clou. Les Alsaciens sont donc sortis prudemment de leur coquille, cherchant à développer du jeu, mais ils ont eu bien eu du mal à constituer une menace pour Stéphane Ruffier. Et c’est même Saint-Etienne qui a été proche du break définitif sur ce duel perdu par Monnet-Paquet devant Sels (71e).
Et pourtant, la réduction du score inattendue de Da Costa consécutive à un corner (2-1, 73e) a donné du piment à une fin de partie jusqu’ici à sens unique. L’option offensive choisie par Thierry Laurey avec la rentrée d’Ajorque n’aura toutefois pas été suffisante à venir prendre un point, ce qui aurait été miraculeux, d’autant plus que l’ASSE s’est vu refusé justement deux penalties par M. Brisard après consultation du VAR.
Avec ce second revers de rang, le Racing fait du surplace au classement. Il reste neuvième (35 points), à distance respectable de la zone rouge et légèrement décroché des places européennes. Il faudra se reprendre dès dimanche à Caen pour stopper la mauvaise série en cours.
dna
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Semelles de plomb sur les ailes
Abdallah Ndour et Ismaël Aaneba ont vécu une soirée cauchemardesque, hier, à Geoffroy-Guichard. Les latéraux de fortune ont cédé leur place à la pause et le Racing a retrouvé de l’allant dans un système différent.
Il ne s’agit pas de faire le procès de deux sacrifiés. Le Racing débarquait dans le Forez avec la nécessité de bricoler et un impératif de nouveautés. Lala et Caci étant sur le flanc, Thierry Laurey avait donné sa confiance à Ismaël Aaneba et Abdallah Ndour pour encadrer la défense centrale au coup d’envoi de la rencontre en retard disputée dans le Forez.
« J’assume mes choix »
Les deux n’ont pas passé une soirée de rêve, c’est le moins que l’on puisse écrire. « Il me semblait que c’était la meilleure équipe possible, a expliqué l’entraîneur après coup. J’assume mes choix. »
C’est courageux. La première période n’a pas été triomphe, sans doute la pire réalisée par le Racing depuis le début de la saison. Saint-Etienne n’a pas tardé à résoudre le problème tactique incarné régulièrement par le système alsacien à trois axiaux et à deux latéraux en charge de se débrouiller dans le couloir.
Une réorganisation bienvenue
À droite, Aaneba a commencé son match par quelques approximations techniques et à la deuxième ouverture, Saint-Etienne a fait mouche, Kolodziejczak réussissant le centre pour Beric synonyme d’ouverture du score. De l’autre côté, cela n’a guère été mieux car Kevin Monnet-Paquet a multiplié les assauts et Ndour a été esseulé pour lui faire face.
En fait, les Verts ont tordu le Racing en dominant les ailes, tranquillement. Les deux latéraux n’ont pas beaucoup été aidés par les milieux de terrain, tandis que les trois centraux avaient déjà pas mal à faire devant le but de Sels. En se recentrant sur un coup de pied arrêté, Ndour a subi la puissance de Perrin, le capitaine stéphanois qui a doublé la mise.
Paradoxalement, c’est en poussant l’une ou l’autre action dans le camp local que les deux titulaires d’un soir – Aaneba avait été du onze de départ en Ligue 1 en deux occasions, à Lille (0-0) et face à Nîmes (0-1) en novembre, Ndour, une seule fois, il y a un peu plus de deux semaines face à Bordeaux – ont été un peu moins pathétiques. Mais le ballon leur a brûlé les pieds et l’imprécision de leurs passes a encore ajouté à leur déficit de confiance.
À la pause, leur calvaire a pris fin, le Racing s’est réorganisé et a réussi à exister avec un Gonçalves en mode enragé à droite, Martinez décalé à gauche dans une défense à quatre, Thomasson lancé en soutien de Mothiba pour apporter du poids devant.
« À la pause, on a laissé les garçons discuter entre eux et nous de notre côté, on a décidé de modifier l’équipe », a indiqué l’entraîneur du Racing.
Le Racing a présenté un tout autre visage, notamment grâce à des ailes retrouvées où les Strasbourgeois ont été moins en difficulté. Mais quarante-cinq minutes n’ont pas suffi pour complètement renverser la tendance. Dommage.
dna
Abdallah Ndour et Ismaël Aaneba ont vécu une soirée cauchemardesque, hier, à Geoffroy-Guichard. Les latéraux de fortune ont cédé leur place à la pause et le Racing a retrouvé de l’allant dans un système différent.
Il ne s’agit pas de faire le procès de deux sacrifiés. Le Racing débarquait dans le Forez avec la nécessité de bricoler et un impératif de nouveautés. Lala et Caci étant sur le flanc, Thierry Laurey avait donné sa confiance à Ismaël Aaneba et Abdallah Ndour pour encadrer la défense centrale au coup d’envoi de la rencontre en retard disputée dans le Forez.
« J’assume mes choix »
Les deux n’ont pas passé une soirée de rêve, c’est le moins que l’on puisse écrire. « Il me semblait que c’était la meilleure équipe possible, a expliqué l’entraîneur après coup. J’assume mes choix. »
C’est courageux. La première période n’a pas été triomphe, sans doute la pire réalisée par le Racing depuis le début de la saison. Saint-Etienne n’a pas tardé à résoudre le problème tactique incarné régulièrement par le système alsacien à trois axiaux et à deux latéraux en charge de se débrouiller dans le couloir.
Une réorganisation bienvenue
À droite, Aaneba a commencé son match par quelques approximations techniques et à la deuxième ouverture, Saint-Etienne a fait mouche, Kolodziejczak réussissant le centre pour Beric synonyme d’ouverture du score. De l’autre côté, cela n’a guère été mieux car Kevin Monnet-Paquet a multiplié les assauts et Ndour a été esseulé pour lui faire face.
En fait, les Verts ont tordu le Racing en dominant les ailes, tranquillement. Les deux latéraux n’ont pas beaucoup été aidés par les milieux de terrain, tandis que les trois centraux avaient déjà pas mal à faire devant le but de Sels. En se recentrant sur un coup de pied arrêté, Ndour a subi la puissance de Perrin, le capitaine stéphanois qui a doublé la mise.
Paradoxalement, c’est en poussant l’une ou l’autre action dans le camp local que les deux titulaires d’un soir – Aaneba avait été du onze de départ en Ligue 1 en deux occasions, à Lille (0-0) et face à Nîmes (0-1) en novembre, Ndour, une seule fois, il y a un peu plus de deux semaines face à Bordeaux – ont été un peu moins pathétiques. Mais le ballon leur a brûlé les pieds et l’imprécision de leurs passes a encore ajouté à leur déficit de confiance.
À la pause, leur calvaire a pris fin, le Racing s’est réorganisé et a réussi à exister avec un Gonçalves en mode enragé à droite, Martinez décalé à gauche dans une défense à quatre, Thomasson lancé en soutien de Mothiba pour apporter du poids devant.
« À la pause, on a laissé les garçons discuter entre eux et nous de notre côté, on a décidé de modifier l’équipe », a indiqué l’entraîneur du Racing.
Le Racing a présenté un tout autre visage, notamment grâce à des ailes retrouvées où les Strasbourgeois ont été moins en difficulté. Mais quarante-cinq minutes n’ont pas suffi pour complètement renverser la tendance. Dommage.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Mitrovic : « On leur a donné la victoire »
❏ PABLO MARTINEZ, défenseur du Racing (Photo AFP – Jean-Philippe Ksiazek) : « En première mi-temps, on a perdu tous nos duels, tous les ballons. Les onze ont été nuls. On s’est dit les choses à la pause et on a réussi à les embêter en seconde mi-temps. On aurait pu espérer le match nul. »
❏ LEBO MOTHIBA, attaquant du Racing : « C’était difficile sur la première période, on a joué comme des amateurs. Les jeunes ont été confrontés à des joueurs d’expérience. Dans le vestiaire, on s’est dit qu’il fallait se réveiller, on a changé de système et ça allait mieux. On s’est retrouvé face à une grosse équipe avec des joueurs de qualité. On prend de l’expérience à travers ce type de match. »
❏ STEFAN MITROVIC, défenseur du Racing : « Sur la première période, nous n’étions vraiment pas bons, sans agressivité, avec de mauvais placements face à une équipe de Saint-Etienne, qui a des bonnes individualités. Notre réaction a été bonne. Je suis déçu du résultat. On leur a donné la victoire. »
❏ WAHBI KHAZRI, attaquant de Saint-Etienne : « On avait à cœur de mettre fin à notre mauvaise série. On a fait ce qu’il fallait. On est soulagé parce qu’on se devait de rectifier le tir contre une belle équipe de Strasbourg. Depuis le début de la saison, on est accroché au bon wagon. Le contenu des rencontres n’était pas mauvais mais il n’y avait pas les résultats. Strasbourg nous a mis en difficulté en changeant de système avec des ballons dans la surface à la fin mais on aurait pu aussi inscrire le troisième but. »
❏ JEAN-LOUIS GASSET (entraîneur de Saint-Etienne) : « On a préféré la première mi-temps à la deuxième, c’est sûr. En première mi-temps, on a eu l’efficacité. On aurait encore pu alourdir le score et plier le match. En deuxième mi-temps, le jeu était plus haché, même si on a eu une ou deux balles de contre. Mais on a bien mieux joué au foot en première mi-temps. Ensuite, on a trop reculé et manqué de maîtrise physique. »
dna
❏ PABLO MARTINEZ, défenseur du Racing (Photo AFP – Jean-Philippe Ksiazek) : « En première mi-temps, on a perdu tous nos duels, tous les ballons. Les onze ont été nuls. On s’est dit les choses à la pause et on a réussi à les embêter en seconde mi-temps. On aurait pu espérer le match nul. »
❏ LEBO MOTHIBA, attaquant du Racing : « C’était difficile sur la première période, on a joué comme des amateurs. Les jeunes ont été confrontés à des joueurs d’expérience. Dans le vestiaire, on s’est dit qu’il fallait se réveiller, on a changé de système et ça allait mieux. On s’est retrouvé face à une grosse équipe avec des joueurs de qualité. On prend de l’expérience à travers ce type de match. »
❏ STEFAN MITROVIC, défenseur du Racing : « Sur la première période, nous n’étions vraiment pas bons, sans agressivité, avec de mauvais placements face à une équipe de Saint-Etienne, qui a des bonnes individualités. Notre réaction a été bonne. Je suis déçu du résultat. On leur a donné la victoire. »
❏ WAHBI KHAZRI, attaquant de Saint-Etienne : « On avait à cœur de mettre fin à notre mauvaise série. On a fait ce qu’il fallait. On est soulagé parce qu’on se devait de rectifier le tir contre une belle équipe de Strasbourg. Depuis le début de la saison, on est accroché au bon wagon. Le contenu des rencontres n’était pas mauvais mais il n’y avait pas les résultats. Strasbourg nous a mis en difficulté en changeant de système avec des ballons dans la surface à la fin mais on aurait pu aussi inscrire le troisième but. »
❏ JEAN-LOUIS GASSET (entraîneur de Saint-Etienne) : « On a préféré la première mi-temps à la deuxième, c’est sûr. En première mi-temps, on a eu l’efficacité. On aurait encore pu alourdir le score et plier le match. En deuxième mi-temps, le jeu était plus haché, même si on a eu une ou deux balles de contre. Mais on a bien mieux joué au foot en première mi-temps. Ensuite, on a trop reculé et manqué de maîtrise physique. »
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Dr Jekyll, Mister Hyde
Le Racing a joué à mi-temps hier et cela ne lui a pas réussi. Les Bleus ont tardé avant de retrouver leur jeu séduisant et d’évoluer au niveau espéré, un peu tous Docteur Jekyll et Mister Hyde dans le Chaudron.
On ne les a d’abord pas reconnus. Et la pause leur a permis de retrouver leurs esprits, le fil et disputer, au final, un vrai match. Dommage, le mal était fait.
➤ SELS (5). Auteur d’une parade monumentale sur une tête de Monnet-Paquet qui n’a fait que retarder l’échéance sur le second but des Verts (27e ), le gardien belge a été plutôt bon, même s’il a relâché un ballon sur un coup franc de Khazri dont Beric a failli profiter (31e ). Secondé par Mitrovic, il préserve son camp de la catastrophe sur une absence de sa défense (69e ).
➤ AANEBA (3). Auteur d’un vrai raté sur son premier ballon à négocier dans la surface alsacienne (3e ), en difficulté sur le second avec une action limpide jouée à deux entre Kolodziejczak et Gabriel qui a mis le premier en orbite pour un centre décisif. Le défenseur n’a pas vu le jour et a même récolté un jaune, peut-être par exaspération de ne pas toucher un ballon (40e ). Remplacé par GONÇALVES (5) au retour des vestiaires (46e ), auteur d’un bon premier centre pour signer son entrée. Il n’a eu de cesse d’arpenter son couloir pour enquiquiner ses vis-à-vis et tenter de renverser la tendance. Cela a failli marcher.
➤ KONÉ (4). Il rate une balle de but à six mètres de la cage de Ruffier (6e ). Cela compte à l’heure du bilan puisque sa frappe a constitué longtemps la seule occasion d’exister pour les Strasbourgeois. L’Ivoirien n’a pas toujours été à son aise.
➤ MITROVIC (5). S’il est dominé par Beric dans les airs sur l’ouverture du score, le capitaine s’est efforcé de réorganiser son camp. Le résultat n’a pas été complètement probant mais le Serbe a également sonné la révolte en étant l’auteur d’une bonne tête sur corner, au retour des vestiaires. Il sauve son camp, devant sa ligne, sur une action brûlante et a livré un combat de longue haleine à Beric.
➤ MARTINEZ (4). Il n’a pas été l’auteur du match de sa saison, dans l’axe comme sur le côté gauche où il a dû s’exiler après la pause. Une transmission ratée (69e ) aurait pu prêter à lourde conséquence mais Sels et Mitrovic ont sauvé le coup. À aussi vu jaune pour contestation.
➤ NDOUR (3). Le Sénégalais est le premier sur le gril, en charge de se coltiner le mordant Monnet-Paquet. Il est encore à la ramasse au marquage de Perrin sur le deuxième but et a logiquement cédé sa place à la pause à THOMASSON (5) , averti (60e ), combatif, soucieux de proposer des solutions en se plaçant dans les intervalles.
➤ SISSOKO (5). L’ancien Brestois a plutôt fait illusion dans un premier temps pour occuper un axe où l’ASSE comptait quelques arguments. Mais passées vingt minutes, le milieu de terrain a été emporté par le tourbillon et a dû recourir à des gestes irréguliers pour écoper les voies d’eau. Au retour des vestiaires, il a réussi une louche qui a remis le Racing en marche avant et n’a eu de cesse de filocher pour gratter les ballons.
➤ FOFANA (5). Auteur d’une belle ruade pour tenter d’égaliser après le premier but stéphanois en passant en revue toute la défense adverse, le jeune milieu de terrain a été l’un des seuls à surnager en première période, à la récupération, avant d’être décalé sur le côté droit en seconde où il a été moins en vue. A cédé sa place à AJORQUE (81e ).
➤ PRCIC (5). Coupable sur une perte de balle qu’il aurait pu éviter (25e ), le Bosnien a tenté de donner le rythme au jeu alsacien pour sa deuxième titularisation de rang. Il n’a pas beaucoup existé dans un premier temps avant de se reprendre, décochant notamment une frappe que Ruffier a tranquillement captée (69e ) et distillant quelques coups de pied arrêtés bien sentis qui ont mis les Verts en difficulté.
➤ MOTHIBA (4). Une frappe cadrée a égayé un long désert (41e ). Le Sud-Africain s’est démené mais a été franchement discret sauf en fin de match où ses appels ont donné des solutions d’attaque quand le Racing a cherché à arracher la décision.
➤ DA COSTA (6). Il a quasiment pris jaune avant de toucher son premier ballon (14e ), ce qui a été significatif de la domination locale initiale. La reconfiguration tactique lui a permis de revoir la lumière. Sur le côté gauche, il s’est démené et a fini par trouver l’ouverture pour réduire la marque d’une grosse reprise sous la barre et relancer le suspense.
dna
Le Racing a joué à mi-temps hier et cela ne lui a pas réussi. Les Bleus ont tardé avant de retrouver leur jeu séduisant et d’évoluer au niveau espéré, un peu tous Docteur Jekyll et Mister Hyde dans le Chaudron.
On ne les a d’abord pas reconnus. Et la pause leur a permis de retrouver leurs esprits, le fil et disputer, au final, un vrai match. Dommage, le mal était fait.
➤ SELS (5). Auteur d’une parade monumentale sur une tête de Monnet-Paquet qui n’a fait que retarder l’échéance sur le second but des Verts (27e ), le gardien belge a été plutôt bon, même s’il a relâché un ballon sur un coup franc de Khazri dont Beric a failli profiter (31e ). Secondé par Mitrovic, il préserve son camp de la catastrophe sur une absence de sa défense (69e ).
➤ AANEBA (3). Auteur d’un vrai raté sur son premier ballon à négocier dans la surface alsacienne (3e ), en difficulté sur le second avec une action limpide jouée à deux entre Kolodziejczak et Gabriel qui a mis le premier en orbite pour un centre décisif. Le défenseur n’a pas vu le jour et a même récolté un jaune, peut-être par exaspération de ne pas toucher un ballon (40e ). Remplacé par GONÇALVES (5) au retour des vestiaires (46e ), auteur d’un bon premier centre pour signer son entrée. Il n’a eu de cesse d’arpenter son couloir pour enquiquiner ses vis-à-vis et tenter de renverser la tendance. Cela a failli marcher.
➤ KONÉ (4). Il rate une balle de but à six mètres de la cage de Ruffier (6e ). Cela compte à l’heure du bilan puisque sa frappe a constitué longtemps la seule occasion d’exister pour les Strasbourgeois. L’Ivoirien n’a pas toujours été à son aise.
➤ MITROVIC (5). S’il est dominé par Beric dans les airs sur l’ouverture du score, le capitaine s’est efforcé de réorganiser son camp. Le résultat n’a pas été complètement probant mais le Serbe a également sonné la révolte en étant l’auteur d’une bonne tête sur corner, au retour des vestiaires. Il sauve son camp, devant sa ligne, sur une action brûlante et a livré un combat de longue haleine à Beric.
➤ MARTINEZ (4). Il n’a pas été l’auteur du match de sa saison, dans l’axe comme sur le côté gauche où il a dû s’exiler après la pause. Une transmission ratée (69e ) aurait pu prêter à lourde conséquence mais Sels et Mitrovic ont sauvé le coup. À aussi vu jaune pour contestation.
➤ NDOUR (3). Le Sénégalais est le premier sur le gril, en charge de se coltiner le mordant Monnet-Paquet. Il est encore à la ramasse au marquage de Perrin sur le deuxième but et a logiquement cédé sa place à la pause à THOMASSON (5) , averti (60e ), combatif, soucieux de proposer des solutions en se plaçant dans les intervalles.
➤ SISSOKO (5). L’ancien Brestois a plutôt fait illusion dans un premier temps pour occuper un axe où l’ASSE comptait quelques arguments. Mais passées vingt minutes, le milieu de terrain a été emporté par le tourbillon et a dû recourir à des gestes irréguliers pour écoper les voies d’eau. Au retour des vestiaires, il a réussi une louche qui a remis le Racing en marche avant et n’a eu de cesse de filocher pour gratter les ballons.
➤ FOFANA (5). Auteur d’une belle ruade pour tenter d’égaliser après le premier but stéphanois en passant en revue toute la défense adverse, le jeune milieu de terrain a été l’un des seuls à surnager en première période, à la récupération, avant d’être décalé sur le côté droit en seconde où il a été moins en vue. A cédé sa place à AJORQUE (81e ).
➤ PRCIC (5). Coupable sur une perte de balle qu’il aurait pu éviter (25e ), le Bosnien a tenté de donner le rythme au jeu alsacien pour sa deuxième titularisation de rang. Il n’a pas beaucoup existé dans un premier temps avant de se reprendre, décochant notamment une frappe que Ruffier a tranquillement captée (69e ) et distillant quelques coups de pied arrêtés bien sentis qui ont mis les Verts en difficulté.
➤ MOTHIBA (4). Une frappe cadrée a égayé un long désert (41e ). Le Sud-Africain s’est démené mais a été franchement discret sauf en fin de match où ses appels ont donné des solutions d’attaque quand le Racing a cherché à arracher la décision.
➤ DA COSTA (6). Il a quasiment pris jaune avant de toucher son premier ballon (14e ), ce qui a été significatif de la domination locale initiale. La reconfiguration tactique lui a permis de revoir la lumière. Sur le côté gauche, il s’est démené et a fini par trouver l’ouverture pour réduire la marque d’une grosse reprise sous la barre et relancer le suspense.
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Re: 23e journée AS St-Etienne-Strasbourg
Àprès la défaite du Racing : une question de limites
Après la défaite face à Angers à la Meinau samedi, le Racing, diminué par les absences, a subi un deuxième revers consécutif, mercredi soir, dans le Forez face à Saint-Étienne. Pas inquiétant, mais pas totalement anodin non plus…
Durant le très faste mois de janvier du Racing, Thierry Laurey n’a eu de cesse de calmer les ardeurs.
Quand suiveurs, supporteurs ou observateurs se mettaient à rêver d’Europe ou de top-5 de Ligue 1, l’entraîneur du Racing les renvoyait promptement (et parfois vertement) dans les cordes.
Certains ont reproché au coach strasbourgeois un manque d’enthousiasme. Voire une morgue déplacée. Mais force est de constater que la prudence du staff alsacien quant à l’issue de cette saison n’était pas de la fausse modestie.
« Les garçons n’avaient pas envie de se faire enterrer »
En moins d’une semaine, l’Alsace toute entière est redescendue sur Terre. Car les Strasbourgeois, qui avaient le podium en point de mire, sont rentrés dans le rang en s’inclinant à deux reprises en championnat, face à Angers à domicile (1-2) et face à Saint-Étienne, à Geoffroy-Guichard (2-1).
Un coup de frein pas dramatique, mais pas anodin non plus. Et si la défaite face à Angers à la Meinau a tout de l’accident de parcours, celle subie à Saint-Étienne met en relief les limites actuelles du groupe strasbourgeois.
On le sait, le Racing ne possède pas un effectif pléthorique, notamment en défense. Et mercredi soir dans le Forez, cela s’est vu. Les absences conjuguées de Kenny Lala et d’Anthony Caci ont pesé dans la balance. Surtout qu’elles se sont ajoutées à celles de Lionel Carole, Jonas Martin ou encore Dimitri Lienard…
Or, face à des joueurs de la qualité de Cabella, Khazri ou Monnet-Paquet, le jeune Ismaël Aaneba et le revenant Abdallah Ndour n’ont pas fait le poids. Et ce n’est pas leur faire injure, car ils n’ont pas été les seuls à ramer : le milieu de terrain alsacien a pris l’eau durant 45 minutes et la défense a vite été aux abois.
Durant cette première période cauchemardesque, il y avait tout simplement une classe d’écart entre un onze stéphanois au grand complet et une équipe strasbourgeoise décimée par les blessures.
« Il y a beaucoup de qualité au sein de cette équipe stéphanoise, soulignait d’ailleurs Thierry Laurey après cette défaite. Il faut reconnaître qu’ils ont fait une très bonne première mi-temps. Et ensuite, ils ont bien défendu, avec beaucoup d’expérience ».
Et cela a suffi pour que ses protégés se prennent les pieds dans le tapis.
Reste que le tableau n’est pas entièrement noir. Au crédit des Strasbourgeois, il y a cette deuxième mi-temps de bien meilleure facture.
Plus forts mentalement, tactiquement et physiquement, les Bleus ont refait surface après le changement tactique opéré par le coach à la pause, avec un passage à quatre défenseurs.
« Les garçons n’avaient pas envie de se faire enterrer, soulignait Laurey. Ils ont mis plus de cœur. Il y a eu la volonté d’aller vers l’avant, de jouer sur la largeur. On a montré un autre visage ».
Et c’est bien ce visage-là qu’il va falloir conserver (absences ou pas), pour espérer ramener quelque chose du prochain voyage en Normandie. Car les Caennais, 19es au classement, sont dans le dur – ils se sont inclinés mercredi 0-1 sur leur pelouse face à Nantes – et jouent leur survie.
Ce matin le Racing est 9e de Ligue 1 et sa situation est loin d’être aussi alarmante que celle du Stade Malherbe. Avec 35 points au compteur à l’aube de la 25e journée, les Strasbourgeois sont même parfaitement dans les clous par rapport à leur objectif initial, à savoir un maintien « tranquille » en Ligue 1. Ce serait d’autant plus bête de tout gâcher en s’écroulant en février…
dna
Après la défaite face à Angers à la Meinau samedi, le Racing, diminué par les absences, a subi un deuxième revers consécutif, mercredi soir, dans le Forez face à Saint-Étienne. Pas inquiétant, mais pas totalement anodin non plus…
Durant le très faste mois de janvier du Racing, Thierry Laurey n’a eu de cesse de calmer les ardeurs.
Quand suiveurs, supporteurs ou observateurs se mettaient à rêver d’Europe ou de top-5 de Ligue 1, l’entraîneur du Racing les renvoyait promptement (et parfois vertement) dans les cordes.
Certains ont reproché au coach strasbourgeois un manque d’enthousiasme. Voire une morgue déplacée. Mais force est de constater que la prudence du staff alsacien quant à l’issue de cette saison n’était pas de la fausse modestie.
« Les garçons n’avaient pas envie de se faire enterrer »
En moins d’une semaine, l’Alsace toute entière est redescendue sur Terre. Car les Strasbourgeois, qui avaient le podium en point de mire, sont rentrés dans le rang en s’inclinant à deux reprises en championnat, face à Angers à domicile (1-2) et face à Saint-Étienne, à Geoffroy-Guichard (2-1).
Un coup de frein pas dramatique, mais pas anodin non plus. Et si la défaite face à Angers à la Meinau a tout de l’accident de parcours, celle subie à Saint-Étienne met en relief les limites actuelles du groupe strasbourgeois.
On le sait, le Racing ne possède pas un effectif pléthorique, notamment en défense. Et mercredi soir dans le Forez, cela s’est vu. Les absences conjuguées de Kenny Lala et d’Anthony Caci ont pesé dans la balance. Surtout qu’elles se sont ajoutées à celles de Lionel Carole, Jonas Martin ou encore Dimitri Lienard…
Or, face à des joueurs de la qualité de Cabella, Khazri ou Monnet-Paquet, le jeune Ismaël Aaneba et le revenant Abdallah Ndour n’ont pas fait le poids. Et ce n’est pas leur faire injure, car ils n’ont pas été les seuls à ramer : le milieu de terrain alsacien a pris l’eau durant 45 minutes et la défense a vite été aux abois.
Durant cette première période cauchemardesque, il y avait tout simplement une classe d’écart entre un onze stéphanois au grand complet et une équipe strasbourgeoise décimée par les blessures.
« Il y a beaucoup de qualité au sein de cette équipe stéphanoise, soulignait d’ailleurs Thierry Laurey après cette défaite. Il faut reconnaître qu’ils ont fait une très bonne première mi-temps. Et ensuite, ils ont bien défendu, avec beaucoup d’expérience ».
Et cela a suffi pour que ses protégés se prennent les pieds dans le tapis.
Reste que le tableau n’est pas entièrement noir. Au crédit des Strasbourgeois, il y a cette deuxième mi-temps de bien meilleure facture.
Plus forts mentalement, tactiquement et physiquement, les Bleus ont refait surface après le changement tactique opéré par le coach à la pause, avec un passage à quatre défenseurs.
« Les garçons n’avaient pas envie de se faire enterrer, soulignait Laurey. Ils ont mis plus de cœur. Il y a eu la volonté d’aller vers l’avant, de jouer sur la largeur. On a montré un autre visage ».
Et c’est bien ce visage-là qu’il va falloir conserver (absences ou pas), pour espérer ramener quelque chose du prochain voyage en Normandie. Car les Caennais, 19es au classement, sont dans le dur – ils se sont inclinés mercredi 0-1 sur leur pelouse face à Nantes – et jouent leur survie.
Ce matin le Racing est 9e de Ligue 1 et sa situation est loin d’être aussi alarmante que celle du Stade Malherbe. Avec 35 points au compteur à l’aube de la 25e journée, les Strasbourgeois sont même parfaitement dans les clous par rapport à leur objectif initial, à savoir un maintien « tranquille » en Ligue 1. Ce serait d’autant plus bête de tout gâcher en s’écroulant en février…
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