Frédéric Guilbert

Le défenseur du club Anglais d'Aston Villa arrive en prêt pour 6 mois.


Frédéric Guilbert (ex-Bordeaux et Caen, actuellement blacklisté à Aston Villa). A un poste où la concurrence n'existe pas, c’est Anthony Caci, le latéral gauche, qui dépannera ce dimanche contre Reims.

Alsa'sports a écrit:
Qui est Frédéric Guilbert ?

L’officialisation de son arrivée est une question d’heures puisque Frédéric Guilbert va être prêté par Aston Villa jusqu’à la fin de la saison au Racing Club de Strasbourg. Formé à Caen il fait tout d’abord ses débuts avec Cherbourg en CFA. Auteur de 30 matches pour 1 but inscrit lors de la saison 2013-2014, il est repéré par les Girondins de Bordeaux pour évoluer dans un premier temps avec l’équipe réserve. C’est avec les Girondins qu’il signe son premier contrat professionnel en 2015, intégrant même l’équipe de France espoirs. Il restera de 2014 à 2017 aux Girondins, disputant au total 36 rencontres sous le maillot bordelais. En 2016, durant son passage à Bordeaux, il est prêté à son club formateur, le SM Caen.

Acteur et titulaire indiscutable à son poste, il participe au maintien du club caennais en Ligue 1. En 2017, il s’engage avec le club normand et signe un contrat de quatre ans. C’est contre Strasbourg qu’il inscrira son premier but en Ligue 1, le 4 mars 2018, lors d’un succès 2-0 des Caennais. Le 31 janvier 2019 il s’engage avec Aston Villa mais est prêté jusqu’à la fin de la saison au SM Caen. Il fait ses débuts en Premier League le 23 août 2019 à l’occasion d’une rencontre contre Everton. Au total, Frédéric Guilbert a pour le moment disputé 31 matchs sous le maillot d’Aston Villa pour un total de deux buts inscrits. Au niveau de son palmarès il est finaliste de la Coupe de la Ligue anglaise 2020 avec Aston Villa.

dna a écrit:
Guilbert : c’est fait

Le Racing l’a officialisé ce dimanche vers 20h : il tient le successeur, au poste de latéral droit, de Kenny Lala, parti ce week-end à Athènes ratifier les modalités de son transfert chez le leader du championnat grec, l’Olympiakos.

L’ex-défenseur de Bordeaux et Caen Frédéric Guilbert (26 ans) est en effet prêté sans option d’achat jusqu’en fin de saison au club strasbourgeois par Aston Villa, 9e de Premier League anglaise, où il est sous contrat jusqu’en 2023. Chez des Villans avec qui il n’a disputé que deux matches de la Coupe de la Ligue anglaise cette saison, le Normand n’était plus qu’un troisième choix à son poste.

Le néo-Racingman a assisté dans les loges de la Meinau à la défaite contre Reims (0-1) de ses nouveaux coéquipiers, dont Alexander Djiku avec qui il a évolué à Caen de 2017 à 2019 et Bingourou Kamara qu’il connaît aussi.

C’est d’ailleurs dans cette même Meinau qu’il a vécu son unique sélection en équipe de France espoirs (2-0 face à l’Ukraine le 13 octobre 2015) et face au Racing, au stade Michel d’Ornano de Caen, qu’il a inscrit son premier but en Ligue 1 (2-0 le 4 mars 2018).

Sauf dérogation, le natif de Valognes, dans la Manche, ne pourra toutefois pas être aligné ce mercredi contre Brest : comme tout voyageur arrivant de Grande-Bretagne, il est censé s’isoler sept jours, puis se soumettre à un test PCR au terme de cet isolement.

Indiscrétions
Racing : Guilbert pas à l’entraînement mais à l’isolement

Arrivé à Strasbourg samedi en provenance d’Angleterre, Frédéric Guilbert ne sera pas concerné par le match de son nouveau club, ce mercredi (19h) contre Brest.

Prêté par Aston Villa jusqu’en fin de saison, le remplaçant au poste de latéral droit de Kenny Lala – parti, lui, à l’Olympiakos – est tenu de respecter une période d’isolement pendant sept jours une fois arrivé en France, avant de refaire un test PCR.

Une version “light” par rapport aux nouvelles mesures qui ont cours depuis ce dimanche, où toute entrée en France en provenance du Royaume-Uni est interdite, sauf motif impérieux.

Concernant Frédéric Guilbert, qui a passé sa visite médicale samedi à Strasbourg et dont le prêt a été officialisé dimanche soir, le Racing cherche à réduire les délais. Une demande de dérogation a été formulée auprès du ministère chargé des sports afin que le Normand de 26 ans soit autorisé à sortir de l’isolement dans le cadre d’un protocole sanitaire strict et pointu.

« Avant même de penser à disputer un match, il faut déjà que le joueur soit autorisé à s’entraîner avec le groupe, dit ainsi Alain Plet, le directeur général du Racing. On est dans l’attente d’une réponse du ministère. »

Sans dérogation, Guilbert devra patienter jusqu’à samedi – le jour où le Racing sera en lice à Lyon – pour retrouver le cours normal d’une vie de sportif de haut niveau, avec dans le viseur le match de Coupe de France, mercredi 10 février (14h45) contre Montpellier.

Alsa'sports a écrit:
Guilbert devrait débuter contre Montpellier !
Présent en conférence d’avant match avant l’opposition contre Montpellier ce mercredi à l’occasion des 32es de finale de la Coupe de France, Thierry Laurey a indiqué que la recrue hivernale du Racing, Frédéric Guilbert, devrait débuté la rencontre dans le onze de départ strasbourgeois. Après sa période d’isolement obligatoire due à la Covid-19, le latéral prêté par Aston Villa est apte et prêt à jouer selon le technicien alsacien.

dna a écrit:
Frédéric Guilbert, le nouveau latéral du Racing, prend date
Ses débuts ont été retardés en raison d’une quarantaine imposée à son arrivée à Strasbourg. Frédéric Guilbert (26 ans), prêté par Aston Villa, a enfin pu arpenter son couloir droit et prendre date pour les quatre derniers mois de compétition.
Dernier joueur à quitter la pelouse givrée de la Meinau à la pause, Frédéric Guilbert a rejoint les vestiaires en secouant la tête de dépit. Quelques secondes plus tôt, Delort venait d’enfumer Mitrovic et la défense pour l’ouverture du score (45e ).

« Ce but n’est pas rageant, non, pour moi c’est une faute professionnelle, tacle le défenseur à l’évocation de son mouvement d’humeur. On doit être compact et faire preuve de caractère. On l’a payé cash. C’est peut-être aussi pour ça qu’on en est là aujourd’hui… »
Cela fait seulement dix jours que Frédéric Guilbert est à Strasbourg, mais il a déjà tout compris au problème du Racing. En une mi-temps, le Normand en a eu la confirmation : si les Bleus sont à la peine en championnat et déjà boutés hors de la Coupe de France, c’est qu’ils affichent « un peu d’immaturité ».

Pour autant, le remplaçant de Kenny Lala – transféré en fin de mercato d’hiver à l’Olympiakos Le Pirée – n’a pas été prêté par Aston Villa pour donner des leçons à ses coéquipiers. C’est sur le terrain, dans son couloir droit, qu’il veut s’affirmer et contribuer au maintien des Alsaciens.
« Il a montré du volume »

Sa première sortie sous ses nouvelles couleurs, écourtée à dix minutes de la fin avec son remplacement par le jeune Ousmane, lui a permis de prendre date. « Fred a été très intéressant et impliqué, même s’il est encore un peu court physiquement, dit l’entraîneur adjoint Fabien Lefèvre. Mais c’est une grosse satisfaction. Il a montré du volume et ne voulait pas sortir. Ça va être bien… »

En Premier League , Guilbert a vécu « six derniers mois difficiles, à s’entraîner mais sans jouer ». Son dernier match remontait au 1er octobre pour un quatrième tour de la coupe de la Ligue anglaise, perdu contre Stoke City. Soit plus de quatre mois sans compétition.
Une équipe de bons mecs »

À la Meinau, l’ex-Bordelais et Caennais a mis une vingtaine de minutes à retrouver ses marques face au jeune et impétueux Héraultais Wahi, qui l’a pris une fois de vitesse (10e ). Ensuite, il a verrouillé son couloir et tenté de combiner avec Waris ou Liénard pour apporter le danger en attaque. Deux centres au cordeau pour Ajorque (31e et 66e ) n’ont pas été loin de constituer les situations strasbourgeoises les plus dangereuses de l’après-midi.

Malgré quelques incompréhensions avec ses partenaires, ce qui est légitime après seulement deux séances collectives, Guilbert est désormais prêt à enchaîner.

« En arrivant ici, je me suis retrouvé une semaine tout seul en quarantaine, rappelle celui qui s’est plié au protocole en cours dans l’Hexagone pour tout voyageur arrivant d’Angleterre. Ce n’était pas évident, mais j’ai découvert une équipe de bons mecs. Je suis venu pour jouer et lui apporter quelque chose. Et je me sens prêt, enfin je le pense ! »

Un constat qui a arraché un sourire à Fabien Lefèvre et qui est prometteur à quelques jours du derby à Metz. Un match autrement plus important pour l’avenir du Racing.

« Je reçois beaucoup de messages à ce sujet pour battre Metz, indique l’intéressé. Tous les matches sont importants dans notre situation, mais celui-ci a une saveur particulière. Il faudra avoir un truc en plus pour le gagner. »

Il faudra surtout que l’équipe montre beaucoup plus que contre Montpellier ce mercredi. Elle peut en tout cas compter sur Frédéric Guilbert, le nouveau venu qui a « la défaite amère ».

dna a écrit:
Guilbert est « en mission »
Prêté fin janvier jusqu’à la fin de saison par Aston Villa, Frédéric Guilbert a déjà pris ses marques dans un groupe « qui vit bien » et l’a « super bien accueilli ». Le latéral droit se dit prêt à assumer sa mission de quatre mois : aider le Racing à décrocher rapidement son maintien en Ligue 1.
Il n’a disputé que trois matches sous le maillot du Racing, mais Frédéric Guilbert a déjà eu son lot d’émotions contradictoires, à défaut d’être déjà particulièrement fortes.

Entre une froide élimination en Coupe de France contre Montpellier (0-2) dans une Meinau congelée le 10 février, un derby renversant remporté chez le rival messin (1-2) quatre jours plus tard et un match nul assez terne dimanche dernier contre Angers (0-0), le Normand de 26 ans a balayé un spectre assez large en une dizaine de jours.
Lui qui avait été contraint de ronger son frein en quarantaine à son arrivée d’outre-Manche a même pu goûter à quelques moments de partage - avec la distanciation physique de rigueur - avec les supporters du Racing au retour de Saint-Symphorien et avant la réception du SCO sept jours plus tard. De quoi être surpris par ces marques d’attention ? « Non, pas spécialement. Quand on connaît les supporters strasbourgeois, on sait que c’est un bon public et ça ne m’a pas du tout étonné », glisse Frédéric Guilbert.

Sous ses nouvelles couleurs, le latéral n’a pourtant joué que dans une Meinau privée de son public. Mais il n’a pas oublié la ferveur du mur bleu et la puissance qui se dégage de l’antre strasbourgeois quand il est plein comme un œuf. Deux fois, il y avait affronté le Racing avec Caen (*) et il peut témoigner que cette réputation n’est pas surfaite.
« Focalisé sur les quatre mois qui viennent »
« Jouer dans une Meinau pleine, c’est quelque chose. Quand j’étais venu avec Caen, on sentait que cette équipe de Strasbourg était poussée », se souvient-il. « C’est vraiment une force supplémentaire qu’aujourd’hui on n’a pas et c’est peut-être pourquoi on y arrive mieux à l’extérieur cette saison. » Et ce n’est pas le dernier match à la Meinau qui va changer l’opinion de Frédéric Guilbert. « Jouer dans une Meinau vide, ce n’est pas terrible. Et dimanche, à voir de l’extérieur, ça ne devait pas être top» , appuie-t-il. « En plus, le terrain n’est pas non plus excellent, ça n’aide pas non plus à produire du beau jeu. »

Recruté par Aston Villa en janvier 2019 - en terminant toutefois la saison à Caen -, l’ancien international espoir a foulé les pelouses de Premier League. Forcément, ç’a de quoi hausser le curseur en termes de qualité de gazon. Frédéric Guilbert, qui appartient toujours aux Vilans , retrouvera peut-être la saison prochaine les terrains britanniques et l’exigence de la Premier League, « incomparable avec le championnat de France ».
En attendant, il est prêt à se dévouer pour que le Racing conserve sa place en Ligue 1. « Je suis focalisé sur les quatre mois qui viennent. J’ai une mission, je veux l’accomplir Après, on verra ce qu’apportera le futur. En attendant, il faut être bon à l’instant T pour avoir des récompenses plus tard. » Et tant pis si du côté d’Aston Villa, Matty Cash, le titulaire au poste de latéral droit, s’est blessé juste après son prêt au Racing et qu’il rate de peu une opportunité de regagner du temps de jeu chez le club phare de Birmingham.
« La blessure de Matty Cash, c’est surtout dommageable pour le club. S’il a mis (Ahmed) Elmohamady en numéro deux, c’est qu’il estime qu’il peut le remplacer. Des regrets ? Je ne me dis pas ça, parce que c’est plus se pourrir le cerveau qu’autre chose. Le choix a été fait, il faut l’accepter et puis travailler pour revenir plus fort… ou pas. Dans ma tête, l’objectif, c’est de jouer et d’être performant ici à Strasbourg et on verra ce qui se passera. »

En délivrant une première passe décisive dès son deuxième match - c’est sur son centre en fin de match qu’Adrien Thomasson signe son doublé victorieux dans le derby -, Frédéric Guilbert a, déjà, montré ce qu’il peut apporter au Racing. « Au niveau des jambes, je commence à retrouver des sensations. Ça ne va aller que de mieux en mieux », estime celui qui s’est fondu « sans être dépaysé » dans un groupe où « il y a tellement de bons mecs ».

« Le groupe vit bien, je pense que c’est important lorsque l’on vise le maintien en priorité », insiste un Frédéric Guilbert. Qui a donc bien cerné le but de sa mission strasbourgeoise.

(*) Le 28 novembre 2018 (0-0) et le 9 décembre 2018 (2-2).

dna a écrit:
Guilbert ne fait pas de Paris une montagne
Frédéric Guilbert (26 ans) n’est pas le genre d’hommes à s’enthousiasmer, encore moins à s’effrayer quand se présente un gros bras du championnat. Pour le latéral droit du Racing, actuellement aux soins, la venue du Paris SG, ce samedi (17h), constitue juste une étape supplémentaire vers le maintien.
« P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non ». Frédéric Guilbert ne l’a pas exprimé comme ça, mais c’est bien une réponse de Normand que le natif de Valognes, dans le cœur du Cotentin, a formulé ce mercredi quand on lui a demandé s’il pourrait tenir sa place contre le PSG.
« Tout le monde regarde les statistiques. Moi, je préfère voir gagner l’équipe »

Alors que Thierry Laurey avait réuni ses hommes à l’abri des regards indiscrets pour la séance de mise en place tactique, le défenseur qui aborde depuis peu une chevelure blond platine façon Keylor Navas est resté aux soins, comme la veille. « J’ai pris un coup sur la cuisse gauche à Bordeaux en début de match, j’ai serré les dents mais j’ai toujours mal, dit-il. On verra comment ça évolue… »
Dimanche, pour le quatrième succès de rang du Racing au Stade Atlantique (2-3), le joueur prêté en janvier par Aston Villa n’a rien laissé paraître. Malgré la douleur, il est parvenu à centrer de son couloir droit pour trouver au second poteau la tête de Diallo sur le but du deux à zéro (21e ).

Il s’agit déjà de sa troisième passe décisive en seulement sept matches avec les Bleus, après les offrandes faites à Thomasson (succès 2-1 à Metz pour sa première apparition) et Ajorque (1-1 à Lille, 27e journée). En la matière, l’ex-Caennais a déjà fait aussi bien que celui qu’il est venu remplacer, en l’occurrence Kenny Lala. Sauf que la recrue hivernale de l’Olympiakos a atteint ce total en 21 journées avec le Racing…
En y ajoutant encore son but venu de nulle part qui a permis de faire plier Monaco au bout du suspense (1-0, 28e journée), l’apport de Guilbert vaut indéniablement de l’or. « Oui, trois passes et un but, c’est bien, mais pas non plus important, insiste-t-il. On sait que dans le foot, tout le monde regarde les statistiques. Je suis venu à Strasbourg pour essayer d’apporter quelque chose de positif. Je suis dans une période qui me réussit plutôt bien. Mais d’un point de vue personnel, je préfère voir gagner l’équipe. »
Justement, depuis son arrivée, les Bleus compilent trois succès et deux nuls. « Mais aussi deux défaites », s’empresse-t-il de préciser. Au ton de sa voix, on comprend que les faux pas à Rennes (1-0, 29e journée) et contre Lens (1-2, 30e journée) sont plus marquants pour lui que la séquence positive à laquelle il a grandement contribué.
« On ne s’interdit pas de faire un résultat »

Comme un fait exprès, ces deux revers ont coïncidé avec des prestations moins abouties du latéral droit, très exigeant avec lui-même. « J’essaye à chaque fois d’analyser et de corriger les trucs que je fais moins bien, ces petites erreurs techniques ou tactiques que l’on ne voit pas forcément à l’œil nu mais qui peuvent coûter cher », dit le Villain qui avait perdu sa place dans le club de Birmingham en première partie de saison.

Venu à Strasbourg pour retrouver du temps de jeu, “Fred” est aussi entièrement dévoué à la « mission maintien ». Quand on lui fait remarquer que le succès glané à Bordeaux rapproche le Racing de son objectif, le défenseur coupe la phrase comme il le ferait sur un débordement d’un adversaire, avec un tacle glissé – sa spécialité – à la clé.

« Avec 36 points, personne n’est maintenu, tranche-t-il. Et je vous dirais exactement la même chose si on en avait déjà 39 au compteur. On a pris trois bons points à Bordeaux et il va falloir bonifier ça rapidement. »

La sagesse et une forme de clairvoyance renverraient la suite de la récolte alsacienne aux échéances de Nîmes et Nantes, soit les deux adversaires directs qui seront au programme après la venue du Paris SG.

Guilbert le téméraire ne voit pas les choses de cette manière. « On ne s’interdit pas de faire un résultat contre les Parisiens, martèle-t-il. On n’est pas favoris, ce sera très compliqué même sans Neymar (suspendu, NDLR) , mais ce n’est pas un match bonus. Nantes a bien gagné contre eux (2-1 au Parc mi-mars) , donc on doit aussi être capable de faire quelque chose… »

S’il n’a jamais réussi, dans sa carrière, à faire chuter le Paris SG, que ce soit avec Bordeaux ou Caen, le droitier n’a pas que subi. « Avec le Stade Malherbe, on avait arraché notre maintien au Parc en faisant match nul lors de la dernière journée (1-1, en mai 2017) , se souvient-il. Rien n’est impossible. D’autant plus que Paris sera pris entre ses deux matches de Ligue des champions contre le Bayern. »
« Pour l’heure, le Racing ne m’a pas sollicité »

Mercredi soir, Guilbert avait d’ailleurs prévu de suivre la manche aller devant sa télé, ce dont il s’était par exemple dispensé pour Lille – qui jouait contre l’Ajax en Ligue Europa – avant le déplacement du Racing dans le Nord. « Là, c’est un quart de finale, je soutiens le PSG le temps d’une soirée », s’amuse-t-il.

Et s’il est remis sur pied à temps, il jouera le coup à fond samedi. « Paris reste Paris, mais il nous reste sept matches, on doit jouer chacun d’entre eux pour le gagner. »

Ensuite, le latéral rentrera à Birmingham. « Je suis sous contrat avec Aston Villa encore deux ans, rappelle-t-il. Mais on va s’asseoir autour d’une table et discuter. » Se voit-il revenir à Strasbourg ? « Pour l’heure, les portes sont fermées et le Racing ne m’a pas sollicité, répond-il. Après, si on me les entrouvre… »

Le club du président Marc Keller aurait tort de ne pas essayer. Même si ce sera « p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non », comme dirait un Normand.

On prend les mêmes…

En vue du choc de samedi (17h) à la Meinau contre le Paris SG, Thierry Laurey ne devrait guère avoir le loisir de modifier ses plans en termes d’effectif par rapport au succès dominical glané à Bordeaux (2-3).

Parmi les titulaires en Gironde, seul Frédéric Guilbert est encore incertain en raison d’un hématome à la cuisse gauche à la suite d’une béquille. Anthony Caci et Stefan Mitrovic, ménagés la veille, ont participé normalement à la séance de mise en place à huis clos.

Parmi les absents, seul Kevin Zohi (dos bloqué) s’est rapproché du groupe mais l’attaquant s’est contenté d’une reprise individuelle. Les autres – Mothiba, Simakan, Djiku, Saadi et Waris – ne seront pas aptes d’ici à samedi.

Ce jeudi, la séance d’entraînement est programmée à 17h.

Alsa'sports a écrit:
Premier carton rouge pour Frédéric Guilbert !
C’est le gros fait de jeu de la rencontre entre Nîmes et Strasbourg, l’expulsion juste après le retour sur la pelouse de Frédéric Guilbert pour une faute sur Lucas Deaux. C’est le premier carton rouge de la carrière du joueur prêté par Aston Villa. Un vrai coup dur pour ses coéquipiers qui devront se passer de lui pour le match de la semaine prochaine contre Nantes.

Alsa'sports a écrit:
Frédéric Guilbert annonce son départ du Racing
Prêté au Racing Club de Strasbourg cet hiver par Aston Villa, Frédéric Guilbert vient d’annoncer sur son compte Instagram son retour en Angleterre. Auteur de 13 matchs (1 but et 4 passes), il aura parfaitement remplacé Kenny Lala.

Alsa'sports a écrit:
Le Racing peut-il espérer un retour de Frédéric Guilbert ?
À désormais vingt jours de la fin du mercato estival, le Racing Club de Strasbourg va devoir s’activer afin de compléter son équipe ! Du côté des dirigeants et du staff strasbourgeois on attend encore deux à trois joueurs pour renforcer l’équipe de Julien Stéphan. Un nom circule toujours dans les coursives de la Meinau, c’est celui de Frédéric Guilbert. Prêté au Racing par le club d’Aston Villa la saison passée, l’arrière droit n’était pas dans le groupe du club anglais ce week-end lors de la rencontre amicale face à Salernitana (Italie). Un aveu de départ pour l’ancien strasbourgeois ? D’après nos informations, le joueur souhaiterait revenir à Strasbourg !

Alsa'sports a écrit:
Aston Villa refuse une nouvelle offre pour Frédéric Guilbert !
Cela fait plusieurs semaines que le Racing Club de Strasbourg lorgne sur Frédéric Guilbert. Prêté au Racing lors de la saison passée (en janvier), l’arrière droit est ensuite retourné dans le club anglais d’Aston Villa. Un intérêt fort du club alsacien qui a présenté une première offre il y a quelques jours en arrière et qui a été repoussée. Le RC Strasbourg a retenté le coup à quelques jours de la fin du mercato, proposant un nouveau prêt pour Frédéric Guilbert, malheureusement, Aston Villa a une nouvelle fois refusé l’offre présentée par le club alsacien. La seule façon de séduire le club de Birminghan sera désormais de faire une offre d’achat, sans quoi, il sera impossible de faire revenir Frédéric Guilbert à Strasbourg ! D’après nos informations, Une enveloppe comprise entre trois et quatre millions d’euros (payable en plusieurs fois) devrait être suffisante pour s’offrir les services du latéral droit. Attention, un autre candidat sérieux se dresse face au Racing et sans offre concrète, Guilbert pourrait passer sous le nez des dirigeants strasbourgeois.

Racing: c'est fait pour Guilbert
Le club strasbourgeois ne communiquera sans doute que dans quelques minutes, mais il a, comme il le souhaitait, obtenu le prêt sans option d'achat, pour la saison 2021-2022, du latéral droit d'Aston Villa Frédéric Guilbert que le club anglais lui avait déjà prêté de janvier à mai derniers.
Comme annoncé un peu plus tôt dans la journée, Frédéric Guilbert est de nouveau strasbourgeois. Le latéral droit d'Aston Villa, sous contrat jusqu'en 2023 avec le club de Premier League anglaise, était arrivé ce matin à la Meinau pour y passer sa visite médicale. Il y a satisfait sans problème et est donc prêté sans option d'achat au Racing pour la saison 2021-2022. Le Normand, passé par Bordeaux et Caen, avait déjà fait l'objet d'un prêt à Strasbourg de janvier à mai 2021. En 13 matches de Ligue 1, il avait inscrit 1 but et distillé quatre passes décisives.

Cinquième buteur des Villans en Coupe de la League anglaise mardi dernier contre Barrow (6-0), le latéral droit de 26 ans quitte ainsi une nouvelle fois l'Angleterre. Il va disposer d'une semaine et demie pour s'intégrer à un groupe alsacien qu'il connaît bien, avant le déplacement des Bleus à Lyon le dimanche 12 septembre (20h45) pour la 5e journéé de Ligue 1. Il est la 7e recrue estivale du RCSA.
dna

dna a écrit :
Racing : et à la fin de l’envoi, Guilbert touche
Les Strasbourgeois ont inscrit le week-end passé contre Lorient deux de leurs quatre buts sur de longues touches de leur latéral droit Frédéric Guilbert (4-0). Une corde de plus à leur arc pour tenter d’embrocher les Canaris ce dimanche (15h) à Nantes.
C’est l’un des nouveaux atouts du Racing dont vont devoir se méfier ses adversaires : dimanche contre Lorient (4-0), l’équipe de Julien Stéphan a signé deux de ses quatre buts sur des touches à longue portée de Frédéric Guilbert, déviées de la tête par Ludovic Ajorque d’abord, Ibrahima Sissoko ensuite. Habib Diallo a fini par profiter de la première, même si le ballon a transité par Adrien Thomasson. Et ce dernier a clos la marque sur la deuxième, peu après l’heure de jeu.
Avec l’envergure des gabarits alsaciens (Ajorque 1,97m, Sissoko 1,93m, Diallo 1,86m, Aholou 1,88m, Nyamsi 1,94m, pour ne citer qu’eux), les Bleus se sont trouvé une nouvelle arme fatale. Rompu à l’exercice et habitué à le voir pratiqué en Angleterre, l’exécuteur des hautes œuvres, Fred Guilbert, n’y est pas pour rien.

« J’avais dit dès le début de saison qu’on avait besoin de travailler les touches et que c’était une arme importante. J’ai la chance de pouvoir les mettre assez loin et je pense que ça peut créer le danger, pas comme un corner, mais presque, souligne le latéral droit du Racing. En Angleterre, c’est une arme très utilisée. Quand j’étais à Aston Villa, on avait carrément une personne qui s’occupait des phases arrêtées, notamment des touches. »

Après les difficultés rencontrées huit jours plus tôt à Rennes – 11 corners concédés et le but de la défaite 1-0 encaissé à la 82e minute sur l’un d’eux -, les Racingmen et leur entraîneur Julien Stéphan avaient senti la nécessité de répéter de manière plus soutenue encore leurs gammes sur phases arrêtées. « Nous avions été mis en difficulté par le Stade rennais et les avons travaillées, confie Frédéric Guilbert. Cette fois, c’est nous qui avons mis les Lorientais en difficulté. C’est bien, ça veut dire que le travail paie. Il faut continuer. »

Ainsi, à l’instar d’un Ajorque qui ne donne jamais sa part au chien dans les duels à haute altitude, les grands formats se régalent-ils. « C’est travaillé à l’entraînement, confirme le buteur réunionnais. Avec le coach, on insiste beaucoup sur les petits détails et les touches de Fred peuvent être aussi longues que des centres. On en a profité pour marquer contre Lorient. Ce sont presque des corners et c’est pour ça qu’il faut utiliser cette arme. »
Reste, peut-être, à trouver le juste équilibre entre les deux flancs. Le pendant de Guilbert à gauche, Anthony Caci, sait que ce n’est pas gagné pour lui et s’en amuserait presque. « Je ne vais pas vous mentir, mais j’ai un peu plus de mal avec les touches. Fred a beaucoup de puissance. Il peut mettre le ballon fort dans la surface et comme on a de la taille devant, ça peut être dévié pour un renard de surface comme Adrien Thomasson contre Lorient. Après, je ne sais pas si c’est une question de muscu ou de technique, mais on peut apprendre (sourire). »

Guilbert : « J’ai un plus dans les bras »
En musclant ses biceps, l’ex-international olympique pourrait combler tout ou partie du fossé qui le sépare de son coéquipier dans cet exercice si spécifique. Mais rien n’est moins sûr, car il lui manque certaines prédispositions naturelles que Guilbert a toujours cultivées. « J’ai toujours plus ou moins fait de longues touches. Là, c’est bonifié par le travail du staff. Des mouvements sont mis en place et contre Lorient, ça a marché. »
L’ancien Caennais se montre même taquin avec un Caci un peu envieux. « Il y a une technique pour l’envoyer plus loin, mais j’ai aussi un plus dans les bras », charrie-t-il.

Les Canaris nantais sont prévenus. Pour contrarier les remises en jeu aériennes de l’arrière droit, ils vont devoir, dimanche à la Beaujoire, décoller bien plus que des Merlus pris dans la nasse.

Guilbert, Strasbourgeois épanoui
Arrivé une première fois en janvier 2021 à Strasbourg, prêté de nouveau fin août par Aston Villa, Frédéric Guilbert peut témoigner de l’évolution du Racing ces douze derniers mois. Dimanche, il affrontera un Montpellier HSC qui a été son premier adversaire sous le maillot strasbourgeois.
On oublie rarement ses premières fois. Le début de l’histoire entre le Racing et Frédéric Guilbert – pas prévue initialement pour s’étirer au-delà du 31 juillet 2021 – n’a pas été particulièrement heureux, sportivement, avec une élimination des Strasbourgeois dès leur entrée en lice en Coupe de France contre Montpellier à la Meinau (0-2) le 10 février dernier.

« L’an dernier, on a été solidaire, toujours là les uns pour les autres entre joueurs »
Un premier match en bleu que le latéral droit a bien gardé en mémoire, mais pas en raison du résultat. « Il faisait très froid, très, très froid, se souvient Frédéric Guilbert. C’était un match dur, à cause du temps, mais aussi du fait que je n’avais pas joué depuis un certain moment. C’était compliqué, mais je me rappelle malgré tout avoir pris du plaisir, parce que ça fait toujours du bien de retrouver l’ambiance d’un match. »

Barré à son poste chez les Villans , le Normand était venu se relancer en Alsace. Sous les ordres de Thierry Laurey, il était rapidement devenu un élément incontournable, titulaire 13 fois en Ligue 1, absent lors d’une seule rencontre – purgeant une suspension après son exclusion en début de seconde période à Nîmes (1-1, le 18 avril).

Son histoire avec le Racing aurait pu s’arrêter à la fin de cet exercice 2020-2021 compliqué pour le club strasbourgeois avec un maintien validé lors de la dernière journée. Mais il faut croire que ce passage en Alsace ne l’a pas échaudé. Comme sa situation ne s’est pas particulièrement éclaircie outre-Manche, le défenseur est donc revenu chercher à Strasbourg le bonheur de jouer au foot qui se refusait à lui en Premier League.

« L’an dernier, on était un groupe solidaire, on a toujours été là les uns pour les autres entre joueurs, c’est ce qui a fait qu’on s’est maintenu, souligne Frédéric Guilbert. Je pense qu’on a gardé ça. En plus, on essaie de jouer avec certains principes. »

Si le groupe n’a pas trop changé, Frédéric Guilbert a intégré une défense centrale remaniée de fond en comble sous la direction de Julien Stéphan et de son staff. Et il a donc découvert un autre système de jeu, le nouveau coach du Racing ayant opté dès la 2e journée – donc avant son retour fin août – pour une défense à cinq.

« Il a fallu un petit temps d’adaptation, notamment dans les entraînements qui sont complètement différents. On a beaucoup travaillé pour pouvoir se perfectionner dans ce système. Il reste quelques détails à régler, comme tout le temps, mais le coach a mis sa patte sur le projet et on y adhère complètement », assure Frédéric Guilbert.

Dans ce système, le défenseur formé à Caen a dû apprivoiser le rôle de piston dans le couloir droit, où il doit apporter son écot à l’effort offensif. Quitte à redoubler d’efforts sur les replis défensifs. « C’était compliqué au début. Quand on n’a pas forcément les repères, on court parfois dans le vide. Mais aujourd’hui, c’est réglé, le coach m’a donné toutes les petites ficelles pour pouvoir performer à ce poste, glisse l’intéressé. Aujourd’hui, je prends du plaisir, tout le monde en prend et on espère en donner au maximum dans les tribunes. »

Passeur à trois reprises (dont deux fois pour la tête d’Adrien Thomasson), Frédéric Guilbert n’a pas encore trouvé le chemin des filets, lui qui s’était amusé, en octobre sur les réseaux sociaux, du fait que le président Macron avait marqué un but de plus que lui après son match avec le Variétés Club de France. « Je mets un but par an, donc je ne suis pas inquiet, sourit-il. Il reste un certain nombre de matches et j’espère le mettre quand il faudra surtout. »

« Contre Montpellier, ce sont des bons matches, mais des matches qu’on ne gagne pas »
Comme contre Monaco, le 3 mars dernier à la Meinau, quand il avait marqué à la 90e +1 au terme d’un exploit personnel, offrant la victoire (1-0) et trois points qui feront un bien fou en fin de saison au Racing. Dimanche, pour inverser la tendance contre Montpellier, ça ne serait pas une mauvaise idée non plus.

« Contre eux, ce sont des bons matches mais des matches qu’on ne gagne pas, appuie Frédéric Guilbert. Il va falloir que la donne change et qu’on réussisse à faire un résultat, même s’ils ont une très belle équipe avec (Téji) Savanier notamment comme métronome. Ils jouent au foot, ils savent défendre et s’ils en sont là (cinquièmes, NDLR) à cette période de l’année, il y a une raison. »

Près d’un an après avoir fait ses débuts avec le Racing contre les Héraultais, une victoire contre le MHSC aurait une belle saveur. Sans doute pas la même qu’une première, mais de quoi entretenir de beaux souvenirs.
Aston Villa : « Je regarde sur internet, comme tout le monde »

Prêté une seconde fois par Aston Villa, qui vient de recruter le latéral gauche et international français Lucas Digne, Frédéric Guilbert suit l’actualité des hommes de Steven Gerrard pratiquement comme le quidam des suiveurs des Villans.

« Je fais comme tout le monde, je regarde ce qui se passe sur internet. Après, j’ai été un peu plus en ligne avec Lucas Digne qu’ils ont finalisé aujourd’hui (jeudi). On se connaît, on est parti en vacances ensemble, tout ça », a confié le piston droit du Racing, sous contrat jusqu’en juin 2023 avec Aston Villa.
dna

Frédéric Guilbert (Racing) : « On doit se racheter »
Le latéral droit Frédéric Guilbert n’a pas vraiment digéré le revers concédé à Bordeaux le 23 janvier (4-3) avant la coupure de quinze jours. Sans en faire une fixette, il appelle le Racing à rebondir contre Nantes.
Frédéric Guilbert, après deux semaines de coupure, le championnat reprend. Dans quelles dispositions êtes-vous ?
On a bien travaillé en Turquie (du 25 au 29 janvier en stage). On s’est ressourcé aussi. On repart de plus belle contre Nantes, un adversaire qui nous ressemble. On a perdu à Bordeaux et on doit se racheter. Mais je ne sais pas si cette défaite est une piqûre de rappel. Car il ne faut pas oublier qu’on a pris six points sur neuf cette semaine-là et que ça reste une bonne semaine, même si on aurait voulu les neuf.
« Je ne pense pas que ce sera très ouvert »
Vous attendez-vous à un match aussi ouvert qu’à l’aller (2-2 à la Beaujoire le 7 novembre) ?
Quand je dis qu’elles se ressemblent, c’est aussi par rapport à leur vécu. Elles étaient en difficulté la saison passée. Cette année, ça va un peu mieux, beaucoup mieux même. Les Nantais ne sont que trois points derrière nous. Ce match n’est pas crucial, mais important.

Entre deux équipes qui jouent…
Oui, deux bonnes équipes, avec de très bons joueurs de chaque côté. Ça va être serré. Je ne pense pas que ce sera très ouvert. Il va être vraiment compliqué de faire déjouer cette équipe nantaise.
Lors des trois premières rencontres de l’année, toutes victorieuses (2-0 à Metz, 3-1 contre Montpellier et 2-0 à Clermont), vous n’aviez encaissé qu’un but. En avoir pris quatre à Bordeaux n’est forcément pas le scénario dont rêvait le défenseur que vous êtes…

On réagit plutôt de façon collective. Quand on marque 40 buts et quelques, on ne dit pas que ce ne sont que les attaquants. De la même manière, on n’a pas envie de dire que seuls les défenseurs sont impliqués quand on en encaisse. Tout le monde est conscient qu’il y a eu des failles à Bordeaux. On va les corriger et essayer de s’améliorer.

Est-il important de prendre des points à la Meinau avant vos deux déplacements d’affilée à Angers et Saint-Etienne les deux dimanches suivants ?

Chaque match est important. On n’a toujours pas atteint notre objectif du maintien. C’est en bonne voie. Mais c’est seulement quand on l’aura atteint qu’on pourra se projeter sur autre chose.
Ce duel revêt-il d’autant plus d’importance qu’entre le 4e , Strasbourg, et le 11e , Lille, il n’y a que trois points (avant le coup d’envoi de la 23e journée) et que votre situation peut vite évoluer ?

Est-on à notre place ? Je dirais oui. Est-ce que si en début de saison, on nous avait dit que nous serions quatrièmes… (Il ne finit pas sa phrase). Nous le sommes et l’avons mérité. C’est sûr que derrière, il y a des gros. Certains se sont renforcés, nous, un peu moins. Mais on a une bonne équipe et on va essayer de tenir au maximum cette position. J’aime bien être quatrième. C’est cool.

Vous êtes prêté par Aston Villa en 2021-2022 après l’avoir été de janvier à mai 2021. Avec votre vécu d’une année dans le groupe et la progression de l’équipe, avez-vous envie de rester à Strasbourg au-delà du 30 juin ?

La vache (il sourit) ! Je suis bien ici, il y a un bon groupe, un bon coach, un bon staff, un intéressant projet de stade aussi. Il y a tout pour réussir. Après, je suis juste prêté par Aston Villa (il y est sous contrat jusqu’en 2023, NDLR) et je suis censé y retourner. Vais-je rester là-bas ? Honnêtement, je ne pense pas. Mais je n’en sais rien. On parlera de ça plus tard.
dna

Frédéric Guilbert (ex Bordeaux) à nouveau sur le marché des transferts
Les étés anglais se suivent et se ressemblent - hélas - pour Frédéric Guilbert.
De retour en Angleterre après son départ amer de Strasbourg, l'ancien bordelais a pu disputer la préparation avec Aston Villa pour se montrer.
Insuffisant pour son entraîneur Steven Gerrard qui l'a placé sur une liste de joueurs non retenus pour ce mercato.
G33