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9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Mar 17 Oct - 16:44
Samedi le 21/10/2013 à 17h
67120- d'r Kàpallmaischter
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Mar 17 Oct - 16:45
Alsa'sports a écrit :Qui est l’arbitre de Paris – Strasbourg ?
Samedi après-midi (17h), les Bleus seront au Parc des Princes afin d’y affronter le Paris SG pour le compte de la neuvième journée de la Ligue 1. Un choc face à l’ogre parisien pour des Strasbourgeois qui restent sur deux revers de suite contre Lens (0-1) et Nantes (1-2) à domicile en championnat.
Un nul et une défaite la saison passée
Bastien Dechepy a été choisi comme arbitre principal pour cette rencontre. L’homme de 37 ans – président du Syndicat des arbitres du football d’élite depuis juin 2023 – n’a pas encore dirigé un match du Racing cette saison. En revanche, le trentenaire a arbitré les Parisiens en ouverture contre Lorient (0-0). Lors du précédent exercice, il était aux commandes du match nul à Brest (1-1) lors de la sixième journée puis, à nouveau en Bretagne, lors de l’ultime rencontre sans enjeu perdue à Lorient (2-1).
M.Dechepy sera assisté par Julien Haulbert et Nicolas Danos. Olivier Thual a été désigné quatrième arbitre tandis que Dominique Julien et Wilfried Bien seront en charge de la vidéo.
Samedi après-midi (17h), les Bleus seront au Parc des Princes afin d’y affronter le Paris SG pour le compte de la neuvième journée de la Ligue 1. Un choc face à l’ogre parisien pour des Strasbourgeois qui restent sur deux revers de suite contre Lens (0-1) et Nantes (1-2) à domicile en championnat.
Un nul et une défaite la saison passée
Bastien Dechepy a été choisi comme arbitre principal pour cette rencontre. L’homme de 37 ans – président du Syndicat des arbitres du football d’élite depuis juin 2023 – n’a pas encore dirigé un match du Racing cette saison. En revanche, le trentenaire a arbitré les Parisiens en ouverture contre Lorient (0-0). Lors du précédent exercice, il était aux commandes du match nul à Brest (1-1) lors de la sixième journée puis, à nouveau en Bretagne, lors de l’ultime rencontre sans enjeu perdue à Lorient (2-1).
M.Dechepy sera assisté par Julien Haulbert et Nicolas Danos. Olivier Thual a été désigné quatrième arbitre tandis que Dominique Julien et Wilfried Bien seront en charge de la vidéo.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Jeu 19 Oct - 11:26
dna a écrit :Paris, gazon maudit pour le Racing
Le Racing se déplace ce samedi (17h) au Parc des Princes et il y a de quoi trembler. Déjà parce que le Paris SG ne boxe pas dans la même catégorie, encore moins en cette saison de nouveau projet en Alsace. Aussi parce que les Bleus n’y ont jamais battu le club résident en près de 50 ans de confrontations.
Évacuons d’entrée de jeu toute source de controverses. Dans son histoire plus que centenaire, le Racing a déjà gagné au Parc des Princes.
Entre la Porte d’Auteuil et celle de Saint-Cloud, le club strasbourgeois y a même soulevé deux trophées : la deuxième de ses trois Coupes de France (1966) – la première (1951) a été remportée à Colombes, la dernière au Stade de France (2001) – et sa Coupe de la Ligue inaugurale (1997), avant les succès à Saint-Denis (2005) et Villeneuve-d’Ascq (2019).
Aucun succès en 36 déplacements
En face, toutefois, l’ombre menaçante du PSG ne s’était pas étendue sur ces finales. Déjà parce qu’en 1966, quand Pierre Sbaïz avait inscrit le seul but de la rencontre contre Nantes, le club de la capitale n’existait pas.
Et en 1997, Paris avait une autre coupe en tête – une Européenne, celle des vainqueurs de coupe où il s’inclinera en finale contre le Barça – pour ne pas faire une priorité de cette troisième compétition domestique fraîchement créée et aujourd’hui disparue, même s’il en avait été le premier lauréat deux ans plus tôt. Autant dire qu’il a suivi d’un œil distant la victoire des coéquipiers de Stéphane Collet aux dépens de Bordeaux (0-0 ap, 7-6 tab)…
Après ces précisions nécessaires, entrons dans le vif du sujet : depuis le 31 mai 1975 et la première opposition au Parc contre Paris (1-1), le Racing n’a jamais connu les joies de la victoire.
Avec 36 déplacements, dont 32 en Ligue 1, les occasions n’ont pourtant pas manqué. Rien n’y fait. Plus encore qu’à Marseille ou à Reims, deux autres terrains hostiles pour les Bleus, mais pas non plus imprenables – dernier succès au Vélodrome en mars 1997 et à Auguste-Delaune en avril de cette année –, Paris est un gazon maudit. Retour sur quelques défaites marquantes avant les retrouvailles de samedi.
La plus lourde : 23 décembre 2020 (4-0)
Que le Racing prenne cher au Parc, c’est arrivé plus d’une fois. On pense en particulier au match retour qui a fait suite à l’exploit retentissant de la Meinau le 2 décembre 2017 (2-1), seul succès strasbourgeois depuis la remontée en treize confrontations.
Mi-février 2018, Jean-Eudes Aholou et les siens en avaient pris cinq, dont un doublé de Cavani, mais en avaient quand même rendu deux (5-2).
Le revers le plus cinglant remonte à la saison 2020/2021. À deux jours de Noël, Thierry Laurey avait échafaudé un plan ultra-sécuritaire avec une défense à cinq et une ligne de quatre milieux pas franchement portés sur l’attaque. Verdict ? Une demi-occasion sur le but de Navas et quatre dans la musette de Kawashima. Le côté glacial avait été renforcé par un stade à huis clos, épidémie de Covid oblige.
La plus triste : 13 mai 1995 (1-0)
Plutôt moyen en championnat, ce qui va d’ailleurs coûter sa place à Daniel Jeandupeux sur le banc, le Racing va s’offrir une belle épopée en Coupe de France.
Entamé dans la froidure de janvier à Louhans-Cuiseaux, le parcours va prendre un tour épique à partir des quarts, avec les éliminations tour à tour des “ennemis” bordelais et messins dans l’euphorie de la Meinau.
La finale se joue au Parc et c’est le… PSG de Kombouaré, Raï et Weah qui se présente en face. La marche est trop haute pour Mostovoï et les Bleus qui voient Le Guen inscrire le but de sa vie, le seul de la partie, puis le président Mitterand remettre le trophée au capitaine Roche.
Les plus cruelles : septembre 2019 (1-0) et décembre 2022 (2-1)
Si les Parisiens ont pu se forger un palmarès national aussi étoffé – 34 trophées entre le championnat et les deux coupes – en un demi-siècle à peine, c’est que leur effectif recèle des talents hors pair.
Le Racing en a fait les frais et sait que le moindre relâchement peut lui être fatal. On repense ainsi à ce revers de septembre 2019. Pas dans un bon jour, la troupe de Thomas Tuchel bute sur la défense alsacienne.
Le plan de Thierry Laurey fonctionne jusqu’à ce que Neymar entre en scène. Dans les arrêts de jeu, le Brésilien exécute un incroyable ciseau retourné du gauche qui laisse Sels loin du ballon…
La dernière virée en date, le 28 décembre 2022, débouche sur un scénario encore plus pénible. Au sortir de la longue trêve liée à la tenue du Mondial, les hommes de Julien Stéphan pensent avoir fait le plus dur en abordant le temps additionnel sur un score de parité. Expulsé, Neymar ne peut plus faire de mal…
Mais Mbappé, qui tenait à tout prix à rejouer après la finale perdue contre l’Argentine, surgit pour provoquer et transformer le penalty de la gagne. On joue la 96e.
Comme souvent, le Racing repart du Parc des Princes avec un tombereau de regrets. Qu’en sera-t-il samedi ?
0
Paris n’a perdu aucune de ses 32 réceptions du Racing en Ligue 1 (25 victoires, 7 nuls), soit le record de matches à domicile d’une équipe face à un même adversaire sans jamais perdre dans l’élite
Le Racing se déplace ce samedi (17h) au Parc des Princes et il y a de quoi trembler. Déjà parce que le Paris SG ne boxe pas dans la même catégorie, encore moins en cette saison de nouveau projet en Alsace. Aussi parce que les Bleus n’y ont jamais battu le club résident en près de 50 ans de confrontations.
Évacuons d’entrée de jeu toute source de controverses. Dans son histoire plus que centenaire, le Racing a déjà gagné au Parc des Princes.
Entre la Porte d’Auteuil et celle de Saint-Cloud, le club strasbourgeois y a même soulevé deux trophées : la deuxième de ses trois Coupes de France (1966) – la première (1951) a été remportée à Colombes, la dernière au Stade de France (2001) – et sa Coupe de la Ligue inaugurale (1997), avant les succès à Saint-Denis (2005) et Villeneuve-d’Ascq (2019).
Aucun succès en 36 déplacements
En face, toutefois, l’ombre menaçante du PSG ne s’était pas étendue sur ces finales. Déjà parce qu’en 1966, quand Pierre Sbaïz avait inscrit le seul but de la rencontre contre Nantes, le club de la capitale n’existait pas.
Et en 1997, Paris avait une autre coupe en tête – une Européenne, celle des vainqueurs de coupe où il s’inclinera en finale contre le Barça – pour ne pas faire une priorité de cette troisième compétition domestique fraîchement créée et aujourd’hui disparue, même s’il en avait été le premier lauréat deux ans plus tôt. Autant dire qu’il a suivi d’un œil distant la victoire des coéquipiers de Stéphane Collet aux dépens de Bordeaux (0-0 ap, 7-6 tab)…
Après ces précisions nécessaires, entrons dans le vif du sujet : depuis le 31 mai 1975 et la première opposition au Parc contre Paris (1-1), le Racing n’a jamais connu les joies de la victoire.
Avec 36 déplacements, dont 32 en Ligue 1, les occasions n’ont pourtant pas manqué. Rien n’y fait. Plus encore qu’à Marseille ou à Reims, deux autres terrains hostiles pour les Bleus, mais pas non plus imprenables – dernier succès au Vélodrome en mars 1997 et à Auguste-Delaune en avril de cette année –, Paris est un gazon maudit. Retour sur quelques défaites marquantes avant les retrouvailles de samedi.
La plus lourde : 23 décembre 2020 (4-0)
Que le Racing prenne cher au Parc, c’est arrivé plus d’une fois. On pense en particulier au match retour qui a fait suite à l’exploit retentissant de la Meinau le 2 décembre 2017 (2-1), seul succès strasbourgeois depuis la remontée en treize confrontations.
Mi-février 2018, Jean-Eudes Aholou et les siens en avaient pris cinq, dont un doublé de Cavani, mais en avaient quand même rendu deux (5-2).
Le revers le plus cinglant remonte à la saison 2020/2021. À deux jours de Noël, Thierry Laurey avait échafaudé un plan ultra-sécuritaire avec une défense à cinq et une ligne de quatre milieux pas franchement portés sur l’attaque. Verdict ? Une demi-occasion sur le but de Navas et quatre dans la musette de Kawashima. Le côté glacial avait été renforcé par un stade à huis clos, épidémie de Covid oblige.
La plus triste : 13 mai 1995 (1-0)
Plutôt moyen en championnat, ce qui va d’ailleurs coûter sa place à Daniel Jeandupeux sur le banc, le Racing va s’offrir une belle épopée en Coupe de France.
Entamé dans la froidure de janvier à Louhans-Cuiseaux, le parcours va prendre un tour épique à partir des quarts, avec les éliminations tour à tour des “ennemis” bordelais et messins dans l’euphorie de la Meinau.
La finale se joue au Parc et c’est le… PSG de Kombouaré, Raï et Weah qui se présente en face. La marche est trop haute pour Mostovoï et les Bleus qui voient Le Guen inscrire le but de sa vie, le seul de la partie, puis le président Mitterand remettre le trophée au capitaine Roche.
Les plus cruelles : septembre 2019 (1-0) et décembre 2022 (2-1)
Si les Parisiens ont pu se forger un palmarès national aussi étoffé – 34 trophées entre le championnat et les deux coupes – en un demi-siècle à peine, c’est que leur effectif recèle des talents hors pair.
Le Racing en a fait les frais et sait que le moindre relâchement peut lui être fatal. On repense ainsi à ce revers de septembre 2019. Pas dans un bon jour, la troupe de Thomas Tuchel bute sur la défense alsacienne.
Le plan de Thierry Laurey fonctionne jusqu’à ce que Neymar entre en scène. Dans les arrêts de jeu, le Brésilien exécute un incroyable ciseau retourné du gauche qui laisse Sels loin du ballon…
La dernière virée en date, le 28 décembre 2022, débouche sur un scénario encore plus pénible. Au sortir de la longue trêve liée à la tenue du Mondial, les hommes de Julien Stéphan pensent avoir fait le plus dur en abordant le temps additionnel sur un score de parité. Expulsé, Neymar ne peut plus faire de mal…
Mais Mbappé, qui tenait à tout prix à rejouer après la finale perdue contre l’Argentine, surgit pour provoquer et transformer le penalty de la gagne. On joue la 96e.
Comme souvent, le Racing repart du Parc des Princes avec un tombereau de regrets. Qu’en sera-t-il samedi ?
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Paris n’a perdu aucune de ses 32 réceptions du Racing en Ligue 1 (25 victoires, 7 nuls), soit le record de matches à domicile d’une équipe face à un même adversaire sans jamais perdre dans l’élite
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Ven 20 Oct - 15:21
dna a écrit :Le groupe strasbourgeois
L’équipe possible : Sels (cap) – Senaya, Nyamsi, Perrin, Delaine – Mwanga, Doukouré, Deminguet – Diarra, Sahi, Bakwa.
Remplaçants : Bellaarouch (g), Prcic, Sow, Sobol, Sylla, Sissoko, Ângelo, Mothiba, Gameiro.
Absents : Emegha (quadriceps), Fila (genou), Pierre (g), Guilbert, Aholou, Baseya, Bastian (choix de l’entraîneur).
L’équipe possible : Sels (cap) – Senaya, Nyamsi, Perrin, Delaine – Mwanga, Doukouré, Deminguet – Diarra, Sahi, Bakwa.
Remplaçants : Bellaarouch (g), Prcic, Sow, Sobol, Sylla, Sissoko, Ângelo, Mothiba, Gameiro.
Absents : Emegha (quadriceps), Fila (genou), Pierre (g), Guilbert, Aholou, Baseya, Bastian (choix de l’entraîneur).
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 16:50
Le onze de départ :
Sels (cap) - Senaya, Nyamsi, Perrin, Delaine - Mwanga, Doukouré, Deminguet - Diarra, Mothiba, Bakwa.
Dans le onze qu'il va aligner tout à l'heure contre le PSG, Patrick Vieira a réservé une petite surprise par rapport aux tendances observées durant la semaine à l'entraînement : la titularisation de Lebo Mothiba en pointe, en lieu et place du jeune Moïse Sahi.
Sels (cap) - Senaya, Nyamsi, Perrin, Delaine - Mwanga, Doukouré, Deminguet - Diarra, Mothiba, Bakwa.
Dans le onze qu'il va aligner tout à l'heure contre le PSG, Patrick Vieira a réservé une petite surprise par rapport aux tendances observées durant la semaine à l'entraînement : la titularisation de Lebo Mothiba en pointe, en lieu et place du jeune Moïse Sahi.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:02
C'est parti au Parc
Le coup d'envoi a été donné par M. Dechepy.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:03
Patrick Vieira a finalement opté pour un schéma en 4-5-1, avec le seul Mothiba en pointe.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:11
Penalty pour le PSG
Barcola s'appuie sur Mbappé qui joue le une-deux à gauche dans le dos de Senaya. Son centre à ras de terre est contrôlé maladroitement par Nyamsi. Ramos surgit devant lui et est accroché par le Strasbourgeois.
But 1-0 Mbappé
Barcola s'appuie sur Mbappé qui joue le une-deux à gauche dans le dos de Senaya. Son centre à ras de terre est contrôlé maladroitement par Nyamsi. Ramos surgit devant lui et est accroché par le Strasbourgeois.
But 1-0 Mbappé
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:15
But 1-1 Mothiba
Le but de Mothiba est refusé pour un hors jeu !
Le but de Mothiba est refusé pour un hors jeu !
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:33
But 2-0
Soler fait le break !
Lancé en profondeur excentré à droite, à la limite du hors-jeu, Mbappé s'arrête dans la surface. Il feinte Perrin, crochète sur sa droite et centre à ras de terre. Soler met le pied au premier poteau pour propulser le ballon dans les filets.
La VAR valide le but
Mbappé n'était pas hors-jeu sur son appel, et il a évité de justesse la sortie de but sur son crochet devant Perrin. But validé pour le PSG.
Soler fait le break !
Lancé en profondeur excentré à droite, à la limite du hors-jeu, Mbappé s'arrête dans la surface. Il feinte Perrin, crochète sur sa droite et centre à ras de terre. Soler met le pied au premier poteau pour propulser le ballon dans les filets.
La VAR valide le but
Mbappé n'était pas hors-jeu sur son appel, et il a évité de justesse la sortie de but sur son crochet devant Perrin. But validé pour le PSG.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 17:49
Trois minutes de temps additionnel
Mi-temps 2-0
.
Mi-temps 2-0
.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:24
C'est reparti à Paris
Ângelo remplace Deminguet
Ângelo remplace Deminguet
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:29
Sortie de Bradley Barcola, actif à gauche mais peu en réussite. Entrée d'Ousmane Dembélé
Gonçalo Ramos, volontaire et précieux en pointe de l'attaque, cède sa place à Randal Kolo Muani.
Gonçalo Ramos, volontaire et précieux en pointe de l'attaque, cède sa place à Randal Kolo Muani.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:34
Troisième changement pour le PSG. Lucas Hernandez est remplacé par Nordi Mukiele sur le côté gauche de la défense.
Deuxième changement côté Strasbourg. Lebo Mothiba cède sa place à Moïse Sahi Dion en attaque.
But 3-0 Ruiz
Fabian Ruiz tue le suspense en signant le but du 3 à 0 en jonglant Nyamsi, puis en concluant en finesse devant Sels.
Deuxième changement côté Strasbourg. Lebo Mothiba cède sa place à Moïse Sahi Dion en attaque.
But 3-0 Ruiz
Fabian Ruiz tue le suspense en signant le but du 3 à 0 en jonglant Nyamsi, puis en concluant en finesse devant Sels.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:48
Lee est averti
Le PSG effectue ses deux derniers changements. Vitinha est remplacé par l'international espoirs italien Cher Ndour au milieu.
Enfin, sortie de Carlos Soler pour l'entrée de Layvin Kurzawa qui n'avait plus joué avec Paris depuis le 1er août 2021.
Le PSG effectue ses deux derniers changements. Vitinha est remplacé par l'international espoirs italien Cher Ndour au milieu.
Enfin, sortie de Carlos Soler pour l'entrée de Layvin Kurzawa qui n'avait plus joué avec Paris depuis le 1er août 2021.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:51
Mwanga est remplacé par Sissoko pour les dernières minutes.
Cher Ndour est averti pour une intervention en retard sur Habib Diarra dans le rond central.
Cher Ndour est averti pour une intervention en retard sur Habib Diarra dans le rond central.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Sam 21 Oct - 18:56
Il y aura 4 minutes de temps additionnel minimum.
Coup de sifflet final 3-0
.
Coup de sifflet final 3-0
.
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Re: 9 eme journée Paris - Strasbourg saison 2023/2024
67120 Dim 22 Oct - 3:56
dna a écrit :les notes de PSG - Racing
Menés d’entrée, les Strasbourgeois n’ont jamais vraiment existé au Parc des Princes face à des Parisiens qui n’ont pas forcé leur talent. Seul le but égalisateur de Lebo Mothiba, refusé pour hors-jeu à la 12e minute, aurait pu changer le cours d’un match conclu par une troisième défaite d’affilée.
Les deux lignes défensives strasbourgeoises, dans un 4-5-1 remis au goût du jour par Patrick Vieira, n’ont pas permis de faire échec à un PSG qui a préparé sans entamer ses réserves son choc de mercredi au Parc des Princes en Ligue des Champions face au Milan AC.
Les Parisiens ont joué au petit trot, se contentant de quelques galops et de mettre au fond trois de leurs quatre tirs cadrés pour distancer des Bleus qui n’ont jamais pu espérer, sauf quelques instants, juste avant que le but égalisateur de Lebo Mothiba, deux minutes après l’ouverture du score de Kylian Mbappé, ne soit refusé (12e ).
SELS 5
S’il a encaissé trois buts et essuyé d’incessantes vagues parisiennes sur sa cage, il n’a paradoxalement pas été très sollicité. Le réalisme parisien a tout simplement eu raison de lui. Comme les années précédentes, le gardien belge peut s’enorgueillir d’un duel gagné face à Mbappé (53e ) qui a évité une addition plus lourde.
SENAYA 3
Le Ludovicien a vécu une de ces soirées qui font grandir. Quand on voit Barcola et Mbappé débouler tour à tour, parfois en même temps, sur son côté, on est à peu près assuré de passer un sale quart d’heure et même plusieurs. Il s’est battu avec ses armes, mais a régulièrement été poussé à la faute ou débordé.
NYAMSI 3
Comme Perrin, laissé sur place par le passeur Mbappé, le “roc” breton s’est effrité sur le centre du Bondynois, devancé par Soler sur le but du 2-0 (31e ). Il a achevé de se désagréger lorsque Fabian Ruiz l’a mystifié au point de penalty pour le troisième but (77e ). Son bon coup de tête de la 75e minute sur un corner de Bakwa n’a même pas fait trembler Donnarumma.
PERRIN 4
Il avait dit dans la semaine qu’il ne fallait surtout pas laisser Mbappé se retourner. Mais le champion du monde 2018 lui faisait face sur le deuxième but servi à Soler (31e ) et le Marseillais est resté planté quand l’international a mis le turbo. Difficile de lui en vouloir, d’autant qu’il avait failli être passeur décisif sur le but refusé à Mothiba et n’a, comme d’habitude, pas été avare en tacles rageurs.
DELAINE 5
Sans la flèche Hakimi face à lui, le latéral gauche a joui d’une certaine liberté en contre et en a fait usage avec application et détermination en première période, en multipliant les centres. Beaucoup moins en vue après le repos.
BAKWA 4
Titularisé à droite pour la première fois, dans un milieu renforcé à cinq, il a essayé de donner de la vitesse aux contres alsaciens, mais de façon désordonnée. À son crédit, des corners plutôt bien tirés qui ont offert aux Bleus leurs rares occasions.
DOUKOURE 3
À l’image de Diarra, “Douk” a beaucoup couru, sans toujours faire les bons choix. Comme les autres, il a souffert des passes rectilignes distillées dans la profondeur par les milieux parisiens. Et comme souvent depuis qu’il est repassé dans l’entrejeu, son rendement n’est pas proportionnel à son aisance technique.
MWANGA 4
Malheureusement pour lui, il a fauté sur deux des trois buts parisiens. D’abord sur un contrôle trop lent après lequel il a maladroitement déséquilibré dans sa surface un Gonçalo Ramos qui avait senti le coup. L’impitoyable Mbappé n’a évidemment pas fait de sentiment pour ouvrir le score sur l’indiscutable penalty (10e ). Ensuite sur sa perte de balle à l’origine directe de la troisième réalisation de Fabian Ruiz (77e ).
Ça fait beaucoup. Dommage, car pour sa deuxième titularisation, il a montré une vraie aptitude à casser les lignes. Ibrahima SISSOKO lui a succédé à la 85e.
DIARRA 3
Il a beaucoup navigué dans la ligne de cinq milieux, mais a peiné à peser et faire des différences, même s’il a tenté, notamment en deuxième période, une ou deux percées vite stoppées par l’arrière-garde parisienne. Il a mieux fini qu’il n’avait commencé, mais ce n’est pas encore assez.
DEMINGUET 4
De retour dans le onze de départ après avoir fait banquette contre Nantes, l’ancien Caennais s’est efforcé de mettre du liant et d’enclencher la marche avant, lui à qui était jusqu’ici reproché de jouer latéralement, voire en arrière. Mais il a touché trop peu de ballons (13e ) pour influer vraiment et s’est effacé au profit d’ ÂNGELO (62e ).
MOTHIBA 6
De retour de sélection, le Sud-Africain, titulaire “surprise” en pointe, a cru avoir égalisé à la 12e minute en reprenant victorieusement de la tête un centre de Perrin après un corner de Bakwa côté gauche. Mais le Bafana Bafana a été privé de son troisième but – et le Racing avec lui – pour un hors-jeu d’une poignée de centimètres. Il a eu le grand mérite d’exister dans le rôle le plus ingrat du football : celui de pointe unique dans une équipe dont la possession dépasse à peine les 20 %. Il a pu sortir à la 73e , relayé par Moïse SAHI , avec le sentiment d’avoir fait le boulot.
Menés d’entrée, les Strasbourgeois n’ont jamais vraiment existé au Parc des Princes face à des Parisiens qui n’ont pas forcé leur talent. Seul le but égalisateur de Lebo Mothiba, refusé pour hors-jeu à la 12e minute, aurait pu changer le cours d’un match conclu par une troisième défaite d’affilée.
Les deux lignes défensives strasbourgeoises, dans un 4-5-1 remis au goût du jour par Patrick Vieira, n’ont pas permis de faire échec à un PSG qui a préparé sans entamer ses réserves son choc de mercredi au Parc des Princes en Ligue des Champions face au Milan AC.
Les Parisiens ont joué au petit trot, se contentant de quelques galops et de mettre au fond trois de leurs quatre tirs cadrés pour distancer des Bleus qui n’ont jamais pu espérer, sauf quelques instants, juste avant que le but égalisateur de Lebo Mothiba, deux minutes après l’ouverture du score de Kylian Mbappé, ne soit refusé (12e ).
SELS 5
S’il a encaissé trois buts et essuyé d’incessantes vagues parisiennes sur sa cage, il n’a paradoxalement pas été très sollicité. Le réalisme parisien a tout simplement eu raison de lui. Comme les années précédentes, le gardien belge peut s’enorgueillir d’un duel gagné face à Mbappé (53e ) qui a évité une addition plus lourde.
SENAYA 3
Le Ludovicien a vécu une de ces soirées qui font grandir. Quand on voit Barcola et Mbappé débouler tour à tour, parfois en même temps, sur son côté, on est à peu près assuré de passer un sale quart d’heure et même plusieurs. Il s’est battu avec ses armes, mais a régulièrement été poussé à la faute ou débordé.
NYAMSI 3
Comme Perrin, laissé sur place par le passeur Mbappé, le “roc” breton s’est effrité sur le centre du Bondynois, devancé par Soler sur le but du 2-0 (31e ). Il a achevé de se désagréger lorsque Fabian Ruiz l’a mystifié au point de penalty pour le troisième but (77e ). Son bon coup de tête de la 75e minute sur un corner de Bakwa n’a même pas fait trembler Donnarumma.
PERRIN 4
Il avait dit dans la semaine qu’il ne fallait surtout pas laisser Mbappé se retourner. Mais le champion du monde 2018 lui faisait face sur le deuxième but servi à Soler (31e ) et le Marseillais est resté planté quand l’international a mis le turbo. Difficile de lui en vouloir, d’autant qu’il avait failli être passeur décisif sur le but refusé à Mothiba et n’a, comme d’habitude, pas été avare en tacles rageurs.
DELAINE 5
Sans la flèche Hakimi face à lui, le latéral gauche a joui d’une certaine liberté en contre et en a fait usage avec application et détermination en première période, en multipliant les centres. Beaucoup moins en vue après le repos.
BAKWA 4
Titularisé à droite pour la première fois, dans un milieu renforcé à cinq, il a essayé de donner de la vitesse aux contres alsaciens, mais de façon désordonnée. À son crédit, des corners plutôt bien tirés qui ont offert aux Bleus leurs rares occasions.
DOUKOURE 3
À l’image de Diarra, “Douk” a beaucoup couru, sans toujours faire les bons choix. Comme les autres, il a souffert des passes rectilignes distillées dans la profondeur par les milieux parisiens. Et comme souvent depuis qu’il est repassé dans l’entrejeu, son rendement n’est pas proportionnel à son aisance technique.
MWANGA 4
Malheureusement pour lui, il a fauté sur deux des trois buts parisiens. D’abord sur un contrôle trop lent après lequel il a maladroitement déséquilibré dans sa surface un Gonçalo Ramos qui avait senti le coup. L’impitoyable Mbappé n’a évidemment pas fait de sentiment pour ouvrir le score sur l’indiscutable penalty (10e ). Ensuite sur sa perte de balle à l’origine directe de la troisième réalisation de Fabian Ruiz (77e ).
Ça fait beaucoup. Dommage, car pour sa deuxième titularisation, il a montré une vraie aptitude à casser les lignes. Ibrahima SISSOKO lui a succédé à la 85e.
DIARRA 3
Il a beaucoup navigué dans la ligne de cinq milieux, mais a peiné à peser et faire des différences, même s’il a tenté, notamment en deuxième période, une ou deux percées vite stoppées par l’arrière-garde parisienne. Il a mieux fini qu’il n’avait commencé, mais ce n’est pas encore assez.
DEMINGUET 4
De retour dans le onze de départ après avoir fait banquette contre Nantes, l’ancien Caennais s’est efforcé de mettre du liant et d’enclencher la marche avant, lui à qui était jusqu’ici reproché de jouer latéralement, voire en arrière. Mais il a touché trop peu de ballons (13e ) pour influer vraiment et s’est effacé au profit d’ ÂNGELO (62e ).
MOTHIBA 6
De retour de sélection, le Sud-Africain, titulaire “surprise” en pointe, a cru avoir égalisé à la 12e minute en reprenant victorieusement de la tête un centre de Perrin après un corner de Bakwa côté gauche. Mais le Bafana Bafana a été privé de son troisième but – et le Racing avec lui – pour un hors-jeu d’une poignée de centimètres. Il a eu le grand mérite d’exister dans le rôle le plus ingrat du football : celui de pointe unique dans une équipe dont la possession dépasse à peine les 20 %. Il a pu sortir à la 73e , relayé par Moïse SAHI , avec le sentiment d’avoir fait le boulot.
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