Le forum préféré du Grand Hamster d'Alsace !
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

Quel avenir pour le Racing ?

4 participants

Page 2 sur 2 Précédent  1, 2

Aller en bas

Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Empty Re: Quel avenir pour le Racing ?

Message  67120 Lun 18 Mai - 5:44

Le point après la 33e journée À trois pour deux places
Deux tickets pour la Ligue 2 sont encore à pourvoir. Entre le Paris FC, Bourg-Péronnas et Strasbourg, ce sera chaud jusqu’au bout…

Le Racing ne pouvait pas rêver meilleur scénario, vendredi soir. Victorieux à Luçon à l’issue d’un match très solide (1-3), le club strasbourgeois a vu deux de ses concurrents directs, le Paris FC et Bourg-Péronnas, se neutraliser lors de leur rencontre au sommet dans la capitale (1-1).

À une journée du terme du championnat, les hommes de Jacky Duguépéroux sont revenus à un point du podium et à trois petites longueurs de la deuxième place occupée par le PFC.

Il n’est pas inutile de rappeler, au cas où la situation se présenterait, qu’en cas d’égalité finale avec l’équipe francilienne, le Racing passerait devant au bénéfice du goal-average particulier.
Quoi qu’il en soit, la dernière journée de National s’annonce bouillante. Derrière le Red Star, assuré de terminer premier, il reste deux billets à distribuer pour la Ligue 2. Strasbourg reçoit Colomiers, Bourg-Péronnas accueille Boulogne-sur-Mer et le PFC se déplace sur la pelouse du CA Bastia. Faites vos jeux…

En bas de tableau, Le Poiré-sur-Vie a officiellement sauvé sa peau, en remportant un duel à la vie, à la mort sur le terrain de Colomiers (0-1). Le club de Haute-Garonne est, pour sa part, très mal embarqué : pour s’en sortir, il devra s’imposer dans quatre jours à Strasbourg, dans une Meinau en fusion, tout en misant sur une défaite de Chambly à domicile face à Istres. Sincèrement, on n’y croit pas…
Le CA Bastia, vainqueur à Épinal vendredi (0-1), a lui aussi besoin d’un miracle pour éviter la relégation L’équipe corse doit non seulement battre le Paris FC, mais également compter sur des défaites conjuguées de Chambly et Colomiers. Autant dire que la probabilité est infime…
Dna
67120
67120
d'r Kàpallmaischter
d'r Kàpallmaischter

Messages : 12533
Date d'inscription : 24/09/2009
Age : 77
Localisation : la région de Molsheim

Revenir en haut Aller en bas

Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Empty Re: Quel avenir pour le Racing ?

Message  67120 Mar 19 Mai - 21:08

La fin de 5 ans d’enfer ?
14 mai 2010, le Racing Club de Strasbourg s’incline sur la pelouse de Châteauroux (2-1) et file tout droit, pour la première fois de son histoire, au troisième échelon national. Déjà en proie à des difficultés financières, le club met tout en oeuvre pour retrouver immédiatement l’antichambre de l’élite. Après un début de saison raté et une seconde moitié de championnat toutes voiles dehors, le club alsacien échoue à la 4ème place. La dernière sortie à domicile face à Bayonne (2-0) sonne comme le chant du cygne, le Racing perd son statut professionnel.

Personne n’a oublié l’insoutenable été 2011 ponctué de rebondissements qui aboutiront à la liquidation judiciaire du club et son redémarrage en CFA2 sous la direction de François Keller à la tête de l’équipe première. Après avoir réussi l’exploit de monter une équipe compétitive en une semaine, l’ancien joueur et frère de Marc Keller survole relativement la poule C de CFA2 et s’offre la montée en mai 2012 à la Meinau face à Chaumont (2-0) à trois journées du terme du championnat.

Secoué et sérieusement balloté dans les joutes de CFA, le Racing peine à faire respecter son rang et se fera « marcher dessus » à de nombreuses reprises. Au lendemain d’une cinglante défaite à domicile face à Moulins au début du mois d’avril 2013 (0-4), le retard comptable est rédhibitoire pour espérer une éventuelle promotion en National. A huit matchs du terme, il faudrait une improbable série pour décrocher le graal. En écartant Yzeure (0-1), Sarre-Union (2-0), La Duchère (1-5), Belfort (2-1), le Racing se paie le luxe de s’offrir le scalp de Grenoble au Stade des Alpes dans un match qui s’apparente au hold-up du siècle (0-1) où les bleus se sont faits salement bousculer. Un match nul plus tard face à la réserve du Paris-SG (1-1), le Racing s’offre l’impensable six semaines plus tôt, une finale face au leader Raon pour une place en National.

La suite tout le monde la connait, après de nouvelles péripéties administratives, c’est sur le terrain que le Racing s’impose et s’offre le titre pour accéder à l’échelon supérieur (2-3). Lors de cette saison de CFA, le RC Strasbourg, devenu entre-temps « Alsace », n’aura été leader que l’espace de 49 minutes. Les 49 dernières, suffisant pour sabrer le Champagne !

Août 2013, les supporters sont pleins d’espoirs, le rêve de retoucher au monde professionnel est au bout de la saison. Malheureusement sur le terrain, leur Racing est méconnaissable, apathique, et sombre journées après journées dans les tréfonds du classement. Sportivement, à la fin de l’exercice, le club strasbourgeois est relégué en CFA. Retour à la case départ !

Comme souvent du côté de la Meinau, l’été est agité. Alors que plus personne n’y croyait, la DNCG (Direction Nationale de Contrôle et de Gestion), qui avait toujours donné des sueurs froides aux supporters, fait du petit bois du pauvre club de Luzenac en l’excluant des championnats nationaux. Permettant de fait au RC Strasbourg de bénéficier d’un repêchage inespéré.

C’est un véritable tsunami qui touche alors le Racing et surtout son effectif, qui est renouvelé à près de 70%. Sous la direction de Jacky Duguépéroux, le Racing se retrouve peu à peu mais peine à aller chatouiller les équipes de tête, malgré quelques coups d’éclats comme la victoire à Bauer face au Red Star (1-2), les bleus éprouvent les plus grandes difficultés face à des cylindrées bien plus modestes comme cette défaite face à Avranches à la Meinau (1-2) en fin d’année.

A l’instar de sa situation en fin de saison en CFA, le Racing accuse un gros retard comptable à deux mois du terme du championnat et voit les trois strapontins pour la Ligue 2 lui tourner progressivement le dos. Qu’à cela ne tienne, bis repetita, Seka et ses coéquipiers s’offrent un incroyable grand chelem de six victoires consécutives pour avoir le droit de disputer ce dernier match. Ce dernier match dans un Stade de la Meinau qui sera plein comme un oeuf (26724 spectateurs attendus) à guichets fermés.

Chose cruelle, même en cas de victoire vendredi face à la modeste équipe de Colomiers, le Racing n’a plus son destin en main. Il est certain que tout le stade aura un oeil sur son smartphone pour guetter avec angoisse l’évolution du score des matchs Bourg-Péronnas et du Paris FC, gare à la saturation du réseau. S’il faut une victoire au Racing pour espérer, il faudra également prier que la roue tourne dans le bon sens sur ces deux autres pelouses pour que le club puisse refermer définitivement les portes de l’enfer dans lequel il est plongé depuis 5 ans.

Total sport
67120
67120
d'r Kàpallmaischter
d'r Kàpallmaischter

Messages : 12533
Date d'inscription : 24/09/2009
Age : 77
Localisation : la région de Molsheim

Revenir en haut Aller en bas

Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Empty Re: Quel avenir pour le Racing ?

Message  67120 Lun 3 Aoû - 5:16

Destin National
Dans un championnat profondément chamboulé, et qui pourrait l’être encore, les ambitieux sont parfois cachés. Ils ont quelques raisons d’être nombreux. Coup d’envoi ce vendredi 7 août. Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Title12

Cet été, l’élite du foot français a pu se montrer pathétique et les candidats à la montée l’ont échappé belle. La grande famille du ballon rond s’est en effet déchirée et ce n’est sans doute pas fini. Voilà une crise d’ego dont elle aurait très bien pu se passer – sans orgueil mal placé, précipitation peu inspirée et vénalité affirmée.

La Ligue 1 a voulu laisser une équipe de Ligue 2 sur le carreau dès l’été 2016 et un amateur aux portes du professionnalisme à l’échelon en dessous.
Trois pour le Graal, quatre en CFA

En gros, les plus riches voulaient rester (presque) entre eux, les moyennement riches aussi et les pauvres n’avaient qu’à continuer à se débrouiller au 3e étage.

Les ascenseurs pour monter devaient se réduire à deux places, selon une première réforme orchestrée à la hussarde par le Conseil d’administration de la Ligue (LFP).

Au regard de ce qui se fait à l’étranger – outre-Rhin par exemple, trois clubs sur 18 sont concernés par la descente – la volonté des décideurs de l’élite hexagonale avait des allures d’arrangements entre petits épiciers.

Mais la Fédération a sifflé la fin de cette récréation douteuse entre parvenus. À l’échelon du National, ce n’est évidemment pas anodin. Comme l’an passé, les trois premiers seront invités à rejoindre le monde pro à l’issue de la saison.
À Strasbourg la stabilité,
à Colmar la révolution

Ils sont 18 sur la ligne de départ, désireux d’atteindre le Graal en évitant les quatre dernières places qui mènent au CFA ? Pour l’instant oui.

Mais comme le football a aussi pris l’habitude de conclure ses affaires dans les prétoires, deux dossiers sont en cours et pourraient modifier la donne.

Dernier de Ligue 2, Arles-Avignon a subi la loi de la deuxième lame, en raison d’une situation financière douteuse, et a été relégué en CFA. Ses dirigeants contestent la sanction de la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG) qui les a punis.

Par conséquent, ce n’est pas Colomiers, l’avant-dernier, qui a été repêché, mais Épinal, le dernier, et le club de la banlieue de Toulouse conteste cette décision.

En attendant des conclusions plus ou moins rapides sur ces sujets, il y a bien 16 équipes de National dans la France de l’intérieur et elles ne faciliteront pas la tâche des deux porte-étendards du foot alsacien.

Au sein de ces écuries, on a peu fait dans la mesure, à l’instar du grand écart qui marque l’intersaison des SR Colmar d’un côté, du Racing de l’autre. Selon que l’on s’est montré satisfait de sa saison précédente ou non, on a joué au chamboule-tout ou aux décalcomanies. À Strasbourg, la stabilité, à Colmar, la révolution.

Dans la première catégorie, on retrouve Béziers, Belfort, Chambly, Dunkerque, Épinal et Sedan. Dans la seconde, presque tous les autres.
Amiens et Boulogne, gros outsiders

De ce fait, s’essayer à quelques pronostics s’avère osé. Mais les relégués ont évidemment des têtes de vainqueur, d’autant qu’ils ne sont que deux.

Accessoirement, comparé à Istres et au CA Bastia, les deux de l’an passé, Orléans et surtout Châteauroux ont “la pancarte”.

La Berrichonne, présente au deuxième échelon de la hiérarchie hexagonale sans discontinuité depuis 1998, aspirera à y retourner illico.

Avec six recrues en provenance du National et non des moindres (Crillon, Dequaire, Mbone, Coulibaly…), elle a choisi de ne pas débouler en terrain conquis, en s’appuyant sur des talents enclins à mettre les pieds sur la table.

La dizaine de départs de Châteauroux, où – ironie de l’histoire – le Racing est descendu d’un cran pour la première fois, apparaît, dans l’autre sens, comme un moindre mal.

Avec longtemps l’espoir d’être repêché à la place de Nîmes dans l’affaire des matches truqués, Orléans semble beaucoup plus affaibli par l’intersaison. Le coup a été rude et les piliers de son équipe sont partis en nombre, une trentaine de mouvements ayant été comptabilisée au mois de juillet. L’USO saura-t-elle s’en relever ?

Parmi les gros outsiders, Amiens et Boulogne ont procédé à leur grande lessive habituelle de l’été pour construire des équipes en mesure de renouer avec le professionnalisme.

Les 16 départs pour les Picards ont été compensés par l’arrivée de quelques pointures, comme Henaini, Gurtner ou Soumah.

Sur la Côte d’Opale, c’est un peu la même chose, Thil, Allart ou Bouby débarquant pour faire mieux que la saison passée.

Dans leur sillage, Chambly et Dunkerque ont fait confiance à ceux qui avaient agréablement surpris. Quatorzième alors qu’on lui prédisait l’enfer, le premier aura surtout à surmonter le départ de Raddas.

Le second a gardé sa colonne vertébrale en dehors de Lecointe et la 6e place de l’an dernier peut donner des idées. Luçon, surprenant 5e , devra surmonter le départ de ses hommes forts, Adenon, Mbida, Nsimba ou encore Sissoko.

À l’échelon en dessous, le promu vendéen, Les Herbiers, a procédé à une campagne de recrutement séduisante sur le papier. Glombard, Fall, Gace ou Mohammed M’Changama ne sont pas les premiers venus. Et comme la montée depuis le CFA a été décrochée sans sourciller…

Dans la catégorie “en totale reconstruction sans garantie”, Avranches repart d’une page blanche devant laquelle Damien Ott doit se montrer inspiré. Au pied du Mont-St-Michel, il devra faire sans Keita, Derrien, Cabon, Pivaty, Lugier et c’est un sacré chantier.
Épinal et le CA Bastia, deuxièmes chances

À Fréjus-St-Raphaël, c’est à peu près pareil avec 16 départs et 16 arrivées, plutôt logique, puisque le résultat a été mitigé avec une 8e place, alors que la montée était espérée. Sur le banc, Jean-Marc Pilorget a remplacé Michel Estevan et M’Tir a déboulé.

Marseille Consolat a perdu Arlaud, Bru, Fabre, Hilaire et Fofana et risque de ramer. Sans filet, en provenance de l’étage inférieur, Sedan peut s’appuyer sur sa tradition et quelques prêts.

Vainqueur de leur groupe de CFA, Belfort et Béziers ont également décidé de ne rien changer ou presque. Le premier a néanmoins perdu sa star, Kevin Hoggas, et cela risque de laisser un grand vide.

Enfin, Épinal et le CA Bastia ont été repêchés, mais ont aussi refusé de se lancer dans une course à l’échalote, dont ils n’ont pas les moyens. Bien leur en a pris la saison passée, puisqu’en se contentant de gérer leurs sous en père Peinard, ils ont obtenu le droit de retenter leur chance.

En National, c’est comme ça. Les plus dispendieux ne sont pas toujours les vainqueurs. Et puisque Bourg-Péronnas a décroché la timbale la saison passée, confirmant la délicieuse incertitude du sport, il y a de quoi nourrir quelques espoirs aux six coins de l’Hexagone, même si les débats se passeront surtout au nord de la Loire.

La préfecture de l’Ain, en Ligue 2, cela ne va sans doute pas contribuer à l’augmentation enfiévrée des abonnements aux chaînes payantes qui diffusent la deuxième division, mais ce n’est pas le problème.

Car après tout, le foot n’est pas un jeu qui oppose 11 salaires à 11 autres. N’en déplaise à quelques porteurs de moustache qui ont pu grisonner cet été.

DNA
67120
67120
d'r Kàpallmaischter
d'r Kàpallmaischter

Messages : 12533
Date d'inscription : 24/09/2009
Age : 77
Localisation : la région de Molsheim

Revenir en haut Aller en bas

Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Empty Re: Quel avenir pour le Racing ?

Message  67120 Lun 3 Aoû - 16:51

le favori, c’est le Racing Strasbourg
Quatrième du dernier exercice, le Racing Strasbourg va aborder la saison de National dans le costume du grand favori. Avec un effectif stable et a priori renforcé, le club bas-rhinois s’est donné les moyens d’atteindre son objectif.

L’immense déception de la fin de la saison dernière, conclue à la place la plus frustrante possible (4e ), est oubliée. « C’est le passé » , lance le coach strasbourgeois Jacky Duguépéroux, reparti lui aussi pour un tour à la tête de l’équipe. Des paroles aux actes, le Racing s’est donné les moyens de ses ambitions durant l’intersaison. Par la force des choses, la pancarte de favori n’a pas tardé à apparaître dans le dos des Alsaciens.
Deux mois et demi après avoir manqué l’accession pour un petit point, le RCSA est tout logiquement désigné comme le candidat n°1 dans la course au titre. « L’objectif est de ramener le club dans le monde professionnel, poursuit « Dugué », sans faux-fuyant. C’est quelque chose que je ne vais pas répéter toutes les semaines. Les autres équipes vont nous laisser porter la casquette de favori, et très franchement, cela ne changera pas grand-chose. Déjà, la saison passée, sans être en tête du général, partout où on passait, on était attendu. Ce ne sera pas pire cette saison… »
Cette forte pression, le Racing la connaît bien. « Je l’assume, pas de problème. Mais les joueurs, eux, ne doivent penser qu’à jouer. Ce n’est pas en leur disant tous les matins qu’on doit monter qu’on va y arriver » , ajoute le coach, très satisfait d’avoir pu conserver la totalité de ses cadres : « La direction a fait en sorte que l’on garde nos meilleurs joueurs dont Seka, qui a été très sollicité, et Blayac (auteur de 12 buts en 13 matches la saison passée avec le RCSA). Ils ont confiance dans le projet du club. »

Avec un groupe de 19 éléments, les Strasbourgeois semblent aujourd’hui bien armés pour attaquer le championnat ce vendredi du côté de Dunkerque. « J’aurais des choix à faire » , souligne le technicien alsacien, qui n’exclut pas une dernière arrivée en cas de « bonne opportunité » avant la fin du mercato. Mais ce n’est pas encore d’actualité, d’autant que le vivier de jeunes peut lui permettre de piocher dans l’équipe réserve qui va évoluer cette saison en CFA 2.
Toujours est-il que les recrues - le gardien Olivier Blondel, le latéral Eric Marester, le milieu offensif Oumar Pouye, le milieu défensif Massiré Kanté et le défenseur central Felipe Saad - se sont bien intégrées au groupe. « La saison passée, deux joueurs d’expérience (Ndlr : Seka et Blayac) sont venus en cours de route et ça a changé beaucoup de choses, poursuit Duguépéroux. Cette année, on a encore bonifié le groupe en expérience car c’est indispensable. J’espère que les leçons du passé, qu’elles soient positives ou négatives, serviront dans l’approche de nos matches. »
« On ressent une grosse attente »
Pour sa 3e saison de suite en National, le Racing s’attend à devoir lutter pour prendre l’une des trois premières places d’ici le 3 juin prochain. « Ce sera difficile. Pas mal d’équipes veulent monter en Ligue 2 comme Orléans, Châteauroux et d’autres. Colmar en fait aussi partie, ils ont construit un groupe compétitif et c’est tant mieux pour le football alsacien. Et comme il y a toujours une équipe surprise dans le lot, ça va être un championnat très serré. »

Une chose est sûre, le peuple de la Meinau sera encore très nombreux pour soutenir son équipe et les Strasbourgeois veulent s’appuyer là-dessus pour aller chercher le Graal et ainsi remettre le club à sa place. « On ressent une grosse attente, conclut le coach. Et ce public doit être une pression de plus, mais positive. Ceux qui doivent tirer tout ça vers le haut, c’est nous. Maintenant, il faut se concentrer sur le terrain et vite passer aux actes. »

Les arrivées : Kanté (Red Star FC), Blondel (Istres), Pouye (Amiens), Marester (AC Ajaccio), Felipe Saad (Caen).

Les départs : Amofa (libre), M. Camara (libre), Chrétien (Nancy), Donzelot (libre), Fachan (Dunkerque), Gauclin (libre), N’Diaye (Metz), Oliveira (libre), Binder (libre), Marques (Dudelange, Luxembourg).
Alsace
67120
67120
d'r Kàpallmaischter
d'r Kàpallmaischter

Messages : 12533
Date d'inscription : 24/09/2009
Age : 77
Localisation : la région de Molsheim

Revenir en haut Aller en bas

Quel avenir pour le Racing ? - Page 2 Empty Re: Quel avenir pour le Racing ?

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 2 sur 2 Précédent  1, 2

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum