32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
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32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Grenoble Foot 38-Racing reprogrammé au vendredi 4 janvier à 20h55
La Fédération Française de Football a reprogramme la rencontre Grenoble Foot 38-Racing comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France.
Le match se déroulera le vendredi 4 janvier à 20h55 au stade des Alpes. Le diffuseur n’est pas encore connu.
SO
La Fédération Française de Football a reprogramme la rencontre Grenoble Foot 38-Racing comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France.
Le match se déroulera le vendredi 4 janvier à 20h55 au stade des Alpes. Le diffuseur n’est pas encore connu.
SO
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Le Racing sans Sissoko ni Mothiba à Grenoble
Le Racing se déplacera à Grenoble sans Ibrahima Sissoko. Le milieu récupérateur souffre d'une angine et restera en Alsace pour ce 32e de finale de Coupe de France. Quant à l'attaquant sud-africain, il a été laissé au repos.
Le Racing est le premier club alsacien à entrer en lice lors des ces 32es de finale de Coupe de France. Stefan Mitrovic et ses coéquipiers affrontent en effet Grenoble (Ligue 2), vendredi soir (20h55), au stade des Alpes.
Pour ce déplacement en Isère, Thierry Laurey a gardé un groupe de 18 joueurs. A priori, le visage du onze de départ devrait être assez largement modifié par rapport à la dernière sortie du Racing (face à Nice, en L1), le Racing ayant trois rencontres à disputer en une semaine.
Dans les buts, le turn-over devrait être de mise, comme c'est souvent le cas en Coupe. Kamara est pressenti pour débuter dans les bois, comme à Marseille, en Coupe de la Ligue. Si Thierry Laurey conserve son organisation habituelle à cinq défenseurs, Aaneba tient la corde pour débuter à droite, avec une charnière centrale formée par Koné, Mitrovic et Caci. Lienard devrait pour sa part débuter côté gauche.
Au milieu, en l'absence de deux récupérateurs de métier (Ibrahima Sissoko est malade, Jérémy Grimm toujours blessé) Youssouf Fofana devrait être titulaire. Anthony Gonçalves pourrait lui aussi faire son retour dans le onze, côté droit, après sa blessure au mollet. Martin, Thomasson, voire Zemzemi, sont en balance pour le troisième poste au milieu. A moins que Lienard ne remonte d'un cran côté gauche, dans un système à quatre défenseurs... A voir...
Seule certitude: Ibrahima Sissoko, malade jeudi (angine) ne sera pas du déplacement. Idem pour Lebo Mothiba, laissé au repos (en prévision du match à Lyon mardi prochain?) à l'issue du dernier entraînement, jeudi après-midi. Nuno Da Costa et Lionel Carole restent aussi en Alsace, mais sont tous deux en phase de reprise. Le premier nommé devrait être de retour au plus tard pour le déplacement à Toulouse, comme l'a précisé hier Thierry Laurey.
Le groupe du Racing pour les 32es de finale à Grenoble
L’équipe probable: Kamara - Aaneba, Koné, Mitrovic (cap), Caci, Lienard - Gonçalves, Fofana, Thomasson, Zohi - Ajorque.
Entraîneur: Thierry Laurey
Remplaçants: Sels (g.), Martinez, Lala, Tchamba, Zemzemi, Martin, Corgnet
Absents: Sissoko (malade), Grimm, Saadi, Simakan (blessés), Ndour, Carole, Da Costa (reprise), Kawashima, Mothiba (choix)
dna
Le Racing se déplacera à Grenoble sans Ibrahima Sissoko. Le milieu récupérateur souffre d'une angine et restera en Alsace pour ce 32e de finale de Coupe de France. Quant à l'attaquant sud-africain, il a été laissé au repos.
Le Racing est le premier club alsacien à entrer en lice lors des ces 32es de finale de Coupe de France. Stefan Mitrovic et ses coéquipiers affrontent en effet Grenoble (Ligue 2), vendredi soir (20h55), au stade des Alpes.
Pour ce déplacement en Isère, Thierry Laurey a gardé un groupe de 18 joueurs. A priori, le visage du onze de départ devrait être assez largement modifié par rapport à la dernière sortie du Racing (face à Nice, en L1), le Racing ayant trois rencontres à disputer en une semaine.
Dans les buts, le turn-over devrait être de mise, comme c'est souvent le cas en Coupe. Kamara est pressenti pour débuter dans les bois, comme à Marseille, en Coupe de la Ligue. Si Thierry Laurey conserve son organisation habituelle à cinq défenseurs, Aaneba tient la corde pour débuter à droite, avec une charnière centrale formée par Koné, Mitrovic et Caci. Lienard devrait pour sa part débuter côté gauche.
Au milieu, en l'absence de deux récupérateurs de métier (Ibrahima Sissoko est malade, Jérémy Grimm toujours blessé) Youssouf Fofana devrait être titulaire. Anthony Gonçalves pourrait lui aussi faire son retour dans le onze, côté droit, après sa blessure au mollet. Martin, Thomasson, voire Zemzemi, sont en balance pour le troisième poste au milieu. A moins que Lienard ne remonte d'un cran côté gauche, dans un système à quatre défenseurs... A voir...
Seule certitude: Ibrahima Sissoko, malade jeudi (angine) ne sera pas du déplacement. Idem pour Lebo Mothiba, laissé au repos (en prévision du match à Lyon mardi prochain?) à l'issue du dernier entraînement, jeudi après-midi. Nuno Da Costa et Lionel Carole restent aussi en Alsace, mais sont tous deux en phase de reprise. Le premier nommé devrait être de retour au plus tard pour le déplacement à Toulouse, comme l'a précisé hier Thierry Laurey.
Le groupe du Racing pour les 32es de finale à Grenoble
L’équipe probable: Kamara - Aaneba, Koné, Mitrovic (cap), Caci, Lienard - Gonçalves, Fofana, Thomasson, Zohi - Ajorque.
Entraîneur: Thierry Laurey
Remplaçants: Sels (g.), Martinez, Lala, Tchamba, Zemzemi, Martin, Corgnet
Absents: Sissoko (malade), Grimm, Saadi, Simakan (blessés), Ndour, Carole, Da Costa (reprise), Kawashima, Mothiba (choix)
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Gare au traquenard
Le Racing débute son année 2019 par un déplacement délicat sur le terrain de Grenoble, actuel 7e de Ligue 2. Si les Strasbourgeois veulent disputer les 16es de finale, il va falloir faire preuve de sérieux et de rigueur.
Tous les ans, l’histoire se répète. En janvier, “Dame Coupe” voit débouler les écuries de Ligue 1. Et comme elle est un poil facétieuse, la plus populaire des compétitions de football de l’Hexagone aime offrir son lot de surprises.
Tous les ans ou presque, le scénario est donc le même. Pour les “petits” qui ont réussi à s’inviter au bal des 32es de finale, le but est de manger du “gros”. Ou du moins, de lui croquer sévèrement les mollets, histoire de prolonger l’aventure durant 120 minutes.
Et pour les cadors de l’élite il s’agit de passer à travers les gouttes, pour ne pas entrer – tête basse – dans la légende noire de la Coupe de France.
Pas simple. Pas simple du tout, même. Et le Racing, qui débute sa campagne en Coupe de France ce soir, au stade des Alpes, en sait quelque chose.
« Combat » et « agressivité »
La saison passée, les Strasbourgeois avaient réussi à passer entre les averses, pour se frayer un chemin jusqu’en quarts de finale. Des quarts de finale où ils s’étaient fait piéger par Chambly (1-0), équipe sociétaire de National, lors d’un mercredi glacé de la fin février.
Ce soir, les Strasbourgeois ont donc toutes les raisons de se méfier de ce déplacement en Isère. Surtout que les Alsaciens n’affrontent pas des amateurs lors d’un match de gala, mais bien un autre club professionnel.
Grenoble, après des années de galère, a en effet retrouvé la lumière l’été dernier. Et les hommes de Philippe Hinschberger ont bien négocié ces grandes retrouvailles avec le monde pro, puisqu’ils sont actuellement calés à la 7e place de Ligue 2. Plutôt intéressant pour une équipe promue de National en juin.
Bref, si les Bleus ne veulent pas rentrer en Alsace bredouilles, ils auront du pain sur la planche. « On sait que ça va être un match compliqué, expose l’attaquant strasbourgeois Ludovic Ajorque. On s’attend à beaucoup de combat, beaucoup d’agressivité ».
Même son de cloche du côté de Thierry Laurey, l’entraîneur des Alsaciens. « On sait pertinemment que ce ne sera pas facile, souligne le coach Ciel et Blanc. L’an dernier, on y a déjà goûté (*). On avait fait un début de match qui n’était pas du tout à la hauteur, on aurait pu être mené 2-0 au bout de vingt minutes. »
Mais quoi qu’il arrive, pas question de galvauder cette rencontre de reprise. Même si l’objectif principal du Racing est de se maintenir en Ligue 1 en fin de saison, passer un tour supplémentaire en Coupe de France ne serait pas pour déplaire au staff strasbourgeois, bien au contraire.
« On aimerait bien faire un parcours dans l’une des deux Coupes, a ainsi répété hier Thierry Laurey. Ça habille les mois de janvier et de février ». Et, accessoirement, un succès en terre iséroise sera une bonne façon de lancer l’année 2019. La meilleure des façons, même…
(*) le Racing avait gagné 3-0 au stade des Alpes, en 8e de finale.
dna
Le Racing débute son année 2019 par un déplacement délicat sur le terrain de Grenoble, actuel 7e de Ligue 2. Si les Strasbourgeois veulent disputer les 16es de finale, il va falloir faire preuve de sérieux et de rigueur.
Tous les ans, l’histoire se répète. En janvier, “Dame Coupe” voit débouler les écuries de Ligue 1. Et comme elle est un poil facétieuse, la plus populaire des compétitions de football de l’Hexagone aime offrir son lot de surprises.
Tous les ans ou presque, le scénario est donc le même. Pour les “petits” qui ont réussi à s’inviter au bal des 32es de finale, le but est de manger du “gros”. Ou du moins, de lui croquer sévèrement les mollets, histoire de prolonger l’aventure durant 120 minutes.
Et pour les cadors de l’élite il s’agit de passer à travers les gouttes, pour ne pas entrer – tête basse – dans la légende noire de la Coupe de France.
Pas simple. Pas simple du tout, même. Et le Racing, qui débute sa campagne en Coupe de France ce soir, au stade des Alpes, en sait quelque chose.
« Combat » et « agressivité »
La saison passée, les Strasbourgeois avaient réussi à passer entre les averses, pour se frayer un chemin jusqu’en quarts de finale. Des quarts de finale où ils s’étaient fait piéger par Chambly (1-0), équipe sociétaire de National, lors d’un mercredi glacé de la fin février.
Ce soir, les Strasbourgeois ont donc toutes les raisons de se méfier de ce déplacement en Isère. Surtout que les Alsaciens n’affrontent pas des amateurs lors d’un match de gala, mais bien un autre club professionnel.
Grenoble, après des années de galère, a en effet retrouvé la lumière l’été dernier. Et les hommes de Philippe Hinschberger ont bien négocié ces grandes retrouvailles avec le monde pro, puisqu’ils sont actuellement calés à la 7e place de Ligue 2. Plutôt intéressant pour une équipe promue de National en juin.
Bref, si les Bleus ne veulent pas rentrer en Alsace bredouilles, ils auront du pain sur la planche. « On sait que ça va être un match compliqué, expose l’attaquant strasbourgeois Ludovic Ajorque. On s’attend à beaucoup de combat, beaucoup d’agressivité ».
Même son de cloche du côté de Thierry Laurey, l’entraîneur des Alsaciens. « On sait pertinemment que ce ne sera pas facile, souligne le coach Ciel et Blanc. L’an dernier, on y a déjà goûté (*). On avait fait un début de match qui n’était pas du tout à la hauteur, on aurait pu être mené 2-0 au bout de vingt minutes. »
« Dans ce genre de match, il y a parfois un peu de folie »
En effet, le Racing avait été sévèrement bougé par Alharbi El Jadeyaoui et ses coéquipiers. « La clé du match sera la motivation. L’équipe qui aura le plus envie fera la différence », prédit Ludovic Ajorque. « En face, ils vont tout donner durant 90 minutes. Dans ce genre de match, il y a parfois un peu de folie et il faudra faire attention. On ne va pas se plaindre du tirage, mais entre une Ligue 1 et une Ligue 2, lors d’un 32e de finale de Coupe de France, c’est du “kif-kif” », rappelle aussi Thierry Laurey.Mais quoi qu’il arrive, pas question de galvauder cette rencontre de reprise. Même si l’objectif principal du Racing est de se maintenir en Ligue 1 en fin de saison, passer un tour supplémentaire en Coupe de France ne serait pas pour déplaire au staff strasbourgeois, bien au contraire.
« On aimerait bien faire un parcours dans l’une des deux Coupes, a ainsi répété hier Thierry Laurey. Ça habille les mois de janvier et de février ». Et, accessoirement, un succès en terre iséroise sera une bonne façon de lancer l’année 2019. La meilleure des façons, même…
(*) le Racing avait gagné 3-0 au stade des Alpes, en 8e de finale.
dna
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
la composition des deux équipes:
Grenoble : 1. Camara – 2. Gibaud, 4. Vandenabeele, 5. Spano (cap), 3. Mombris – 8. I. Coulibaly, 6. Sanusi, 10. M’Changama – 9. Chergui, 7. Sotoca, 11. Elogo.
Remplaçants: 12. Bengriba, 13. Abou Demba, 14. Dady Ngoy, 15. Belvito, 16. Brun, 17. Jigauri, 19. Salles (g). Entraîneur : Philippe Hinschberger.
Strasbourg : 1. Sels – 2. Aaneba, 5. Koné, 4. Mitrovic (cap), 19. Caci, 27. Lala – 7. Gonçalves, 6. Fofana, 11. Lienard – 25. Ajorque, 20. Zohi.
Remplaçants : 12. Tchamba, 13. Martinez, 14. Martin, 15. Thomasson, 16. Zemzemi, 17. Corgnet, 18. Kamara (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
.
Vous l'aurez compris: il ne fait pas bien chaud en Isère. On n'a pas le thermomètre sous les yeux, mais les prévisions faisaient état d'une température de moins 2° au coup d'envoi. Heureusement qu'il y a foule (!) au stade des Alpes pour se réchauffer!
.
Thierry Laurey a finalement choisi d'aligner Matz Sels dans les buts strasbourgeois, ce qui sous-entend que Bingourou Kamara sera titulaire mardi à Lyon en quarts de finale de la Coupe de la Ligue, comme il l'a été lors des deux tours précédents contre Lille et à Marseille. Par rapport à la composition annoncée ce matin dans nos colonnes, Kenny Lala est finalement titulaire et évoluera en principe sur le flanc gauche de la défense, dans un schéma en 5-3-2. Le reste est conforme aux prévisions.
.
Du côté de Grenoble, Philippe Hinschberger positionnera son équipe en 4-3-3. L'ancien attaquant strasbourgeois et colmarien Nicolas Belvito va débuter sur le banc.
.
Voilà à peu près le décor planté. La pelouse, à laquelle il ne nous a pas été possible d'accéder à cause d'un garde-chiourme un brin zélé, semble en bon état. Coup d'envoi dans quelques minutes. A tout de suite...
.
Le coup d'envoi n'a pas été donné. Le sera-t-il? A priori, le terrain est gelé par endroits et les arbitres réfléchissent à la possibilité de reporter la rencontre. Selon les joueurs, la pelouse est jouable pour le moment. Mais le risque existe qu'elle durcisse encore en cas de prolongation.
.
Le match est officiellement reporté!!!!
.
Le speaker vient d'annoncer le report de la rencontre, expliquant qu'à cause des températures négatives et de la probable dégradation des conditions de jeu au fil du match, la sécurité des joueurs n'était pas assurée.
.
La rencontre ne se jouera évidemment pas ce week-end, mais sera refixée dès qu'un créneau apparaîtra dans le calendrier. Rappelons que les 16es de finale sont programmés dès les mardi 22 et mercredi 23 janvier.
.
La seule date disponible est donc le mercredi 16 janvier (ou le mardi 15 janvier). A ceci près que le Racing se déplace à Toulouse en Ligue 1 le dimanche 13 et que Grenoble se rend à Niort en Ligue 2 le vendredi 18. Il faudra donc au moins décaler l'un de ces deux matches.
.
Voilà, on vous laisse pour ce soir et on file se mettre au chaud. Pas sûr qu'il fasse meilleur dans une dizaine de jours si la rencontre est refixée à ce moment-là. On pourra toujours s'interroger sur l'opportunité de jouer un vendredi 4 janvier à 21 h à Grenoble! Bonne soirée et rendez-vous ce mardi à Lyon pour le quart de finale de la Coupe de la Ligue.
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Grenoble : 1. Camara – 2. Gibaud, 4. Vandenabeele, 5. Spano (cap), 3. Mombris – 8. I. Coulibaly, 6. Sanusi, 10. M’Changama – 9. Chergui, 7. Sotoca, 11. Elogo.
Remplaçants: 12. Bengriba, 13. Abou Demba, 14. Dady Ngoy, 15. Belvito, 16. Brun, 17. Jigauri, 19. Salles (g). Entraîneur : Philippe Hinschberger.
Strasbourg : 1. Sels – 2. Aaneba, 5. Koné, 4. Mitrovic (cap), 19. Caci, 27. Lala – 7. Gonçalves, 6. Fofana, 11. Lienard – 25. Ajorque, 20. Zohi.
Remplaçants : 12. Tchamba, 13. Martinez, 14. Martin, 15. Thomasson, 16. Zemzemi, 17. Corgnet, 18. Kamara (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
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Vous l'aurez compris: il ne fait pas bien chaud en Isère. On n'a pas le thermomètre sous les yeux, mais les prévisions faisaient état d'une température de moins 2° au coup d'envoi. Heureusement qu'il y a foule (!) au stade des Alpes pour se réchauffer!
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Thierry Laurey a finalement choisi d'aligner Matz Sels dans les buts strasbourgeois, ce qui sous-entend que Bingourou Kamara sera titulaire mardi à Lyon en quarts de finale de la Coupe de la Ligue, comme il l'a été lors des deux tours précédents contre Lille et à Marseille. Par rapport à la composition annoncée ce matin dans nos colonnes, Kenny Lala est finalement titulaire et évoluera en principe sur le flanc gauche de la défense, dans un schéma en 5-3-2. Le reste est conforme aux prévisions.
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Du côté de Grenoble, Philippe Hinschberger positionnera son équipe en 4-3-3. L'ancien attaquant strasbourgeois et colmarien Nicolas Belvito va débuter sur le banc.
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Voilà à peu près le décor planté. La pelouse, à laquelle il ne nous a pas été possible d'accéder à cause d'un garde-chiourme un brin zélé, semble en bon état. Coup d'envoi dans quelques minutes. A tout de suite...
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Le coup d'envoi n'a pas été donné. Le sera-t-il? A priori, le terrain est gelé par endroits et les arbitres réfléchissent à la possibilité de reporter la rencontre. Selon les joueurs, la pelouse est jouable pour le moment. Mais le risque existe qu'elle durcisse encore en cas de prolongation.
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Le match est officiellement reporté!!!!
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Le speaker vient d'annoncer le report de la rencontre, expliquant qu'à cause des températures négatives et de la probable dégradation des conditions de jeu au fil du match, la sécurité des joueurs n'était pas assurée.
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La rencontre ne se jouera évidemment pas ce week-end, mais sera refixée dès qu'un créneau apparaîtra dans le calendrier. Rappelons que les 16es de finale sont programmés dès les mardi 22 et mercredi 23 janvier.
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La seule date disponible est donc le mercredi 16 janvier (ou le mardi 15 janvier). A ceci près que le Racing se déplace à Toulouse en Ligue 1 le dimanche 13 et que Grenoble se rend à Niort en Ligue 2 le vendredi 18. Il faudra donc au moins décaler l'un de ces deux matches.
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Voilà, on vous laisse pour ce soir et on file se mettre au chaud. Pas sûr qu'il fasse meilleur dans une dizaine de jours si la rencontre est refixée à ce moment-là. On pourra toujours s'interroger sur l'opportunité de jouer un vendredi 4 janvier à 21 h à Grenoble! Bonne soirée et rendez-vous ce mardi à Lyon pour le quart de finale de la Coupe de la Ligue.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Grenoble – Racing: « Le plus sage était de ne pas jouer »
Le match des 32es de finale entre le Racing Strasbourg et Grenoble a été reporté hier soir, à quelques minutes du coup d’envoi. La raison: une pelouse qui s’est mise rapidement à geler au stade des Alpes.
Les équipes strasbourgeoise et grenobloise se sont échauffées normalement, hier soir. Mais l’arbitre de la rencontre, M. Leonard, a finalement décidé de reporter la rencontre, à quelques minutes seulement du coup d’envoi de ce 32e de finale de Coupe de France.
« Au fil des minutes, l’état de la pelouse s’est dégradé. À 19h45, on a appelé les deux capitaines et les entraîneurs. D’un commun accord, la rencontre a été reportée », a indiqué hier Noël Mannino, le délégué principal de cette rencontre.
« Le plus sage était de ne pas jouer »
Délégué qui a aussi ajouté que « les joueurs ont été les premiers à signaler que la pelouse était gelée au milieu du terrain. Vu la dégradation conséquente au fil des minutes, le plus sage était de ne pas jouer ».
Philippe Hinschberger, l’entraîneur du GF 38, comprenait cette décision. « On est tous déçus. Strasbourg, comme nous, avait préparé ce match et voulait jouer. Programmer un match à 21h le 4 janvier dans des raisons aussi froides, ça pose des problèmes. On sait que la température peut chuter très vite. Le terrain est dangereux. Ça glisse. On risque des blessures et de voir un match de foot qui n’en est pas un. Tous les acteurs, arbitres, joueurs, ont estimé que c’était très dangereux et que ça ressemblait à rien de donner le coup d’envoi. »
Thierry Laurey, le coach strasbourgeois, était sur la même longueur d’onde. « Les garçons m’ont dit qu’ils avaient beaucoup de difficultés à tenir leurs appuis, a indiqué l’entraîneur strasbourgeois. Il y avait une bande de 30-40 mètres dans l’axe qui était très dur. Après, je m’en remets à l’avis des joueurs. Honnêtement, le match aurait été une parodie de football. »
«On est à Grenoble, c’est pas les Caraïbes»
Et Thierry Laurey de rappeler la mésaventure vécue l’an passé par le Racing à Beauvais, lors des quarts de finale de cette même Coupe de France.
« Face à Chambly l’an passé, on a joué dans des conditions injouables et on a été éliminés. Je comprends que les supporteurs se sentent lésés, mais c’est la météo et ce n’est pas de chance, c’est tout. On est à Grenoble, en hiver. Ce n’est pas les Caraïbes. Je pense que le report était une bonne décision, qui a en plus a fait l’unanimité. »
Reste désormais à trouver une date pour disputer ce match dans un calendrier déjà surchargé, sachant que la rencontre devra quoi qu’il arrive se jouer avant les 22 et 23 janvier, où sont programmés les 16es de finale.
dna
Le match des 32es de finale entre le Racing Strasbourg et Grenoble a été reporté hier soir, à quelques minutes du coup d’envoi. La raison: une pelouse qui s’est mise rapidement à geler au stade des Alpes.
Les équipes strasbourgeoise et grenobloise se sont échauffées normalement, hier soir. Mais l’arbitre de la rencontre, M. Leonard, a finalement décidé de reporter la rencontre, à quelques minutes seulement du coup d’envoi de ce 32e de finale de Coupe de France.
« Au fil des minutes, l’état de la pelouse s’est dégradé. À 19h45, on a appelé les deux capitaines et les entraîneurs. D’un commun accord, la rencontre a été reportée », a indiqué hier Noël Mannino, le délégué principal de cette rencontre.
« Le plus sage était de ne pas jouer »
Délégué qui a aussi ajouté que « les joueurs ont été les premiers à signaler que la pelouse était gelée au milieu du terrain. Vu la dégradation conséquente au fil des minutes, le plus sage était de ne pas jouer ».
Philippe Hinschberger, l’entraîneur du GF 38, comprenait cette décision. « On est tous déçus. Strasbourg, comme nous, avait préparé ce match et voulait jouer. Programmer un match à 21h le 4 janvier dans des raisons aussi froides, ça pose des problèmes. On sait que la température peut chuter très vite. Le terrain est dangereux. Ça glisse. On risque des blessures et de voir un match de foot qui n’en est pas un. Tous les acteurs, arbitres, joueurs, ont estimé que c’était très dangereux et que ça ressemblait à rien de donner le coup d’envoi. »
Thierry Laurey, le coach strasbourgeois, était sur la même longueur d’onde. « Les garçons m’ont dit qu’ils avaient beaucoup de difficultés à tenir leurs appuis, a indiqué l’entraîneur strasbourgeois. Il y avait une bande de 30-40 mètres dans l’axe qui était très dur. Après, je m’en remets à l’avis des joueurs. Honnêtement, le match aurait été une parodie de football. »
«On est à Grenoble, c’est pas les Caraïbes»
Et Thierry Laurey de rappeler la mésaventure vécue l’an passé par le Racing à Beauvais, lors des quarts de finale de cette même Coupe de France.
« Face à Chambly l’an passé, on a joué dans des conditions injouables et on a été éliminés. Je comprends que les supporteurs se sentent lésés, mais c’est la météo et ce n’est pas de chance, c’est tout. On est à Grenoble, en hiver. Ce n’est pas les Caraïbes. Je pense que le report était une bonne décision, qui a en plus a fait l’unanimité. »
Reste désormais à trouver une date pour disputer ce match dans un calendrier déjà surchargé, sachant que la rencontre devra quoi qu’il arrive se jouer avant les 22 et 23 janvier, où sont programmés les 16es de finale.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Coupe de France:
après le report du match du Racing Il fait froid l’hiver…
Le report du 32e de finale de Coupe de France, à cause du gel vendredi au stade des Alpes, place au cœur des débats l’horaire (20h55) d’un match qui pourrait être refixé le mercredi 16 janvier.
Un petit tour et puis s’en va ! Non, le Racing n’a pas été éliminé en 32es de Coupe de France avant-hier à Grenoble, mais oui, il n’a foulé la pelouse du stade des Alpes que le temps de l’échauffement.
En concertation avec les deux clubs, l’arbitre Thomas Léonard a en effet reporté la rencontre. Les Racingmen n’ont donc fait qu’un petit tour dans l’enceinte gelée du GF38. Ils y reviendront sous peu.
«J’ai une pensée pour les supporters qui se sont déplacés»
Pour préserver l’intégrité physique des joueurs et éviter «une parodie de football» (Thierry Laurey), c’était sans doute la décision la plus sage, même si les quelque 5000 spectateurs, dont une centaine de fans alsaciens, ne l’ont guère goûtée.
Le public, venu se peler en Isère pour assister à ce remake du 8e de finale remporté par les Bleus le 8 février 2018 en ces mêmes lieux (3-0), a longuement conspué la décision officialisée juste après 21h.
C’est du reste à ces spectateurs courageux et peu frileux que Philippe Hinschberger et Thierry Laurey ont songé.
«J’ai une pensée pour les supporters qui se sont déplacés, particulièrement ceux de Strasbourg qui ont fait 500 km pour venir», a ainsi regretté l’entraîneur isérois. «Je me mets à la place des supporters grenoblois, mais surtout strasbourgeois qui ont fait le voyage et se sentent un peu lésés», lui a fait écho son homologue alsacien.
Ce report, qui va encore alourdir un calendrier chargé, engendre de facto une série de questions autour d’un même thème : l’horaire de la rencontre.
➤ La pelouse aurait-elle dû être bâchée ?
Pour les deux coaches, le bâchage du gazon n’aurait pas garanti la tenue du match. Selon Philippe Hinschberger, rien, pas même la chute annoncée du thermomètre en dessous de 0°, ne laissait présager un gel aussi rapide de l’aire de jeu. «Jeudi, les températures n’étaient pas négatives, loin de là. Nous nous sommes entraînés dans de bonnes conditions, sous un beau soleil. La question de bâcher ne se posait pas.3
Le temps était de fait encore radieux – et le mercure au-dessus de 0 – vendredi après-midi.
Thierry Laurey, lui, n’a pas oublié un épisode récent à la Meinau. «En Ligue 2, nous avions dû reporter un match contre Tours alors que le terrain n’avait pourtant été débâché que quelques heures avant (le 20 janvier 2017). On ne peut pas aller contre les éléments extérieurs. Ce report est la bonne décision. »
➤ Fallait-il fixer ce match à 20h55 ?
Comme souvent, les intérêts des diffuseurs télé ne sont pas ceux des acteurs. Les deux coaches l’ont souligné en creux, Philippe Hinschberger le premier. «Si nous avions joué deux heures avant, ça aurait posé moins de problèmes. Nous sommes dans une région où il faut peut-être faire preuve d’anticipation.»
Même sentiment chez Thierry Laurey. «On avait le choix de jouer le dimanche à 14h15 après un match de rugby la veille – ça fait rêver ! – ou le vendredi soir avant le rugby. On a cherché à jouer sur une pelouse en bon état le vendredi soir. Malheureusement, les conditions atmosphériques nous en ont empêchés.»
➤ Quelle reprogrammation ?
Une seule date est disponible avant les 32es des 22 et 23 janvier: le mercredi 16. Le Racing jouera en Ligue 1 le dimanche 13 à Toulouse et le samedi 19 à Monaco.
De son côté, le GF 38 doit se déplacer le vendredi 18 à Niort, mais la programmation télévisée de la 21e journée de L2 n’a pas encore été validée.
Un décalage de ce Niort – Grenoble au samedi 19 réglerait un souci qui, aux yeux de Thierry Laurey, n’en est pas un. «Beaucoup d’équipes ont des matches reprogrammés les mardi 15 et mercredi 16 janvier. Je pense qu’on en fera partie, mais pas en championnat, en Coupe de France. Ça ne me pose aucun problème.» Réponse sous peu.
dna
après le report du match du Racing Il fait froid l’hiver…
Le report du 32e de finale de Coupe de France, à cause du gel vendredi au stade des Alpes, place au cœur des débats l’horaire (20h55) d’un match qui pourrait être refixé le mercredi 16 janvier.
Un petit tour et puis s’en va ! Non, le Racing n’a pas été éliminé en 32es de Coupe de France avant-hier à Grenoble, mais oui, il n’a foulé la pelouse du stade des Alpes que le temps de l’échauffement.
En concertation avec les deux clubs, l’arbitre Thomas Léonard a en effet reporté la rencontre. Les Racingmen n’ont donc fait qu’un petit tour dans l’enceinte gelée du GF38. Ils y reviendront sous peu.
«J’ai une pensée pour les supporters qui se sont déplacés»
Pour préserver l’intégrité physique des joueurs et éviter «une parodie de football» (Thierry Laurey), c’était sans doute la décision la plus sage, même si les quelque 5000 spectateurs, dont une centaine de fans alsaciens, ne l’ont guère goûtée.
Le public, venu se peler en Isère pour assister à ce remake du 8e de finale remporté par les Bleus le 8 février 2018 en ces mêmes lieux (3-0), a longuement conspué la décision officialisée juste après 21h.
C’est du reste à ces spectateurs courageux et peu frileux que Philippe Hinschberger et Thierry Laurey ont songé.
«J’ai une pensée pour les supporters qui se sont déplacés, particulièrement ceux de Strasbourg qui ont fait 500 km pour venir», a ainsi regretté l’entraîneur isérois. «Je me mets à la place des supporters grenoblois, mais surtout strasbourgeois qui ont fait le voyage et se sentent un peu lésés», lui a fait écho son homologue alsacien.
Ce report, qui va encore alourdir un calendrier chargé, engendre de facto une série de questions autour d’un même thème : l’horaire de la rencontre.
➤ La pelouse aurait-elle dû être bâchée ?
Pour les deux coaches, le bâchage du gazon n’aurait pas garanti la tenue du match. Selon Philippe Hinschberger, rien, pas même la chute annoncée du thermomètre en dessous de 0°, ne laissait présager un gel aussi rapide de l’aire de jeu. «Jeudi, les températures n’étaient pas négatives, loin de là. Nous nous sommes entraînés dans de bonnes conditions, sous un beau soleil. La question de bâcher ne se posait pas.3
Le temps était de fait encore radieux – et le mercure au-dessus de 0 – vendredi après-midi.
Thierry Laurey, lui, n’a pas oublié un épisode récent à la Meinau. «En Ligue 2, nous avions dû reporter un match contre Tours alors que le terrain n’avait pourtant été débâché que quelques heures avant (le 20 janvier 2017). On ne peut pas aller contre les éléments extérieurs. Ce report est la bonne décision. »
➤ Fallait-il fixer ce match à 20h55 ?
Comme souvent, les intérêts des diffuseurs télé ne sont pas ceux des acteurs. Les deux coaches l’ont souligné en creux, Philippe Hinschberger le premier. «Si nous avions joué deux heures avant, ça aurait posé moins de problèmes. Nous sommes dans une région où il faut peut-être faire preuve d’anticipation.»
Même sentiment chez Thierry Laurey. «On avait le choix de jouer le dimanche à 14h15 après un match de rugby la veille – ça fait rêver ! – ou le vendredi soir avant le rugby. On a cherché à jouer sur une pelouse en bon état le vendredi soir. Malheureusement, les conditions atmosphériques nous en ont empêchés.»
➤ Quelle reprogrammation ?
Une seule date est disponible avant les 32es des 22 et 23 janvier: le mercredi 16. Le Racing jouera en Ligue 1 le dimanche 13 à Toulouse et le samedi 19 à Monaco.
De son côté, le GF 38 doit se déplacer le vendredi 18 à Niort, mais la programmation télévisée de la 21e journée de L2 n’a pas encore été validée.
Un décalage de ce Niort – Grenoble au samedi 19 réglerait un souci qui, aux yeux de Thierry Laurey, n’en est pas un. «Beaucoup d’équipes ont des matches reprogrammés les mardi 15 et mercredi 16 janvier. Je pense qu’on en fera partie, mais pas en championnat, en Coupe de France. Ça ne me pose aucun problème.» Réponse sous peu.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Coupe de France (32es) : Grenoble-Strasbourg reporté au mercredi 16 janvier
Reportée vendredi en raison d'une pelouse gelée, la rencontre Grenoble-Strasbourg, comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France, sera jouée le mercredi 16 janvier.
Prévu vendredi dernier, le match Grenoble-Strasbourg, comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France, avait été reporté en raison de conditions de jeu impraticables, la pelouse étant gelée.
La rencontre a été décalée au mercredi 16 janvier et son coup d'envoi sera donné à 19h15 au Stade des Alpes, enceinte du club isérois. Cette reprogrammation en a entraîné une autre : le match Niort-Grenoble, de la 21e journée de Ligue 2, aura lieu non pas le vendredi 18 janvier mais le lendemain, le samedi
equipe
Reportée vendredi en raison d'une pelouse gelée, la rencontre Grenoble-Strasbourg, comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France, sera jouée le mercredi 16 janvier.
Prévu vendredi dernier, le match Grenoble-Strasbourg, comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France, avait été reporté en raison de conditions de jeu impraticables, la pelouse étant gelée.
La rencontre a été décalée au mercredi 16 janvier et son coup d'envoi sera donné à 19h15 au Stade des Alpes, enceinte du club isérois. Cette reprogrammation en a entraîné une autre : le match Niort-Grenoble, de la 21e journée de Ligue 2, aura lieu non pas le vendredi 18 janvier mais le lendemain, le samedi
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Un grand chamboule-tout au Racing ?
Trois jours après avoir battu Toulouse au Stadium et trois jours avant de défier Monaco au pied du Rocher, le Racing entame sa campagne en Coupe de France à Grenoble en un 32e de finale initialement programmé le 4 janvier. La tentation de ménager les cadres d'une équipe en pleine bourre se fait sentir.
Ils ne sont pas encore au bout de leur marathon ponctué de déplacement aux six coins de l'Hexagone en ce mois de janvier. Après avoir vaincu à Lyon en coupe de la Ligue, après avoir gagné à Toulouse en championnat et avant de se rendre à Monaco pour la 21e journée de Ligue 1, les Strasbourgeois sont à Grenoble, pensionnaire de Ligue 2, promu de National plutôt fringant (7e à deux points du podium). Si d'aventure il venait à se qualifier au stade des Alpes, le Racing s'ajouterait un petit déplacement à son programme dantesque avec une virée au Parc des Princes dans une semaine puisque le tirage au sort des 16e de finale a été effectué et que le vainqueur du match défiera le PSG, chez lui, une rigolade.
Dès lors, ménager quelques énergies relève d'une forme de logique et le staff technique a décidé de reposer nombre de cadres qui n'ont pas ménagé leurs efforts en ce début d'année pour installer leur équipe dans le premier tiers du championnat et en demi-finale de coupe de la Ligue. Thierry Laurey a retenu un groupe de 18 joueurs pour le voyage en Isère, dont sont écartés Matz Sels, Jonas Martin, Kenny Lala, Pablo Martinez, Ludovic Ajorque, Anthony Caci ou encore Adrien Thomasson. Il n'est pas question de sacrifier le troisième match de 2019 mais de rester dans une philosophie qui permet d'entretenir l'émulation dans un groupe de plus de 20 éléments.
Néanmoins, on relèvera la présence sur le banc de deux "petits nouveaux", Mamoudou Karamo et Léon Valentin, habitués de la réserve. Le 32e de finale devrait également être mis à profit pour relancer des joueurs en manque de temps de jeu et des garçons comme Lionel Carole, Abdalah Ndour, Anthony Gonçalves, Nuno Da Costa, Kevin Zohi, Youssouf Fofana ou Ismael Aaneba sont pressentis pour être du onze titulaire. Si le mystère demeure autour de l'identité du gardien - Kawashima ou Kamara -, Duplexe Tchamba pourrait connaître son premier match avec les pros.
Le groupe strasbourgeois : Kawashima, Kamara - Aaneba, Mitrovic, Tchamba, Ndour, Valentin - Gonçalves, Fofana, Lienard, Corgnet, Carole, Sissoko, Zemzemi - Da Costa, Zohi, Karamo.
dna
Trois jours après avoir battu Toulouse au Stadium et trois jours avant de défier Monaco au pied du Rocher, le Racing entame sa campagne en Coupe de France à Grenoble en un 32e de finale initialement programmé le 4 janvier. La tentation de ménager les cadres d'une équipe en pleine bourre se fait sentir.
Ils ne sont pas encore au bout de leur marathon ponctué de déplacement aux six coins de l'Hexagone en ce mois de janvier. Après avoir vaincu à Lyon en coupe de la Ligue, après avoir gagné à Toulouse en championnat et avant de se rendre à Monaco pour la 21e journée de Ligue 1, les Strasbourgeois sont à Grenoble, pensionnaire de Ligue 2, promu de National plutôt fringant (7e à deux points du podium). Si d'aventure il venait à se qualifier au stade des Alpes, le Racing s'ajouterait un petit déplacement à son programme dantesque avec une virée au Parc des Princes dans une semaine puisque le tirage au sort des 16e de finale a été effectué et que le vainqueur du match défiera le PSG, chez lui, une rigolade.
Dès lors, ménager quelques énergies relève d'une forme de logique et le staff technique a décidé de reposer nombre de cadres qui n'ont pas ménagé leurs efforts en ce début d'année pour installer leur équipe dans le premier tiers du championnat et en demi-finale de coupe de la Ligue. Thierry Laurey a retenu un groupe de 18 joueurs pour le voyage en Isère, dont sont écartés Matz Sels, Jonas Martin, Kenny Lala, Pablo Martinez, Ludovic Ajorque, Anthony Caci ou encore Adrien Thomasson. Il n'est pas question de sacrifier le troisième match de 2019 mais de rester dans une philosophie qui permet d'entretenir l'émulation dans un groupe de plus de 20 éléments.
Néanmoins, on relèvera la présence sur le banc de deux "petits nouveaux", Mamoudou Karamo et Léon Valentin, habitués de la réserve. Le 32e de finale devrait également être mis à profit pour relancer des joueurs en manque de temps de jeu et des garçons comme Lionel Carole, Abdalah Ndour, Anthony Gonçalves, Nuno Da Costa, Kevin Zohi, Youssouf Fofana ou Ismael Aaneba sont pressentis pour être du onze titulaire. Si le mystère demeure autour de l'identité du gardien - Kawashima ou Kamara -, Duplexe Tchamba pourrait connaître son premier match avec les pros.
Le groupe strasbourgeois : Kawashima, Kamara - Aaneba, Mitrovic, Tchamba, Ndour, Valentin - Gonçalves, Fofana, Lienard, Corgnet, Carole, Sissoko, Zemzemi - Da Costa, Zohi, Karamo.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
la composition des deux équipes:
Grenoble : Camara – Abou Demba, Vandenabeele, Bengriba, Mombris – Sanusi, Coulibaly – Sotoca (cap), M’Changama, Elogo – Brun. Remplaçants : Boussaha, Jigauri, Dady Ngoy, El Jadeyaoui, Belvito, Chergui, Salles (g). Entraîneur : Philippe Hinschberger.
Strasbourg : Kamara – Aaneba, Mitrovic (cap), Ndour, Carole – Gonçalves, Fofana, Zemzemi – Corgnet – Da Costa, Zohi. Remplaçants : Tchamba, Lienard, Valentin, Karamoko, Koné, Sissoko, Kawashima (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
.
Comme il l'avait laissé entendre, l'entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey a fait tourner son équipe dans les grandes largeurs. Du onze aligné dimanche à Toulouse où les Bleus l'ont emporté 2-1, il ne reste qu'un ''rescapé'', le capitaine serbe Stefan Mitrovic.
.
Pour cette rencontre, le coach du RCSA a décidé d'abandonner provisoirement son schéma à cinq défenseurs, dont trois centraux. Une défense largement recomposée, avec la titularisation comme latéral droit d'Ismaïl Aaneba qui avait précisément fait ses grands débuts avec les pros - comme titulaire - à Grenoble en 8es de finale de la Coupe de France le 8 février 2018. Le Racing s'était imposé 3-0.
.
L'international olympique tunisien Moataz Zemzemi, déjà apparu en toute fin de match contre Saint-Etienne et à Guingamp en début de saison, honorera sa toute première titularisation en pros ce soir. A noter aussi les retours d'Abdallah Ndour qui n'a pratiquement pas joué depuis 20 mois et sa fracture tibia-péroné de la jambe droite début mai 2017, et de Lionel Carole, absent depuis un mois et demi pour une déchirure à l'ischio-jambier. Les deux joueurs évolueront d'ailleurs côte à côte, puisque le latéral gauche sénégalais évoluera dans une position d'axial gauche aux côtés de Stefan Mitrovic, Carole couvrant le couloir.
.
Du côté de Grenoble, Philippe Hinschberger a titularisé en pointe la seule de ses trois recrues qualifiée pour cette rencontre, Yohan Brun, arrivé cet hiver en provenance de Hyères. Le Strasbourgeois Alharbi El Jadeyaoui et l'ex-Racingman Nicolas Belvito sont remplaçants.
.
Un petit point sur les conditions de jeu: il fait bien moins froid que le 4 janvier et la partie se déroulera sur une pelouse un peu grasse, mais correcte. Voilà, rendez-vous dans une grosse dizaine de minutes pour le coup d'envoi.
.
Voilà, c'est parti au Stade des Alpes! Les Bleus du Racing évoluent ce soir tout en blanc, alors que les Grenoblois jouent eux dans une tenue entièrement bleue, des chaussettes au maillot. On a oublié de vous rappeler que le vainqueur de cette rencontre ira défier le PSG au Parc des Princes en 16es de finale mercredi prochain 23 janvier (21h05).
.
Le Racing, qui n'avait pas encore franchi la ligne médiane, vient de placer une première escarmouche. Sur un long dégagement de Kamara, Zohi s'est échappé côté gauche, mais gêné par le retour de Vandenabeele, n'a pu appuyer son tir excentré du gauche capté tranquillement par le portier isérois Camara. Ce qui nous permet d'ailleurs de vous signaler que c'est son presque homonyme, Bingourou Kamara, qui garde ce soir la cage alsacienne.
.
La réplique grenobloise a bien failli faire mouche. Sur un corner sortant, frappé de la droite par M'Changama, Vandenabeele, étrangement seul au point de penalty, a placé un coup de tête puissant, mais Kamara se trouvait pile sur la trajectoire et a recueilli le ballon dans la niche
.
Dans un début de match débridé, les Bleus s'offrent leur deuxième demi-occasion, sur un tir de 20 bons mètres et de l'intérieur du gauche - son mauvais pied - de Gonçalves qui a obligé Camara à se coucher sur son flanc droit.
.
Depuis notre dernière intervention, les débats sont équilibrés. Les Grenoblois sont plutôt fringants et il a fallu quelques interventions bien senties de Mitrovic pour couper court à certains mouvements isérois qui menaçaient de devenir dangereux.
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La double occasion strasbourgeoise sur la même action!!!! Sur un ballon par-dessus de Da Costa, Zohi d'abord, Corgnet ensuite ont buté sur Camara, auteur de deux parades décisives sur le coup.
.
Peu à peu, les Racingmen sont en train de sortir de leur coquille. Il y a quelques instants, Zohi a été à deux doigts de reprendre un centre de la droite de Gonçalves et pratiquement dans la continuité de l'action, Da Costa, bien servi par Corgnet après une relance grenobloise interceptée par Fofana, n'a pas assez enroulé sa frappe du droit - distillée de l'entrée des 16 m - qui a fui le cadre.
.
Le capitaine du GF 38 Florian Sotoca est averti pour une grosse faute sur Abdallah Ndour.
.
Quelle énorme occasion pour les Grenoblois!!!!!! Sur un centre rentrant et fuyant du gauche de Brun le long de la ligne de touche côté droit, Ibrahima Coulibaly, absolument seul au 2e poteau, à hauteur des 6 m, a trouvé le moyen de placer sa tête juste à côté. Bingourou Kamara, qui n'avait pas pu intervenir, a vu avec soulagement le ballon lécher son poteau droit. Les Alsaciens ont eu très chaud!!!
.
Zemzemi qui trouve la transversale!!!!! Sur un centre de Gonçalves, le Tunisien, embusqué au 2e poteau, a hérité du ballon. Il a aussitôt armé une demi-volée du gauche légèrement déviée par Abou Demba sur la transversale d'un Camara archi battu.
.
Les Bleus font le forcing en cette fin de première période et, à son tour, Abdallah Ndour a bien failli ouvrir le score. Lui aussi en bonne position au 2e poteau après un corner, le Sénégalais a lui aussi déclenché une demi-volée qui filait tout droit dans le soupirail gauche de Camara. Mais M'Changama, positionné au pied du poteau, a sauvé sur sa ligne.
.
C'est la mi-temps à Grenoble, sur un score toujours vierge alors que les deux équipes se sont offert de belles occases d'ouvrir le score. Ce sera peut-être pour la 2e période. On vous retrouve dans un petit quart d'heure.
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Grenoble : Camara – Abou Demba, Vandenabeele, Bengriba, Mombris – Sanusi, Coulibaly – Sotoca (cap), M’Changama, Elogo – Brun. Remplaçants : Boussaha, Jigauri, Dady Ngoy, El Jadeyaoui, Belvito, Chergui, Salles (g). Entraîneur : Philippe Hinschberger.
Strasbourg : Kamara – Aaneba, Mitrovic (cap), Ndour, Carole – Gonçalves, Fofana, Zemzemi – Corgnet – Da Costa, Zohi. Remplaçants : Tchamba, Lienard, Valentin, Karamoko, Koné, Sissoko, Kawashima (g). Entraîneur : Thierry Laurey.
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Comme il l'avait laissé entendre, l'entraîneur strasbourgeois Thierry Laurey a fait tourner son équipe dans les grandes largeurs. Du onze aligné dimanche à Toulouse où les Bleus l'ont emporté 2-1, il ne reste qu'un ''rescapé'', le capitaine serbe Stefan Mitrovic.
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Pour cette rencontre, le coach du RCSA a décidé d'abandonner provisoirement son schéma à cinq défenseurs, dont trois centraux. Une défense largement recomposée, avec la titularisation comme latéral droit d'Ismaïl Aaneba qui avait précisément fait ses grands débuts avec les pros - comme titulaire - à Grenoble en 8es de finale de la Coupe de France le 8 février 2018. Le Racing s'était imposé 3-0.
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L'international olympique tunisien Moataz Zemzemi, déjà apparu en toute fin de match contre Saint-Etienne et à Guingamp en début de saison, honorera sa toute première titularisation en pros ce soir. A noter aussi les retours d'Abdallah Ndour qui n'a pratiquement pas joué depuis 20 mois et sa fracture tibia-péroné de la jambe droite début mai 2017, et de Lionel Carole, absent depuis un mois et demi pour une déchirure à l'ischio-jambier. Les deux joueurs évolueront d'ailleurs côte à côte, puisque le latéral gauche sénégalais évoluera dans une position d'axial gauche aux côtés de Stefan Mitrovic, Carole couvrant le couloir.
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Du côté de Grenoble, Philippe Hinschberger a titularisé en pointe la seule de ses trois recrues qualifiée pour cette rencontre, Yohan Brun, arrivé cet hiver en provenance de Hyères. Le Strasbourgeois Alharbi El Jadeyaoui et l'ex-Racingman Nicolas Belvito sont remplaçants.
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Un petit point sur les conditions de jeu: il fait bien moins froid que le 4 janvier et la partie se déroulera sur une pelouse un peu grasse, mais correcte. Voilà, rendez-vous dans une grosse dizaine de minutes pour le coup d'envoi.
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Voilà, c'est parti au Stade des Alpes! Les Bleus du Racing évoluent ce soir tout en blanc, alors que les Grenoblois jouent eux dans une tenue entièrement bleue, des chaussettes au maillot. On a oublié de vous rappeler que le vainqueur de cette rencontre ira défier le PSG au Parc des Princes en 16es de finale mercredi prochain 23 janvier (21h05).
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Le Racing, qui n'avait pas encore franchi la ligne médiane, vient de placer une première escarmouche. Sur un long dégagement de Kamara, Zohi s'est échappé côté gauche, mais gêné par le retour de Vandenabeele, n'a pu appuyer son tir excentré du gauche capté tranquillement par le portier isérois Camara. Ce qui nous permet d'ailleurs de vous signaler que c'est son presque homonyme, Bingourou Kamara, qui garde ce soir la cage alsacienne.
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La réplique grenobloise a bien failli faire mouche. Sur un corner sortant, frappé de la droite par M'Changama, Vandenabeele, étrangement seul au point de penalty, a placé un coup de tête puissant, mais Kamara se trouvait pile sur la trajectoire et a recueilli le ballon dans la niche
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Dans un début de match débridé, les Bleus s'offrent leur deuxième demi-occasion, sur un tir de 20 bons mètres et de l'intérieur du gauche - son mauvais pied - de Gonçalves qui a obligé Camara à se coucher sur son flanc droit.
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Depuis notre dernière intervention, les débats sont équilibrés. Les Grenoblois sont plutôt fringants et il a fallu quelques interventions bien senties de Mitrovic pour couper court à certains mouvements isérois qui menaçaient de devenir dangereux.
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La double occasion strasbourgeoise sur la même action!!!! Sur un ballon par-dessus de Da Costa, Zohi d'abord, Corgnet ensuite ont buté sur Camara, auteur de deux parades décisives sur le coup.
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Peu à peu, les Racingmen sont en train de sortir de leur coquille. Il y a quelques instants, Zohi a été à deux doigts de reprendre un centre de la droite de Gonçalves et pratiquement dans la continuité de l'action, Da Costa, bien servi par Corgnet après une relance grenobloise interceptée par Fofana, n'a pas assez enroulé sa frappe du droit - distillée de l'entrée des 16 m - qui a fui le cadre.
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Le capitaine du GF 38 Florian Sotoca est averti pour une grosse faute sur Abdallah Ndour.
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Quelle énorme occasion pour les Grenoblois!!!!!! Sur un centre rentrant et fuyant du gauche de Brun le long de la ligne de touche côté droit, Ibrahima Coulibaly, absolument seul au 2e poteau, à hauteur des 6 m, a trouvé le moyen de placer sa tête juste à côté. Bingourou Kamara, qui n'avait pas pu intervenir, a vu avec soulagement le ballon lécher son poteau droit. Les Alsaciens ont eu très chaud!!!
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Zemzemi qui trouve la transversale!!!!! Sur un centre de Gonçalves, le Tunisien, embusqué au 2e poteau, a hérité du ballon. Il a aussitôt armé une demi-volée du gauche légèrement déviée par Abou Demba sur la transversale d'un Camara archi battu.
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Les Bleus font le forcing en cette fin de première période et, à son tour, Abdallah Ndour a bien failli ouvrir le score. Lui aussi en bonne position au 2e poteau après un corner, le Sénégalais a lui aussi déclenché une demi-volée qui filait tout droit dans le soupirail gauche de Camara. Mais M'Changama, positionné au pied du poteau, a sauvé sur sa ligne.
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C'est la mi-temps à Grenoble, sur un score toujours vierge alors que les deux équipes se sont offert de belles occases d'ouvrir le score. Ce sera peut-être pour la 2e période. On vous retrouve dans un petit quart d'heure.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
A l'instant, le coup d'envoi de la 2e mi-temps, avec un changement dans les rangs strasbourgeois : Dimitri Lienard remplace Benjamin Corgnet qu'on a peu vu, hormis sur son occasion de la 25e minute.
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Deuxième avertissement de la partie, à Strasbourg cette fois. C'est Fofana qui voit jaune pour une faute à l'entrée de la surface sur Elogo. Attention au coup franc à suivre!!!
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Le coup franc de M'Changama, dévié par le mur bas-rhinois, n'a rien donné, grâce, entre autres, à une nouvelle intervention inspirée de Mitrovic.
.
Après Fofana il y a quelques instants, Gonçalves est averti pour une faute spectaculaire sur Mombris.
.
Depuis quelques minutes, les Racingmen commettent énormément de fautes. Zohi vient d'échapper de peu à sa biscotte alors qu'il avait séché Elogo.
.
Moataz Zemzemi, ici lancé à la poursuite du latéral grenoblois Harouna Abou Demba, Abdallah Ndour (au fond) et le Racing ne passent pas une soirée des plus confortables au Stade des Alpes.
.
Les joueurs de Philippe Hinschberger ne desserrent pas l'étau depuis le coup d'envoi de la 2e période. Bingourou Kamara vient de sauver le Racing d'une parade horizontale. Sa main gauche ferme a détourné au pied de son poteau gauche le missile croisé de M'Changama qui prenait la direction du cadre.
.
Si Grenoble domine, le Racing pique en contre. Zohi vient de buter, d'un tir pas assez appuyé, sur Camara alors qu'il s'était infiltré dans la surface de réparation côté gauche.
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Et encore Zohi tout près de conclure!!!! Cette fois beaucoup plus excentré, l'attaquant ivoiro-malien n'a pas réussi à cadrer son pointu.
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Au tour de Da Costa de manquer la cible d'un rien. La frappe du droit en pivot de l'international cap-verdien, bien placé à l'entrée des 16m, a filé juste au-dessus.
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Le premier changement à Grenoble, avec la sortie de la recrue hivernale Yohan Brun et l'entrée de Malek Chergui.
.
Philippe Hinschberger procède à son deuxième remplacement: Ibrahima Coulibaly cède sa place à l'ancien avant-centre strasbourgeois Nicolas Belvito, ce qui confirme les intentions offensives du technicien grenoblois.
.
Deuxième changement aussi du côté de Thierry Laurey, avec l'entrée de Lamine Koné à la place de Lionel Carole qui, pour son retour à la compétition, aura pratiquement joué tout le match.
.
Encore une grosse occase pour Grenoble, avec une tentative de Vandenabeele au milieu d'une forêt de jambes, tout près du point de penalty. Un pied strasbourgeois repousse son tir.
.
Cette fin de match est un peu folle et c'est au tour de Zohi de venir buter sur Camara
.
On entre dans le temps additionnel. Il sera de quatre minutes minimum.
.
Thierry Laurey abat sa dernière carte en lançant le jeune attaquant de la réserve Mamoudou Karamoko pour la première fois avec les pros. Nuno Da Costa rejoint le banc de touche.
.
L'arbitre Thomas Léonard n'a pas bronché sur une intervention limite d'Abou Demba sur Zohi dans la surface.
.
Le temps additionnel est terminé. Le Racing peut souffler après avoir vu un ultime tir croisé du droit de Sanusi filer à moins d'un mètre du but de Bingourou Kamara. Les deux équipes vont donc disputer la prolongation.
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Deuxième avertissement de la partie, à Strasbourg cette fois. C'est Fofana qui voit jaune pour une faute à l'entrée de la surface sur Elogo. Attention au coup franc à suivre!!!
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Le coup franc de M'Changama, dévié par le mur bas-rhinois, n'a rien donné, grâce, entre autres, à une nouvelle intervention inspirée de Mitrovic.
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Après Fofana il y a quelques instants, Gonçalves est averti pour une faute spectaculaire sur Mombris.
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Depuis quelques minutes, les Racingmen commettent énormément de fautes. Zohi vient d'échapper de peu à sa biscotte alors qu'il avait séché Elogo.
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Moataz Zemzemi, ici lancé à la poursuite du latéral grenoblois Harouna Abou Demba, Abdallah Ndour (au fond) et le Racing ne passent pas une soirée des plus confortables au Stade des Alpes.
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Les joueurs de Philippe Hinschberger ne desserrent pas l'étau depuis le coup d'envoi de la 2e période. Bingourou Kamara vient de sauver le Racing d'une parade horizontale. Sa main gauche ferme a détourné au pied de son poteau gauche le missile croisé de M'Changama qui prenait la direction du cadre.
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Si Grenoble domine, le Racing pique en contre. Zohi vient de buter, d'un tir pas assez appuyé, sur Camara alors qu'il s'était infiltré dans la surface de réparation côté gauche.
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Et encore Zohi tout près de conclure!!!! Cette fois beaucoup plus excentré, l'attaquant ivoiro-malien n'a pas réussi à cadrer son pointu.
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Au tour de Da Costa de manquer la cible d'un rien. La frappe du droit en pivot de l'international cap-verdien, bien placé à l'entrée des 16m, a filé juste au-dessus.
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Le premier changement à Grenoble, avec la sortie de la recrue hivernale Yohan Brun et l'entrée de Malek Chergui.
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Philippe Hinschberger procède à son deuxième remplacement: Ibrahima Coulibaly cède sa place à l'ancien avant-centre strasbourgeois Nicolas Belvito, ce qui confirme les intentions offensives du technicien grenoblois.
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Deuxième changement aussi du côté de Thierry Laurey, avec l'entrée de Lamine Koné à la place de Lionel Carole qui, pour son retour à la compétition, aura pratiquement joué tout le match.
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Encore une grosse occase pour Grenoble, avec une tentative de Vandenabeele au milieu d'une forêt de jambes, tout près du point de penalty. Un pied strasbourgeois repousse son tir.
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Cette fin de match est un peu folle et c'est au tour de Zohi de venir buter sur Camara
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On entre dans le temps additionnel. Il sera de quatre minutes minimum.
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Thierry Laurey abat sa dernière carte en lançant le jeune attaquant de la réserve Mamoudou Karamoko pour la première fois avec les pros. Nuno Da Costa rejoint le banc de touche.
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L'arbitre Thomas Léonard n'a pas bronché sur une intervention limite d'Abou Demba sur Zohi dans la surface.
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Le temps additionnel est terminé. Le Racing peut souffler après avoir vu un ultime tir croisé du droit de Sanusi filer à moins d'un mètre du but de Bingourou Kamara. Les deux équipes vont donc disputer la prolongation.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
C'est parti pour la première mi-temps de la prolongation.
.
Bien malin qui pourrait dire dès maintenant laquelle des deux équipes va passer et aller au Parc des Princes mercredi prochain. L'issue est vraiment indécise, même si petit à petit, les contres strasbourgeois font de plus en plus mal.
.
Le 6e et dernier changement de la rencontre: à Grenoble, le remuant Arsène Elogo s'efface au profit de Jambuli Jigauri.
.
Le premier but de la partie pour le Racing!!!!!! Signé Kevin Zohi!!!!!!! 0-1
.
Quand on vous disait que les contres strasbourgeois étaient de plus en plus dangereux... Cette fois, c'est Abdallah Ndour qui a apporté le surnombre sur le côté gauche. Le Sénégalais a impeccablement centré en retrait au premier poteau pour un Zohi qui, cette fois, n'a pas laissé passer sa chance d'un plat du pied droit dans le petit filet opposé.
.
Kevin Zohi (à droite), qui tente ici de contrecarrer les plans d'Arsène Elogo, remplacé à la 97e, vient d'ouvrir le score pour le Racing et lui permet de prendre une option sur la qualification pour les 16es de finale.
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Thierry Laurey procède à un... 4e changement, avec l'entrée de Duplexe Tchamba à la place d'Abdallah Ndour. On avait oublié ce nouvel article du règlement qui stipule qu'un 4e remplacement est autorisé en prolongation, comme lors de la dernière Coupe du monde en Russie notamment.
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Fin de la première période de la prolongation sur ce score de 1-0 pour les Strasbourgeois grâce au 2e but professionnel de Kevin Zohi, déjà buteur en Ligue 1 à Guingamp fin octobre.
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Il reste un quart d'heure à tenir pour les hommes de Thierry Laurey s'ils veulent voir Paris mercredi prochain.
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L'exceptionnelle parade de Bingourou Kamara devant Chergui!!!! D'une manchette de la main droite, le portier du RCSA a dévié sur sa transversale une demi-volée de l'attaquant grenoblois, tout seul aux 6 m après un centre venu de la gauche. L'ancien titulaire dans la cage strasbourgeoise confirme au fil de ses sorties qu'il a repris confiance.
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Quatrième changement aussi pour Philippe Hinschberger qui sort Bengriba et fait entrer Francis Dady Ngoy.
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Grenoble jette ses dernières forces dans la bataille. Le Racing résiste.
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Encore une minute de temps additionnel et ce sera la libération pour les Bleus!
.
Abou Demba vient d'être averti.
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C'est terminé. Le Racing élimine le 7e de Ligue 2, Grenoble, au Stade des Alpes sur le plus petit des scores (1-0). Ca suffit à son bonheur et ça lui offre un 6e déplacement consécutif mercredi prochain (21h05) en 16es de finale de cette Coupe de France au Parc des Princes face au PSG.
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Bien malin qui pourrait dire dès maintenant laquelle des deux équipes va passer et aller au Parc des Princes mercredi prochain. L'issue est vraiment indécise, même si petit à petit, les contres strasbourgeois font de plus en plus mal.
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Le 6e et dernier changement de la rencontre: à Grenoble, le remuant Arsène Elogo s'efface au profit de Jambuli Jigauri.
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Le premier but de la partie pour le Racing!!!!!! Signé Kevin Zohi!!!!!!! 0-1
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Quand on vous disait que les contres strasbourgeois étaient de plus en plus dangereux... Cette fois, c'est Abdallah Ndour qui a apporté le surnombre sur le côté gauche. Le Sénégalais a impeccablement centré en retrait au premier poteau pour un Zohi qui, cette fois, n'a pas laissé passer sa chance d'un plat du pied droit dans le petit filet opposé.
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Kevin Zohi (à droite), qui tente ici de contrecarrer les plans d'Arsène Elogo, remplacé à la 97e, vient d'ouvrir le score pour le Racing et lui permet de prendre une option sur la qualification pour les 16es de finale.
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Thierry Laurey procède à un... 4e changement, avec l'entrée de Duplexe Tchamba à la place d'Abdallah Ndour. On avait oublié ce nouvel article du règlement qui stipule qu'un 4e remplacement est autorisé en prolongation, comme lors de la dernière Coupe du monde en Russie notamment.
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Fin de la première période de la prolongation sur ce score de 1-0 pour les Strasbourgeois grâce au 2e but professionnel de Kevin Zohi, déjà buteur en Ligue 1 à Guingamp fin octobre.
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Il reste un quart d'heure à tenir pour les hommes de Thierry Laurey s'ils veulent voir Paris mercredi prochain.
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L'exceptionnelle parade de Bingourou Kamara devant Chergui!!!! D'une manchette de la main droite, le portier du RCSA a dévié sur sa transversale une demi-volée de l'attaquant grenoblois, tout seul aux 6 m après un centre venu de la gauche. L'ancien titulaire dans la cage strasbourgeoise confirme au fil de ses sorties qu'il a repris confiance.
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Quatrième changement aussi pour Philippe Hinschberger qui sort Bengriba et fait entrer Francis Dady Ngoy.
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Grenoble jette ses dernières forces dans la bataille. Le Racing résiste.
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Encore une minute de temps additionnel et ce sera la libération pour les Bleus!
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Abou Demba vient d'être averti.
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C'est terminé. Le Racing élimine le 7e de Ligue 2, Grenoble, au Stade des Alpes sur le plus petit des scores (1-0). Ca suffit à son bonheur et ça lui offre un 6e déplacement consécutif mercredi prochain (21h05) en 16es de finale de cette Coupe de France au Parc des Princes face au PSG.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Comme indestructible
Parfois malmené, le Racing, complètement remanié, a évité le piège pour s’offrir un 16e de finale, dans une semaine, au Parc des Princes. Il ajoute ainsi une date à son calendrier dantesque du mois de janvier. Il faut croire que l’appétit vient en mangeant.
Depuis le début de saison, le staff strasbourgeois veille à ne perdre personne en route, offrant sa chance à un joueur, réintégrant un autre, lançant un troisième. Et la formule réussit plutôt bien. Le bilan en championnat est intéressant, celui en coupe de la Ligue est nickel. Il s’agissait de vérifier la méthode en coupe de France. Il faut croire que c’était la bonne même si le Racing n’a pas non plus réalisé le match de sa saison hier.
Mais dans le fond, il reste candidat aux trois titres en jeu dans l’Hexagone. On vous l’accorde, pour rattraper Paris en tête de la Ligue 1, cela s’annonce coton. Mais la bande à Laurey s’est offert une virée au Parc, pour les 16es de finale, dans six jours et la perspective est évidemment alléchante ( lire ci-dessous ).
Pour ce faire, fidèle à sa méthode donc, l’entraîneur strasbourgeois n’a pas fait les choses à moitié pour envisager le début de l’aventure en Coupe de France. Pour le troisième déplacement de rang pour commencer 2019, il a aligné un seul titulaire de la victoire dominicale à Toulouse en L1, Stefan Mitrovic, et changé de système, remettant le 4-4-2 au goût du jour.
Au quotidien, il s’agit évidemment de concerner tout le monde. Mais en match, la bande bigarrée a mis un petit temps à entrer dans son match. Le GF38 n’avait pas l’intention de cracher sur une opportunité d’enjoliver sa saison pour l’instant pas vilaine. Il a mordu à pleines dents dans le début de la rencontre et une tête de Vandenabeele, plein axe de la surface, sur un corner de M’Changama, a contraint Kamara à la vigilance (6e’ ).
Zemzemi et Ndour répondent
à Coulibaly
Si le Racing avait une drôle d’allure au coup d’envoi, il n’avait pas non plus l’intention de faire rire trop longtemps. Après une première tentative de Gonçalves contraignant l’autre Camara, celui de Grenoble à une première intervention (7e’ ), le Racing a redressé la barre.
Zohi n’a pas été loin de reprendre un bon centre de Gonçalves aux six mètres (30e’ ). La marche en avant strasbourgeois n’a pas été sans accroc et Coulibaly s’est interrogé un moment pour savoir comment il avait raté le cadre, de la tête, à un mètre du but alsacien, sur un centre au deuxième poteau de Brun (35e’ ).
Mais Zemzemi, qui a trouvé la barre d’une volée du gauche au deuxième poteau sur un centre de Gonçalves (43e’ ), et Ndour, dont la reprise sur un corner de Gonçalves a été repoussée sur sa ligne par M’Changama (45e’ ), ont incarné une forme de maîtrise.
Merci Kamara
Le problème, c’est que le GF38 a comme refait le plein d’enthousiasme aux vestiaires. Le Racing en a à nouveau bavé des ronds de chapeau et Kamara a dû se détendre de tout son long pour dévier un tir au ras du poteau de M’Changama (63e’ ).
Zohi sur un tir dans un angle fermé (65e’ ) ou Da Costa (67e’ ) ont redonné aux débats une tournure plus favorable aux pensionnaires de la Ligue 1. Puis, la fin de rencontre a un peu viré dans l’irrationnel, en vrai mode coupe.
Ndour-Zohi: du cousu main
Dans ces cas-là, il est délicat d’échapper à la prolongation. Le Racing s’y est collé et a fait honneur à son rang dans ce qui ressemblait de plus en plus à un frigo grenoblois.
Ndour a déployé toute l’énergie accumulée au cours de son immense convalescence pour déborder côté gauche et centrer pour Zohi dont la reprise a fait basculer le match (0-1, 98e’ ). Grenoble, évidemment, a poussé, Kamara a été l’auteur d’une intervention majuscule devant Chergui pour préserver l’essentiel (109e’ ).
Acculés, les Strasbourgeois se sont arrachés pour gratter les ballons et faire tourner le chrono. Ils ont souffert mais il faut croire que ça ne les dérange pas. En l’emportant au stade des Alpes, ils se sont offert un nouveau sommet, chez le grand Paris SG, pour ce qui sera leur cinquième match à l’extérieur pour leurs cinq premiers matches de l’année.
dna
Parfois malmené, le Racing, complètement remanié, a évité le piège pour s’offrir un 16e de finale, dans une semaine, au Parc des Princes. Il ajoute ainsi une date à son calendrier dantesque du mois de janvier. Il faut croire que l’appétit vient en mangeant.
Depuis le début de saison, le staff strasbourgeois veille à ne perdre personne en route, offrant sa chance à un joueur, réintégrant un autre, lançant un troisième. Et la formule réussit plutôt bien. Le bilan en championnat est intéressant, celui en coupe de la Ligue est nickel. Il s’agissait de vérifier la méthode en coupe de France. Il faut croire que c’était la bonne même si le Racing n’a pas non plus réalisé le match de sa saison hier.
Mais dans le fond, il reste candidat aux trois titres en jeu dans l’Hexagone. On vous l’accorde, pour rattraper Paris en tête de la Ligue 1, cela s’annonce coton. Mais la bande à Laurey s’est offert une virée au Parc, pour les 16es de finale, dans six jours et la perspective est évidemment alléchante ( lire ci-dessous ).
Pour ce faire, fidèle à sa méthode donc, l’entraîneur strasbourgeois n’a pas fait les choses à moitié pour envisager le début de l’aventure en Coupe de France. Pour le troisième déplacement de rang pour commencer 2019, il a aligné un seul titulaire de la victoire dominicale à Toulouse en L1, Stefan Mitrovic, et changé de système, remettant le 4-4-2 au goût du jour.
Au quotidien, il s’agit évidemment de concerner tout le monde. Mais en match, la bande bigarrée a mis un petit temps à entrer dans son match. Le GF38 n’avait pas l’intention de cracher sur une opportunité d’enjoliver sa saison pour l’instant pas vilaine. Il a mordu à pleines dents dans le début de la rencontre et une tête de Vandenabeele, plein axe de la surface, sur un corner de M’Changama, a contraint Kamara à la vigilance (6e’ ).
Zemzemi et Ndour répondent
à Coulibaly
Si le Racing avait une drôle d’allure au coup d’envoi, il n’avait pas non plus l’intention de faire rire trop longtemps. Après une première tentative de Gonçalves contraignant l’autre Camara, celui de Grenoble à une première intervention (7e’ ), le Racing a redressé la barre.
Zohi n’a pas été loin de reprendre un bon centre de Gonçalves aux six mètres (30e’ ). La marche en avant strasbourgeois n’a pas été sans accroc et Coulibaly s’est interrogé un moment pour savoir comment il avait raté le cadre, de la tête, à un mètre du but alsacien, sur un centre au deuxième poteau de Brun (35e’ ).
Mais Zemzemi, qui a trouvé la barre d’une volée du gauche au deuxième poteau sur un centre de Gonçalves (43e’ ), et Ndour, dont la reprise sur un corner de Gonçalves a été repoussée sur sa ligne par M’Changama (45e’ ), ont incarné une forme de maîtrise.
Merci Kamara
Le problème, c’est que le GF38 a comme refait le plein d’enthousiasme aux vestiaires. Le Racing en a à nouveau bavé des ronds de chapeau et Kamara a dû se détendre de tout son long pour dévier un tir au ras du poteau de M’Changama (63e’ ).
Zohi sur un tir dans un angle fermé (65e’ ) ou Da Costa (67e’ ) ont redonné aux débats une tournure plus favorable aux pensionnaires de la Ligue 1. Puis, la fin de rencontre a un peu viré dans l’irrationnel, en vrai mode coupe.
Ndour-Zohi: du cousu main
Dans ces cas-là, il est délicat d’échapper à la prolongation. Le Racing s’y est collé et a fait honneur à son rang dans ce qui ressemblait de plus en plus à un frigo grenoblois.
Ndour a déployé toute l’énergie accumulée au cours de son immense convalescence pour déborder côté gauche et centrer pour Zohi dont la reprise a fait basculer le match (0-1, 98e’ ). Grenoble, évidemment, a poussé, Kamara a été l’auteur d’une intervention majuscule devant Chergui pour préserver l’essentiel (109e’ ).
Acculés, les Strasbourgeois se sont arrachés pour gratter les ballons et faire tourner le chrono. Ils ont souffert mais il faut croire que ça ne les dérange pas. En l’emportant au stade des Alpes, ils se sont offert un nouveau sommet, chez le grand Paris SG, pour ce qui sera leur cinquième match à l’extérieur pour leurs cinq premiers matches de l’année.
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
«Certains se sont offert le Parc»
Le match d’hier a été comme une parenthèse dans un début d’année endiablé. Les vainqueurs de Grenoble auront d’autres occasions de prouver leur légitimité à porter le maillot strasbourgeois.
Une mère n’y aurait peut-être pas trouvé ses petits. Mais le Racing y a trouvé son compte en prolongeant sa série de victoires en 2019. Sur les 15 Strasbourgeois ayant évité l’hiver en Isère hier, sept n’avaient pas la moindre minute de jeu cette année.
Naissances et renaissances
Le 32e de finale a donc correspondu à des naissances pour Zemzemi et Karamoko – première titularisation avec les pros de sa carrière pour le premier, première apparition tout court pour le second –, à une renaissance pour Ndour – première apparition depuis le mois d’avril –, à des retours de blessures pour beaucoup d’autres – Carole, Gonçalves, Da Costa et Corgnet. Et quelques “jeunes” qui avaient dû s’effacer, sans avoir démérité, avec le retour des blessés – Aaneba, Zohi – ont pu gambader.
Dans le fond, changer de visage n’avait pas trop mal réussi jusqu’alors au Racing dans sa saison. Nombre d’habituels “remplaçants” ont construit le joli parcours en coupe de la Ligue qui a envoyé le club strasbourgeois dans le dernier carré. Et ils étaient encore quelques-uns à contraindre le PSG au nul, en championnat, début décembre.
«On a essayé jusqu’ici de cloisonner les compétitions, a expliqué Thierry Laurey comme plan de bataille. Et pour ce match de Coupe, on avait décidé de reposer pas mal de joueurs. Mais on estimait que les garçons alignés étaient au niveau d’un match de Ligue 2.» Ils l’ont effectivement été.
Même s’ils n’ont pas tout réussi, Mitrovic, le capitaine leader, ainsi que la bande de jeunes et d’anciens convalescents qui l’entouraient, ont été à la hauteur du rendez-vous piégeux.
«Il fallait les remettre en route»
«Il y a pas mal de choses à corriger, a souligné l’entraîneur du Racing. On aurait pu provoquer la réussite avant la prolongation. Mais je suis satisfait dans l’ensemble. Les garçons ont fait le travail et un esprit collectif transparaît. Quelques cadres relevaient de blessure, il fallait les remettre en route parce que ce n’était pas possible de le faire avec des entrées de trois minutes par-ci par-là en championnat. Des garçons comme Gonçalves, Zohi ou Da Costa vont retrouver du rythme grâce à un temps de jeu raisonnable.» La qualification en a rajouté à se partager.
Le seul point noir de la soirée est l’entorse à la cheville de Benjamin Corgnet, contraint d’abandonner ses coéquipiers à la pause. Et si les places deviennent chères dans un effectif qui se remplume, il y aura du temps de jeu à gratter.
Pour l’échéance parisienne, Jonas Martin, l’un des tauliers de l’entrejeu laissé au repos hier, ne sera pas de la partie. Il a écopé d’un match de suspension pour une accumulation de cartons jaunes. «On aura encore trois matches à gérer en une semaine donc certains joueurs se sont offert le Parc», a conclu Thierry Laurey.
Il y a perspective moins réjouissante à envisager à ce stade de la saison que de pouvoir encore rêver d’un retentissant exploit à la mi-janvier.
dna
Le match d’hier a été comme une parenthèse dans un début d’année endiablé. Les vainqueurs de Grenoble auront d’autres occasions de prouver leur légitimité à porter le maillot strasbourgeois.
Une mère n’y aurait peut-être pas trouvé ses petits. Mais le Racing y a trouvé son compte en prolongeant sa série de victoires en 2019. Sur les 15 Strasbourgeois ayant évité l’hiver en Isère hier, sept n’avaient pas la moindre minute de jeu cette année.
Naissances et renaissances
Le 32e de finale a donc correspondu à des naissances pour Zemzemi et Karamoko – première titularisation avec les pros de sa carrière pour le premier, première apparition tout court pour le second –, à une renaissance pour Ndour – première apparition depuis le mois d’avril –, à des retours de blessures pour beaucoup d’autres – Carole, Gonçalves, Da Costa et Corgnet. Et quelques “jeunes” qui avaient dû s’effacer, sans avoir démérité, avec le retour des blessés – Aaneba, Zohi – ont pu gambader.
Dans le fond, changer de visage n’avait pas trop mal réussi jusqu’alors au Racing dans sa saison. Nombre d’habituels “remplaçants” ont construit le joli parcours en coupe de la Ligue qui a envoyé le club strasbourgeois dans le dernier carré. Et ils étaient encore quelques-uns à contraindre le PSG au nul, en championnat, début décembre.
«On a essayé jusqu’ici de cloisonner les compétitions, a expliqué Thierry Laurey comme plan de bataille. Et pour ce match de Coupe, on avait décidé de reposer pas mal de joueurs. Mais on estimait que les garçons alignés étaient au niveau d’un match de Ligue 2.» Ils l’ont effectivement été.
Même s’ils n’ont pas tout réussi, Mitrovic, le capitaine leader, ainsi que la bande de jeunes et d’anciens convalescents qui l’entouraient, ont été à la hauteur du rendez-vous piégeux.
«Il fallait les remettre en route»
«Il y a pas mal de choses à corriger, a souligné l’entraîneur du Racing. On aurait pu provoquer la réussite avant la prolongation. Mais je suis satisfait dans l’ensemble. Les garçons ont fait le travail et un esprit collectif transparaît. Quelques cadres relevaient de blessure, il fallait les remettre en route parce que ce n’était pas possible de le faire avec des entrées de trois minutes par-ci par-là en championnat. Des garçons comme Gonçalves, Zohi ou Da Costa vont retrouver du rythme grâce à un temps de jeu raisonnable.» La qualification en a rajouté à se partager.
Le seul point noir de la soirée est l’entorse à la cheville de Benjamin Corgnet, contraint d’abandonner ses coéquipiers à la pause. Et si les places deviennent chères dans un effectif qui se remplume, il y aura du temps de jeu à gratter.
Pour l’échéance parisienne, Jonas Martin, l’un des tauliers de l’entrejeu laissé au repos hier, ne sera pas de la partie. Il a écopé d’un match de suspension pour une accumulation de cartons jaunes. «On aura encore trois matches à gérer en une semaine donc certains joueurs se sont offert le Parc», a conclu Thierry Laurey.
Il y a perspective moins réjouissante à envisager à ce stade de la saison que de pouvoir encore rêver d’un retentissant exploit à la mi-janvier.
dna
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Re: 32es de finale de la CDF Grenoble- Strasbourg
Racing: éloge de la gourmandise
En prolongeant son aventure en Coupe de France à Grenoble, le Racing a montré qu’il n’est pas rassasié. Malgré un calendrier infernal, il n’entend pas bouder son plaisir devant les perspectives qu’il s’est offertes.
à ce rythme, les adversaires vont finir par tous se rallier à l’adage en vigueur quand un boulimique frénétique déboule au milieu du repas : le Racing, il vaut mieux l’avoir en peinture qu’en pension. Car la bande à Laurey semble insatiable. Depuis un mois, elle est sortie indemne des cinq rendez-vous à son programme, dont quatre à l’extérieur. En vérité, elle s’en est même sortie renforcée, boutant l’OM et l’OL de la coupe de la Ligue tout en faisant fructifier son capital en Ligue 1, dont la prochaine échéance l’amène ce samedi à Monaco.
« À Paris, il y a surtout des choses à ne pas faire »
Dans l’intervalle, les Strasbourgeois ont mis fin aux espoirs de Grenoble en Coupe de France. L’historique défenseur isérois Bengriba, sept saisons de présence au GF38, nourrissait quelques regrets. « Qu’est-ce que vous voulez, c’est le foot, a-t-il souligné avant de rappeler qu’il est plus près de la fin que du début : Je n’irai sans doute jamais au Parc des Princes en tant que joueur. »
Ses vainqueurs ont, eux, tout l’avenir devant eux pour la plupart. L’équipe alignée par Thierry Laurey en Isère avait un profil fort juvénile. Quand le match a basculé, sur le but de Zohi en prolongation, la moyenne d’âge de son onze s’élevait à 24 vertigineuses années. La carrière pro de Mamoudou Karamoko affichait huit minutes à son compteur. À l’heure de commenter la victoire, la timidité était souvent de mise. Nombre de Strasbourgeois ont affiché leur bouille réjouie sans parvenir à exprimer la joie perçue, le plaisir de s’inscrire dans une dynamique de victoires significatives et le bonheur d’avoir été à la hauteur de leurs aînés demeurés à la maison pour se reposer.
Pour la maîtrise du verbe, cela viendra. Pour la maîtrise du jeu, ce n’est déjà pas mal. Évidemment, la victoire au stade des Alpes n’a pas été d’une évidence criante. Il a fallu batailler pour la bande d’inexpérimentés et de récents blessés.
« À chaque erreur, cela a failli nous coûter cher, a relevé Thierry Laurey. Il faut canaliser la jeunesse qui amène du peps, de la fraîcheur. Avec ces matches, ils peuvent acquérir de l’expérience. Notre centre de formation n’a l’agrément de la catégorie 1 que depuis un an. Mais certains peuvent évoluer avec nous en équipe première. »
Les deux novices, Mamoudou Karamoko en tête, en ont fait la démonstration, tandis que ceux qui avaient dû s’éclipser pour faire place nette à plus expérimenté, Kevin Zohi, Ismaïl Aaneba ou encore Youssouf Fofana ont eu l’activité de garçons motivés. Durant la semaine du lancement de la Racing Mutest Academie, ils ont fait la preuve que le club strasbourgeois a de l’avenir.
Accessoirement, Thierry Laurey a confirmé ses inspirations de janvier, pianotant sur un effectif, enchaînant les paris réussis. Sa récente prolongation de contrat tranche bougrement dans ses effets avec celle orchestrée en d’autres contrées.
« Gagner ici, à Grenoble, ce n’était pas… gagné d’avance, considère un technicien qui semble franchir les écueils comme ses joueurs globalement épatants en terre inconnue. Gagner au Stadium, c’est une performance, gagner à Lyon, c’est une performance. Il y a 18 mois, on était en Ligue 2 et beaucoup l’oublient. On n’a pas toute l’expérience voulue pour faire face à ce type de match, contrairement à des clubs comme Marseille, Lille, Lyon. »
Mais les cadences comme la difficulté ne contrarient pas la jolie marche en avant, marquée par l’efficacité et la réussite. Et voilà qu’après Monaco et son Rocher, Paris et ses lumières pointent à l’horizon pour un rendez-vous au Parc mercredi, retransmis sur France 3.
« Je ne rêve pas, conclut l’entraîneur. Je garde les pieds sur terre et je sais ce qu’il faut faire mais surtout ne pas faire. Et à Paris, il y a surtout des choses à ne pas faire. Les joueurs qui ont battu Grenoble ont envie pour la majorité d’entre eux de rejouer la semaine prochaine. »
Grenoble n’a jamais été aussi approprié pour se rendre compte combien la montagne est belle comme nombre de ses sommets.
dna
En prolongeant son aventure en Coupe de France à Grenoble, le Racing a montré qu’il n’est pas rassasié. Malgré un calendrier infernal, il n’entend pas bouder son plaisir devant les perspectives qu’il s’est offertes.
à ce rythme, les adversaires vont finir par tous se rallier à l’adage en vigueur quand un boulimique frénétique déboule au milieu du repas : le Racing, il vaut mieux l’avoir en peinture qu’en pension. Car la bande à Laurey semble insatiable. Depuis un mois, elle est sortie indemne des cinq rendez-vous à son programme, dont quatre à l’extérieur. En vérité, elle s’en est même sortie renforcée, boutant l’OM et l’OL de la coupe de la Ligue tout en faisant fructifier son capital en Ligue 1, dont la prochaine échéance l’amène ce samedi à Monaco.
« À Paris, il y a surtout des choses à ne pas faire »
Dans l’intervalle, les Strasbourgeois ont mis fin aux espoirs de Grenoble en Coupe de France. L’historique défenseur isérois Bengriba, sept saisons de présence au GF38, nourrissait quelques regrets. « Qu’est-ce que vous voulez, c’est le foot, a-t-il souligné avant de rappeler qu’il est plus près de la fin que du début : Je n’irai sans doute jamais au Parc des Princes en tant que joueur. »
Ses vainqueurs ont, eux, tout l’avenir devant eux pour la plupart. L’équipe alignée par Thierry Laurey en Isère avait un profil fort juvénile. Quand le match a basculé, sur le but de Zohi en prolongation, la moyenne d’âge de son onze s’élevait à 24 vertigineuses années. La carrière pro de Mamoudou Karamoko affichait huit minutes à son compteur. À l’heure de commenter la victoire, la timidité était souvent de mise. Nombre de Strasbourgeois ont affiché leur bouille réjouie sans parvenir à exprimer la joie perçue, le plaisir de s’inscrire dans une dynamique de victoires significatives et le bonheur d’avoir été à la hauteur de leurs aînés demeurés à la maison pour se reposer.
Pour la maîtrise du verbe, cela viendra. Pour la maîtrise du jeu, ce n’est déjà pas mal. Évidemment, la victoire au stade des Alpes n’a pas été d’une évidence criante. Il a fallu batailler pour la bande d’inexpérimentés et de récents blessés.
« À chaque erreur, cela a failli nous coûter cher, a relevé Thierry Laurey. Il faut canaliser la jeunesse qui amène du peps, de la fraîcheur. Avec ces matches, ils peuvent acquérir de l’expérience. Notre centre de formation n’a l’agrément de la catégorie 1 que depuis un an. Mais certains peuvent évoluer avec nous en équipe première. »
Les deux novices, Mamoudou Karamoko en tête, en ont fait la démonstration, tandis que ceux qui avaient dû s’éclipser pour faire place nette à plus expérimenté, Kevin Zohi, Ismaïl Aaneba ou encore Youssouf Fofana ont eu l’activité de garçons motivés. Durant la semaine du lancement de la Racing Mutest Academie, ils ont fait la preuve que le club strasbourgeois a de l’avenir.
Accessoirement, Thierry Laurey a confirmé ses inspirations de janvier, pianotant sur un effectif, enchaînant les paris réussis. Sa récente prolongation de contrat tranche bougrement dans ses effets avec celle orchestrée en d’autres contrées.
« Gagner ici, à Grenoble, ce n’était pas… gagné d’avance, considère un technicien qui semble franchir les écueils comme ses joueurs globalement épatants en terre inconnue. Gagner au Stadium, c’est une performance, gagner à Lyon, c’est une performance. Il y a 18 mois, on était en Ligue 2 et beaucoup l’oublient. On n’a pas toute l’expérience voulue pour faire face à ce type de match, contrairement à des clubs comme Marseille, Lille, Lyon. »
Mais les cadences comme la difficulté ne contrarient pas la jolie marche en avant, marquée par l’efficacité et la réussite. Et voilà qu’après Monaco et son Rocher, Paris et ses lumières pointent à l’horizon pour un rendez-vous au Parc mercredi, retransmis sur France 3.
« Je ne rêve pas, conclut l’entraîneur. Je garde les pieds sur terre et je sais ce qu’il faut faire mais surtout ne pas faire. Et à Paris, il y a surtout des choses à ne pas faire. Les joueurs qui ont battu Grenoble ont envie pour la majorité d’entre eux de rejouer la semaine prochaine. »
Grenoble n’a jamais été aussi approprié pour se rendre compte combien la montagne est belle comme nombre de ses sommets.
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